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« Le ralentissement de l’activité économique impacte l’activité transport »

par La rédaction
16 avril 2013
en Non Renouvelable, Pétrole

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Selon les derniers chiffres du Comité professionnel du pétrole (CPDP), les livraisons de carburants sur le marché français se sont élevées à 4,07 millions de mètres cubes en mars 2013, en baisse de 3 % par rapport à mars 2012.

Cette évolution résulte d’une baisse de 6,9 % des livraisons de supercarburants sans plomb et d’une baisse de 2,1 % des livraisons de gazole. La part du gazole dans la consommation française de carburants a été de 82 % en mars 2013.

Sur les trois premiers mois de l’année 2013, la consommation française de carburants routiers a baissé de 3,3 % par rapport aux trois premiers mois de l’année 2012.

En année mobile, entre avril 2012 et mars 2013, la consommation française de carburants est de 49,65 millions de mètres cube, en baisse de 1,6 %. Durant cette période, la consommation de supercarburants a baissé de 6,6 % et celle de gazole a baissé de 0,3 %.

"Les données de consommation de carburants en année mobile, en baisse de 1,6 %, confirment la tendance de baisse de la consommation française de carburants en France observée en 2012. La baisse de 2,3 % de la consommation de gazole observée sur les trois premiers mois de 2013, par rapport aux trois premiers mois de 2012, indique que le ralentissement de l’activité économique impacte désormais l’activité de transport", a indiqué Jean-Louis Schilansky, président de l’Union française des industries pétrolières (UFIP).

Tags: carburantsrenaulttransport
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Commentaires 17

  1. Tassin says:
    il y a 12 ans

    Enfin une bonne nouvelle! Comme quoi la pollution est strictement corrélée à la croissance, quoiqu’en disent les économistes de plateaux télé.

    Répondre
  2. edc10 says:
    il y a 12 ans

    Faux. La consommation d’énergie est corrélée à la croissance (du PIB). La ‘pollution’ est une conséquence de la consommation d’énergie. Si vous savez utiliser l’énergie du soleil plutôt que de bruler du pétrole, la pollution engendrée ne sera pas la même. Et à savoir de quelle pollution vous parlez (CO2, métaux lourds, …, … la liste est longue), la décroissance n’est pas la solution à la dépollution, sauf si on reste dans le modèle ‘je brule du pétrole’. Il y a un nouveau saut quantitatif qui va être fait, le même qui s’est produit dans l’ère pétrole/charbon: c’est le soleil (60 km² en PV ‘seulement’ pour couvrir l’électricité française, sachant que c’est 25% de l’énergie totale). Faudra juste savoir stocker … … et/ou transmettre sur de longues distances

    Répondre
  3. Lionel_fr says:
    il y a 12 ans

    La décroissance est une catastrophe ultra-polluante qui engendre immédiatement un vent de panique et un recentrage vers les priorités : manger et payer le loyer. La cause environnementale est forcément reléguée en fin de liste des priorités et on « continue comme avant » dans tous les domaines. Comprenez : on ressort les vieilles charrues qui brulent autant d’huile que de fuel on se met au feu de cheminée sans aucun investissement dans une chaudière : rendement < 10% mais seule solution "gratuite" Vous pouvez dire adieu au travaux d'isolation hormis sur quelues sites ultra-markettés complètement insignifiants. La décroissance : c'est simplement un suicide élevé au rang d'industrie en plus lent et dont la brutalité croit proportionnellement avec la paupérisation. La brutalité provient de la colère collective devant la dégradation du niveau de vie et tout le monde accuse les autres de n'importe quoi avant de commencer à s'organiser pour obtenir par la force lorsque les accusations n'ont plus aucun effet. "C'est la faute des autres" : est probablement la phase à laquelle nous ne survivrons pas car les victimes seront en tout premier lieu ceux qui auront refusé les solution brutales , bien avant que les combats frontaux n'opposent les chefs de gang La décroissance ressemble beaucoup au rêve de Pol Pot , le plus méchant commence en décimant la population, suit une phase totalitaire quasi génocidaire et probablement un effondrement du régime qui est incapable de survivre autrement qu'en massacrant les gens. L'histoire est pleine d'abomination de ce genre , je suis juste étonné que de bons petits chrétiens au chaud devant leur PC essayent de convaincre leurs semblables d'installer ce genre de chaos dans leur quartier.

