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Extraire de l’uranium à partir de l’eau de mer, bientôt une réalité ?

par La rédaction
4 septembre 2012
en Non Renouvelable, Nucléaire

A l’occasion d’un symposium organisé par l’American Chemical Society, des scientifiques ont signalé le 21 août dernier avoir réalisé des progrès dans le procédé d’extraction d’uranium à partir de l’eau de mer des océans, une réserve naturelle estimée à au moins 4 milliards de tonnes.

Ils ont ainsi décrit certaines technologies les plus prometteuses en la matière, ainsi qu’une analyse économique montrant que l’uranium provenant des océans pourrait aider à consolider le potentiel de l’énergie nucléaire comme source d’électricité ‘durable’ pour le 21ème siècle.

"Les estimations indiquent qu’il y aurait beaucoup plus d’uranium dissous dans l’eau de mer que dans toutes les mines terrestres connues et exploitables", a déclaré le Pr. Robin D. Rogers, l’organisateur du colloque qui a aussi présenté sa propre technologie. "La difficulté tient du fait que la concentration d’uranium est très faible, ce qui rendait jusque là le coût d’extraction élevé. Mais nous sommes en train de relever ce challenge."

Un autre intervenant, le Pr. Erich Schneider, a évoqué l’analyse économique effectuée pour le compte du ministère américain de l’Énergie (DOE) comparant l’extraction de l’uranium de l’eau de mer à l’exploitation minière traditionnelle. Cette étude montre que la technologie financée par le DOE est en mesure maintenant d’extraire environ deux fois plus d’uranium de l’eau de mer que les premières tentatives développées au Japon dans les années 1990.

Cette amélioration réduirait les coûts de production d’environ 300 dollars par livre d’uranium (0,453 kg) , contre 560 $ en utilisant la seule technologie japonaise. Toutefois, l’extraction de ce métal lourd radioactif à partir de l’eau de mer resterait environ 5 fois plus chers que le processus terrestre.

Le Pr. Schneider a expliqué que l’objectif actuel n’était pas de rendre l’extraction par eau de mer aussi compétitive que l’exploitation minière terrestre. Au lieu de cela, les scientifiques veulent que cette source d’uranium agisse comme un « filet de sécurité économique », de sorte d’obtenir suffisamment d’uranium pour continuer à alimenter la filière de l’énergie nucléaire à travers le 21ème siècle.

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Extraire de l'uranium à partir de l'eau de mer, bientôt une réalité ?

[ Credit photo : Déchets radioactifs – pastilles d’uranium ]

Les centrales nucléaires, a-t-il noté, conçues pour fonctionner durant 60 ans, voire plus, impliquent un investissement financier énorme. En 2008, par exemple, une société énergétique de Floride a estimé à 14 milliards de dollars le coût d’une nouvelle centrale atomique munie de 2 réacteurs. Avant de réaliser ce type de dépense, les compagnies énergétiques veulent avoir l’assurance que le combustible (uranium) sera disponible à un prix raisonnable sur un laps de temps de l’ordre du siècle.

"Cette incertitude – à savoir, y a t-il suffisamment d’uranium terrestre – a un impact sur la prise de décision dans l’industrie, car il est difficile pour les décideurs de s’engager à long terme dans des phases de recherche et de développement ou sur le déploiement d’infrastructures lourdes" a ajouté le Pr. Schneider. "Donc, si nous pouvons extraire de l’uranium à partir de l’eau de mer, nous pourrons lever cette incertitude."

Par ailleurs certains coûts environnementaux que l’on rencontre dans l’extraction du minerai d’uranium terrestre pourraient être évités par ce nouveau procédé. Comme dans d’autres exploitations minières, la récupération de l’uranium contribue à générer des eaux usées contaminées, à impacter l’environnement ou encore à avoir des conséquences sanitaires sur les mineurs.

La technologie japonaise utilise par exemple des nattes tressées en fibres plastiques associées à d’autres composés conçus pour capturer les atomes d’uranium. Les tapis font de 50 à 100 mètres de long, et sont suspendus entre 100 et 200 mètres sous la surface de la mer. Une fois remontée à la surface, les nattes sont rincées avec une solution acide douce qui capte l’uranium lors de la phase de récupération. Les tapis repartent alors dans un autre cycle qui peut se répéter plusieurs fois.

