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Des chercheurs changent l’eau de mer en carburant de synthèse

par La rédaction
9 avril 2014
en Non Renouvelable, Pétrole

Des chercheurs américains ont développé avec succès un procédé permettant de récupérer de l’eau de mer du dioxyde de carbone (CO2) et de l’hydrogène qui seront ensuite convertis en un carburant liquide utilisable directement.

Les scientifiques de la Naval Research Laboratory (NRL) ont démontré jusqu’au bout la viabilité de ce concept en parvenant à faire voler un modèle d’avion réduit avec du kérosène de synthèse produit justement à partir de l’eau de mer.

Pour réaliser cet exploit, ils ont utilisé un module électrolytique d’échange de cation "innovant et propriétaire" (E-CEM), capable à la fois de dissoudre et de lier le CO2 de l’eau de mer avec une efficacité de 92%. Un ré-équilibrage du carbonate et du bicarbonate en CO2 est effectué en même temps que la production du dihydrogène (H2). A l’aide d’un catalyseur métallique, les gaz sont ensuite transformés en hydrocarbure liquide à travers un réacteur dédié.

"En étroite collaboration avec le bureau de recherche navale du Département de la Marine des États-Unis, le LNR a développé un procédé capable d’extraire simultanément du CO2 et de l’hydrogène de l’eau de mer" a déclaré le Dr Heather Willauer, chimiste au LNR. "C’est la première fois qu’une technologie de cette nature est démontrée avec le potentiel d’une mise en œuvre commerciale à grande échelle."

Le CO2 demeure une ressource abondante de carbone sur notre planète. Toutefois, sa concentration dans l’océan (100 milligrammes par litre) est d’environ 140 fois plus importante que celle de l’air. Une petite proportion (2 à 3%) du CO2 de l’eau de mer se retrouve sous forme gazeuse en acide carbonique, de carbonate (1%), et de bicarbonate (96 à 97%).

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Le NRL a réalisé des progrès significatifs dans le développement du GTL (Gas to liquids), un processus synthétique en mesure de convertir le CO2 et l’hydrogène de l’eau de mer en carburant comprenant des molécules C9-C16.

Dans la première étape, un catalyseur à base de fer a été fabriqué. Il a permis non seulement d’atteindre des niveaux de conversion de CO2 allant jusqu’à 60%, mais aussi de réduire la production de méthane en faveur d’une chaîne d’hydrocarbures insaturés (oléfines) plus longue. Ces hydrocarbures ainsi valorisées servent de blocs de construction pour la production de produits chimiques industriels et de carburants.

Dans la deuxième étape, ces oléfines peuvent être converties en composés moléculaires plus élevés en utilisant une polymérisation contrôlée. Le liquide résultant contient des molécules d’hydrocarbure situées dans une gamme de carbone (C9 – C16) adaptée au remplacement du kérosène classique.

Le coût de ce kérosène de synthèse utilisable dans les moteurs de navires ou d’avions serait compris entre 3 et 6 dollar le gallon (3,8 litres). Et affirme le NRL, avec un financement et des partenariats stratégiques, cette approche pourrait être commercialement viable dans les 10 prochaines années.

Tags: allianceCO2eau merhydrogène
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Commentaires 36

  1. gaga42 says:
    il y a 11 ans

    Chouette, un nanar de plus pour ma collection de machines perpétuelles, moteurs à eau et autre escro-bizarreries énergétiques! M’enfin enerzine, comment publier dans un endroit lu par des scientifiques que l’on peut tirer de l’énergie du CO2? Le CO2 représente le niveau zéro de l’énergie chimique, vous pouvez mettre tous les catalyseurs que vous voulez vous n’en tirerez rien de positif en terme de bilan énergétique, dixit le premier principe de la thermodynamique… Quand à l’hydrogène dissout dans l’eau de mer, il est extrèmement rare de façon naturelle (d’ailleurs les militaires tentent de le mesurer afin de détecter les sous-marins nucléaires…)

    Répondre
  2. b api says:
    il y a 11 ans

    6CO2+6H20 + énergie lumineuse -> C6H1206 (un sucre) + 602 La nature arrive bien à faire quelque chose du CO2 avec de la lumière du soleil. Alors pourquoi pas du kéroséne ? La question est: à partir de quelle énergie ??