    Répondre
  4. jolastico says:
    il y a 12 ans

    Ca dépend de comment va se présenter la décroissance. De toute façon, la question n’est pas de souhaiter ou pas la décroissance, vu qu’elle arrivera forcément. Je ne vois aucun moyen de produire autant d’énergie qu’actuellement avec la raréfaction des fossiles et la contrainte climatique (et ne me parlez pas de solaire, d’éolien, ou de nucléaire, on n’est pas dans les mêmes ordres de grandeur). Ou alors vous avez une solution magique dans votre chapeau ? On va pouvoir augmenter un peu l’efficacité énergétique de l’économie, mais faut pas s’attendre à une révolution non plus. Les gains d’efficacité seront compensés par l’augmentation de la taille de l’économie et de la population. Non, la vraie question, c’est de savoir comment gérer la décroissance : – par la guerre : la pire des solutions – par la dictature : la seconde pire des solutions qui amènera surement à la première de toute façon. – par des politiques long terme de d’adaptations profondes de la société : on peut toujours rêver …

    Répondre
  5. zoziau says:
    il y a 12 ans

    Aujourd’hui nos comportements de consommation sont délirants, ne nous rendent pas plus heureux et détruisent notre « maison » commune à grande vitesse avec un risque avéré sur la survie de notre espèce. En prendre conscience c’est bien là que se trouve le progrès. Pour une croissance du BIB il faut préparer la décroissance des activités polluantes, à haut risque et spéculatives.

    Répondre
  6. Tech says:
    il y a 12 ans

    le titre me rapellel’histoire de la grenouille à qui on coupe les pattes et qu’on traite de sourde quand on lui demande de sauter! evidément que si l’activité décroit la consommation d’énergie décroit aussi, mais l’important est de savoir dans quel rapport! quel est l’influence du renouvellement du parc des moyens de transports, généralement plus économes en carburants, des radars qui obligent à une réduction de vitesse , de la météo, du prix dans les pays limitrophes, de la croissance de solutions alternatives (huiles végétale, véhicules électriques (pas seulement les voitures, mais aussi les scooters et les vélos à assistance), …. une vraie étude, pas une affirmation sans preuves.

