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Des dirigeants d’entreprises appellent à « stimuler la croissance verte »

par La rédaction
13 février 2014
en Energie

Les dirigeants des principales entreprises européennes ont appelé mercredi à un cadre solide pour la politique énergétique et climatique à l’horizon 2030, et en particulier à un objectif ambitieux et contraignant au niveau national quant à la part des énergies renouvelables.

Un objectif ambitieux pour les énergies renouvelables qui pourrait stimuler la "croissance verte" en créant 570.000 emplois de plus et permettre d’économiser 260 milliards d’euros d’importations de combustibles fossiles par rapport à un objectif unique relatif à la réduction des gaz à effet de serre**, ont affirmé en coeur plusieurs dirigeants (RES, Acciona Energia, Alstom, Enercon, ERG Renew et Vestas) à la presse lors de la conférence de presse "EuropeBusiness 2030" à Bruxelles.

"Nous nous félicitons de l’engagement de la Commission Européenne pour une politique climatique et énergétique après 2020 qui inclut un objectif pour les énergies renouvelables. Cependant, cela n’est pas suffisant" ont ajouté les chefs d’entreprises. "C’est pourquoi nous encourageons les Chefs d’Etats à soutenir l’appel du Parlement Européen pour des objectifs contraignants au niveau national, ainsi qu’un objectif d’au moins 30% au niveau global. Cela favorisera ainsi la création d’emplois au sein de l’UE, permettra la sécurité énergétique et contribuera au leadership technologique poursuivent les dirigeants."

"S’appuyer seulement sur la réduction des gaz à effet de serre n’est pas suffisant. Cette option s’appuie sur des signaux de prix à court terme qui freineront les investissements dans les énergies renouvelables qui représentent le plus grand potentiel pour la réduction des coûts dans le futur. Cela peut également entrainer une dépendance à l’égard des combustibles fossiles qui est contre-productive par rapport à l’objectif final de réductions des émissions" a déclaré lors de la conférence de presse Jean-Marc Armitano, PDG de RES Méditerranée et représentant le groupe RES.

Les sept sociétés font partie d’un groupement de 91 entreprises et ont signé une déclaration appelant à un cadre fort et des objectifs ambitieux à l’horizon 2030.

** Etude d’impact 2030 de la Commission Européenne

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Commentaires 13

  1. Verdarie says:
    il y a 11 ans

    C’est bizarre de trouver dans cet article des éléments enfin mis en avant et pris en comptes dans une publication « Energie contre technologie, un marché de dupes ? » que j’avais écrite sur Viadéo.

    Répondre
  2. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    « Les dirigeants des principales entreprises européennes ont appelé mercredi à un cadre solide pour la politique énergétique et climatique à l’horizon 2030, et en particulier à un objectif ambitieux et contraignant au niveau national quant à la part des énergies renouvelables. » J’imagine que quand vous disiez « les principales entreprises », vous entendiez par là « les principaux constructeurs » d’éoliennes et d’ENR en général. Je doute que les principales entreprises européennes soient du même avis, elles qui généralement se plaignent de l’augmentation du coût de l’énergie…

    Répondre
  3. Jmn says:
    il y a 11 ans

    D’un point de vue purement financier, il est astucieux de rajouter au prix des produits une composante qui n’a pas grandc hose a voir avec le produit lui meme. Ca permet d’augmenter les marges et de reduire la concurrence. Un peu comme la pub ou l’emballage. L’ecologie a bon dos.

    Répondre
  4. Adrien couzinie says:
    il y a 11 ans

    Primo : ce ne sont pas les principales entreprises européennes, mais les principales entreprises européennes en EnR. Normal qu’elles réclament plus de subventions ! Maintenant il faut faire des choix. Certaines EnR coûtent une fortune. Nous avons déjà à nous désontoxiquer des fossiles et cela risque de nous coûter excessivement cher. Devons-nous subventionner à tous prix les EnR ? L’espagne a mis 300 milliards en 10 ans dans les EnR et ils ont une énergie encore très carbonée. Les EnR d’accord, mais réduire notre dépendance aux fossiles d’abord

    Répondre
  5. Temb says:
    il y a 11 ans

    Déjà se renseigner : Il s’agit de l’étude du Fraunhofer IWES et pas d’un obscur calcul de coin de table de stagiaire du Figaro…. Ne pas confondre cout et cout d’amortissement, ne pas juger la période d’amortissement mais le bénéfice global, trop dur?

    Répondre
  6. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    Malheureusement je ne comprends pas l’allemand, et donc ne comprends pas vraiment l’étude disponible via votre lien. Mais parler d’investissements dans l’énergie  » hors coût du capital », c’est un peu surprenant, non? A mon avis, si c’est bien l’hypothèse, l’Allemagne se mettrait à réinvestir dans de nouvelles centrales nucléaires (OK, c’est peu probable) et le même graphique serait quasiment tout vert! Ceci dit, faut quand même regarder un peu les chiffres de l’étude, même en allemand c’est compréhensible:180GW d’onshore, 200GW de PV,….Mais c’est sûr, hors coût du capital on peut y aller!

    Répondre
  7. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    Si vous voulez parler du coût de l’énergie hors coût d’investissement, je sens que l’EPR va devenir incontournable et irrésistible : Nous avions déjà évoqué ce graphique dans un autre cadre, mais il peut resservir à comparer les différentes filières énergétiques.