    Répondre
  3. Lionel-fr says:
    il y a 11 ans

    « ..un module électrolytique d’échange de cations.. » Si vous avez une formation scientifique , les questions que vous posez sont résolues. La machine convertit la chimie de l’eau de mer (abondante) et l’électricité (l’article ne précise pas le rendement) en kérosène. Cette news est parue un peu partout dans la presse et compte tenu des financements de la navy, elle est parfaitement crédible. L’eau de mer est le premier réservoir de CO2 et d’hydrogène sur terre. Cela s’explique par sa stabilité, l’eau constitue les « cendres » de l’hydrogène capturé lors de la formation de l’univers, l’oxygène et le carbone résultent de la mort des étoiles de toutes tailles. Les poly carbonates, comme l’hydrogène sont la résultante stable de la capture de l’oxygène par le carbone. Le carbonate de calcium est le premier stock de carbone sur terre (sédimenté dans le manteau) Tout le challenge de cette équipe a consisté à obtenir une molécule insaturée en se débarrassant de l’oxygène pour éviter la formation d’alcools Apparemment ils ont réussi. C’est peut-être le plus grand scoop de l’histoire de l’énergie : les catalyseurs au fer coutent des cacahuètes, l’eau de mer est infiniment disponible et l’électricité la moins exigeante des sources d’énergie (après la chaleur) Le règne des énergies fossiles prend peut être fin ici

    Répondre
  4. Lionel-fr says:
    il y a 11 ans

    Plusieurs réflexions sur ce procédé. 1. le bilan CO2 risque d’être négatif , càd qu’on va déstocker du carbone stable pour le transformer en CO2 lors de la combustion du carburant. 2. Une fois de plus , l’US ARMY démontre qu’elle ne s’intéresse pas aux hydrocarbures légers (gaz’s, alcools..) mais uniquement aux formes les plus concentrées comme le fuel ou le kérosène. L’hydrogène liquide garde sa supériorité en termes de masse mais ses utilisations sont marginales (drones) en comparaison des villes flottantes que sont les bâtiments militaires 3. Je rappelle que l’US ARMY est de très loin le premier consimmateur de carburants au monde. Sa recherche est donc orientée vers ses besoins. 4. Dans le civil à terre, d’autres technologies de stockage sont plus appropriées (supercapas, hydrogène). Elles offrent elles aussi un profil de stockage qui évite le piège de la dépendance à quelques pays exportateurs mais n’auront jamais le rendement et la souplesse du kérosène 5. L’Islande risque de devenir notre principal fournisseur de carburants dans les 20 ans à venir…

    Répondre
  5. pierreerne says:
    il y a 11 ans

    La Navy a juste oublié un détail dans son schéma : la centrale nucléaire qui produit l’énergie (importante) nécessaire pour faire marcher le système. Après, c’est le système classique, tous les processus sont déjà connus : l’électrolyse de l’eau de mer, l’hydrogène, la transformation de CO2 + H2 en hydrocarbures qui s’appelle la réaction de Sabatier. En langage juridique, ça s’appelle « application nouvelle de procédés connus ». Ce n’est même pas brevetable. Mais, avec la com et l’enfumage habituel (il y a même le modèle réduit d’avion) ça passe pour une innovation majeure, et ça émerveille les gogos qui se font avoir à tous les coups. Ç’est essentiellement destiné à convaincre les présidents comme Obama, mais ça peut accessoirement convaincre aussi les gogos qui lisent Enerzine…