    Répondre
  7. Lionel_fr says:
    il y a 12 ans

    Au sens littéral strict, le terme « Croissance » est exclusivement utilisé dans la presse pour parler du PIB, celui là même qui permet de calculer le ratio de dette et qui donne le « la » de toutes les politiques économiques. La décroissance , c’est exactement ce que vous avez en ce moment , stagnation ou récession du PIB, le premier effet visible est la montée du nombre de chômeurs. Maintenant , si on veut jouer sur les mots et embrouiller tout le monde pour être celui qui a toujours raison , on peut parler de « croissances » , ce terme est un nom commun du dictionnaire qui ne désigne aucun objet à priori , juste une évolution à la hausse de (n’importe quoi) La décroissance est avant tout le fruit d’un cerveau bien nourri mais fort peu instruit qui ignore tout de la macro économie et qui se contente de constater qu’on ne peut pas espérer croitre à l’infini. C’est effectivement le cas quand on parle de volume ou de quantité , la terre n’est pas extensible. L’économie si ! Outre le fait que la population augmente ce qui a un effet immédiat : (bouches à nourrir !) Le PIB se calcule à partir du montant des transactions , or , celui ci croit mécaniquement avec le nombre d’intervenants mais surtout du type d’économie et en particulier de son degré de dirigisme et des monopoles. Plus il y a de vendeurs, plus il y a de transactions , si un monopole vous fait payer en une seule facture le gaz, l’électricité, l’eau et votre courrier, il n’y aura qu’une seule facture par mois , une seule transaction, une seule déclaration TVA . L’impact sur le PIB de cette transaction sera le même en apparence mais dans les faits , en payant 4 factures différentes, vous « alimentez » une dizaine de services de facturation qui n’ont rien à voir entre eux et génèrent chacun du PIB… En fait le mode de calcul du PIB est très contestable , comme beaucoup de choses mais il est comparable d’une année à l’autre et c’est précisément ce delta qu’on appelle la croissance (ou la recession) Libre aux décroissants de partir dans de grands trucs philosophiques sur la croissance mais n’espérez pas que le monde change de mode de calcul simplement parce qu’ils ne le trouvent pas à leur goût. Je répète que la décroissance est une notion populiste qui à l’instar du communisme , ne nous apportera que des cataclysmes qui rendront les questions environnementales complètement absurdes. L’évolution dans l’énergie et la pollution necessite beaucoup d’investissement , donc de croissance et de consommation. Je n’ai pas l’ambition de résoudre tous les populismes sur le forum d’Enerzine mais je crois que parfois il faut quand même rappeler les choses fondammentales car les croyances païennes ne se gènent pas pour réduire l’économie montiale à la métamorphose d’une mouche. Bien que très intéressantes les différentes utilisations du mot Croissance ne décrivent absolument pas les mêmes phénomènes selon le complément d’objet qu’on lui attache. La croissance , c’est le PIB ! la croissance d’un plant de tomate , c’est autre chose et je suis d’accord : aucune tomate ne croitra jusqu’à la stratosphère.

    Répondre
  8. Tassin says:
    il y a 12 ans

    Petite précision quand même, si le chômage augmente, c’est essentiellement à cause de l’augmentation continue de la productivité, le fait que ça se voit plus en période de stagnation économique s’explique par le différentiel entre croissance de l’économie (0 à 1% depuis 2008) et hausse de la productivité (3 à 4%/an). Ne mélangez pas austérité ou récession, et décroissance, ce dernier terme renvoyant à des solutions de baisse de la productivité ou du temps de travail plutôt que de continuer à faire augmenter le chômage comme c’est le cas actuellement.

    Répondre
  9. zoziau says:
    il y a 12 ans

    A votre avis l’homme vient-il sur terre pour se mettre de sa naissance à sa mort au service de l’économie et du « dieu » croissance ou n’est-ce pas plutôt l’économie qui devrait être au service de son développement et de son épanouissement pendant ce court passage ? Il faut cesser de nous dire que nous avons découvert la « loi » économique universelle dans le temps et l’espace, c’est juste une théorie dominante depuis une toute petite partie de l’histoire de l’humanité. Qu’on ait un cerveau bien nourri ou pas chacun peut voir aujourd’hui facilement les limites de cette théorie ; 95% d’échanges virtuels et de spéculation pour 5% d’économie réelle, un indicateur PIB totalement décalé qui mesure les catastrophes et les pollutions comme un progrès ! etc, etc. On peut continuer de la sorte en cherchant simplement à éteindre les prochains incendies économiques, sociaux et environnementaux et en continuant la compétition de tous contre tous jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de combattants. Mais on peut aussi rechercher d’autres voies plus coopératives équitables et épanouissantes pour les générations à venir, chercher de nouveaux modèles n’est pas une régression. Penser que le modèle actuel atteint la perfection en est clairement une sérieuse.

