Depuis plus de deux décennies, il était généralement admis que la couche d’ozone s’épuisait à cause des atomes de chlore produits lors de la décomposition par le rayonnement ultraviolet provenant du soleil des molécules de chlorofluorocarbures (modèle photochimique).
Or, le Dr. Qing-Bin Lu, professeur de physique et d’astronomie à l’Université de Waterloo et spécialiste de la couche d’ozone, a une théorie tout à fait différente.
Le Dr. Lu a étudié les données certifiées concernant la couche d’ozone sur une période de 1980 à 2007.
Ces observations ne peuvent pas être expliquées par le modèle photochimique jusqu’à présent accepté. Cependant, si les données concernant le rayonnement cosmique, provenant en partie du soleil, sur cette même période sont prises en compte, il est alors possible de montrer sans équivoque non seulement une corrélation temporelle entre l’intensité du rayonnement cosmique et la réduction globale d’ozone mais aussi une corrélation entre l’intensité du rayonnement cosmique et le trou d’ozone sur le pôle sud.
Grâce à cette étude qui couvre 11 années de cycles solaires, le Dr. Lu a pu prédire quantitativement en août dernier la variation d’ozone du mois d’octobre 2008. En effet, le travail du Dr. Lu indiquait que, du fait d’un cycle de rayonnement cosmique, le trou d’ozone en octobre sur l’Antarctique devrait atteindre en moyenne 187 unités Dobson (DU).
Les données provenant du satellite OMI de la NASA (données révélées le 13 mars 2009) montrent que la moyenne de la couche d’ozone en Octobre 2008 sur cette même zone a été de 197 DU, soit une erreur de moins de 5% de la prédiction du Dr. Lu, justifiant de facto sa théorie.
BE Canada numéro 351 (7/04/2009) – Ambassade de France au Canada / ADIT – http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/58534.htm
Encore une vérité qui n’en était peut-etre pas.Attendons la suite
que doit on comprendre ? que la couche d’ozone ne s’épuise pas à cause de la pollution ? c’est la puissance du soleil qui tue la couche d’ozone ??? help
de nombreux scientifiques étaient en train d’établir que le Soleil – tout en produisant une puissance quasi constante à 0.1% près – a en fait une énorme influence sur le climat terrestre, bien au delà de ce misérable 0.1% . Le mécanisme serait initié par le biais des éruptions solaires (cycle de 11ans pas très périodique) qui libèrent bien davantage d’énergie magnétique qui influent sur la dimension de notre magnétosphère, gigantesque volume spatial entourant notre planète. En déviant bien des particules cosmiques et aussi canalisant les pires avalanches électroniques (aurores boréales) cela peut déclencher des tempêtes magnétiques interrompant les télécommunications plusieurs heures durant. Il faut croire qu’également il y a des conséquences sur l’ozone, attendons qu’on nous en dise plus. Ces études ne sont absolument pas médiatisée car si confirmées, elles détruiraient la théorie dogmatique du réchauffement causé par les GES: les ions de l’espace seraient ceux qui inséminent la formation des nuages et quand le Soleil les dévierait, il y aurait moins de nuages et réchauffement rapide de la planète par réduction du pouvoir réflecteur des nuages. Ils ont constaté que les périodes séculaires de Soleil calme correspondent au Petit Age de Glace du 15° au 19° siècle et le réchauffement climatique rapide actuel (d’ailleurs bien plus rapide que les “prévisions” des tenants du rôle des GES) serait dû à l’activité magnétique très intense du Soleil depuis les années 1940. Sujets passionnants à suivre avec attention. et hissées au niveau du dogme sont rarement vraies.