    Répondre
  6. Pastilleverte says:
    il y a 11 ans

    comme dit précdemment, il « suffit » de fournir une « certaine » quantité d’énergie, et le réservoir naturel qu’est la mer pourra fournir à peu près n’importre quoi, y compris de l’Uranium… Ce que j’avis lu par ailleurs, c’est que le LNR de la Navy se concentrait sur l’objectif de fournir ces carburants liquides à partir d’eau de mer avec des unités de production mobiles, ce qui semblerait écarter la « centrale nucléaire nécessaire » de pierreerne, ou alors ils ont aussi mis en oeuvre des « mini centrales nucléaires », ce qui n’est pas non plus franchement nouveau… dans le principe. Et comme on commence déjà à savoir extraire de l’U de l’eau de mer à des prix « presque » compétitifs avec celui des mines terrestres (« seulement » 100 fois plus cher, pour le moment)… l’avenir de ce procédé est prometteur, au moins pour l’US Navy ! PS : et ça n’a rien à voir avec le mouvement perpétuel ou les moteurs à eau !

    Répondre
  7. Stephsea says:
    il y a 11 ans

    Keskissonforcézaméricains ! Et bientôt les montagnes en gateaux d’aniversaire, les kalach en barre énergétique, etc. Charlie et sa chocolaterie ont une descendance à la navy! C’est beau.

    Répondre
  8. Lionel-fr says:
    il y a 11 ans

    Pierreern, Rarement vu un tel concentré de hors sujet dans votre post. Le module electrolytique est explicitement breveté comme le sont plusieurs éléments de ces travaux. Beaucoup de brevets ici. Et non ! vous ne savez pas transformer l’eau de mer en kérosene même avec une centrale nucléaire pour vous tout seul ! Et non ! l’electricité n’est pas forcément nucléaire , dans le cas de la navy, je la soupçonnne même de provenir d’une bonne vieille génératrice au fuel ! Personne n’a dit que ce projet était déjà déployé, donc la R&D fait avec ce qu’elle a. En fait votre allusion au nuke est franchement déplacée Si cette news fait le tour du monde , c’est parce que personne ne savait le faire avant ! Aucun des processes décrits ici ne fait partie du commun de l’industrie, tout, y compris le concept général est nouveau et peut donc faire l’objet de brevets. Dommage que vous n’ayez pas déposé ces idées avant la navy, vous passeriez peut-être moins de temps sur enerzine et plus de temps sur votre porte-hélicoptère personnel quelque part entre Hawaï et la nouvelle calédonie. Le patent-troll , ça peut rapporter gros, mais attention , il faut quand même déposer les brevets AVANT la grosse boite pétée de thune , sinon , ben .. il vous reste toujours internet 🙂

    Répondre
  9. Radulph says:
    il y a 11 ans

    Bonjour, Il me semble, mais je ne suis pas suffisamment féru sur ce sujet, que le problème majeur, est : , non…? Et au niveau planétaire , dans la perspective d’une production massive, qu’ewst ce que celà induirait ? @+

    Répondre
  10. Radulph says:
    il y a 11 ans

    Bonjour, Il me semble, mais je ne suis pas suffisamment féru sur ce sujet, que le problème majeur, est : , non…? Et au niveau planétaire , dans la perspective d’une production massive, qu’ewst ce que celà induirait ? @+

    Répondre
  11. Solars-a says:
    il y a 11 ans

    , non…? Si on cesse parallellement de consommer pétrole,gaz,charbon;le bilan redeviendra positif !! L’énergie primaire pourra provenir d’électricité aussi bien ENR que nucléaire,selon les cas de figures du futur !!

    Répondre
  12. energiestr says:
    il y a 11 ans

    La plupart des commentaires précédents n’ont pas bien compris de quoi il s’agissait. L’avancée concerne le stockage de l’énergie, pas la production d’énergie. Les hydrocarbures liquides sont le meilleur stockage en terme de densité, mais ils sont fossiles. Il faudrait les fabriquer à partir d’énergies renouvelables, mais il y a un obstacle : la disponibilité du CO2. Il n’y en a que 400 ppm dans l’air, ce qui rend son extraction très coûteuse. L’idée présentée ici consiste à extraire le CO2 de l’eau de mer, ce qui est bien plus facile. On peut imaginer des centrales photovoltaïques et éoliennes en pleine mer, qui produiront du « pétrole » renouvelable.