Le Pr. Rogers a déclaré que les prochaines étapes consisteront à améliorer à la fois les parties du système adsorbant, le substrat en plastique et les composés qui fixent l’uranium. Son groupe de recherche est en train notamment de tester les propriétés des carapaces de crevettes afin de fabriquer un matériau biodégradable absorbant.

Tags: doefranceocéanreacteur nucleaireuranium
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Commentaires 14

  1. Lmassias says:
    il y a 13 ans

    Vraiment, les pronucléaires ne savent plus quoi inventer pour défendre leur dangereuse industrie. Des réserves de plus de 4 milliards, pourquoi pas du pastis !

    Répondre
  2. dede29 says:
    il y a 13 ans

    Il y en a aussi … !!!

    Répondre
  3. Ambiel says:
    il y a 13 ans

    Ben voyons, leur but c’est de passer d’une méthode de captation qui porte le kilo d’unanium à 1000€ à une méthode qui permette d’atteindre les 500€ d’ici à quelques décennies… Soit 3 à 5 fois le cours de l’uranium. Et si on essayait de faire de l’électricité avec des moyens un peu plus simples, moins polluants, renouvelables et sans problèmes de déchets longue vie, de risque terroriste? Par exemple avec des ENR? Ah non c’est vrai, ce n’est pas possible. Enfouir des déchets sans risques pour des millénaires, ne plus avoir aucun accident nucléaire, extraire de l’uranium des océans, ça ce n’est pas de l’utopie. Par contre produire en masse avec des ENR c’est vraiment un doux rêve d’écolo-bobo gauchiste.

    Répondre
  4. Tech says:
    il y a 13 ans

    le nucléaire c’est bien, le combustible vient de la mer ;o)) et cela pourrait même être extrait par les crevettes! (carapaces, mais en les dressant bien!) bel article de urawashing

    Répondre
  5. Pastilleverte says:
    il y a 13 ans

    L’Uranium n’est pas le seul composé présent en quantité phénoménale dans la mer. (voir également l’or, par exempl Le seul( petit) problème, c’est la dilution… Un nouveau procédé permet(trait) d’améliorer considérablement le rendement d’extraction, et alors ? c’est sûr qu’avant d’extraire des milliards de tonnes d’U de la mer, ce qui doit représenter par contre la meilleure estimation du tonnage total dans les millions de km cubes du total des océans, c’est pas demain la veille (mais arriver à en extraire quelques millièmes serait déjà bien !); En gros, l’annonce est du même ordre que pour le potentiel de l’énergie solaire. Dans l’absolu, l’énergie totale reçue quotidiennement du Soleil sur le globe couvre des milliers d’années de besoins énergétiques. Il « suffit » seulement d’arriver à bien la capter… (et la stocker, et l’acheminer, etc, etc)

    Répondre
  6. Deut says:
    il y a 13 ans

    Pourquoi, sur ce site, dès qu’on parle de radionucléides, c’est le mal? J’espère que vous n’avez jamais été faire de radios ou autre a base de technicium qui vient de la transmutation (merci la fission issue de l’U, Pu, Th). Vous êtes dépitant de ne montrer aucun interessement dès que vous voyez Uranium… Vous voulez faire une propagande? Le but de l’article est de donner connaissance au lecteurs des quantités de cet élément dans l’eau de mer, au même titre que les gazs contenus sous le permafrost sibérien ou même la capacité moyenne d’un lecteur à être étanche à certains sujets.

    Répondre
  7. chiedo says:
    il y a 13 ans

    On peut aussi parler des 30 tonnes charrié par le Rhône chaque année… Pour en revenir au sujet, qu’elle est l’intérêt ? Les réserves minières sont estimées à plus de 100 ans il me semble ? D’ici la j’ai du mal à croire qu’on en soit pas arrivé à la génération 4, qui aura elle de quoi tourner pendant plusieurs millénaires seulement avec nos déchets actuels …

    Répondre
  8. Tech says:
    il y a 13 ans

    il suffit de placer les capteurs au dessus des futs de déchets largués en mer par les anglais par exemple! la concentration devrait y être supérieure! allez-voir ici: entre 65 et 160 m de profondeur. Cette décharge sauvage se situe très exactement par 49° 50′ N de latitude et 2° 18′ W de longitude, à une trentaine de kilomètres des côtes françaises

