Lancé en juin 2015, le projet Lifes50+, qui réunit autour de lui pas moins de 12 partenaires de 8 nationalités différentes, vise à anticiper l’évolution inéluctable du marché de l’éolien flottant vers l’implémentation d’éoliennes de plus en plus puissantes.
Cette évolution permettra de réduire, à terme, le coût de l’électricité d’origine renouvelable.
La première étape du projet porte sur l’adaptation de la fondation Ideol à une éolienne de 10 MW et sa comparaison avec trois autres concepts de fondation flottante. Début 2017 et sur la base d’une analyse multi-critères (techniques, industriels, économiques, environnementaux), deux concepts de fondation flottantes seront choisis pour poursuivre les études.
Plus largement, ce projet de recherche & développement est un terreau idéal pour stimuler l’innovation, permettre aux décideurs de réduire leurs risques et surtout créer les conditions de la diminution du coût final de l’énergie produite.
Financé à hauteur de 7,3 millions d’euros par le programme Horizon 2020 de l’Union Européenne, Lifes50+ est coordonné par la société norvégienne Marintek et réunit outre Ideol, Politechnico de Milano, DTU, Ramboll, ORE Catapult, Universität Stuttgart, Iberdrola I&C, DNV GL, Tecnalia, Insitut de Recerca en Energia Catalunya, Olav Olsen.
"Les coûts de l’éolien en mer doivent tendre vers la parité réseau. L’augmentation de la taille des turbines et le développement de l’éolien flottant sont deux axes stratégiques pour l’atteinte de cet objectif. Notre technologie a été identifiée comme l’une des mieux placées pour accueillir des turbines de grande capacité notamment par son extrême compacité. La participation d’Ideol à ce projet européen était donc essentielle et naturelle. Elle témoigne pleinement de notre volonté de poursuivre activement, en parallèle de la commercialisation de notre fondation, nos activités de recherche et développement pour bien préparer l’avenir" a déclaré Paul de la Guérivière, PDG d’Ideol.
au moins quand et si il y a une rupture de pale (de plus de 100m…) seuls les petits poissons auront à en subir les conséquences. Et sans parler des infrasons (pauvres cétacés) Finalement les « tours » de 1000 m dans des endroits désertiques sur terre, ont aussi leur charme.
la probabilité qu’une rupture de pale d »éolienne en mer tue ne serait-ce qu’un seul poisson est infinitesimale! et je dirai comme hudax, comparé à l’augmentation de la vie qui se produira sur chaque support ! pour les infrasons et autres joyeusetés sous marines, demandez plutôt a tous les utilisateurs de sonars de les éteindre! irréaliste? oui, ou plut$ot improbable comme les dégats imagonnés de la chute d’une pale d’éolienne en mer :o))