Début décembre, la société Boeing-Spectrolab a annoncé avoir mis au point des modules photovoltaïques dont le rendement on atteint 40,7 %. Le précédent record, toujours établi par Spectrolab était de 37 %. L’Europe, arrive à un taux de 35,2 % grâce à son projet Full Spectrum.
En comparaison, ces performances sont largement au dessus des panneaux photovoltaïques traditionnels à base de silicium, qui plafonnent à 26 % en laboratoire, et seulement à 17 % pour les productions industrielles.
Alors que les cellules classiques tirent parti de l’ensoleillement naturel, celles de Boeing-Spectrolab intègrent des concentrateurs optiques – des lentilles de Fresnel – qui focalisent les rayons solaires. Elles sont en outre constituées de plusieurs couches de métaux semi-conducteurs, en particulier d’arséniure de gallium "dopé" à l’indium, au phosphore, à l’arsenic ou à l’aluminium.
Théoriquement, un rendement de 45 % est tout à fait envisageable. Les freins à l’essort de cette technologie prometteuse restent malgré tout le coût de fabrication des modules à concentration, et l’emplacement géographique réservé à un ensoleillement direct.[DEVIS|14]
La puissance des wafers est clé pour améliorer le rendement de cette energie. Mais que penser des adjonctions physiques nécessaires : arsenuire de gallium, arsenic,…. tous bien polluants pour leur exploitation et ne parlons pas de leur recyclage éventuel : très moche cadeau aux générations futures
D’accord avec “ecointelligence” On ne dit effectivement pas quelle est la durée de vie des matériaux, ni le mode de recyclage, ni si ce seront des gamins indiens qui les desosseront à mains nus
Ne parlons pas de l’énergie grise qui une nouvelle fois est soigneusement retirée de l’équation…