Westinghouse Electric Company a annoncé récemment avoir signé un contrat avec Barsebäck Kraft AB en vue d’apporter son soutien au premier démantèlement d’une centrale nucléaire commerciale en Suède.
Le travail consistera à segmenter des composants internes sous pression de la cuve du réacteur à la centrale nucléaire de Barsebäck comportant deux réacteurs.
"Westinghouse continue d’investir, d’optimiser et de développer ses outils, processus et personnels en utilisant sa technologie et son expérience mondiales afin de servir ses clients dans le monde entier. Nous sommes heureux que nos engagements soient reconnus par nos clients par le biais de ces adjudications" a déclaré Aziz Dag, vice-président et directeur général de Westinghouse pour l’Europe du Nord.
Barsebäck est une centrale à réacteur à eau bouillante conçue par ABB et située dans le Sud de la Suède, à 30 kilomètres de Malmö. Le premier réacteur, Barsebäck 1, a été fermé le 30 novembre 1999, et le deuxième, Barsebäck 2, a cessé d’être exploité le 31 mai 2005.
L’opération visant à démanteler, segmenter et conditionner les composants internes sous pression de la cuve du réacteur – ceux qui sont les plus proches du cœur du réacteur –, en vue de leur élimination définitive, réduira de manière significative la radioactivité restante dans la centrale depuis l’arrêt de l’exploitation et facilitera un démantèlement sûr du reste de ses composants.
Westinghouse indique enfin mettre en œuvre ses techniques éprouvées de découpage mécanique sous l’eau, contrôlé à distance, et emploiera des équipements conçus spécialement que la société fabriquera et testera dans ses installations de Västerås, en Suède, pour les retirer.
Le projet qui a démarré devrait durer environ quatre ans. La segmentation mécanique débutera en 2016.
« la segmentation mécanique » et les segments après ils vont où?
Ca dépend. Ca vous va comme réponse ? C’est pas trop « novlangue » ?
De voir un démantèlement commencer par la cuve. A Chooz, c’est au contraire la dernière étape, du moins pour les équipements contaminés. A voir si les experts français pourraient en tirer des leçons. Et puis un autre point amusant, c’est qu’avec ce genre de technique, il devient envisageable de remplacer la cuve. Arréter le réacteur, noyer la cuve, découper la cuve, évacuer les morceaux dans des conteneurs de déchets radioactif, et on est prêt à installer une nouvelle cuve. Evidemment ça couterait très, très cher, et ça doit quand même immobiliser le réacteurs plusieurs années, mais c’est à comparer au coût de construction d’un réacteur neuf.
« Et puis un autre point amusant, c’est qu’avec ce genre de technique, il devient envisageable de remplacer la cuve. » En effet, sous réserve du maintien de la résistance de l’enceinte de confinement, on pourrait imaginer exploiter une installation pendant au moins 2 x 50 ou 2 x 60 ans. Et il paraît que les bons bétons peuvent tenir 120 ans au moins ! Un réacteur serait renouvelable. C’est de la spéculation gratuite qui en plus n’arrange pas les affaires de CO2/kWh du nucléaire qui risquerait alors de passer en dessous de 3 grammes !
« L’opération visant à démanteler, segmenter et conditionner les composants internes sous pression de la cuve du réacteur » Ceci dit, dans le cas présent, il me semble que ce ne sont que les « internes » qui sont découpés et pas la cuve elle-même. Et puis c’est de l’eau bouillante.
A mon avis, encore un contrat perdu par Areva… @Dan1 Exact, mon oncle avait visité le chantier de golfech fin des années 80. Il avait posé la question a un ingénieur qui lui avait dit que ce qui fixe la limite d’age maximale d’une centrale nucléaire, c’est le viellissement du béton. De mémoire, il lui avait cité à l’époque que l’ouvrage était concu pour garder ses propriétées au moins 50ans . Si les cuves tiennent déja ce délai, je vois difficilement qu’on la remplace pour refaire ensuite l’enceinte quelques années plus tard… Ou alors il faut dimentionner le batiement pour plus de 100ans.
