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Un démonstrateur de capture CO2 de taille industrielle

par La rédaction
11 juin 2009
en Energie

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Le 7 mai 2009, le Gouvernement provincial de la Saskatchewan, au Canada, et l’Etat du Montana, aux Etats-Unis, ont signé un protocole d’accord marquant un pas significatif vers la réalisation d’une unité de capture et stockage du carbone (CSC) de taille industrielle.

Depuis près de 20 ans, l’Université de Régina développe une technologie de capture du carbone produit par les centrales électriques thermiques (charbon, pétrole, gaz) après combustion du carburant (système postcombustion). Le carbone est récupéré sous la forme de dioxyde de carbone CO2, pour être stocké profondément dans le sol. Avec le temps le CO2 devrait alors réagir avec les matériaux géologiques pour former des composés stables. A l’heure actuelle, l’Université a réalisé deux démonstrateurs pilotes l’un situé au "International Test Centre for CO2" (ITC) et le second au "Boundary Dam". Forts de leur succès dans le développement de la technologie CSC, les chercheurs de Régina ont décidé de travailler sur un démonstrateur de taille industrielle en association avec le gouvernement de la Saskatchewan.

Le projet Saskatchewan-Montana, prévoit la construction d’une unité de capture de CO2 attachée à une centrale électrique à charbon pouvant capturer de 300 à 1000 tonnes de CO2 par jour ainsi que la construction d’un pipeline permettant d’acheminer le CO2 recueilli jusqu’à sa zone géologique de stockage au nord-est du Montana dans le basin de Williston. Le projet prévoit une capacité de stockage pouvant aller jusqu’à 1 million de tonne de CO2 sur les quatre ans de test.

Si les tests à taille industrielle sont satisfaisants la technologie CSC pourrait retenir l’attention de nombreux pays tel que la Chine qui produit plus de 75% de son électricité par l’intermédiaire de centrales électriques à charbon.


BE Canada numéro 355 (10/06/2009) – Ambassade de France au Canada / ADIT – http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/59443.htm

Tags: CO2demonstrateursequestrationvehicule electrique
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Commentaires 12

  1. Guydegif(91) says:
    il y a 16 ans

    Bravo à ces équipes canadiennes et US pour ces travaux et débouchés ! Belle persévérance, puisque 20 ans déjà, et pour Centrales Charbon mais aussi Pétrole et Gaz !! Excellent ! d’autant que ce n’est pas demain la veille que certains pays (Chine, Inde, Allemagne, Pologne, Russie, US, et d’autres….) pourront se passer du Charbon surtout, voire Pétrole ou Gaz…. ! Maitrise du captage, OK, 1ère étape ! déjà belle prouesse ! Ensuite, 2ème étape, acheminement et stockage géologique, si réservoirs ad hoc à proximité…réservoirs anciennement HydroCarbures,ou réservoirs aquifères, Cavernes dans dômes de sel,…le tout devant être sous une couche rocheuse étanche….pour éviter que le sacré CO2 ne ressorte nous pourrir la vie…et la Planète. Si c’est plus loin et si pipeline pas dispo, faudra envisager des tankers….avec terminaux de chargement, etc… En fait côté pipelines et tankers,…c’est les mêmes réflexions, solutions et mises en oeuvre, à adapter au CO2 et ses spécificités, que le transport des HydroCarbures (un bien c’est qu’il n’explose pas!)….                              Nos Pétroliers nationaux et autres savent faire…faudra les mettre à contribution ! A+ Salutations Guydegif(91)  

    Répondre
  2. marcob12 says:
    il y a 16 ans

    Il y a plus de 1000 GW de centrales à charbon dont une fraction importante va continuer à émettre pendant des décennies si nous ne faisons rien. La validation technique et économique d’un procédé CSC post-combustion semble souhaitable. Que 5 millions de km2 de reboisement en zone intertropicale (sur des zones de paturages médiocres) puissent éponger les émissions de ces centrales est plus une possibilité supplémentaire qu’une réelle alternative. Nous pourrions faire les deux. Le vrai danger est l’utilisation de la CSC pour construire de nouvelles unités au charbon. Il y a une course poursuite avec la diminution des coûts attendus pour les filières renouvelables. A minima on devrait interdire (europe et USA) toute nouvelle centrale à charbon jusqu’à la preuve à échelle 1 que la CSC est possible. Alors, les renouvelables seraient compétitifs économiquement et la  nécessité de nouvelles constructions tomberait d’elle-même. Mais la CSC en post-combustion doit être validée (si c’est possible, ce qui semble le cas). On s’en approche un peu plus vite que prévu.

    Répondre
  3. Ernest says:
    il y a 16 ans

    Guydegif pourrais tu juste la fermer. Parallelement je pense que tes remerciements ne leur font ni chaud ni froid

    Répondre
  4. marcarmand says:
    il y a 16 ans

    Stocker 1 million de tonnes de CO2 c’est bien, mais j’ai l’impression que les capacités de stockage souterrain sont limitées par rapport aux besoins (plutôt 1 milliard de tonnes annuelles). N’y a-t-il pas des possibiltés dans les océans? Car c’est bien les océans qui ont stocké le CO2 atmosphérique sous forme de calcaire et de coquillages sur d’énormes épaisseurs pendant des milliards d’années.

