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Incident nucléaire de niveau 2 sur le réacteur de Cruas

par La rédaction
2 décembre 2009
en Non Renouvelable, Nucléaire

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Dans la nuit du 1er au 2 décembre 2009, EDF a déclenché le plan d’urgence interne (PUI) sur le réacteur n°4 de la centrale nucléaire de Cruas (Ardèche) en raison de l’obturation de la prise d’eau alimentant le système de refroidissement de ce réacteur avec l’arrivée massive de débris végétaux charriés par le Rhône.

Selon EDF, cette situation est la conséquence de la perte du refroidissement de certains systèmes du réacteur qui est assuré par l’eau du Rhône.

Cet événement trouve son origine dans l’afflux massif de débris végétaux charriés par le Rhône. Le réacteur n°4, situé en amont du site, est le plus exposé à de telles situations.

L’incident est classé au niveau 2 de l’échelle INES, qui en compte 7.

EDF annonce avoir levé, avec l’accord de l’ASN, son plan d’urgence interne (PUI) le 2 décembre à 6h30.

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Commentaires 12

  1. zelectron says:
    il y a 15 ans

    comment peut-on laisser le système de refroidissement d’une centrale nucléaire (qui coûte plusieurs milliard sans compter les dangers d’emballement) s’obstruer avec des feuilles et des branchages? (il y a quelques semaines pour une autre centrale c’était des algues ! ) Au lieu de jouer au matamore les dirigeants passés et présents feraient mieux de s’occuper de  leur boulot!

    Répondre
  2. T says:
    il y a 15 ans

    Zelectron, quand on ne connaît rien aux contraintes d’une centrale nucléaire, on se tait. Il est tellement facile de critiquer depuis son siège bien au chaud chez soi, mais ça les français adorent….c’est bien connu qu’il est très facile de contrôler tout ce qui se passe dans un fleuve… Par ailleurs l’incident a été règlé sans problème ni dommage, et communiqué en toute transparence, peut-on en dire autant de toutes les industries/services ?

    Répondre
  3. Tr says:
    il y a 15 ans

    D’accord il est facile de critiquer, cependant un systeme de refroidissement qui s’arrete de fonctionner n’est pas une mince affaire, dès lors les risques sont conséquents. Quand on juge de l’ampleur et la prouesse technologique qu’est une centrale nucléaire de Cruas et au vue de la forte tendance au fleuve en question ( ici le Rhone) à charrier divers déchets, on s’interroge sur l’absence ou l’innefficasité d’amménagements face à ce risque, je pense notamment a des moyens de blocage ou de filtrations des emcombrants. Un système de « dégrilleur », comme sont équipées les centrales hydrauliques, est-il en place, et si ce n’est pas le cas pourquoi ? Aux vue des risques extrêmes que pourrait occasionner un non refroidissement du système, je suis étonné de voir le peu de moyens mis a disposition ou en activité pour parer ce genre d’évènement.

    Répondre
  4. Koegan says:
    il y a 15 ans

    C’est sur que l’industrie nucléaire est de loin la plus transparente ! lol et re lol

    Répondre
  5. dede29 says:
    il y a 15 ans

    Il faut attendre d’en savoir plus pour comprendre pourquoi cet incident a été classé en niveau 2 . En effet les pertes ( partielles ) de la source froide ne méritent  généralement qu’un niveau 1 . Sur le fond, on dispose de procédures qui permettent d’assurer le refroidissement du coeur . Les centrales ,nucléaires ou classiques disposent de dispositifs ( dégrilleurs ,filtres , lavages , actions sur l’écoulement …) très supérieurs à ceux de l’hydraulique ,mais tout cela ne résiste pas toujours à la puissance de la nature . Le tout est de savoir récuper rapidement la situation .

    Répondre
  6. christian says:
    il y a 15 ans

    Pouvez-vous nous indiquer comment fonctionne un « dégrilleur » ?

