L’idée d’un pressing « écologique » qui aiderait le consommateur à avoir une démarche responsable dans le domaine du nettoyage des vêtements, à travers l’utilisation de produits adaptés, est une idée porteuse : 77% des Français ** la trouvent intéressante, dont 31% qui la jugent très intéressante.
35% des femmes sont d’ailleurs très intéressées par le concept de pressing écologique, versus 26% des hommes. 37% des personnes intéressées ont entre 45- 69 ans et 34% ont des revenus aisés.
La société Sequoia veut bouleverser les idées reçues et faire du pressing un service impliquant et positif pour les clients. Grâce à GreenEarth, Sequoia veut rendre l’univers du pressing, responsable et respectueux de l’environnement, avec un sens du service et une efficacité inégalée pour une politique de prix compétitive à travers son réseau de magasins (1ère ouverture prévue mi-décembre).
GreenEarth est une technologie propre, à base de Silicone liquide qui existe depuis 2001 à l’initiative de General Electric, Dow Corning et GreenEarth Cleaning LLC (USA). Un Brevet couvre jusqu’en 2024 le process de nettoyage et les principes de construction des machines.
GreenEarth est un composant éprouvé pour son innocuité, il est 100 fois moins volatile que les autres produits utilisés dans les pressings actuellement et est un des composants chimiques les plus étudiés depuis 30 ans, car il est très largement utilisé dans l’industrie cosmétique. Il est un dérivé du sable (SIO2), qui se dégrade… en sable. Il est biodégradable par photosynthèse à 90% sous 60 jours (données EPA US) et a fait l’objet d’études toxicologiques récurrentes depuis les années 1960.
Il connaît une pénétration croissante depuis 2002 : 1 700 pressings aux USA l’utilisent, 900 pressings dans le reste du monde dont 300 en Grande Bretagne, 10 pressings en France (1ère ouverture en Août 2005)
Cette technologie n’est pas nocive pour l’environnement ni pour la santé de l’homme (pas de sensibilité, pas d’effets toxiques, pas d’effet mutagène…).
** Etude Ipsos pour GreenEarth Sequoia Novembre 2008. Echantillon national représentatif de la population française, composé de 1013 personnes âgées de 15 ans et +. Les interviews ont été réalisées par téléphone au domicile des personnes interrogées. L’échantillon est construit sur la méthode des quotas : sexe, âge, profession du chef de famille, après stratification par région et par taille d’agglomération.
Arrêtez ces « dossier de presse » camouflés comme infos. Déjà une précision, tout pressing respectant les normes est, en fait un pressing « responsable ». Il ne faut pas salir les autres seulement pour promouvoir une technologie qui n’est pas du tout écologique et qui est basée sur les mensonges et de la propagande. Le solvant du procédé GreenEarth, la silicone D5 n’est pas biodégradable ! En fait, elle est persistante dans l’environnement et a été classifiée comme polluant par les Canadiens suite à la plus grande étude jamais faite. Voir les résultats sur . De plus, les « lessives » utilisés dans le GreenEarth sont touts « toxique » et dangereux pour la santé et pour l’environnement. Faites vous-même une recherche sur l’Internet à ce sujet et vous verrez bien qu’il s’agisse complètement de la publicité mensongère. Dernier point, toute personne ayant le moindre connaissance de la science sait que la volatilité d’une substance n’a rien à voir avec sa toxicité !
« quelleblague » a raison, cet article dans « globe and mail, canada’s national newspaper » de MARTIN MITTELSTAEDT, February 2, 2009 at 12:15 PM EST ne dit-il pas le contraire que le D5 est mis en cause: « The federal government is placing on its toxic substances list two silicone-based chemicals that are widely used in shampoos and conditioners, where they help give hair the silky, smooth feeling often played up in advertisements for these personal care products. It is the first time any country has taken such regulatory action against the substances, called D4 and D5 by the silicone industry, that are also in hundreds of personal-care products ranging from deodorants to skin moisturizers. »
Quelques corrections pertinentes sont à apporter à cet article notamment au niveau chimique et scientifique. La silicone n’est pas biodégradable. Point à la ligne. Déjà même, pour qu’une substance puisse se dégrader par la photosynthèse, il faut de la chlorophylle. Etant donné que la silicone ne contient aucun élément végétal, la photosynthèse est impossible. Il est pourtant possible que la silicone se dégrade au fur et à mesure dans l’environnement mais selon les rapports publiés, ce processus est lent et peut durer jusqu’à plus de 2 ans. La silicone a des effets toxiques notamment dans le milieu aquatique. Les tests sur la santé de l’homme ne sont pas 100% conclusifs mais ils laissent suffisamment de doute à ce sujet qu’un grand nombre de fabricants de produits de beauté et soins estime prudent de la substituer avec d’autres solvants. Par rapport de tests toxicologiques récurrents, votre article ne divulgue pas les résultats. Erreur ou omission ? Dernièrement, selon le site Internet du GreenEarth aux USA, il n’y a que 1400 machines utilisant ce solvant mondialement. Ceci est bien loin de 2910 cités dans l’article. Exagération ou mensonge ?
