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Les tendances du marché français de l’énergie à court, moyen et long terme

par La rédaction
12 février 2014
en Energie

Grenoble Ecole de Management a lancé son Baromètre du marché de l’énergie ‘Gaz de schiste, nucléaire, prix de l’énergie, émissions de CO2…’ ; autant de sujets passés au crible par cette première édition.

"L’objectif de ce baromètre est « de prendre le pouls » du secteur de l’énergie afin de connaître les clés et challenges à relever dans les 6 mois et 5 ans à venir" a expliqué Joachim Schleich, chercheur à Grenoble Ecole de Management et coordinateur de l’enquête. Et d’ajouter : "Nous avons ainsi interrogé deux cents experts provenant de l’industrie, du monde académique ou de l’administration."

Cette première édition s’est focalisée sur les attentes du panel concernant : le gaz de schiste, la part du nucléaire et des énergies renouvelables dans le futur et l’évolution des prix de l’énergie.

Parmi les enseignements majeurs à retenir

Gaz de schiste…

Une majorité d’experts convaincue de sa légalisation dans un futur proche

La France est l’un des pays d’Europe où le potentiel d’exploitation du gaz de schiste est le plus élevé, son extraction par fracturation hydraulique (« fracking ») est interdite depuis 2011. En cause, ce procédé d’extraction controversé. A ce sujet, 31 % des experts interrogés pensent que l’exploration du gaz de schiste sera autorisée dans moins de 5 ans alors qu’ils sont 40 % d’entre eux à croire qu’il faudra attendre plus de 5 ans pour que son exploration soit légale.

Et le seuil de rentabilité ?

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Considérant les caractéristiques géologiques et les infrastructures en Europe, l’exploitation du gaz de schiste serait-elle aussi rentable qu’aux Etats-Unis ? 50 % des experts du panel situent le seuil de rentabilité entre 20 et 40 euros/MWh. Le prix moyen d’équilibre étant fixé à 31 euros/MWh (actuellement situé à 27 euros/MWh sur le marché de gros en France).

Plus de 70 % des experts interrogés s’attendent à une croissance de production du gaz naturel dans l’Union Européenne dans les 5 ans à venir. Cette croissance serait d’après eux due exclusivement au gaz de schiste.

Nucléaire : des objectifs fixés difficilement atteignables

Les experts estiment que dans 10 ans, la part du nucléaire représentera encore 65 % de la production d’électricité en France pour atteindre seulement 52 % dans 30 ans.

Anne-Lorène Vernay, enseignante chercheur et membre de l’Equipe Energie de Grenoble Ecole de Management a précisé : "selon les estimations de ces experts, il faudra environ trois fois plus de temps que l’objectif fixé par le gouvernement actuel de baisser de 75 % à 50 % la part du nucléaire dans la production d’électricité d’ici 2025…"

La baisse du nucléaire serait récupérée par d’autres sources d’énergies renouvelables (hors hydroélectricité). Ces dernières représentent actuellement 11 % de la production de l’électricité, pour atteindre 13 % dans les 10 ans à venir, et représenter 24 % dans 30 ans. Par comparaison, la part d’hydroélectricité devrait rester stable.

Pour ces spécialistes, la part du gaz naturel dans la production électrique française continuera à augmenter régulièrement, en particulier au cours des dix prochaines années. Il restera cependant en dessous de 10 % au cours des trois prochaines décennies. Enfin, le charbon continuera de jouer un rôle plutôt marginal et perdra même la moitié de sa part de marché sur le long terme.

Des prix de vente en hausse à moyen terme

Dans les 6 mois à venir, la plupart des experts ne s’attendent pas à une hausse des prix des sources d’énergie suivantes : électricité, pétrole, gaz et charbon. En revanche, ils sont plus de 80 % à penser que les prix de vente de l’électricité et du pétrole augmenteront d’ici 5 ans.

Le prix du CO2 très (trop ?) faible

La crise économique a entraîné une baisse des émissions de CO2 dues à l’activité industrielle. Le prix des certificats de carbone est actuellement très faible (5,5 euros/t). Les experts du panel s’attendent à ce que ce prix reste stable encore 6 mois (env. 5,4 euros/t), mais à ce qu’il augmente d’ici 5 ans pour atteindre les 13 euros/t.

