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Toujours plus de CO2 dans l’atmosphère en 2008

par La rédaction
24 novembre 2009
en Energie

En 2008 et au niveau mondial, les émissions de CO2 se sont accélérées alors que les puits de carbone ont diminué.

Telles sont les conclusions d’une étude internationale associant des chercheurs du CEA, du CNRS et de l’Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ).

En augmentation de 2%, les émissions de carbone liées à l’action de l’homme correspondent à 1,3 tonne de carbone par habitant et par an, soit 30 % de plus que dans les années 1990-2000. Ces résultats publiés dans la revue Nature Geoscience du 17 novembre 2009.

Augmentation de la consommation de charbon et croissance du PIB

Cette étude, réalisée par un groupe d’experts appartenant au projet international « Global Carbon Project (GCP)1 », rassemblant plusieurs chercheurs du CNRS, du CEA et de l’UVSQ2, indique que l’accroissement des émissions est principalement lié à l’augmentation de la consommation de charbon alors qu’une très légère diminution des émissions liées à la consommation de pétrole et à la déforestation est observée.

Cet accroissement est par ailleurs fortement corrélé à la croissance du PIB. Les émissions liées à la combustion des énergies fossiles se sont accrues de 41 % depuis 1990, continuant ainsi à être proche du scénario de plus forte émission défini par le GIEC. La crise a provisoirement infléchi la tendance des émissions mais les émissions devraient repartir à la hausse dès la reprise économique si les efforts de réduction globale des émissions ne sont pas accentués.

Dans les pays en développement, l’augmentation des émissions est en partie liée à la production de produits manufacturés pour l’exportation. Ainsi, en Chine, 50 % de la croissance des émissions entre 2002 et 2005 correspond à la production de produits pour l’exportation.

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Des puits de carbone vulnérables

L’étude indique que l’accroissement du CO2 atmosphérique en 2008 a été de 4 milliards de tonnes de carbone et sa concentration a atteint 385 parties par million, soit 38 % de plus que le niveau de l’ère pré-industrielle.

L’étude montre également que les puits de carbone naturels – l’océan et la biosphère continentale -, jouant un rôle important dans la régulation des émissions anthropiques n’ont pas été capables de suivre l’augmentation rapide des émissions.

Environ 45 % des émissions anthropiques s’accumulent dans l’atmosphère, le reste (55 %) étant absorbé par l’océan, les sols et la végétation. Cependant, la fraction des émissions restant dans l’atmosphère a tendance à augmenter depuis 50 ans. Les puits de carbone sont ainsi vulnérables à l’accélération des émissions de CO2 et au changement climatique induit. Ils deviennent de moins en moins efficaces pour limiter l’impact des émissions.

Plus de trente experts des principaux laboratoires internationaux de recherche sur le climat et le cycle du carbone ont contribué à cette analyse du GCP.

Côté français, cette étude a bénéficié de récents travaux menés aux laboratoires LOCEAN et LSCE de l’IPSL. En particulier, les analyses de l’observatoire océanique S.O.OISO ont été intégrées dans cette synthèse afin d’évaluer l’évolution du puits de carbone océanique. De nouvelles simulations du cycle du carbone océanique et continental ont été réalisées et ont contribué à cette analyse.

1- GCP, Global Carbon Project, http://www.globalcarbonproject.org
2- Le laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE : CEA-CNRS-UVSQ) et le laboratoire d’océanographie du climat : expérimentation et approches numériques (LOCEAN : CNRS-IRD-UPMC-MNHN) sont partie prenantes de la fédération de recherche "Institut Pierre Simon Laplace (http://www.ipsl.fr).
3- Les émissions de CO2 anthropiques sont les émissions de carbone liées aux activités humaines.
4- S.O.OISO : Océan Indien Service d’Observations (CNRS-INSU, IPSL, IPEV)
5- Modèle océanique NEMO-PISCES (Outil national, CNRS-INSU, IPSL)
6- Modèle océanique NEMO-PISCES (Outil national, CNRS-INSU, IPSL)
7- Modèle continental ORCHIDEE (LSCE-IPSL)

Tags: afriqueatmosphereceacnrsCO2
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Commentaires 8

  1. Charadess says:
    il y a 15 ans

    Et alors? Que devient la découverte des savants de l’Onu:la corrélation de la température virtuelle de l’hémisphère Nord avec la concentration de CO2 et de méthane? On aimerait des explications sur 2008,2009. 

    Répondre
  2. Pastilleverte says:
    il y a 15 ans

    les émissions se sont accrues de 41% entre 1990 et 2008, mais la concentration du CO2 dans l’atmosphère est passée de 354 ppm à 384, soit + 8,4%, ce qui veut dire que les puits de carbone fonctionnent encore. J’annonce un scoop : la concentration aura  encore augmenté en 2009 et augmentera encore en 2010  (et en 2011, 2012…) ! Bonne nouvelle le déstockage de CO2 par déforestation a baissé en 2008, c’est bon aussi pour la biodiversité, surtout dans les zones 20°N – 20°S. Petit exercice amusant : prendre une feuille de papier de 1000 x 1000 carreaux, remplissez le million de cases de points noirs, sauf 384, que vous mettrez en rouge vif, puis essayez de retrouver  le CO2 (les 384 point rouges) dans l’atmosphère (le million * 384 points noirs), enfin consultez votre ophtalmo, car vous venez de vous bousiller la vue. Ah qu’il est vilain et méchant ce gaz à effet de traces !