    Répondre
  13. Nicias says:
    il y a 11 ans

    On va alcaliniser des océans menacés de devenir des bassines d’acide chlorhydrique à cause du CO2 anthropique. Pas qu’on puisse jaais mesurer quelquechose ou qu’ils en aient vraiment besoin mais il faut voir le côté positif !

    Répondre
  14. etehiver says:
    il y a 11 ans

    Si cette info qui manque dans la vidéo est vraie: « il était destiné àux porte-avions nucléaires (source primaire d’énergie) pour créer du kérozène pour l’aviation embarquée et réduire les transferts dangereux de carburants (tanker => porte-avions) » le bilan Uranium et CO2 est très négatif et ils se moquent des lecteurs en les trompant pour pomper du fric, bien plus que du pétrole !!!

    Répondre
  15. Solars-a says:
    il y a 11 ans

    Dans un article de Solarbuzz on parle de watt-crète possible,bientot à 3,9 centimes d’euros,donc moins de 4 centimes d’euros le Wc.Si ça devenait vrai…: On consomme(en France) en ordre de grandeur 500Twh/an. Les produire en PV (en moyenne) demande à installer environ 400GWc. Donc en été on aurait facilement 80% de production en trop qui pourrait servir à produire via ce système à l’eau de mer, du kérosène stocké pour l’hiver.l’éolien aussi peut contribuer à stocker du kérosène pour l’hiver.Si ça suffisait pas pour avoir assez de kérosène en hiver,on peut à 4 centimes d’euros le Wc installer dans les 1500 GWc pour faire dans l’intersaisonnier avec du e-kérosène. En cas de surproduction de « e-kérosène » on pourrait même faire du sun curtailement,mais le kérosène pouvant toujours être exporté,il ne saurait y avoir de surproduction . Bref pour moi,ce système à l’eau de mer de production de kérosène pourrait avoir beaucoup d’avenir pour le stockage massif d’énergie sous forme liquide,dans le monde entier . A suivre… dans les dix ans…(comme dit l’article d’aujourd’hui ).

    Répondre
  16. Solars-a says:
    il y a 11 ans

    La remarque de energiestr : « On peut imaginer des centrales photovoltaïques et éoliennes en pleine mer, qui produiront du « pétrole » renouvelable. » est tout à fait pertinente . Bon,il s’agira plus précisement de kérosène(moins de carbone que le gaz-oil),donc plus facile à fabriquer.

    Répondre
  17. pierreerne says:
    il y a 11 ans

    L’eau de mer ne contient que très peu de CO2 sous forme dissoute ou sous forme de carbonates. C’est par contre dans les carbonates du sol qu’on peu trouver la meilleure et la moins onéreuse source de carbone minéral. Seulement, transformer à grands frais le CO2 naturel en hydrocarbure pour brûler ensuite celui-ci revient à envoyer dans l’atmosphère à peu près deux fois plus de CO2 que si on brûlait des hydrocarbures naturels. Et si, comme certains le suggèrent sur ce fil, l’électricité provient d’un groupe électrogène, alors cela devient du grand n’importe quoi.

    Répondre
  18. pierreerne says:
    il y a 11 ans

    Voir le paragraphe Mais alors, que faire lorsqu’il n’y aura plus de charbon ni de gaz naturel ?