"Ce niveau de prix n’est pas assez élevé pour inciter à. la construction d’une économie européenne à faible intensité de carbone (Rappelons que l’objectif de l’UE pour 2050 est de baisser le taux d’émissions de carbone d’au moins 80 %)" a commenté pour Joachim Schleich.

>>> L’étude est téléchargeable à cettre adresse : ici (.pdf)

Tags: énergiefrancejapon
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Commentaires 10

  1. patalbert says:
    il y a 11 ans

    des banalités!! et une affirmation tout a fait gratuite concernant le gaz de schiste,car il suffira d’informer sans ambiguités le grand public sur les degats produits par la fracturation aux US pour que ce grand public hausse le ton et que les autorités maintiennent l’interdiction. quant aux autres méthodes d’extraction (rentables et respectant l’envirronnement) on les attend encore!

    Répondre
  2. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    « car il suffira d’informer sans ambiguités le grand public sur les degats produits par la fracturation aux US pour que ce grand public hausse le ton et que les autorités maintiennent l’interdiction. » Sur quoi vous basez vous pour affirmer cela ? Je vous le demande car j’essaie encore de me faire un avis objectif sur ce sujet, en évitant la propagande (oui, il s’agit bien de cela) de chaque bord.

    Répondre
  3. Sakharov says:
    il y a 11 ans

    La vraie raison pour laquelle l’exploitation de gaz de schiste n’est pas souhaitable en France est que l’on aura jamais les mêmes étendues à y consacrer qu’au US : En plus du fait que le gaz de schiste ne pourra de toute façon pas représenter plus de 10% de la consommation européenne et que l’on arrivera pas à le produire à un coût inférieur à nos coûts actuels d’approvisionnement, donc cela n’aurait même pas d’impact positif sur le prix du gaz.

    Répondre
  4. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    @ Sakharov : A voir, il y a aussi en France de vastes étendues à faible densité de population. C’est pour cela qu’il faudra au moins mener de l’exploration pour savoir ce qu’il en est. @ Chelya : « Bon sinon les 2 milliards que Total avait mis dans le gaz de schiste aux usa n’en valent plus qu’1,5 milliard… » En effet, un de leur gisement a perdu de la valeur. Cela fait partie du risque industriel, et ce n’est pas propre au gaz de schiste : L’exploitation du gisement de pétrole de Kashagan en mer Caspienne a ainsi vu son coût passer de 10 milliards à 50 milliards de dollars… On pourrait de même parler du coût de FLA3, ou du coût du PV dans la CSPE qui ne fait que s’envoler… C’est ça l’industrie. Et quant aux gaz de schistes, je reste toujours sur ma faim.

    Répondre
  5. Luis says:
    il y a 11 ans

    ¤ Pour commencer, le prix de l’électricité va augmenter de 5% au mois d’août 2014. Les experts ne le savent pas ? L’exploitation du gaz de schiste aux Etats-Unis a majoritairement lieu dans des régions déjà confrontées à des « stress hydriques » au risque d’y aggraver les pénuries d’eau, selon une étude du groupement d’organisations Ceres. La fracturation hydraulique aggrave la compétition pour l’eau dans certaines des régions les plus en proie à la sécheresse et au stress hydrique. De plus, et on le sait depuis plusieurs années déjà, les nappes souterraines des grandes plaines américaines utilisées pour l’irrigation ont beaucoup diminué. Elles pourraient être épuisées dans 20 à 30 ans (de mémoire) entraînant le déclin de l’agriculture sur de vastes étendues. Et avec moins de pétrole pour les tracteurs et les pompes, cela ne va pas arranger les choses.

