Une nouvelle génération de cellules solaires est sortie des cerveaux néo-zélandais de l’université de Massey.
De l’énergie solaire dix fois moins cher, grâce à un élément naturel : le Dioxyde de Titane. Présent dans le sable noir des plages néo-zélandaises, on l’utilise déjà dans les dentrifices pour blanchir les dents, ou dans la peinture. Moins cher, plus propre et plus abondant que le silicium des cellules photo-électriques classiques, il a pour principal avantage de réagir dans de faibles conditions d’ensoleillement. Les chercheurs annoncent un prototype commercialisable d’ici à trois ans. |