    Répondre
  19. Solars-a says:
    il y a 11 ans

    L’eau de mer ne contient que très peu de CO2 sous forme dissoute ou sous forme de carbonates. L’eau de mer contient suffisament de CO2 pour cet usage . Relisez mieux l’article:Le CO2 demeure une ressource abondante de carbone sur notre planète. Toutefois, sa concentration dans l’océan (100 milligrammes par litre) est d’environ 140 fois plus importante que celle de l’air. Une petite proportion (2 à 3%) du CO2 de l’eau de mer se retrouve sous forme gazeuse en acide carbonique, de carbonate (1%), et de bicarbonate (96 à 97%). Ces chercheurs sont en passe de démontrer dans les 10 ans la faisabilité commerciale du procédé. Bon maintenant vous pouvez contester la valeur de l’article(dire que c’est nul)mais ça c’est une autre histoire. On verra donc d’ici 10 ans si c’est une fumisterie ou si ça sera vraiment commercialisé.

    Répondre
  20. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    Ca partait très fort ce matin (Big stuff), à coup de millions de $ la Navy allait nous changer les lois de la thermodynamique! L’H2O est la forme oxydée de la molécule d’hydrogène, le CO2 celle de l’atome de carbone. Si vous voulez fabriquer un vecteur énergétique quelqu’il soit à partir d’une de ces 2 molécules ou d’un mélange des deux, il va falloir injecter beaucoup plus d’énergie dans le système que vous n’en récupérerez dans le produit final. Heureusement, Pieereerne a trouvé à quoi ça servait, car contrairement à ce que son nom indisue, un porte-avion ça ne sert pas szulement à « porter » des avions, mais à les faire décoller, apponter, les ravitailler, puis le cycle recommence ( en les ayant également armés, mais ce n’est pas le sujet). ET sur un porte-avion, il y a éffectivement un réacteur nucléaire qui peut produire de l’electricité ( un champ solaire ou des éoliennes sur le pont posant quelques problèmes vis-à-vis de l’efficience du « core business » rappelé ci-dessus….).

    Répondre
  21. Solars-a says:
    il y a 11 ans

    Le coût de ce kérosène de synthèse utilisable dans les moteurs de navires ou d’avions serait compris entre 3 et 6 dollar le gallon (3,8 litres). Si c’est vrai,alors la fabrication industrielle de kérosène,à partir d’eau de mer, avec du PV(et de l’éolien) en 2025,deviendra une réalité.

    Répondre
  22. Tapastort says:
    il y a 11 ans

    0.12g de carbonnate par 1 kg d’eau de mer dans un carbonate le carbonne représente 20% de la masse de l’atome donc 0.024g de carbonne par litre à la louche il faut 50 tonnes d’eau mer pour 1kg …si rendement de 100%, 92% annoncé ( douteux) l’article ne donne pas le rendement énergétique ni le délai (les réactions ne doivent pas être instannées) ils devraient pomper dans les égouts, ils auront plus de carbonne voir même un peu d’alcane opération politique pour casser la spéculation sur le pétrole???

    Répondre
  23. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    « Si ça suffisait pas pour avoir assez de kérosène en hiver,on peut à 4 centimes d’euros le Wc installer dans les 1500 GWc pour faire dans l’intersaisonnier avec du e-kérosène.  » 4 centimes d’Euro par W installé, c’est sûr que là il ne faut pas s’en priver! Vous êtes bien sûr de votre chiffre?

    Répondre
  24. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    Installateur PV: votre kWc installé à 40€! Quantités limitées. -10% pour les fidèles d’Enerzine (+ de 50 interventions sur les derniers 60 jours). PS: merci Solar-a de m’en réserver une vingtaine de kW, à ce prix là j’en mets même sur le pan de toit exposé au Nord.

    Répondre
  25. Solars-a says:
    il y a 11 ans

    4 centimes d’Euro par W installé… Non; 4 centimes d’Euro par Wc avant installation et non pas installé : Nuance . Et à l’horizon 2025 .

    Répondre
  26. Solars-a says:
    il y a 11 ans

    on peut à 4 centimes d’euros le Wc; installer dans les 1500 GWc … Point virgule(peut-être oublier) entre Wc et « installer » (à l’infinitif) et non pas installé (au participe passé). L’installation(et les onduleurs) augmente le prix,mais ça ne sera pas rédhibitoire.