    Répondre
  10. Lionel_fr says:
    il y a 12 ans

    Vous êtes sympa avec vos considérations théologiques mais je vous rappelle que chacune de vos cellules a été alimentée en protéines et glucose par des produits issus de l’économie de marché, je ne parle même pas de la machine sur laquelle vous écrivez .. Alors si on veut vraiment parler de dieu, admettons que notre soupe originelle n’a peut être pas les faveurs de vos opinions mais on lui doit d’être là alors que d’autres, comme au nord de la péninsule coréenne auront du mal à épiloguer sur ce thème passionnant avec nous. Encore une fois , scientifiquement parlant, la pollution n’est négative que parce qu’elle entre en conflit avec la santé des organismes cellulaires qui la produisent !! Géologiquement parlant , la terre se fiche complètement du niveau des océans ou des températures. A moins de supprimer l’oxygène ou vitrifier la planète avec des bombes nucléaires, les especes qui disparaissent seront remplacées par d’autres et c’est d’ailleurs exactement ce qui est arrivé à un petit rongeur il y a 65 millions d’années dont nous sommes les descendants selon « Nature » (mais pas les créationnistes) Quant à l’alchimie de la productivité versus le PIB, je rappelle que le PIB est un ratio basé sur les transactions et non pas sur la valeur intrinsèque. La productivité est un autre problème que la France doit résoudre si elle veut rester à son niveau de vie actuel. Enfin, comme vous l’avez peut-être déjà déduit, le PIB est un calcul stable dans le temps , vous pouvez lui appliquer des ratios autant que vous voulez et poursuivre vos calculs sur cette base mais le PIB reste le PIB (notre acceptation n’est pas requise ici) Maintenant quand je pense à l’usine GoodYear , je pense que l’américain avait vraiment l’intention de la racheter avant que notre ministre s’en mêle , donne raison aux syndicats et provoque l’annulation du rachat. Une partie du chômage actuel ne dépend pas du PIB (mais le PIB s’en trouvera abaissé) mais de la crainte que le gvt actuel inspire à ceux qui ont les moyens d’embaucher… AH ! last but not least : il manque environ 300 000 mecs comme moi en France , emplois non pourvus / projets abandonnés faute de main d’oeuvre… C’était quoi déjà cette histoire de minitel ? un monopole? (ironie)

    Répondre
  11. Sicetaitsimple says:
    il y a 12 ans

    vous me ravissez! Globalement je suis d’accord. La bonne question (sur le sujet de l’article) est posée par Tech: dans un chiffre global , certainement lié principalement au ralentissement de l’économie, quelle est la part du progrès technologique ( renouvellement progressif du parc de véhicules) et des comportements individuels non (ou peu) subis (réduction de vitesse, covoiturage, substitution route/autre,…) etc…

    Répondre
  12. Lionel_fr says:
    il y a 12 ans

    Je suis d’accord aussi avec vous M 6ct .. Comme je manipule beaucoup de lignes de calcul ces jours-ci , c’est peut-être une déformation professionnelle mais il y a un bug dans le mot « part » Dit autrement , avant de connaitre la « part » du comportement (logaritme) , il faut faire la somme des quantités (linéaire) Comme sous serons aussi d’accord sur la difficulté à lister tous ces comportements et leur associer un chiffre (additionnable) on peut essayer de le faire sur échantillons de population et appliquer un quota sur le nombre d’habitants (publié) de la zone considérée : le quota est videmment une cause d’erreur monstrueuse , il faut donc essayer de le « dissoudre » en prenant échantillonnant plusieurs régions avec le plus de personnes interrogées possible afin de réduire le multiplicateur : les taux d’erreur de 10 000% ne rebutent que rarement les sondeurs regretterai-je ici Puis, on fait la somme des zones et on doit retrouver le chiffre de population nationale (ou on a merdé quelque part) et vous aurez un chiffre plus ou moins obtenu avec des additions (de valeurs mises à l’échelle hélas). C’est alors et alors seulement que vous pouvez faire l’ultime division qui vous donnera la « part » des comportements versus la chute d’activité. Les méthodes de calcul basées uniquement sur les chiffres nationaux publiés ont un taux d’erreur supérieur à 100% ce qui va provoquer des artefacts monstrueux dans votre courbe ..

