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Les énergéticiens européens veulent de la concurrence en France

par La rédaction
9 mars 2012
en Energie

Afin de promouvoir davantage l’ouverture des marchés de l’énergie en France, les principaux acteurs énergétiques "étrangers" ont décidé de créer l’Association Française Indépendante de l’Electricité et du Gaz (AFIEG), présidée par Fleur Thesmar.

Par cette initiative, les membres de l’AFIEG (ALPIQ, ENEL, EON, et VATTENFALL) entendent ainsi devenir l’interlocuteur des pouvoirs publics et présenter une alternative "aux dysfonctionnements actuels des marchés de l’énergie".

Les énergéticiens européens, membres de l’AFIEG indiquent avoir déjà fortement investi dans la production électrique. Cependant, ils jugent qu’une ouverture plus large du marché de la production à la concurrence demeurent indispensable afin de faire face aux besoins d’investissements du secteur électrique français. En ce sens, l’AFIEG fera des propositions sur le nucléaire et les concessions hydroélectriques.

En tant que fournisseurs d’électricité, les membres de l’AFIEG représentent à eux seuls les deux tiers des volumes d’électricité vendus aux grands consommateurs industriels et tertiaires (hors EDF). Toutefois selon l’AFIEG, les évolutions réglementaires récentes ne permettent pas de poser les bases d’une concurrence durable et équitable puisque 85% des volumes restent commercialisés par l’opérateur historique et 15% des volumes restant le sont indirectement par le biais de l’Accès Régulé à l’Electricité Nucléaire Historique (ARENH).

Dans le domaine du gaz, s’il elle juge que le marché semble davantage ouvert, "la complexité de l’équilibrage, la difficulté d’accès aux moyens de stockage et le manque d’évolution vers une logique de marché ne favorisent pas l’émergence de vraies alternatives pour les consommateurs."

Pour Fleur Thesmar, présidente de l’AFIEG, "la question de la concurrence ne se pose pas seulement en termes de fourniture mais également en termes de production. Il n’existe aucun marché concurrentiel en Europe où un seul acteur détient plus de 50% de parts de marché. Dans un contexte où de très lourds investissements sont nécessaires en France, seul un cadre concurrentiel et attractif permettra qu’ils soient efficaces et garantissent la sécurité des approvisionnements."

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Tags: concurrenceenergeticieneuropefrancetoiture
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Commentaires 20

  1. Lionel_fr says:
    il y a 13 ans

    Si l’énergéticien national veut aller trouver de meilleurs revenus à l’étranger , il ne PEUT PAS rester monopolistique chez lui. Il faut offrir aux étrangers des opportunités en France si on veut faire de même chez eux.

    Répondre
  2. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    C’est vrai que la concurrence n’est pas facile. EDF a d’ailleurs laché du lest en Allemagne puisqu’il a revendu ses parts dans ENBw au land de Bade-Wurtemberg pour 4,5 milliards d’euros : Voilà une bonne affaire pour la concurrence : moins d’emprise en Europe pour EDF. Evidemment depuis, l’Allemagne a décidé de sortir du nucléaire et la mariée est moins belle ! Ceci dit, il me semble que le moment est mal choisi pour casser un monopole nucléaire efficace, alors que l’on veut concentrer les responsabilités concernant la sûreté des parcs. Enfin, je note le souhait candide des industriels formulé ainsi : « Il n’existe aucun marché concurrentiel en Europe où un seul acteur détient plus de 50% de parts de marché. Dans un contexte où de très lourds investissements sont nécessaires en France, seul un cadre concurrentiel et attractif permettra qu’ils soient efficaces et garantissent la sécurité des approvisionnements. » Et ben non, la concurrence n’est pas remède miracle qui permet de répondre de façon optimale à tous les besoins des citoyens. On peut parfaitement développer un système de production, transport et distribution d’électricité fiable, efficace techniquement et économiquement et optimal pour le citoyen à partir d’un monopole convenablement régulé. L’ennui, c’est qu’en France on est passé de la théorie à la pratique en 1946 et le modèle a juste fait ses preuves pendant 60 ans ! Il ne faut jamais oublier son histoire et céder au chant des sirènes… intéressées. la concurrence est un moyen parmi d’autres, pas une fin.