    Répondre
  27. Tech says:
    il y a 11 ans

    en fait c’est une autre version du stockage, ils ont une centrale à bord, surdimmensionné pour au cas ou et ils vont utiliser ce surplus de puissance pour produire quelque chose, quoi de plus normal! je trouve un peu bizarre d’extraire du CO2 ou du carbonate de l’eua de mer, cela couterait moins cher de l’emporter en soute, vu la puissance du réacteru à bord! et oui il pourraient tout à fait hydroliser cette eau (je pense déjà qu’ils doivent la dessaler!) pour se stocker un peu d’hydrogène qui mélangé avec ce qu’il faut en carbone leur donnerait tous les dérivés en « ane  » qui leurs seraient utiles! on pourrait d’aillieurs en faire autant aujourd’hui avec nos miltiples centrales qui tournent au ralenti et pourraient si elle tournaient pus près du nominal nous permettre d’insufler de l’H2 dans le réseau de gaz à des prix défiants toute concurrence et en évitant aussi d’en acheter à la russie!

    Répondre
  28. Pastilleverte says:
    il y a 11 ans

    présentation par la chimiste du NRL … pour les anglo (ameriano) phones Bon visionnage

    Répondre
  29. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    OK, c’était le panneau non installé. Mais vous confirmez la valeur de 0,04€/Wc (eventuellement en 2025)? 40€ le kWc de panneau non installé. C’est pas cher au kg…. Un lien vers l’article de Solarbuzz que vous évoquez comme source serait très interessant, pas que pour moi d’ailleurs.

    Répondre
  30. Solars-a says:
    il y a 11 ans

    Tout d’abord : Méa culpa de ne pas réussir à retrouver,sur les blogs-posts de Solarbuzz le lien qui rapportait la valeur de ~0,04€/Wc(en fait 0,054 $/Wc);vers 2025. Par contre(bien que tout soit en anglais sur ce site)je me souviens clairement que : Il s’agirait en fait de cellules PV imprimées souples(et non pas de panneaux Si-polycristallins biens solides).Avec 2 inconvénients (et problèmes à résoudre) : 1. Un rendement moindre,nécessitant beaucoup plus de surface pour un même kWc par rapport à un panneau PV classique,dur en Si-polycristallin. 2.Une fragilité aux intempéries tels :Vents,pluies,contrastes thermiques.Et ça c’est encore plus embettant sur les toitures et aussi en plein champs. Evidement s’il faut les mettre sous protection,sous verrières,ça diminue l’intérêt et ça finirait par,peut-être,trop augmenter les couts et casserait finalement l’intéret. Donc,il ne suffit pas que les tarifs au Wc, soient bas.Encore faut il,qu’elles aient été rendues(les cellules PV imprimées) suffisament solides(et sans augmenter les couts) pour résister longtemps aux dures conditions extérieures,sur de très grandes surfaces. Même si en 2025,on a des premières cellules(sous protections)à ~0,04€/Wc. Encore faudra il les rendre capables de supporter les dures contraintes sous intempéries,sans les rendre plus chères.Là sera le défi de recherche et dévelloppement aprés 2025.Patience…

    Répondre
  31. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    Si ce sont de « panneaux » qu’on ne peut pas installer à l’extérieur, effectivement ça change tout! PS: pour vos 400, voire 1500GW installés, ça va être compliqué….. Mais c’est bien, au moins vous avez répondu. Cordialement.

    Répondre
  32. Solars-a says:
    il y a 11 ans

    PS: pour vos 400, voire 1500GWc installés, ça va être compliqué….. En effet,tant que ne sera pas résolu le problème de  » l’endurcissement  » aux intempéries de ces cellules PV imprimées,sans augmenter les couts,ces projets à 400,voire 1500GWc installés,restent très théoriques.