    Répondre
  13. gaga42 says:
    il y a 12 ans

    Mon cher Lionel, Votre discours passeiste sent un peu trop une rhétorique tendance sophisme somme toute assez banale, mais surtout une idéologie de droite radicale qui n’a pas sa place ici. Affirmer, entre autres affirmations gratinées, que si on ne milite pas pour la croissance, on va droit vers PolPot, faut oser quand même… ET je vous jure que je n’ai pas de couteau entre les dents.

    Répondre
  14. Lionel_fr says:
    il y a 12 ans

    Personne ne milite pour la croissance , militer , c’est un truc de prédicateur, c’est monter sur une chaise pour s’adresser à la foule , non , la croissance n’a rien à voir avec ça. Pour mieux comprendre , il faut d’abord comprendre que des millions de personnes font dans leur frok à l’idée d’une recession car ça va les obliger à vendre leur maison et renoncer à mener la vie qu’ils ont travaillé pour obtenir. quand il n’y a plus rien sur votre compte bancaire , certaines questions fondamentales prennent le dessus sur tout le reste , notamment l’environnement , voilà ce que je veux dire. Maintenant un fonctionnaire peut me répondre qu’il s’en fiche de son compte bancaire puisqu’il y aura toujours « quelque chose » qui viendra se créditer dessus en fin de mois jusqu’à la fin de sa vie … Les gens qui ne sont pas fonctionnaires (grosse majorité) ont une interprétation complètement différente car quand rien ne tombe sur le compte , celui-ci se rapproche inexorablement du ZERO fatidique et franchement que vous pensiez que c’est une vision passéïste ne m’émeut pas des masses Le problème avec les incantations politicardes populistes aveugles comme la décroissance , c’est que – décroissionniste ou pas – le mec dont le compte est à zero n’a pas d’autre choix que de vendre ce qu’il possède et/ou devenir le parasite de ses amis à qui il va demander de lui preter des (grosses) sommes d’argent Mais avec votre système futuriste (je vous paraphrase) , si je comprends bien , la décroissance est partout , je veux dire que les amis du gars qui est dans la merde , ils sont eux aussi dans la merde et donc , plus personne ne peut preter à ses amis , il faut donc trouver autre chose devenir le parasite des hébergements sociaux en se faisant ramasser dormant dans la rue ou n’importe quoi d’autre Allez , je comprends bien que la seule chose que vous parasitez ici , c’est un forum qui parle d’efficacité énergétique , en lui proposant des solutions dont vous ne maitrisez même pas le premier nanogramme Il suffit de vivre dans un tonneau comme Diogène , et tout ira bien .. bon ! moi aussi parfois je m’enfile un verre de schnaps et je déconne complètement après , mais là il me semble que je n’ai bu que du café, c’est sans doute le café qui me rend conservateur sur les histoires de ronds

    Répondre
  15. Tassin says:
    il y a 12 ans

    @ Lionel_fr : « Quant à l’alchimie de la productivité versus le PIB, je rappelle que le PIB est un ratio basé sur les transactions et non pas sur la valeur intrinsèque. La productivité est un autre problème que la France doit résoudre si elle veut rester à son niveau de vie actuel. » Ecrire une telle chose alors qu’on est les champions européens de la productivité c’est quand même révélateur d’une non-connaissance du sujet.

    Répondre
  16. Lionel_fr says:
    il y a 12 ans

    Waou , Tassin la productivité calculée en PNB par heure travaillée , c’est vraiment une vision comment dire .. très sélective … Je traduirai par , combien tu factures ton heure travaillée et effectivement , les français la facture nettement plus chère que les autres Le problème c’est que pour traduire ça en PIB l’heure , il faut que quelqu’un l’achète et c’est un peu là que ça pèche. On a tous entendu que les français coutent cher , maintenant il faudrait que la véritable productivité , c’est à dire produire « plus » par heure et non pas « plus cher », ya comme une méchante nuance dans le paradigme , vous avourez que ce n’est pas anodin Vous ne pouvez pas ignorer qu’on vend de moins en moins . Notre incapacité à baisser nos prix comme le font les asiatiques est plutôt une mauvaise nouvelle qu’une bonne à priori Ca ne m’étonne pas du Monde ce petit graphique tombant à pic pour défendre les 35h, c’est bien joli tout ça mais le rapport avec l’efficacité énergétique devient assez flou selon moi

