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Climat : réduction des incertitudes liées à l’impact des activités humaines

par La rédaction
2 mars 2015
en Durable, Environnement

Une étude internationale, associant des climatologues français, montre que la contribution du CO2 à la perturbation du climat par les activités humaines va en augmentant, conduisant, en 2030, à réduire de 50 % l’incertitude sur la sensibilité du climat à ces perturbations.

Elle est publiée en ligne par Nature Geoscience, le 23 février 2015.

Les modèles actuels d’évolution du climat indiquent un réchauffement dû à l’effet de serre provoqué par des quantités croissantes de CO2 dans l’atmosphère compensé partiellement par un refroidissement lié à la présence de particules ; CO2 et particules étant émises par les activités humaines.

L’ampleur de cet effet de refroidissement n’est pas caractérisée de façon suffisamment précise. Cela conduit à des incertitudes sur le calcul du forçage radiatif1 et sur l’effet des activités humaines sur le climat. De ce fait, il est difficile d’obtenir une valeur empirique de sensibilité du climat2 à partir des observations du climat dont on dispose.

Une étude associant des chercheurs norvégiens, britanniques et français (LMD – CNRS-UPMC-ENS-École polytechnique et LSCE – CEA-CNRSUVSQ)3, publiée ce 23 février en ligne par Nature Geoscience, montre que dans les 20 prochaines années la contribution du CO2 au réchauffement va dominer le forçage radiatif.

« On s’attend à une diminution des concentrations atmosphériques des aérosols au cours des prochaines décennies, indique Olivier Boucher, chercheur CNRS au Laboratoire de météorologie dynamique (LMD). Leur contribution à l’évolution globale du climat va donc se réduire. Cela va faire diminuer mécaniquement l’incertitude sur la perturbation climatique due aux activités humaines. »

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« Par ailleurs, le CO2 va continuer à augmenter ; notre compréhension de l’effet du CO2 sur le climat est meilleure que celle que nous avons de l’effet des aérosols et d’autres agents comme l’ozone ou l’albédo de surface, explique François-Marie Bréon, chercheur CEA au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE). C’est l’autre facteur qui nous permet d’entrevoir une meilleure quantification de l’impact global de l’activité humaine sur le climat dans les décennies à venir ».

Cela conduira à une plus grande précision dans les calculs de sensibilité du climat, réduisant l’incertitude dans la réponse climatique transitoire4 de 50 % d’ici 2030, et ce sans prendre en compte l’amélioration de la compréhension scientifique du fonctionnement du climat.

Référence de l’article : « Declining uncertainty in transient climate response as CO2 forcing dominates future climate change » Gunnar Myhre, Olivier Boucher, François-Marie Bréon, Piers Forster and Drew Shindell, Nature Geoscience, DOI 10.1038/ngeo2371

1 Un forçage radiatif quantifie la variation du bilan énergétique de la Terre induit pour un facteur de changement climatique tels que les gaz à effet de serre ou les aérosols.
2 La sensibilité du climat quantifie la variation de température à la surface de la planète pour un forçage radiatif donné. Il permet dans les modèles de quantifier les données prévisionnelles d’évolution du climat.
3 Appartenant tous deux à l’Institut Pierre Simon Laplace (IPSL).

Tags: activites humainesalacalinclimat
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Commentaires 13

  1. Papijo says:
    il y a 10 ans

    « Une étude internationale, associant des climatologues français, montre que la contribution du CO2 à la perturbation du climat par les activités humaines va en augmentant » Pourquoi ne pas avoir ajouté que si les études montrent que cette contribution va en augmentant, les mesures elles montrent que cette contribution est voisine de zéro: Graphique tiré du dernier rapport AR5 du GIEC – Chapter 9 – Evaluation of Climate Models () – En gris les résultats des divers modèles de calcul, en rouge la valeur voisine de 0°C par décennie mesurée.

    Répondre
  2. Magnum says:
    il y a 10 ans

    ça va, votre déni? Bien enfoncé dans votre tête visiblement C’est clairement marqué au-dessus de votre graphe: période de 1998-2012. Bizarrement, vous n’avez pas montré toutes les périodes, juste celle où le graphe rouge était proche de ce que vous vouliez voir. Si vous aviez pris la période 1984-1998, vous auriez montré exactement l’inverse: observations (courbe rouge) supérieures aux prévisions (courbe grise). Le plus pertinent aurait été de montrer sur la période 1951-2012, et le plus honnête, intellectuellement parlant, de montrer tous les graphiques. Mais gloups, vous n’auriez plus pu taper sur le GIEC, et les subventions données aux énergies renouvelables. Y auriez-vous survécu?