La verité La silicone n’est pas biodégradable. Point à la ligne. Déjà même, pour qu’une substance puisse se dégrader par la photosynthèse, il faut de la chlorophylle. Etant donné que la silicone ne contient aucun élément végétal, la photosynthèse est impossible. Il est pourtant possible que la silicone se dégrade au fur et à mesure dans l’environnement mais selon les rapports publiés, ce processus est lent et peut durer jusqu’à plus de 2 ans. La silicone a des effets toxiques notamment dans le milieu aquatique. Les tests sur la santé de l’homme ne sont pas 100% conclusifs mais ils laissent suffisamment de doute à ce sujet qu’un grand nombre de fabricants de produits de beauté et soins estime prudent de la substituer avec d’autres solvants. Par rapport de tests toxicologiques récurrents, votre article ne divulgue pas les résultats. Erreur ou omission ? Dernièrement, selon le site Internet du GreenEarth aux USA, il n’y a que 1400 machines utilisant ce solvant mondialement. Ceci est bien loin de 2910 cités dans l’article. Exagération ou mensonge ?
Bonjour à tous, Ce forum est plein de commentiares ignorants. Tout ce que je peux vous dire: – Le silicone D5 est biodégradble par photosynthèse en 120 jours (au delà de 90 j un produit est considér bio accumlulé, mais bon, 30 jours de plus, cela est acceptable). – la DGCCRF (l’Etat français) a validé en avril 2009 l’usage du terme écologique pour la technologie GreenEarth. – La CRAM estime qu’il s’agît de la technologie la plus sûre pour les humains. La seule à nêtre pas toxique. Tous les commentaires négatifs de ce blog sont en fait ignorants, frustrés et plutôt voués à rester dans le passé.
photosynthèse nom féminin Chez les végétaux et certaines bactéries, en présence de lumière, réaction biochimique qui, à partir de molécules minérales simples (CO2, H2O …), produit des molécules organiques glucidiques de relativement faible masse molaire.
biodégradable adjectif Se dit des produits industriels et des déchets qu’une action bactérienne, naturelle ou induite, décompose assez rapidement et les fait disparaître de l’environnement en les convertissant en molécules simples utilisables par les plantes.
Il est, selon pressing greene, possible que les plantes mangent la silicone? Et ceci est aussi vrai pour les bacteries? Encore, pourquoi tant de mensonges pour defendre un prétendu produit « propre »? Pourriez vous nous indiquer où exactement trouver le rapport de l’EPA américaine qui confirme vos dires?
Bonjour à green tech, je suis M. Gouspillou, et je suis trés surpris de vos assertions! « Quelleblague », « christophe », dites lui que je ne vous connais pas! Quand à moi, mon pseudo est partout IPURA, je défends ma technologie, et je n’enfonce pas le D5, le ministere de l’environement canadien s’en charge… Alors, cher monsieur d’Aix en provence, je dois vous dire que vous vous trompez, et que quand on n’est pas sûr, on évite d’impliquer des personnes physiques en citant leur nom de famille. Si vous avez quelque chose à me dire, passez par notre site, http://www.aurnet.fr, sinon, oubliez moi… à bon entendeur, salut!
En premier c’était au Canada, maintenant c’est l’état de Californie qui se pose des questions sur l’utilisation de cyclosiloxanes (solvant GreenEarth de Sequoia Pressing). L’état de Californie a publié en août 2009 une liste de molécules chimiques qui seront étudiées « en priorité » pour leur nuisance à la santé humaine ainsi pour l’environnement. Parmi le grand nombre de produits chimiques, la totalité du groupe de silicones cyclics y figure. Aussi sur la liste, les pesticides, les solvants chlorés, perflorés, et hydrocarburés. Selon l’OEHHA (équivalent à l’INRS en Californie), le groupe de silicones cyclics peut provoquer le cancer, des problèmes du system reproductif, hormonal, et respiratoires. Au Canada, l’agence de la protection de l’environnement a déjà inventorié la silicone D5 comme produit fortement toxique bioaccumulable, et persistante en janvier 2009.