Les USA ont testé plusieurs approches pour le démantellement. La plus interessance commence par la décontamination des équipements internes afin d’enlever 95% de la radioactivité tout en laissant les lieux confinés puis découpe sous eau c’est semble t il cette technique qui a été utilisée en Suède
Bon, personne n’a relevé ma réponse provoc’. C’est dommage. L’idée du découpage en petits bouts de la cuve, c’est de trier ensuite selon le degré d’irradiation. Ca paraît logique et naturel, pour ensuite permettre le recyclage de ce qui est « propre ». Ce qui est peu radioactif (on dit « sous le seuil de libération ») deviendra des petites cuiller IKEA… Ce qui est au dessus du seuil sera compacté/refondu pour refaire de la plomberie nucléaire. En France, il n’y a pas de « seuil de libération » : un objet devenu radioactif devient un déchet radioactif, et il ne peut jamais re-devenir un objet banal sur un simple critère automatique… PS @Dan1 : quand on veut changer une cuve, le plus dur n’est pas d’enlever l’ancienne, mais de faire entrer la nouvelle… Et puis c’est des REB, on ne va quand même pas prolonger ces sal….ries, concept éculé.
bien sur selon Devoir de réserve qui s’exprime quand même (vive la démocratie!) Tech serait un c.n qui n’imagine mêm pas que les « démanteleurs » n’ aurait même pas le minimum de jugeotte pour trier les rebuts suivant leur radioactivité !!! oui et alors une fois triés ils vont où les plus irradiés? et quel sera le niveau de threshold (je ne trouve plus le mot français et la flemme de hercher sur internet)? vu le pasé du patron d’ikea (selon vous!) cela ne m’étonne pas qu’il se foute de l’origine des matériaux des produits qu’il vend !!!
Facile pour treshold, c’est seuil de libération. Seuil de libération est le terme employé par Devoirderéserve dans le commentaire immédiatement au-dessus. Mais pas besoin d’aller chercher Ikéa pour trouver deux poids deux mesures en Europe. Notre voisin allemand qui démantèle aussi des réacteurs nucléaires, n’est pas soumis à la même réglementation que nous en France. En France, tous les déchets nucléaires sont présumés dangereux et radioactifs… même s’ils ne le sont pas. Cela complique considérablement la problématique du stockage après démantèlement sans accroître la sécurité et dela inter’dit un recyclage maîtrisé des déchets non dangereux. En Allemagne, certains déchets non dangereux, mais provenant de l’industrie nucléaire peuvent être recyclés et donc peuvent parfaitement se retrouver par exemple dans une voiture Volkswagen vendue… en France (et évidemment confiormément aux normes… même antipollution : Cette situation ne semble pas choquer Die Grünen.
Et voilà le point de vue d’un connaisseur :
pas rassurant ce lien moi j’en retiens ça « Les sites actuels ont en effet une capacité insuffisante » tant que rien ne change!
Si vous ne voulez pas être rassuré par le système français de gestion des déchets nucléaires, c’est votre problème. Reste, que pour rester cohérent, vous devriez alors dénoncer les systèmes de gestions de beaucoup d’autres pays européens dont les allemands qui recyclent certains déchets nucléaires radioactifs (et éventuellement les exportent) alors que les français s’obligent à stocker des déchets d’origine nucléaire mais non radioactifs ! Deux poids deux mesures et toujours de l’indignation à géométrie variable.
Vous n’avez probablement pas compris qu’il est inutile d’attaquer la France sur la problématique du taux de dilution en matière de recyclage des aciers d’origine nucléaire, puisque la France s’interdit de recycler les matériaux d’origine nucléaire (sauf pour refiare du nucléaire !) et les considère comme des déchets. En revanche vous pourriez attaquer d’autres pays européens dont l’Allemagne et vous ne le faites pas…. POURQUOI ? Vous me paraissez vous comporter comme un antinucléaire assez commun.
Ah bon, alors pourquoi balancer : « Pour cela, il y a un outil potentiellement très efficace : la transparence. Ahah en France, c’est une blague? » C’est quand même bizarre d’attaquer ceux qui sont le plus strict (probablement trop) sur la gestion des déchets d’origine nucléaire et pas nécessairement radioactifs ?? Vous en pensez quoi de la gestion du démantèlement en Allemagne ?
« silence absolu sur ce qui s’est deroulé à fukushima, Etat nucleaire en general –> transparence du nucleaire en France, ca sonne comme une blague! » Donc vous avez de graves lacunes dans le domaine nucléaire et vous ne lisez jamais les documents de l’IRSN, les rapports parlementaires et vous devez très mal lire Enerzine ! C’est soignable, mais ça exige quelques efforts. Et une haute autorité européenne déciderait de quoi en matière de gestion des déchets nucléaires de faire comme les Allemands ? Je note au passage que vous ne répondez pas sur l’exemple allemand. Vous êtes un antinucléaire très commun.