    Répondre
  3. michel123 says:
    il y a 15 ans

    Il est clair que la situation est dramatique , que les efforts que nous avons consenti pour diminuer nos emissions  ont été anihlés par la combustion galopante du charbon ; La courbe de progression du co2 est explosive et produira ses effets dans moins d’un siecle , le relargage des énormes quantités de  méthane océanique en équilibre instable au fond des océans ne pourra qu’aggraver une crise climatique qui sera alors devenue hors contrôle . Il est effarant de voir à quel point les gens essaient de minimiser les problèmes qui nous menacent dans le but bien évidement de se rassurer et de ne rien changer à leur mode de vie . C’est un phénomène psychologique bien connu chez les anxieux, pour ne pas affronter la réalité , mieux vaut la nier et s’en moquer que de prendre les problèmes à bras le corps . Sur le titanic l’orchestre a continué à jouer pour rassurer les passagers pendant que coulait le navire. MC

    Répondre
  4. Dan1 says:
    il y a 15 ans

    A propos d’augmentation de CO2, lisez les projets d’ESKOM en Afrique du Sud : Puis allez sur Google Earth et tapez « Witbank » puis admirez les environs.

    Répondre
  5. Dan1 says:
    il y a 15 ans

    Pour visualiser ce que représente 384 ppm de CO2, il n’y a pas besoin de s’abimer la vue. Avec 8 batons de 1 mètre, vous délimitez un mètre cube (1 millions de cm3 cubes) et vous placez au milieu une canette de soda de 33 cl (330 cm3). Vous avez matérialisé 330 ppm par rapport à 1 m3. cette canette représente un peu plus que la concentration moyenne avant l’ère industrielle (280 ppm) et un moins que celle actuelle. C’est simple, visuel et vos yeux sont préservés !  

    Répondre
  6. marcob12 says:
    il y a 15 ans

    Nous n’arriverons probablement pas à infléchir les émissions de CO2 comme le recommandent de nombreux scientifiques c’est-à-dire rapidement. Cela impliquerait en effet l’interdiction pour les pays émergeants de se développer avec des sources d’énergies bon marché (les énergies fossiles) comme nous l’avons fait nous-mêmes, pour parvenir à un niveau de vie autorisant  le passage à des énergies et des technologies peu émissives. Cela ne signifie pas que nous sommes perdus. Si le GIEC a raison, les évolutions majeures du climat seront lentes (hausse du niveau des océans par ex) et nous nous adapteront. Les scénarios de « fin du monde » sont à oublier. Je compte parmi ceux qui pensent que nous surestimont gravement notre rôle dans l’évolution en cours du climat (la sensibilité de la machine climatique à la partie anthropique des GES), ce qui ne nous dispense nullement de tourner résolument le dos aux énergies fossiles, au pillage des écosystèmes naturels, à la prédation gratuite, à la production de déchets, bref aux piliers fondateurs de la civilisation imbécile dans laquelle nous avons tous grandit. Transformer à vitesse maximale une quantité finie de ressources naturelles en montagnes de déchets pour le bénéfice d’une infime minorité de la population humaine pouvait-il être durable ?… S’il faut une pseudo menace planétaire pour nous réunir derrière l’objectif ci-dessus, ainsi soit-il…

    Répondre
  7. Pastilleverte says:
    il y a 15 ans

    @ Pamina : il n’ya pas grand choses à voir entre émissions, concentration et puits de carbone, merci Pamina pour cette précision, je vais finir par ne plus dire de bétises grace àv ous (quoique…) @Dan  : Visualisation : oui mais la canette se trouve concentrée à un seul endroit, il faudrait la découper en 330 morceaux égaux et la répartir dans le cube de 1 M3, résultat similaire à celui des points. @marcob : bien d’accord sur l’analyse et le ‘il faut faire quque chose », mais pas d’accord pour jouer sur la peur et les angoisses, très mauvaises conseillères, portes ouvertes à tous les totalitarismes, fanatismes et autres ismes. Pauvre CO2, ça t’apprendra à vouloir le bien de l’humanité en nourissant les plantes !

    Répondre
  8. Pastilleverte says:
    il y a 15 ans

    @ Pamina : je vous cite : Une émission est un flux, une concentration est un stock. Dès lors, il n’y a aucune relation entre la variation du premier et celle du second merci de m’éclairer de vos compétences sur l’influence du taux de CO2 sur le climat de la planète, à ma connaissance (qui est certes infinitésimale), le CO2 a surtout une influence sur la croissance des plantes, ergo sur le climat. Quant à mon jugement, comme disent les anglo saxons : FOI et FOS : liberté d’informations et liberté de paroles. comme ne lee pratiquent pas les scientifiques « officiels » du CRU/Hardley Center, grands gardiens de la « vraie » science climatique.

    Répondre

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