    Répondre
  6. s4m says:
    il y a 11 ans

    je rejoins patalbert : cette étude est tout juste digne d’un exposé de collégien et sent fort le réchauffé. Tout est justifié par la phrase magique « selon nos experts » (25 occurences du mots sur 4 pages remplies à moitié de graphiques, sans qu’au final on ne connaisse vraiment le profil des sondés) mais aucune interprétation ou analyse n’est proposée ! Que ce soit pour le gaz de schiste ou le nucléaire, la question est tellement politisée, que toutes les prévisions, émanant d’experts ou non, ne peuvent se faire qu’au doigt mouillé ! Au final cela revient à des prévisions politiques qui relèvent quasiment de la compétence de Madame Irma … Quant au prix du CO2, la situation est connue depuis longtemps : le prix du CO2 est trop faible pour que cette taxe soit incitative. Et la raison est également connue : l’Allemagne dépend beaucoup trop des énergies fossiles à l’heure actuelle pour accepter une hausse. Et concernant le prix de l’énergie, je n’ai pas souvenir d’avoir lu une seule étude/personne un tant soit peu renseignée qui prédise une baisse des prix !

    Répondre
  7. Sonate says:
    il y a 11 ans

    Des « Experts » non-mentionnés, ça peut être le public de Enerzine, voir comme le dit Patalbert, une bande de piliers de bars. Crédibilité 0 !

    Répondre
  8. Guydegif(91) says:
    il y a 11 ans

     »Le prix des certificats de carbone est actuellement très faible (5,5 euros/t). …d’ici 5 ans pour atteindre les 13 euros/t. « Ce niveau de prix n’est pas assez élevé pour inciter à. la construction d’une économie européenne à faible intensité de carbone (Rappelons que l’objectif de l’UE pour 2050 est de baisser le taux d’émissions de carbone d’au moins 80 %) » a commenté pour Joachim Schleich. –> En effet, pour inciter les pollueur au CO2, càd les exploitants de Centrales thermiques charbon et lignite, à réduire le CO2, càd à mettre en oeuvre CSC (Captage et Stockage CO2), il n’y a QUE le RENCHERISSEMENT de la tonne de CO2 qui va le faire ! Quant au Gaz de schiste en France, notre passé historique dans les hydrocarbures avérés sur le territoire et les réservoirs identifiés, ne laissent que peu d’espoir d’avoir de grandes ressources de roche-mère susceptibles de contenir du gaz de schiste –> un leurre pour berner les gens. Néanmoins une investigation pour voir ce qu’il en est, n’est pas inutile, en temps voulu et avec les techniques qui vont bien. A+ Salutations Guydegif(91)

    Répondre
  9. Guydegif(91) says:
    il y a 11 ans

     »Le prix des certificats de carbone est actuellement très faible (5,5 euros/t). …d’ici 5 ans pour atteindre les 13 euros/t. « Ce niveau de prix n’est pas assez élevé pour inciter à. la construction d’une économie européenne à faible intensité de carbone (Rappelons que l’objectif de l’UE pour 2050 est de baisser le taux d’émissions de carbone d’au moins 80 %) » a commenté pour Joachim Schleich. –> En effet, pour inciter les pollueur au CO2, càd les exploitants de Centrales thermiques charbon et lignite, à réduire le CO2, càd à mettre en oeuvre CSC (Captage et Stockage CO2), il n’y a QUE le RENCHERISSEMENT de la tonne de CO2 qui va le faire ! Quant au Gaz de schiste en France, notre passé historique dans les hydrocarbures avérés sur le territoire et les réservoirs identifiés, ne laissent que peu d’espoir d’avoir de grandes ressources de roche-mère susceptibles de contenir du gaz de schiste –> un leurre pour berner les gens. Néanmoins une investigation pour voir ce qu’il en est, n’est pas inutile, en temps voulu et avec les techniques qui vont bien. A+ Salutations Guydegif(91)

    Répondre
  10. Nicias says:
    il y a 11 ans

    La vraie raison pour laquelle l’exploitation de gaz de schiste n’est pas souhaitable en France est que l’on aura jamais les mêmes étendues à y consacrer qu’au US On a fait d’énormes progrès depuis quelques années. 1 L’étendue sur votre photo est faible comparée à l’emprise au sol d’éoliènnes ou du pv. 2 On peut faire de la fracturation aujourd’hui sur plusieurs km 3 On peut fracturer sur plusieurs directions avec un seul puits. Tout cela est contredit sur votre photo car elle montre 1 un désert ou personne n’a intérêt a consacrer de l’argent pour remettre en état la « nature » après exploitation. On a exploité du gaz à Lacq et on a fait du « retour à l’herbe » après exploitation. 2 les débuts de l’exploitation du gaz de schiste avec ses errements.

    Répondre

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