    Répondre
  33. Lechimiste says:
    il y a 11 ans

    L’eau de mer ne contient que très peu de CO2 sous forme dissoute ou sous forme de carbonates. C’est par contre dans les carbonates du sol qu’on peu trouver la meilleure et la moins onéreuse source de carbone minéral. Pour avoir du CO2 en abondance,si on veut synthétiser du kérosène ou même,plus simplement des oléfines(carbures d’éthylène ou alcènes,CnH2n),qui serviraient à fabriquer des molécules organiques relevant de la pétrochimie; il serait impensable d’aller chercher du CO2 dans les carbonates du sol,avec tous le CO2 que produit l’humanité dans ses industries avec les centrales thermiques,industries sidérurgiques,chaufferies industrielles,cimenteries,etc…Il y en a pour des dizaines de milliards de tonnes de CO2,chaque année. On peut,selon les cas de figures, soit récupérer ce CO2 en sortie d’usine,soit le stocker provisoirement selon les techniques de la CCS(carbone capture and storage)puis l’utiliser des que le besoin se fait sentir. Ici,je ne parle pas de l’usage pour sous marins nucléaires dont parle l’article mais de procédé de synthèse industrielle à base de CO2 et H2 des oléfines et du kérosène.

    Répondre
  34. Lechimiste says:
    il y a 11 ans

    L’article nous dit : Dans la première étape, un catalyseur à base de fer a été fabriqué. Il a permis non seulement d’atteindre des niveaux de conversion de CO2 allant jusqu’à 60%, mais aussi de réduire la production de méthane en faveur d’une chaîne d’hydrocarbures insaturés (oléfines) plus longue. Ces hydrocarbures ainsi valorisés servent de blocs de construction pour la production de produits chimiques industriels et de carburants synthétiques. Deuxième étape, ces oléfines peuvent être converties en composés moléculaires plus élevés en utilisant une polymérisation contrôlée. Le liquide résultant contient des molécules d’hydrocarbure situées dans une gamme de carbone (C9 – C16) adaptée au remplacement du kérosène classique. Enfin:Coût de ce kérosène de synthèse utilisable dans les moteurs de navires ou d’avions:Serait compris entre 3 et 6 dollar le gallon (3,8 litres)c’est à dire entre 0,79 $ par litres et 1,58 $ par litres,dans les 10 prochaines années…Si des financements et des partenariats stratégiques suivent. Bon maintenant,il faudra comparer ce nouveau procédé,avec le procédé Ficher-tropsch très performant en termes de rendement mais qui nécessite des investissements très lourds, ce qui le rend économiquement vulnérable aux fluctuations à la baisse du cours du pétrole. Ce nouveau procédé auquel on fournira du CO2,non pas issue de l’eau de mer,mais des activités industrielles brulant des gaz,charbons(et marginalement fuels);s’il nécéssite bien moins d’investissement que le procédé Ficher-Tropsch sera alors un procédé d’avenir pour produire le kérosène de nos avions sans avoir à dépendre des états pétroliers. Ce kérosène pourrait aussi,même être produit et stocké de manière saisonnière,pour l’hiver.Servir de back up pour les Enr(s) intermittentes… A suivre,donc .

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  35. Cab says:
    il y a 11 ans

    « En langage juridique, ça s’appelle « application nouvelle de procédés connus ». Ce n’est même pas brevetable.  » Heu, si. L’assemblage nouveau de choses connues est une innovation et est donc brevetable.

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  36. Lechimiste says:
    il y a 11 ans

    Energies électriques possibles à Terre: Nucléaires,éoliennes,solaires,hydrauliques,Mix de ces énergies électriques. Je rappelle qu’on fournira du CO2,non pas issue de l’eau de mer,mais des activités industrielles brulant des gaz,charbons(et marginalement fuels);et que s’il nécéssite bien moins d’investissement que le procédé Ficher-Tropsch,ce sera alors un procédé d’avenir pour produire le kérosène de nos avions sans avoir à dépendre des états pétroliers.Et ça pourrait être aussi une forme intéressante d’énergie stockée. Pour savoir si ça sera rentable,il faudra prendre le risque de financer des installations pilotes.

    Répondre

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