    Répondre
  9. Pleyben says:
    il y a 13 ans

    Quel est l’intérêt ? C’est dans l’article: Les centrales nucléaires, a-t-il noté, conçues pour fonctionner durant 60 ans, voire plus, impliquent un investissement financier énorme. En 2008, par exemple, une société énergétique de Floride a estimé à 14 milliards de dollars le coût d’une nouvelle centrale atomique munie de 2 réacteurs. Avant de réaliser ce type de dépense, les compagnies énergétiques veulent avoir l’assurance que le combustible (uranium) sera disponible à un prix raisonnable sur un laps de temps de l’ordre du siècle. « Cette incertitude – à savoir, y a t-il suffisamment d’uranium terrestre – a un impact sur la prise de décision dans l’industrie, car il est difficile pour les décideurs de s’engager à long terme dans des phases de recherche et de développement ou sur le déploiement d’infrastructures lourdes » a ajouté le Pr. Schneider. « Donc, si nous pouvons extraire de l’uranium à partir de l’eau de mer, nous pourrons lever cette incertitude. »

    Répondre
  10. Daniel jagline says:
    il y a 13 ans

    Deux affirmations l’une dans l’article, l’autre dans un com sont à remettre en perspective : 1- les centrales n’ont pas été conçues pour 60 ans, mais pour 20 ou 30 ans, et ont les prolonge dangereusement ! 2- Les réserves d’uranium terrestre ne sont pas estimées à 100 ans, mais plutôt au mieux à 40 ou 50 ans. Pour moi cela fait deux argument essentiels, pour lesquel les bons chiffres, aident à la compréhension générale de la problématique. Le nucléaire n’a pas d’avenir, et c’est tant mieux !

    Répondre
  11. Henrique says:
    il y a 13 ans

    Le Pr. Schneider a expliqué que l’objectif actuel n’était pas de rendre l’extraction par eau de mer aussi compétitive que l’exploitation minière terrestre. Au lieu de cela, les scientifiques veulent que cette source d’uranium agisse comme un « filet de sécurité économique », de sorte d’obtenir suffisamment d’uranium pour continuer à alimenter la filière de l’énergie nucléaire à travers le 21ème siècle.

    Répondre
  12. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    « 2- Les réserves d’uranium terrestre ne sont pas estimées à 100 ans, mais plutôt au mieux à 40 ou 50 ans. » Le paradoxe est que précisément les réserves d’uranium, selon le mode d’extration actuel, seront d’autant plus limitées dans le temps que l’avenir du nucléaire sera radieux. En revanche si le nucléaire décline alors il y aura moins de réacteurs qui consommeront moins d’uranium et cela durera nettement plus longtemps. Et évidemment on ne parle pas de la 4ième génération. Donc si 40 ans est le bon chiffre, cela veut dire que le nucléaire ce sera bien développé !

    Répondre
  13. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    Voilà ce que Noël Mamère déclare : « Cet incident est la preuve qu’il faut fermer Fessenheim au plus vite. C’est aussi la preuve qu’il ne faut surtout pas se lancer dans une opération de soins palliatifs à des centrales vieillissantes, comme Fessenheim » Ben, je ne ferai pas confiance à des gens qui font des déductions de ce genre. Un jour on va avoir : « un employé s’est coincée le doigt dans une porte, c’est la preuve qu’il faut supprimer les portes » Quand je vois les risques que prennent quotidiennement des millions de ménagères (ou ménagers ?) dans leur cuisine à cause du gaz de l’électricité qui cotoient les produits chimiques, j’affirme qu’il faut fermer les cuisines ! Enfin je constate que Noël Mamère n’aime pas les soins palliatifs pour ce qui est ancien. Alors si vous plus de 60 ans, faites gaffe, car c’est pas EELV qui va investir pour vous soigner ! Au fait, comment va Eva Joly ? On ne la voit plus… Noël ne lui aurait pas fait un mauvais sort quand même ??

    Répondre
  14. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    Ce commentaire ne va pas sur cet article mais sur Fessenheim !

    Répondre

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