    Répondre
  5. marcob12 says:
    il y a 16 ans

    L’option des océans n’est pas la première envisagée (on connaît mal les courants marins mais on connaît le danger d’acidification des eaux via le CO2 et les effets sur les milieux marins). Les spécialistes disent qu’on pourrait stocker de l’ordre de 900 Gt dans les réservoirs d’hydrocarbures et entre 400 et 10000 Gt dans les aquifères salins profonds. L’avantage des derniers semble être d’une part l’une généreuse dispersion, leur capacité et surtout le fait que l’introduction de CO2 fabrique de l’eau gazeuse en somme. Le couvercle de roche (souvent plus de 1000m) fait office de bouchon efficace en principe pour longtemps. A échelle mondiale on viserait 10 Gt/an en moyenne sur une période de l’ordre de 50 ans à un siècle. On peut espérer que ce soit moins en réduisant nos émissions, en reboisant , etc, mais ce sont les ordres de grandeur.

    Répondre
  6. Tartempion says:
    il y a 16 ans

    Est-ce bien utile d’investir dans cette voie, alors qu’avec un effort, certes violent et surhumain, on peut inverser la tendance sur 10 ans ? Chaque €uro ou Dollar investi là-dedans sont des investissements enlevés aux Batteries, aux 2ème et 3ème générations ou à H², et là on prend un retard énorme….. sans compter qu’avec le stockage on joue peut-être aux apprentis sorciers……………. A suivre, avec un léger doute………..

    Répondre
  7. marcob12 says:
    il y a 16 ans

    Il ne s’agit pas seulement d’inverser la tendance sur 10 ans. Il faut diviser nos émissions d’un facteur 2 et là si vous sortez la calculette et tenez compte du monde réel, vous avez un soucis si vous renoncez à la CSC. Des alternatives existent. Elles nécessiteraient un accord planétaire pour par ex reboiser en zone intertropicale 5 millions de km2. Selon un spécialiste on pomperait de l’ordre de 18 Gt de CO2 par an pendant la phase de reconstruction de la forêt (un siècle). Cela résoudrait l’essentiel de nos problèmes et ce n’est même pas un effort surhumain. Qui ça intéresse ? Où sont les brevets exclusifs à déposer ? Où sont les profits gigantesques à redistribuer aux actionnaires ? CQFD : cela ne se fera pas. Le problème du CO2 n’est pas soluble dans la high tech à court terme. Mais il l’est dans la psychothérapie de groupe à échelle planétaire. Il nous faut penser autrement…

    Répondre
  8. Tartempion says:
    il y a 16 ans

    Pour une fois, et ce n’est pas coutume, je suis entièrement d’accord avec MARCOB, pour réduire le CO² via une reforestation planétaire, tout à fait faisable à court et moyen terme………… mais la volonté est-elle là ?

    Répondre
  9. De passage says:
    il y a 16 ans

    vous ne semblez pas encore avoir en tête les ordres de grandeurs de coûts des diverses solutions que vous suggérez. Avec 1 M$ on capte / séquestre de bien plus grandes quantités de carbone (x 100 fois) qu’avec les solutions dites alternatives et surtout on le réalisera bien plus vite. Comme les ressources financières (que nous paierons de toutes façons) ne sont pas infinies, mieux vaut commencer par le plus efficace à coût donné plutôt que l’inverse.

    Répondre
  10. Tartempion says:
    il y a 16 ans

    Monsieur DE PASSAGE semble oublier que la récupération de CO² par culture forestière ne coûte aucun argent supplémentaire, puisqu’elle est déjà incluse dans le prix de revient du bois et de la biomasse résiduelle ……….. 1 arbre semé vaut à peu près 2 euros et 40 ans après, il en vaut 50, et même avec les entretiens intermédiaires, ça vaut le coup de capter du cO²……….. Tandis que vos millions de $, non seulement ils sont évanouis………. mais encore un incident – certes peu probable – pourrait faire rejaillir ce CO² et de façon encore plus dangereuse, voire meurtrière ! Les arbres c’est plus sûr…………….

    Répondre
  11. marcob12 says:
    il y a 16 ans

    Encore une fois, nos problèmes ne sont pas purement technique ou économiques. On doit être plus futé que ça pour faire régresser la barbarie contemporaine et apprendre à vivre durablement sans tout massacrer autour de nous. L’avantage de la reforestation, c’est qu’on y gagne aussi sur l’albedo et la régulation du climat (à court terme), on refait de la biodiversité à grande échelle (car on reforesterait en marge des forêts primaires résiduelles) et on pourrait même tirer des revenus substantiels d’une agroforesterie en marge de cette zone redonnée à la nature. Ces 5 millions de km2 sont actuellement des zones médiocres de pâturages et leur productivité est médiocre, rien à voir avec celle d’une forêt reconstruite dans les règles de l’art avec des apports initiaux destinés à majorer sa croissance et sa productivité. On sait que même les locaux tireraient plus de bénéfice de cette opération que d’un élevage extensif sur des terres pas capables de supporter cette activité. Le sujet n’est quasiment jamais évoqué, alors qu’on sait très bien qu’une forêt ancienne absorbe autant de CO2 qu’elle en émet et qu’une forêt en croissance (optimale en zone intertropicale) est une gigantesque pompe à CO2. Le fait que ce soit la solution de très loin la moins coûteuse est donc un argument appendice… En recoupant mes lectures j’arrive aussi à la conclusion que nous pourrions théoriquement  retrouver les niveaux de CO2 pré-industriels (280 ppm) en un demi-siècle en combinant plusieurs approches… Et pendant ce temps à Copenhague…

    Répondre
  12. Tartempion says:
    il y a 16 ans

    Bien que l’on soit d’accord sur la reforestation à faire, il semblerait subsister quelques sérieux désaccords……………………. Vous écrivez « … nos problèmes ne sont pas purement techniques ou économiques… »…………….  mais que peuvent-ils être d’autres ? En écologie, il y a un grand principe : écologie = économie…………… Même les immatériels consécutifs doivent être chiffrés pour que l’économie devienne réelle………………………. et tous les éléments à preuve que vous soulignez ont un prix et sont calculables……………..

    Répondre

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