    Répondre
  8. Lord predator says:
    il y a 11 ans

    Je penses que si tu souhaite parlez du coût de l’énergie hors coût d’investissement, je sens que les ENR vont devenir incontournable et irrésistible 😉 Combustible ? Aucun, Exploitation ? Bien moindre 😉 A ce jeux on peut tous dire et rien dire 😉 Cordialement,

    Répondre
  9. Lord predator says:
    il y a 11 ans

    Je penses que si tu souhaite parlez du coût de l’énergie hors coût d’investissement, je sens que les ENR vont devenir incontournable et irrésistible 😉 Combustible ? Aucun, Exploitation ? Bien moindre 😉 A ce jeux on peut tous dire et rien dire 😉 Cordialement,

    Répondre
  10. pierreerne says:
    il y a 11 ans

    C’est curieux comme ces modes de production d’énergie qui ont apparemment tout pour plaire si on en croit les déclarations des politiques ont absolument besoin, pour exister, que l’on contraigne les utilisateurs à les utiliser…

    Répondre
  11. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    C’est-à-dire que pour l’instant, la question c’est celle soulevée par le petit alinéa « marge brute hors coût du capital » du graphique proposé par Temb. Si un germanophone peut y comprendre quelque chose et nous expliquer les hypothèses ( le lien proposé par Temb pointe vers un article qui lui-même pointe vers l’étude). A priori, « coût du capital » ne veut normalement pas dire « gratuit », il faudrait plutôt dire « coût du financement ».

    Répondre
  12. Jfk says:
    il y a 11 ans

    Il faudrait commencer par appliquer le coût réel, supprimer les niches et autres subventions indirectes. Par principe, un conservateur n’aime pas changer ses habitudes.

    Répondre
  13. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    Le tableau (déjà présenté sur Enerzine) vient de là : Et les explications qui vont avec sont : Avant le graphique : « Nous voici donc avec des filières qui acheminent gaz, charbon ou atomes fissiles, et une centrale dont la construction a coûté ce qu’elle a coûté. Au final, combien vaut l’électricité en sortie de centrale ? (qui n’est pas encore l’électricité facturée au client). A ce stade, le lecteur (ou la lectrice, pardon !) aura compris que la bonne réponse est « ca dépend » : du taux d’actualisation, ce qui, dans les modes pilotables, est surtout vrai pour l’hydraulique et le nucléaire. » « Coût de production – en euros – d’un MWh électrique avec une centrale nucléaire type EPR, selon le taux d’actualisation retenu. Les autres hypothèses sont un taux de charge de 80%, 4000 euros par kW installé, 60 ans de durée de vie, 5 euros par MWh de combustible, et des charges d’exploitation annuelles hors combustible de 100 euros par kW installé. Avec une actualisation de 2%, le MWh coûte 37 euros, hors éventuelle provision pour risque d’accident (qui se monterait à quelques euros par MWh ; voir plus bas). A 4% nous sommes encore sous les 50 euros par MWh, ce qui est un coût très avantageux pour de l’électricité de base sans CO2. Par contre avec une actualisation à 12% on monte à 120 euros par MWh. Un nucléaire cher est aussi avant tout un nucléaire coté en bourse ! On note également, tant pour l’hydraulique que pour le nucléaire, la part très faible des coûts d’exploitation (ce qui pour le nucléaire comprend la facture de la Hague), de l’ordre de 20 euros le MWh. Cela signifie que prolonger autant que possible les installations existantes permet de disposer, sur la durée de cette prolongation, de MWh produits à des coûts très bas, bien inférieurs au seuls coût de combustible pour les modes fossiles. De ce fait, remplacer une centrale nucléaire actuelle, une fois amortie (donc > 40 ans), par une centrale neuve, au lieu de prolonger la « vieille » centrale de 20 ans, occasionne au minimum – si le taux d’actualisation est nul – 5 milliards d’euros de dépense supplémentaire par équivalent EPR (1,5 GW de puissance * 90% de facteur de charge * 8760 heures dans l’année * 20 euros d’investissement par MWh * 20 ans). » Vous aurez compris que le graphique veut avant tout rendre compte de l’impact du coût de l’argent et donc du taux d’actualisation dans le coût et donc le prix final du MWh. Cela illustre les limites de notre système financier qui privilégie à outrance les systèmes à retour sur investissement rapides au détriment des investissements de long terme, mais très coûteux en investissement initial. Cela n’est absolument pas spécifique au nucléaire et dans le domaine de l’électricité, cela a d’abord concerné les aménagements hydrauliques. On peut d’ailleurs se demander si la France (une des pionnières des énergies renouvealbles hydrauliques) serait capable de refaire ce qu’elle a fait depuis plus d’un siècle dans un nouvel environnement obsédé par le court termisme. On notera également que ce problème touche bien évidemment les nouvelles ENR dans une situation de crise qui rend les investissement plus difficiles. Les nouvelles EnR sont donc portées à bout de bras par les subventions imposées aux consommateurs notamment via la CSPE. L’éolien ne vit pas aujourd’hui dans le monde concurrentiel pur puisqu’il est massivement subventionné (mais beaucoup moins que le photovoltaïque à production égale).

    Répondre

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