    Répondre
  7. Pat says:
    il y a 15 ans

    le nucléaire n’est pas sûr et n’est pas propre (rappel de Tchernobyl) ! boycottons edf pour enercoop et élisons des gens soucieux de l’environnement, de la vie des gens !

    Répondre
  8. Sentinelle says:
    il y a 15 ans

    Pour comprendre la situation dans cette industrie … conditions de travail / santé des salariés … lien vers : BONNE LECTURE

    Répondre
  9. dede29 says:
    il y a 15 ans

     En fait le coeur du reacteur va etre refroidi par un circuit (ASG) qui n’utilise pas la source froide ( SEC -RRI)  grace aux 3 générateurs de vapeur ;d’ailleurs un seul générateur est nécéssaire pour assurer le refroidissement . La situation est stable tant que l’on alimente le générateur . Ensuite on passe sur le RRA qui lui a besoin de la source froide. Les délais sont importants ( plusieurs dizaines d’heures ) ce qui donne le temps de récupérer la source froide . Généralement la perte de cette dernière n’est que partielle car l’aspiration du SEC se fait à faible vitesse ,d’ou un faible encrassement ,contrairement au circuit de refroidissement du condenseur. La perte du SEC est considérée comme un incident nucléaire car l’on perd certaines fonctions de sureté ,utiles en cas d’accident sur le primaire . Dans le cas présent ,on est très certainement resté dans le fonctionnement normal,d’ou mon interrogation sur le niveau 2 .  Désolé d’avoir été un peu technique ,mais c’est complexe .    

    Répondre
  10. christian says:
    il y a 15 ans

    Cher Dédé29, N’ayant pas sous la main la liste des trigrammes en usage sur le palier 900MW (comme  la plupart des lecteurs du forum), puis-je me permettre de vous signaler que votre explication n’est pas pédagogique ? Pour vous aider à clarifier, puis-je vous suggèrer d’expliquiez d’abord le fonctionnement normal ? Puis clairement distinguer les différentes configurations d’arrêt en cas de perte des divers circuits ?

    Répondre
  11. Salck says:
    il y a 15 ans

    pour dédé. Heu comment, on est totalement reste dans les hypothèse de conception de la centrale. Mais il y à et perte total et SEC (voie À et B ). Ce type d’incident est prévu et des procédures le gère (dans l’APE, peut etre dans la procedure ECP1… a verifier). On est en tôt cas sorti du domaine dit « d’exploitation normal « . Pour les autre : ASG: c’est un systeme qui pompe l’eau dans une grosse bache est qui l’envoie dans les générateurs de vapeur. Ce circuit aussi est utilisé en phase de demarage et d’arrêt de la centrale (quand le circuit normal n’est plus nécessaire ou efficace ). ASG n’à pas besoin de source froide et est dimensioné pour des accidents plus pénalisents qu’une perte source froide. Pour les autres circuits qui doivent rester en service pour ne pas dégrader la sûreté, il y à un circuit (RRI) qui permet de les refroidir. En fonctionnement normal, RRI est refroidi par SEC qui pompe l’eau filtrée qui viend du rhône. Quand SEC est perdu, un autre circuit est utilisé pour refroidir RRI. Si je ne me trompe pas on va utiliser une autre bache et un autre circuit (PTR) qui fait plusieur milliers de mettre cube pour refroidir RRI. Enfin l’imagine que ça s’est passe comme ça et SEC a été retrouve assè vite.

    Répondre
  12. dede29 says:
    il y a 15 ans

    Justement je m’interroge sur la façon dont on a pu constater l’indisponibilité totale de SEC car habituellement il faut réaliser un bilan thermique des échangeurs pour savoir ou on en est ,le delta P n’étant pas suffisant. Il passe toujours suffisamment d’eau via le circuit  CRF pour alimenter le SEC à faible vitesse .

    Répondre

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