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L’industrie photovoltaïque française dans le trouble

par La rédaction
20 juillet 2010
en Renouvelable, Solaire

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« La filière photovoltaïque doit sortir de la pénombre » pour l’APESI

14 septembre 2012

L’industrie photovoltaïque lance le label qualité AQPV

21 juillet 2011

Le gouvernement français s’apprête à refondre pour la deuxième fois en un an le régime de soutien de l’Etat à l’industrie photovoltaïque française.

Selon l’APESI (Assocation des producteurs d’Electricité Solaire Indépendants) la recette suivie par les pouvoirs publics est finalement assez simple : "sur une base de restrictions budgétaires, ajouter une bonne dose d’opacité, un soupçon de précipitation et une pincée de désorganisation. Laisser mijoter pendant que les investisseurs et les porteurs de projets retiennent leur souffle. Le résultat attendu arrive enfin : un secteur complètement désorganisé, le recul des investisseurs et des difficultés financières pour de nombreux acteurs de la filière !"

L’APESI donne ci-dessous son point de vue, sans concession :

"De tous les pays européens, la France est le seul qui ne parvient pas à clarifier son régime de soutien à la filière photovoltaïque. Que ce soit au niveau des tarifs de rachat ou des crédits d’impôts, rien de ce qui concerne le cadre de développement de l’industrie solaire en France ne paraît stable. Sur fond de crise et dans la période troublée que vit l’économie française, la visibilité et la lisibilité des réglementations est un paramètre déterminant. Il fera la différence entre un développement serein et raisonné de la filière et une profusion de projets constitués à la va-vite dans le but d’échapper aux volte-faces incessantes des autorités publiques. Au-delà des dommages subis par les acteurs privés, c’est l’économie française qui pâtit de ces modifications incessantes. La crédibilité de l’administration française auprès des investisseurs, qu’ils soient français ou étrangers, s’en trouve diminuée. L’exemple de l’industrie photovoltaïque est, du reste, un avertissement à l’égard des investisseurs sur d’autres secteurs industriels réglementés."

Pour les PME/PMI spécialisées dans le secteur du photovoltaïque, l’enjeu est particulièrement important. N’ayant pas ou peu d’activités secondaires sur lesquelles se reposer pendant les périodes d’incertitude, c’est l’ensemble de leur activité économique qui ralentit et vit dans l’expectative. "L’APESI soutient ces entreprises qui développent à une échelle raisonnable des projets sérieux et qui méritent pour cela la reconnaissance et le soutien des pouvoirs publics. Si elles venaient à disparaître, ce secteur hautement concurrentiel se reconcentrerait sur les grands acteurs traditionnels de l’énergie au détriment des consommateurs."

De plus, les objectifs de 5400 MW en 2020 sont encore loin d’être atteints
. La réforme tarifaire du 12 janvier dernier et les dispositions transitoires qui lui ont été assorties le 23 mars ont certainement mis un coup de frein aux projets non-aboutis en attente de raccordement.

L’assainissement nécessaire de la filière en début d’année ne doit plus porter atteinte aux projets menés aujourd’hui par des professionnels devenus méfiants vis-à-vis des autorités. « Ces modifications réglementaires interviennent de nouveau dans une période où, précisément, l’industrie solaire photovoltaïque française commence à se repositionner et à former des projets en accord avec les nouvelles tarifications. Ces modifications intempestives sont très dommageables pour les PME qui n’ont pas la possibilité de s’appuyer sur une autre activité durant cette période troublée. Six mois d’attente en 2009-2010 et maintenant trois autres mois avant la clarification définitive des tarifs ; c’est une année très difficile financièrement pour les PME du secteur » confiait Christian Cachat le Président de l’APESI.

Tags: apesiindustrie photovoltaique
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Commentaires 24