    Répondre
  17. Lionel_fr says:
    il y a 12 ans

    non pitié pas de janco sinon je boude. L’économie n’est pas mon point fort , c’est juste un passe-temps et une boussole.. Votre calcul est effectivement très jancovicien. L’homme qui minore drastiquement le rôle d’internet sur… son site web Well , le numérique n’est pas que internet , je dirais qu’internet , c’est un peu le numérique du grand public de plus en plus pauvre. Tout le monde ne peut pas se payer de réseau alternatif mais comme l’enjeu devient chaque jour un peu plus militaire et que l’armée est justement une des rares entités à posséder des voies de (télé)communication bien à elle , l’internet d’aujourd’hui devra sans doute se scinder en internet grand public et réseau professionnel non connecté à internet , crypté et synchrone.. désolé pour le jargon Bon le rapport energie/PIB n’est pas gravé dans le marbre, il s’est installé comme cela parce que l’énergie n’était pas chère or l’industrie ne peut pas changer un tel paradigme en moins de 25ans Toyota et Vestas sont deux exemple de « PIB à énergie positive » , ce ne sont pas les derniers, le relatif echec des VP tout electriques à la française releve plus d’un manque de psychologie que d’une absence d’opportunités L’énergie restera un bien précieux même si les leds, les processeurs 14nanometre et les écrans oled permettent de vraies bouffées d’air. La production d’énergie atmosphérique (vent, soleil..) n’en est qu’à ses débuts. L’hydraulique et fossile n’ont pas moins d’un siècle d’avance et le nuke un demi siecle. N’oubliez pas que la longévité du PV a été grandement sous estimée et même si les panneaux touchent un plateau dans leur déflation , leur lente implémentation ne varira pas d’un iota , chaque année un peu plus. La prochaine génération nanométrique refera un carton et d’ici là 50TWh/an seront ajoutés au productible jusqu’à 2015 : arrivée des premiers VP à hydrogène qui vont progressivement résoudre l’intermittence et remplacer la moitié du fossile mondial (celui des transports) En dépit des problèmes sérieux sur l’économie mondiale actuellement, (la R&D arrive toujours trop tard) la période est interressante car on est vraiment sur un carrefour où beaucoup de nouvelles voies apparaissent. Même si on peine à couvrir la seule croissance de consommation énergétique avec les nouvelles technos , il ne faut pas oublier qu’elles sont très jeunes. En fait, elles sont juste à leur première génération de matûrité économique. Et les problèmes de l’industrie PV démontrent bien à quel point il est dangereux d’aller trop vite (un autre bon exemple est la crise de 29 et l’automobile, l’auto a-t-elle périclité pour autant ?) Bref , ça prend du temps à l’échelle d’une vie humaine , il y a de quoi s’impatienter ! cela dit on peut désormais dire que ni l’éolien ni le PV ne risque de s’effondrer , leur premier pari est donc largement acquis. Les 50GWc de productible PV chinois les a précipités dans une crise de croissance , c’est simplement trop et trop vite. Lorsque il y aura autant de technologies solaires qu’il y a de systèmes de transports par exemple , la croissance de l’énergie solaire (pas le PV mais globalement tous les moyens de fournir à partir du soleil) connaitra une croissance comparable à celle des transports. Il faudra bien que les carbs algaux (joule et sapphire) produisent quelques millions de tonnes par an avant de couvrir les déserts australiens et africains… Vous imaginez le PIB que ça va faire ?

    Répondre

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