Ben commencez d’abord par lire les publications de l’IRSN sur Fukushima au lieu de coller une étiquette a priori et vous reviendrez en parler.
« si vous commenciez par decrier ce qu’il se passe en allemagne » Lisez Enerzine !
pour éviter de parler des problèmes locaux on dit que c’est pire ailleurs !!! c’est un peu enfantin comme comportement. le but ne serait pas de faire bien ou mieux, mais moins mal que les pires !!! quelle noble ambition !!!
A Tech « pour éviter de parler des problèmes locaux on dit que c’est pire ailleurs !!! » Vous la connaissez bien cette technique ? En l’occurence cela s’applique assez mal au cas très particulier de la gestion des déchets d’origine nucléaire à très faible activité ou sans activité du tout. En effet, il n’y a pas de problème « radioactif » en France qui gère avec excès de précaution et considère les déchets nucléaires non recyclables à l’extérieur de la filière quand bien même ils sont non radioactifs. L’éventuel problème peut être posé en Allemagne qui, comme d’autre pays, l’IAEA et la Commission Européenne, accepte des seuils de libération qui permettent le recyclage de déchets nucléaires à l’extérieur de la filière nucléaire : Et je vais même citer un document de la CRIIRAD : C’est pour cette raison que je disais, comme « Devoirdereserve », que l’on pouvait retrouver des déchets d’origine nucléaire dans une voiture Volkswagen vendue en France. Bon, mais vous connaissez la technique : « pour éviter de parler des problèmes en Allemagne on dit que c’est pire en France !!! »
Il me semblait bien que ça allait revenir en France : « alors que nous en France on se contente de stocker pour les generations futurs en se promotionant RESPONSABLE (!). » Les déchets concernés sont évidemment les TFA qui ne posent déjà pas vraiment de problèmes et qui ont une solution de stockage en France depuis 2003 : Les générations futures auront bien d’autres préoccupations beaucoup plus urgente que d’aller voir ce qui se passe à Mrovilliers ! Et l’avantage de la France est de déjà posséder des solutions pratiques pour tous les déchets, contrairement à l’Allemagne et à d’autres pays. Parce que plus on est contre le nucléaire électrogène et plus il faut se préoccuper vite des solutions de stockage.
« Il est evident qu’il faille s’en occuper, et pour longtemps…donc combien ca coute à l’exploitant, à Areva, au contribuable. » L’appel au contribuable… Très vieille antienne antinucléaire et marqueur très fiable des antis. Sauf que le nucléaire électrogène, y compris le stockage, est payé par les consommateurs d’électricité selon le principe qu’EDF ne donne pas et n’a jamais donné ses kWh. Pour ce qui concerne les scandales sanitaires des déchets TFA, c’est pas en France qu’il faut chercher, ils sont confinés et contrôlés, même s’il n’y a pas de radioactivité. Allez donc voir en Allemagne si ça pose problème de recycler des bétons et des aciers dans les routes ou les carrosseries de voiture ??
« dans 2000ans, les placements boursiers seront toujours rentables comme aujourd’hui… » Exagération typique de l’antinucléaire. Dans 2000 ans CIGEO sera financé construit et rempli et obturé et il ne restera que la mémoire à entretenir ! Je recite Talleyrand : « tout ce qui est exagéré est insignifiant » C’est maintenant que le problème de la gestion des déchets nucléaires se pose. et il se pose de façon plus aigüe en Allemangne qu’en France pour deux raisons : – ils veulent sortir vite du nucléaire, – ils n’ont pas de solution de long terme.