  1. Pleurepas says:
    il y a 15 ans

    Il en faudrait quand même beaucoup pour qu’on s’apitoie sur le photovoltaïque. Même revus à la baisse, les tarifs d’achats français restent incroyablement élevés, et bénéficient tout autant (si ce n’est plus) aux économies étrangère qu’à l’économie française, peu productrice de panneaux. Restent les installateurs, et de ce côté là l’assainissement de la filière reste loin d’être terminé. Pour étudier le sujet, je sais que les malfaçons sont nombreuses, et que les particuliers, que l’on vient parfois chercher à coup d’arguments massue mais bidons, se font souvent embobiner. Les aides au photovoltaïque, tarif d’achat en premier lieu, suscitent un effet d’aubaine peu commun, et détournent l’attention des autres EnR et de la MDE. Pas sûr que l’intérêt collectif coïncide avec celui de l’APESI. Tout au plus peut-on regretter que la diminution des tarifs d’achats, donc de l’effet d’aubaine, n’entraîne pas nécessairement la disparition des installateurs malveillants au profit des installateurs compétents et soucieux du travail bien fait (effectivement peut-être d’avantage représentés chez les PME). Dommage que cet article ne présente qu’un seul point de vue du reste. Et dommage aussi que l’expression « tarif de rachat » soit si répandue, même chez les spécialistes, faussant les représentations puisqu’il s’agit de tarif d’achat. Pour racheter, il faudrait avoir acheté, or justement les kWh photovoltaïques, le possesseur de panneaux ne les achète pas, il les produit !

    Répondre
  2. Lucio says:
    il y a 15 ans

    A mon avis, ce sont les deux recettes d’un succès qui se répète: des entreprises qui se gavent outrageusement en n’ajustant pas leurs tarifs de vente, et un état girouette qui ne sait ni rester sur une ligne pendant plusieurs années, ni annoncer les changements longtemps à l’avance. Une paresse et un orgueil qui se retrouvent aussi dans la presse, car les articles sur les PME mises à terre par retard de paiement de l’état sont plûtot rares. A part ça, il parait que les ouvriers CGT du Livre reçoivent 200 000 euros comme prime de licenciement, est-ce que quel’qu’un peut confirmer?

    Répondre
  3. michel123 says:
    il y a 15 ans

    le choix était mauvais dés le départ , alors que tout le monde sait que la filière thermodynamique produit l’électricité plus efficacement , pour moins cher et permet aussi de produire la nuit grace aux réservoirs de sel fondus , on ne comprend pas cette décision de favoriser une filière ayant aussi peu d’avantages en terme d’efficacité et de soutien de la production aux heures critiques dans la tranche horaire 19h à 24h. Les filières trop fortement subventionnées risquent toutes d’un jour à l’autre ce genre de mésaventure à l’occasion de restrictions budgetaires ou d’un changement de gouvernement .

    Répondre
  4. Boubou18 says:
    il y a 15 ans

    Une chose qui n’est jamais dite, c’est que lorsque l’on installe 1 kilowatt d’éolien ou de photovoltaïque, il faut prévoir la même puissance de remplacment lorsque les énergies dites « propores » ou « vertes » ne produisent pas. Et par quoi les compensent-on? De plus, qui, au final, paie les subventions, si ce n’est le contribuable? Alors, arrêtons la poudre aux yeux et soyns francs.

    Répondre
  5. Xyz says:
    il y a 15 ans

    Il ne faut pas pleurer pour les installateurs français qui aujourd’hui « se gavent » sur un tarif de rachat le plus haut au monde ; alors que le coût des équipements (en particulier modules photovoltaïques) a fortement chuté. L’écart de prix constaté au W installé entre la France (coût système installé 3.9 euros/W) et l’Allemagne (coût système installé 1.2 euros/W) ne s’explique pas uniquement par la maturité de la filière allemande ou le surcoût de l’intégré bâti en France ! Oui au Photovoltaïque mais responsable ! Halte à la course aux taux de retour sur investissement à 2 chiffres et au racket via le crédit d’impôt ! Pratiques, malheureusement, bien courantes dans le secteur du BTP…

    Répondre
  6. Raymond says:
    il y a 15 ans

    D accord 100% avec le commentaire de Boubou 18. Le PV c est 2000 h de production sur les 8760 h que compte l année. C est comme leolien on shore , 2000 h de vent/an ou l off shore -mer) qui produit 3000H /an. Et pour quoi en faire de ces KWH les vendre a nos voisins europeens dont l Allemagne anti electronucleaire nucleaire qui nous achete 5% de notre electricité (15 TWh) sur les 15% que nous exportons (75 TWh)en Italie, UK, Suisse, Benelux, Espagne. Que la France et nos ministres mettent les 40 Milliards annuels d euros dans la RetD plutot que dans l achat de techniques eoliennes et PV qui viennet des pays scandinaves et de Chine. Le journaliste d Enerzine n ecrivait il pas dans ces memes colonnes que l Allemagne aurait installé en 2020 , 14 000 MW de PV ! Achetons donc l electricite PV allemande ! Ce ne sera sans doute pas demain la veille car ce qu ils peuvent vendre n est que de l electricicité thermique charbon et gaz ! Ah le leurre allemand !