    Répondre
  3. gaga42 says:
    il y a 10 ans

    Vision très sélective de l’AR5!! – Cette série « diabolique » 1998-2012 ne concerne que la température de surface, d’autres mesures (chapitre 3 de mémoire) montrent que le réchauffement de l’eau en profondeur poursuit imperturbablement son chemin – les incertitudes évoquées plus haut (et remarquablement traitées par IPCC) ne concernent que le forçage climatique, pas la température de surface, très « ératiques » à courte échéance, à cause des échanges atmo-océan, – Justement, sur la même page de ce chapitre 9, des mesures du forçage climatique sur la même période sont quelque peu plus « conformes » aux modèles. – La série 1998-2014 des températures de surface devrait hélas vous perturber, et encore sans « coup de pouce » d’el niño…

    Répondre
  4. Pastilleverte says:
    il y a 10 ans

    oui, c’est confirmé, on sait mesurer des augmentations de température dans le « fond » (?) des océans au centième, voire au millième de degré près ! On nous prend vraiment pour des c*** !

    Répondre
  5. pierreerne says:
    il y a 10 ans

    Il y a un fait physique qui devrait faire réfléchir quelque peu les engoissés du réchauffement qui déclarent que le réchauffement se poursuit même si les températures de surface montrent une pause car les océans continuent à se réchauffer eux. Ce fait physique, c’est que le seul réchauffement qui pourrait devenir un problème s’il était trop élevé trop rapidement, c’est celui de la surface terrestre. Celui des océans ne provoque que des différences de températures tout à fait symboliques à cause de l’énorme capacité thermique de ce milieu comparée à celle de l’atmosphère. La chaleur accumulée dans les océans ne pourra jamais réchauffer la surface autrement que quelques centièmes de degrés et surtout sur un intervalle de temps énorme, toujours à cause de cette sacrée capacité thermique. Ça, c’est à cause du fait que la chaleur ne se déplace que du corps chaud vers le corps froid. On peut donc considérer qu’à l’échelle humaine, la chaleur récupérée par les océans est en pratique définitivement perdue pour la surface. Notez le bien : le réchauffement qui se traduit par un apport de chaleur dans les océans est un phénomène sans conséquence à l’échelle humaine.

    Répondre
  6. Nicias says:
    il y a 10 ans

    @Magnum Si vous aviez pris la période 1984-1998, vous auriez montré exactement l’inverse: observations (courbe rouge) supérieures aux prévisions (courbe grise). Non sur la période 1984-1998, les modèles sont certes un peu en dessous mais proche des observations. Alors que sur 1998-2012 on est proche de l’invalidation : quelques modèles restant dans la barre d’erreur des observations. Notez que 1998 n’est pas du cherry picking anodin. Si le GIEC avait pris une date un peu postérieure, genre 2002, la période 1994-2002 n’aurait pas montré des modèles qui sont sous les observations alors que 2002-2012 aurait quand même été un hyatus gênant. Globalement, sur 1984-2012, les modèles surchauffent. D’ou l’espoir et les sueurs des modélisateurs dans cet article que les aérosols vont se dissiper et montrer le vrai réchauffement. A moins qu’on ne puisse rien conclure à nouveau sur la sensibilité du climat aux aérosols (et du reste) à cause de la variabilité naturelle…

    Répondre
  7. Papijo says:
    il y a 10 ans

     » Bizarrement, vous n’avez pas montré toutes les périodes… » Effectivement, dire que les modèles reproduisent bien les périodes avant 1998, cela revient à dire « les modèles représentent bien le passé » ce qui me semble la moindre des choses, puisqu’ils ont été faits pour çà ! Mais ce qu’on leur reproche c’est d’être totalement inaptes à faire la moindre prédiction pour le futur Depuis les premières versions des modèles datant des années 90, comme il ne faut pas détruire le mythe, les valeurs du réchauffement calculées par les premiers modèles ont été conservées même si les valeurs mesurées contredisent les calculs, avec tout un tas de justification inventées au fur et à mesure: – « variabilité naturelle » (la période de réchauffement avant 1998 n’était bien sûr pas soumise aux variations naturelles ?), – chaleur cachée au fond des mers (le réchauffement précédent n’a rien à voir avec une chaleur éventuellement sortie des océans ?), – refroidissement dû aux émissions de particules par les chinois ou par des volcans « invisibles » … Et en plus, cela serait validé par l’année 2014, soit disant la plus chaude depuis 1900, en oubliant de préciser que de 1998 à 2014, l’augmentation a été de 0,07°C, ce qui, avec une petite règle de 3, nous amène à + 0,37°C en 2100 (au lieu des 5 ou 6°C dont on nous menace !): Tout celà me rappelle la magnifique arnaque du « bug de l’an 2000 » prédit par tous les « spécialistes » et pas une seule fois remis en cause jusqu’à ce que le 1er janvier 2000 tout le monde réalise que tout avait été inventé sans aucune base concrète ! Il avait suffit alors d’une seule journée pour que le mythe capote, malheureusement avec des prévisions pour 2100 j’ai bien peur qu’on doive souffrir encore longtemps (d’ailleurs, par précaution, le GIEC ne fait plus de prévision à 10 ou 20 ans: Continuons à arnaquer en paix !)