    Répondre
  3. cezorb says:
    il y a 13 ans

    L’Europe n’a t-elle pas rendu obligatoire une séparation entre la production et la distribution de l’énergie ? Les distributeurs ERDF et RTE sont filiales à 100% du producteur EDF. Comme ailleurs, celui qui possède le réseau contrôle ce qui passe dedans…

    Répondre
  4. Tassin says:
    il y a 13 ans

    Eh bien pas nous, merci !

    Répondre
  5. laurent44 says:
    il y a 13 ans

    La concurrence c’est bien joli, mais au bénéfice de qui ? Je ne pense pas que les clients « particuliers » aient vu baisser leur facture de l’électricité ? Augmentation du tarif du KW/H, mais aussi des services (par exemple, regardez le prix d’un branchement forain aujourd’hui – autour de 230€ alors qu’avant 2004 on comptait environ 50€) Par contre depuis la privatisation d’EDF, certains bénéfices vont aux actionnaires alors qu’avant ils faisaient vivre la boite. (Investissement, entretien) Ce qui serait intéressant c’est que la concurrence serve à l’amélioration de l’impact environnemental. Malheureusement c’est l’inverse. À mon avis brûler du gaz pour faire de l’électricité qui va faire fonctionner un radiateur est une ineptie. (je pense au rendement final)… les investisseurs de moyens de production pensent uniquement à faire du fric. Dans le cadre d’un service public… si la définition est suivit à la lettre… on procède autrement… non ? Bref toute une approche de la chose à revoir.

    Répondre
  6. Patraig says:
    il y a 13 ans

    Il n’y a pas de veritable concurence en France , c’est un fait . Les clients Francais d’EDF sont quasiment captifs . La concurence a des vertus . Elle pousse les acteurs du marche a faire des efforts en termes de productivite , de meilleure gestion , d’optimisation des couts de fonctionnment et , bien sur , de tarifs . Sana concurence , saine , il n’a pas de remise en question . Ceux qui pensent qu’une concurence en France dans le marche energetique n’est pas necessaire sont les memes qui ne voulaient pas de concurence dans le telephone … Il est plus que temps de mettre fin au monopole d’EDF et de proposer de veritables alternatives . Le probleme ? L’etat est actionaire a plus de 80% …

    Répondre
  7. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    Et voilà le résultat concret d’un horrible monopole en France : Le monopole est insoutenable pour le peuple…. vivement la concurrence ! Et une petite comparaison avec nos voisins :

    Répondre
  8. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    Puisque le titre n’apparaît pas, il faut préciser qu’il s’agit d’Euros constants et non pas d’Euros courants. J’en profite pour citer le commentaire de l’UFE qui va avec : « Après une hausse jusqu’au début des années 80 justifiée par la réalisation des investissements du programme nucléaire français, les prix de l’électricité pour les ménages en euros constants 2009 (c’est-à-dire hors effet de l’inflation) ont baissé de 40% entre 1982 et 2009. »

    Répondre
  9. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    A Patraig. Faut-il d’abord préciser que la concurrence dans le domaine de l’électricité ne concerne que la production. Si vous lisez attentivement votre facture « captive », vous vous apercevrez que la production d’électricité ne représente bien souvent moins d’un tiers de la facture totale. Enfin, selon une formule célèbre de Marcel Boiteux, le paradoxe français est qu’il est nécessaire d’élever les prix pour permettre la concurrence. Aujourd’hui, il n’y a guère que les naïfs et les menteurs pour défendre l’idée que la concurrence dans le domaine de l’électricité, en France, peut apporter une diminution des prix.