    Répondre
  7. gypse says:
    il y a 15 ans

    On en lit de bonnes : – photovoltaïque = malfaçons. Pleurepas pourrait-il nous communiquer un taux de malfaçons ? La réalité est que, comme dans tous les métiers du bâtiment, il y a des bons et des moins bons. Faut-il pour autant éviter tout développement ? – les entreprises se gavent. Les entreprises sont soumises à la loi du marché, et quel que soit le tarif d’achat du kWh produit et revendu, les clients ne se privent pas de mettre les acteurs en concurrence. – compensation des kWh intermittents par autre chose. Le nucléaire ne se prive pas d’utiliser les capacités de stockage des STP pour compenser sa surproduction nocturne. Pourquoi le photovoltaïque et l’éolien ne pourraient pas utiliser cette ressource ? – heures de production. Cette notion est juste un indicateur de productivité (kWh/kW), le seul indicateur qui vaille est le prix du kWh. Avec la baisse programmée des tarifs, le kWh photovoltaïque (au sol) passera en-dessous de la parité réseau avant 2020. Et cela sans parler des augmentations des coûts de l’électricité nucléaire d’ores et déjà programmés pour prolonger la durée de vie des centrales…

    Répondre
  8. marcarmand says:
    il y a 15 ans

    Le solaire thermodynamique n’est pas substituable au photovoltaique. D’une part, il n’est pas à la portée des particuliers, et d’autre part, il nécessite un ensoleillement direct, alors que le photovoltaique produit même en lumière diffuse. Le photovoltaique est peut être une solution d’avenir pour les maisons individuelles: une toiture de 100 m2 peut produire en moyenne 1 à 2 kW en moyenne sur une année, ce qui est suffisant pour un foyer.

    Répondre
  9. Boubou18 says:
    il y a 15 ans

    Gypse, pouvez vous préciser ce que sont les STP? Je ne vois pas comment EDF fait pour stocker son éléctricité produite la nuit. Car j’ai toujours entendu dire que l’électricité ne se stockait pas. J’ai travaillé 23 dans une centrale EDF et je n’ai vu aucun endroit destiné au stockage de l’électricité. Est-ce que l’on ne nous dirait pas tout? Merci pour votre explication complémentaire

    Répondre
  10. Pierrotb001 says:
    il y a 15 ans

    Pour 1kw photovoltaique il faut 1kw de thermique à flamme (gaz fioul charbon). Il faudrait arréter de dire et redire cette sotise. En théorie oui il est vrai que c’est une énergie intermitente donc on ne peut avoir 100% de production 24h sur 24h et donc les pics doivent être complétés par du gaz fioul ou charbon en cas de demande qui dépasse l’offre. Mais en pratique, que fait EDF lors des périodes de production d’ENR: ils vend l’électrcité à l’étranger ce qui permet d’éteindre ou DIMINUER la puissance les centrales à flamme pendant la même période. Nous avec notre nucléaire à tout crin imbécile on ne peut pas les diminuer ces centrales car elles n’existent quasiment pas en France (

    Répondre
  11. Dan1 says:
    il y a 15 ans

    Je vous signale qu’en France, les centrales nucléaires (63 GW installés et 40 à 60 GW disponibles en permanence) ont une capacité de de modulation non négligeable et ça ne passe pas inaperçu dans la journée. Couramment c’est entre 2000 et 6000 MW entre le mini et le maxi. Par exemple hier 19 juillet la puissance était de 42 789 MW à 4h00 et de 45 156 MW à 11h00. Cette augmentation est en plus en phase avec la demande. Il n’est absolument pas prouvé que les EnR française ne se substituent qu’à des centrales à flamme en France ou ailleurs et il est même admis qu’elle se sustitue en partie au nucléaire et qu’une partie augmente les exportations : En plus des documents de RTE, vous trouverez également une référence intéressante de la CRE : « Enfin pour la CRE, je redonne le lien également : Dans son avis du 30 octobre 2008 (paragraphe 2, page 4/13) la CRE prend pour hypothèse que l’éolien en 2015 avec 17 GW se substituera pour un 1/3 à du nucléaire, 1/3 tiers à du fossile et enfin 1/3 augmentera les exportations.  » D’autre part, la vitesse de variation de certaines EnR ne permet pas forcément la modulation instantanée des centrales à charbon-lignite les plus polluantes. Les Espagnols modulent avec le gaz et l’hydraulique, mais pas avec le charbon-lignite : Enfin, je vois bien chez certains défenseurs des EnR qu’il y a un très sincère regret que la France ne possède pas autant de centrales thermiques que ses voisins. On ne pas être parfait !