    Répondre
  8. Magnum31 says:
    il y a 10 ans

    @Nicias, pierreerne et papijo: j’aimerais avoir votre capacité à m’enfouir la tête sous le sable, je dormirais la nuit @pierreerne: « le réchauffement qui se traduit par un apport de chaleur dans les océans est un phénomène sans conséquence à l’échelle humaine. »: c’est vrai, la pertubation de tout l’écosystème marin à cause du réchauffement de océans, c’est sans conséquence sur l’homme. C’est pas comme si on en mangeait du poisson, hein? « Ça, c’est à cause du fait que la chaleur ne se déplace que du corps chaud vers le corps froid. » Certes, mais un truc marrant, c’est que les fluides comme l’air et l’eau bougent vous savez, et ça peut faire de spectaculaire changement de températures. Et sinon, vous avez oublié qu’en hiver, l’eau des océans devient plus chaude que la terre des zones tempérées, et que donc il y a un apport de chaleur de l’eau vers l’air. Mais bon, c’est vrai, s’il fallait compter avec l’hiver, aussi… @Nicias: Le fait que le modèle colle pile-poil pour les flux thermiques ne vous interpelle pas? Vraiment pas? Quant à votre « limite proche de l’invalidation », vous avez déjà fait de la CFD? On n’invalide pas un modèle pour si peu. @papijo: j’hésite à vous répondre tant votre post montre une ignorance crasse en science. Depuis quand la variabilité naturelle est une excuse? Depuis quand est-ce que le réchauffement de l’eau est une invention? Sérieusement, vous ne connaissez pas l’inertie thermique? Vous êtes dans le déni, je ne vois rien d’autres.

    Répondre
  9. tony says:
    il y a 10 ans

    Il faut expliquer aux gens que les modèles « physiques » ne sont pas seulement basés sur des lois physiques – ce n’est pas juste de la physique appliquée – mais sont basés sur des observations passées. Ce que beaucoup de personnes ignorent. De plus il y a beaucoup de paramètres déterminés expérimentalement. La comparaison avec la loi de la gravité qu’on nous ressert souvent est assez drôle, puisqu’elle n’y a pas 36 paramètres déterminés expérimentalement! D’ailleurs si c’était juste de la physique appliquée, pourquoi parler de la climato comme d’une discipline spéciale qui exclut les physiciens?

    Répondre
  10. Papijo says:
    il y a 10 ans

    Le fait que le modèle colle pile-poil pour les flux thermiques ne vous interpelle pas? Si les températures diffèrent des prévisions (le fameux hiatus), alors que « le modèle colle pile-poil », à votre avis, qui c’est qui a tout faux: le nature ou les modèles ?

    Répondre
  11. Luis says:
    il y a 10 ans

    ¤ C’était il y a 14.700 ans, les hommes brûlaient du bois pour se réchauffer et faire cuire leurs aliments. Y compris l’homme de Pékin (H erectus pekinensis) Un réchauffement climatique conséquent eut lieu il y a environ 14.700 ans et mit fin à l’ère glaciaire. En l’espace de 50 ans seulement la température moyenne annuelle grimpa de 7 degrés Celsius. Les hommes de Cro-Magnon et autres sapiens ont très bien su s’adapter et proliférer.

    Répondre
  12. Fernand says:
    il y a 10 ans

    à Luis « Les hommes de Cro-Magnon ont très bien su s’adapter… » Hé oui, mais ils n’étaient pas 7 milliards…

    Répondre
  13. Luis says:
    il y a 10 ans

    ¤ Les alarmistes du climat profitent de l’ignorance des gens pour vendre leurs salades cramoisies. Car la connaissance de l’histoire du climat, non seulement depuis 1.000 ans (Ladurie et autres) mais depuis 15.000 ans permet de beaucoup relativiser ce qu’on lit ou entend dans les médias, surtout français (vaut bien vendre du nucléaire « qui n’émet pas de CO2 »). Pendant une période de 9.000 ans, entre -15.000 et -6.000 ans BP (Before Present : avant la date actuelle), le niveau des mers a augmenté de 90 mètres, soit 10 mm/an. En particulier, autour de -14.200 BP, le niveau des mers à monté de 20 mètres en 500 ans, soit 40 mm/an. Depuis 1810, le marégraphe de Brest indique une montée moyenne de la mer de 1,05 mm/an de façon à peu près constante depuis deux siècles, avec des variations cycliques de plusieurs décennies. Pour de Marseille c’est 1,25 mm/an depuis 1885. Et ici : vous aurez les données pour d’autres marégraphes à travers le monde, mais moins anciens que celui de Brest (PSMSL Data).

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