    Répondre
  10. Patraig says:
    il y a 13 ans

    Je ne pense pas etre ni un naif ni un menteur . Je pense que la concurence a des vertus , dans quelque domaine que ce soit . EDF est une excellente entreprise . 99% des agents EDF font du bon travail et ont un veritable souci de leur entreprise et de leurs clients . Le sommet de la pyramide est , malheureusement , un vrai panier de crabes ….. Pourquoi EDF n’est-elle pas capable d’atteindre une disponibilite de 90% de ses centrales ? Quand EDF prend des parts de marche a l’international , on crie Victoire . Mais on voit d’un tres mauvais oeil des producteurs d’electricite utilises les lignes en France …Les Francais mesurent les avantages d’une veritable concurence quand ils decident d’acheter une voiture , un ordinateur , des vetements … Les Francais ont largement contribue , avec leurs impots , a l’avenement du nucleaire . On leur avait promis une electricite bon marche et fiable . Mais aujourd’hui on nous annonce des hausses de 40% en 5 ans … Dans un marche de l’energie concurentielle , les clients auraient d’avantage leur mot a dire et pourraient peser fortement sur les decisions strategiques . C’est aussi un des benefices de la concurence .

    Répondre
  11. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    La concurrence a des vertus, oui c’est indéniable et il faut savoir s’en servir quand il y a abus (entente….). Ce n’est pas nécessairement la meilleure solution pour atteindre l’optimum pour le citoyen. Le seul problème c’est qu’en France dans le domaine de l’électricité, on bénéficie déjà d’un système optimisé pour fournir massivement de l’électricité à moindre coût. Si, on favorise la concurrence, on désoptimise le système. Voilà ce qu’en pense certains :

    Répondre
  12. Sicetaitsimple says:
    il y a 13 ans

    Mais qui interdit aux 4 entreprises en question « de fortement investir dans la production electrique » en France? Certains l’ont fait un peu ( Alpiq 400MW, Eon 800MW, et Enel a pris 15% (je crois, c’est peut-être un peu moins) de Flamanville. Qu’ils continuent! Ca leur permettra de completer les TWh qu’ils achètent à EDF au prix Arenh, soit 42€/MWh. A moins que l’idée ne soit pas vraiment d’investir, mais de dépouiller…..

    Répondre
  13. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    Et c’est là où les consommateurs Français doivent rester lucides en ne cédant aux divers chants des sirènes-requins. Ce sont bien les consommateurs français qui ont payé le parc nucléaire-poule aux oeufs d’or qui attise tant les convoitises. C’est donc au consommateur français que doit revenir la rente nucléaire qui augmente au fur et à mesure que le parc est amorti et que le prix de l’électricité augmente. L’ARENH est une manière perverse de répartir la rente car, les opérateurs qui en profitent n’assume aucune des responsabilités industrielle du producteur historique, a fortiori en cas d’accident. En revanche, les bénéficiaires vautours bénéficient pleinement d’une électricité bon marché qu’ils se contenteront de commercialiser au prix fort. A prix du MWh égal, si le prix de l’ARENH est trop bas, il y a spoliation de la rente nucléaire au profit d’intérêt privé parfois étranger.

    Répondre
  14. Eloi says:
    il y a 13 ans

    Le nucléaire français atteindra difficilement 90% de taux d’utilisation de par le fait qu’il fait du suivi de charge. Illustration aujourd’hui, il a oscillé entre 51 et 53 GW () Un peu d’analyse de la disponibilité des centrales françaises (site rte) montre qu’en 2011 elle est passée de 70% en été à près de 90% en hiver. Après se focaliser sur le taux d’utilisation des centrales française n’a pas beaucoup d’intérêt puisque en termes économique ce qui compte est le coût du système global de production, et non pas du coût marginal d’un élément pris individuellement. Et cette règle est d’autant plus vraie pour les énergie intermittentes.

    Répondre
  15. Sicetaitsimple says:
    il y a 13 ans

    C’est juste un constat, chacun se fera son opinion: – à a ma connaissance, aucune des 4 entreprises ci-dessus n’est partie prenante de l’appel d’offre pour 3000MW d’éolien offshore.On peut penser ce qu’on veut à propos de l’offshoren et de son coût pour la CSPE, on verra bien les résultats, mais les membres de l’Afieg ne mettent visiblement pas leurs doigts là-dedans, alors qu’il s’agit bien d’investissements pour de nouvelles capacités de production. Par contre, il me semble bien que les mêmes 4 ont déclaré leur intention de participer à l’appel d’offre pour le renouvellement des concessions hydrauliques à venir ( concessions majoritairement EDF et un peu GDFSuez), appel d’offre qui n’amenera quasiment aucune augmentation de la puissance installée et en aucun cas de l’énergie produite. Requins dit Dan 1?