    Répondre
  12. gypse says:
    il y a 15 ans

    STEP=Station de Transfert d’Énergie par Pompage. Maintenant, pour Dan1,j’apprécierais que pour l’intégration des ENR au réseau, vous donniez des liens antres que des références à vos propres messages dont le contenu est identique à celui-ci. Quant à la CRE, son assujettissement au lobby EDF- nucléaire est tellement évident que ses avis peuvent difficilement être considérés comme objectifs.

    Répondre
  13. Pierrotb001 says:
    il y a 15 ans

    La CRE a torpillé Voltalis qui permettait de faire des économies d’énergie Système qui se retrouve dans d’autres pays.

    Répondre
  14. Dan1 says:
    il y a 15 ans

    Lisez d’abord tout ce qui été écrit à ce sujet sur Enerzine et on en reparlera. De plus mon message n’est pas identique mais reprends une citation qui n’est qu’une partie d’un autre message. Je rédige, je ne fait pas de bête copié-collé.

    Répondre
  15. Maurice.arnaud says:
    il y a 15 ans

    Petit chelya, vous ne dites que des idioties.Les centrales nucléaires françaises ne vont pas fermer en 2015.Encore votre propagande de greenpeace et s.d.n à un kopeck. Fessenheim sera prolongé de 10 ans à 20 ans(pour atteindre 50 à 60 ans ,par rapport à 2017 ou il atteint l’ age de 40 ans) donc vu sa date de première mise en service(1977-1978) ça nous reporte entre 2027 et 2037 au moins.Même principe de prolongement pour tout le parc nucléaire ce qui permettra de remplacer progresivement le parc par des EPR puis des générateurs 4 G. Et je me fous de ce que le militant anti nuk grotesque de gp-sdn que vous êtes(genre les très stupides yannick rousselet et jadot)en pense.Ils ne racontent que des intox et extrèmes débilités militantes sans aucune valeurs comme vous.Allez délirer sur les forums greenpeace-sdn.Au plaisir de ne plus jamais relire sur ce site vos misérables et trop récurentes intox militantes antinuk!

    Répondre
  16. Nature says:
    il y a 15 ans

    Même si le taux de disponibilité des centrales nucléaires diminue il n’en est pas aux 23 ou 24 % du taux des éoliennes.

    Répondre
  17. Maurice.arnaud says:
    il y a 15 ans

    98 %(disponibilité) de 23 %(taux de charge moyen on shore) = 0.98 *0.23 = 0.2254;soit 22,54 % de la puissance nominale d’une éolienne sur l’année .L’énergie nucléaire peut être tranquille. C’est elle qui fera un bon mix avec toutes les Enr(s)éolien compris.

    Répondre
  18. Jpw says:
    il y a 15 ans

    Il est temps que Maurice Arnaud accepte que le prix du nucléaire dernière techno est équivalent au prix de l’éolien. Encore faudrait-il connaitre toute la vérité sur les coût de démentellement et de stockage des centrales pour des millions d’années! n’est ce pas la une vue égoiste de notre monde que de laisser nos résidus aux générations futures. Il est temps que le mix énergétique se fasse indépendemment des intérêts de l’industrie nationale. Au demeurant la cuve de Flamenville est produite au japon donc sans conséquence pour notre emploi au contraire des années 70 et 80 où elles étaient fabriquées à Chalon. Il est grand temps de développer notre industire ENR de deuxième génération après avoir loupé la première génération..

    Répondre
  19. Maurice.arnaud says:
    il y a 15 ans

    Il est temps que les Jpw(s) et Cie s’apperçoivent que le Nucléaire est fait pour travailler avec les Enr(s)et qu’il n’y a pas d’opposition entre eux .Que les opposer est une stupidité absolu des GP-SDN et autres diaboliseurs débiles du Nucléaire.Que les prétendus déchets seront des ressources pour les générations futures et que tous les antinuks sont des escrocs(ou victimes) idéologiques,politiques,manipulés par les organisations sectaires monstrueuses comme les GP-SDN,les soi-disants « amis de la terre » et autres escrocs qui sous leurs apparences de boys scouts gentillés en sont les pires ennemis de la terre et de l’humanité.

    Répondre
  20. Maurice.arnaud says:
    il y a 15 ans

    De plus,des cuves de l’EPR seront aussi fabriquées au Creusot,pas seulement au japon.

    Répondre
  21. Dan1 says:
    il y a 15 ans

    Au lieu de pérorer sur la disponibilité des réacteurs nucléaires et le facteur de charge, il est plus simple d’aller prendre toutes les informations à la source et de juger par soi-même. Donc pour tout savoir sur la vie intimes des réacteurs nucléaires : Documents cités là : Enfin, sur l’avenir du nucléaire, je cite : « Encore faudrait-il connaitre toute la vérité sur les coût de démentellement et de stockage des centrales pour des millions d’années! » Ben, on pourrait aussi admettre que la filière nucléaire est la seule à garantir des emplois pour des millions d’années après l’arrêt de la production. Et ce n’est pas rien au moment où on s’interroge légitimement sur les retraites et la diminution du nombre d’actifs !

    Répondre
  22. 1000 mille says:
    il y a 15 ans

    un p’tit C/C qui va permettre aux cadors du nucléaire de se faire embaucher ou rembaucher. Erosion des compétences et manque de personnels qualifiés Ce n’est pas pour répondre à un besoin de nouvelles capacités de base que le projet d’EPR français a été lancé. Comme nous l’avons démontré dans les chapitres précédents, il y a toujours une surcapacité importante, et il serait économiquement inconcevable de construire un réacteur nucléaire dans le seul but d’exporter de l’électricité. De plus, il est assez généralement admis que la part du nucléaire est assez élevée en France, par rapport à un mix idéal. Enfin, la durée de vie des réacteurs devrait être de 40 ans au minimum et l’âge moyen des réacteurs en France est de 23 ans, le doyen ayant fonctionné 30 ans. En d’autres termes, avec les niveaux actuels de consommation, le besoin de remplacement de la capacité ne se fera sentir que bien après 2020. La principale raison d’EDF pour construire un EPR réside dans la crainte, largement partagée, des conséquences dévastatrices de l’aggravation du risque de perte des compétences. En France, la situation n’est guère plus brillante que dans les autres pays. Il y a un fossé de génération entre les scientifiques, les ingénieurs et les techniciens qui ont conçu, construit et exploité la génération actuelle d’installations nucléaires, et la force de travail nécessaire demain. Environ 40 % du personnel d’EDF dans l’exploitation et la maintenance des réacteurs partira à la retraite d’ici 2015. EDF va essayer d’embaucher 500 ingénieurs par an dès 2008. Le constructeur de réacteurs AREVA a déjà commencé à embaucher 400 ingénieurs en 2006 et 750 en 2007. Mais le résultat de ces efforts n’est pas connu. Il est cependant évident que l’essentiel de ces embauches ne concerne pas des ingénieurs nucléaires ou autres scientifiques nucléaires. L’Institut National des Sciences et Techniques Nucléaires (INSTN), affilié au CEA, ne produit que quelques 50 diplômés nucléaires par an. Le nucléaire en France – Au-delà du mythe Décembre 2008

    Répondre
  23. Charpette says:
    il y a 15 ans

    Ca suffit les commentaires stupides des ignares incompétents !(je fais allusion au premiers commentaires déposés, je n’ai pas lu le reste) Depuis le dernier article traitant du sujet (le 15 juillet je crois), vous avez fait du copier-collé de vos commentaires ou quoi? Vous avez pas lu ceux que nous avons fait derrière? prenez le temps de vous renseigner un peu ou laissez les mots aux professionnels. Vous commentaires n’ont que pour seul intérêt que de faire du bruit de fond populiste. C’est à cause d’imbéciles comme vous qu’on trouve de la désinformation partout dans les média, inutile et dangereux.

    Répondre
  24. Raymon13 says:
    il y a 15 ans

    bonjour c est vrais mais lorsque la centrale nucleaire redemarre en 2 h elle a produit plus d energie qu une eolienne en 2ans.il faut faire un choix ou payer tres cher ou subir le nuclaire le choix reste encore politique tant qu il y aura des energies fossiles il y aura de l argent a prendre par les industriels ,les riches politiques,et les actionnaires en gros tous les rapaces.

    Répondre

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