    Répondre
  16. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    Effectivement, on voit bien les entreprises vouloir mettre la main sur ce qu’il y a de plus immédiatement rentable dans notre patrimoine énergétique. L’hydraulique est la deuxième poule aux oeufs d’or françaises. Elles est un héritage de nos pères qui a nécessité de gros investissement immédiat au prix de travaux de force parfois au prix de la vie des ouvriers (pas tous français… merci aux italiens). C’est le travail des pionniers comme Aristide Bergès qui a permis à la France de développer massivement les Energies Renouvelables et de les hisser à un niveau industriel pour développer le pays. Mais il n’y a pas que les Alpes : Aujourd’hui, nous sommes face à un changement de paradigme où l’intérêt général ne pèse pas lourd face aux appétits privés. Alors une nouvelle espèce de requin fait son apparition : le requin-sirène Cette nouvelle espèce est particulièrement dangereuse car elle ne vous attaque pas directement, elle vous enchante d’abord. Cette espèce se nourrit essentiellement de poules aux oeufs d’or Tout ceci pour dire que nous voyons que de plus d’entreprises ont une aversion très marquée au risque et recherche d’abord la rentabilité immédiate. J’ai brossé volontairement un tableau un peu noir du monde dans lequel nous vivons, mais je crois que c’est à partir de ce constat que nous devons développer une vigilance particulière par rapport au dogme de la concurrence omniprésent dans notre vie. Car même dans la France hypernucléarisée, nous avons bien plus de chance d’être victime d’une concurrence mal encadrée que des radiations de nos centrales. Et à ce jeux là, ce sont évidemment les ouvriers qui sont les plus exposés. La concurrence doit rester un outil parmi d’autres et non devenir le dogme intangible. De même Le marché totalement ouvert n’est pas la réponse à toutes les questions et n’est pas forcément ce qu’il y a de mieux pour le citoyens. c’est une peu un sujet d’actualité. Voir ce qu’en pense Joseph Stiglitz, par exemple dans « Le triomphe de la cupidité ».

    Répondre
  17. zelectron says:
    il y a 13 ans

    Le cas d’EDF? la « fonctionarisation » des personnels de cette, disons entité, a amené, amène et amènera toujours le gâchis qu’on sait.

    Répondre
  18. rouget says:
    il y a 13 ans

    Je vous conseille cette vidéo de Michel Volle sur la concurrence, Etat faible et monopoles naturels et monopoles naturels dans les réseaux (électricité, télécom, etc.)

    Répondre
  19. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    Merci rouget pour cette vidéo qui est une bonne synthèse de la perversité d’une concurrence débridée. Cela nous envoie aux écrits de Marcel Boiteux qui soutient qu’un monopole convenablement régulé est optimum pour le citoyen. Enfin pour zelectron : ce n’est parce qu’on en veut à EDF que l’on peut démontrer que ce monopole a provoqué un gâchis que le privé en concurrence aurait pu évité. Il s’agit peut être tout simplement d’un système gagnant-gagnant : des ouviers bien payés qui produisent massivement une électricité de qualité et pas chère. Evidemment, depuis 1946, on aurait peut être pu produire à peu près autant d’électricité avec de entreprises privées qui auraient moins payé des ouvriers moins nombreux, mais c’aurait certainement été plus cher pour le citoyen. Et n’oublions pas que la concurrence ne concerne aujourd’hui que la production et la commercialisation…. parce qu’il y a tout de même des limites naturelles au dogme de la concurrence et du marché panacée.

    Répondre
  20. Sicetaitsimple says:
    il y a 13 ans

    Vous avez raison sur la SNET, mais Eon a tout de même construit 2 cycles combinés (environ 800MW) dans sa centrale lorraine. Concernant les problèmes de charbon à Gardanne durant la vague de froid, ce n’était pas si j’ai bien lu le charbon qui manquait, mais les opérateurs de la manutention de celui-ci, en grève….D’où la réquisition préfectorale.

    Répondre

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