Vous êtes incroyablement extravagant ! Allez, on met tous dans une fosse océanique, c’est tellement sixties’ comme idée… Sauf qu’il y a un truc, qui s’appelle le droit international de protection de l’environnement. Pas de pot : votre solution idéale est interdite. Je m’étonne que vous ne suggériez pas la désorbitation vers le Soleil. Sur le fond, je vous cite : « Pour moi la solution la plus sure, c’est un contenant qui se degrade tres tres lentement afin de relacher la radioactivité en dose raisonable pour le vivant ». Après 20 ans de travaux scientifiques, menés conjointement par le CEA (disqualifié ?), l’Andra (intéressé ?), l’IRSN (pas audible ?), le CNRS et les Universités (achetés ?), le meilleur contenant trouvé répondant à votre définition c’est la couche d’argile dite callovo-oxfordien, de l’est du bassin parisien, situé sous la Meuse à 490m de profondeur. C’est le projet CIGEO. En 2013, il devait y avoir un débat PUBLIQUE, il y a eu des tonnes de documents publiés sur le web. Et quelques excités dans votre genre ont POURRI cet acte de transparence démocratique. Alors, quand les gouvernants s’assieront sur la Démocratie, à la faveur d’une crise quelconque, vous n’aurez plus que vos yeux pour pleurer. Les technocrates dévoués mais soi-disant pas transparents, les académiques rigoureux mais supposément achetés, les ONG modérées et honnêtes mais forcément traitres à votre cause ne vous remercient, vous et tous les idiots utiles, les complices, les fossoyeurs du droit et de la Démocratie. Votre opposition stupide, systématique, ignorante, dégoulinante de désinformation commence à me faire ch..r. Enfin, on s’en fout, c’est l’état d’urgence. La loi sur le renseignement nous rend tous suspects. Vous allez en avoir de la transparence. Allez, ciao, à dans une autre vie.
« Votre opposition stupide, systématique, ignorante, dégoulinante de désinformation commence à me faire ch..r. » Vous avez pas le sentiment que c’est son but, en fait…? De toute façon, le probleme des déchets existe, qu’on continue ou pas à faire tourner les centrales, il faut de toute façon le régler. Et comme l’essentiel du cout de la methode du stockage jusque à disparition n’est pas lié au volume, plus on fait des déchet, moins la tonne de déchet coute cher. Si la solution des déchets est réglée ça liquide 25% de l’argumentaire antinuke, d’ou l’opposition systèmatique a tout ce qui pourrait réussir. Son but de proner la dispersion vient du fait que dans cette « solution » le volume a une importance et justifie une sortie rapide…
« Ma solution pour les dechets de faibles rayonnements ne convient pas, peutetre bien honnetement j’aimerais bien m’appuyer sur les faits de fukushima (deversement dans l’ocean depuis 4 ans), connaitre les consequences et la bizzarement on a rien a se mettre sous la dent! » B’en il n’y en a pas vraiement, si ce n’est qu’ils ont du probablement mettre en place des interdictions de pêche dans les zones ou le poisson pourrait concentrer des radioelements, ce qui va probablement permettre le repeuplement de ces zones marines, comme c’est le cas pour la zone autour de Tchernobyl… (y a pas que des inconvenients). Pour l’avenir de faune marine votre proposition serait excellente. Pour les pecheurs, peut être un peu moins. Disons que comme il est relativement facile et peu couteux de ne pas disperser les déchets, autant s’y prendre comme ça. L’avantage des déchets radioactifs, c’est que le temps les fait disparaitre (ce qui n’est pas le cas d’autre déchets chimiques qui sont quasi indestructibles), il suffit d’être capable de les stocker suffisamment de temps (variable selon le dechet) pour s’en débarasser sans qu’ils encombrent les générations futures. « Oui le probleme il va faloir le regler parque ca fait un sacré moment qu’on prend les gens pour des imbeciles avec des procedés miraculeux : Les rayonements ionisants vont traiter les dechets…ben oui on a entendu, supporté et maintenant on a vu! » On a vu quoi? « Le conditionement il va faloir le verifier de temps en temps, donc niveau logitique c’est pas une simple galerie d’argile ou on oubli tout. » B’en si, c’est exactement ce qu’il va se passer. Qu’est ce que vous voulez surveiller? « Allemagne, 3milliard pour sortir les futs sous la mine de sel…forcement le charbon ils trouvent ca cool). Donc jusqu’a disparition, c’est du pur phantasme (au mieux) » Le coup des mines de sel n’était certainement pas une bonne idée mais j’ai de plus en plus le sentiment que dans la culture allemande, seul l’apparance compte, la vérité importe peu. Comparez la façon dont ont été rangés dans les mines, c’est trés instructif sur le sérieux de l’opération… « Je pense pas que demonter la 2G rapidement soit futée, je suis plutot pour le garder pour faire la transition (faut aussi jouer le jeu des ENR) mais pour l’EPR ne comptez par sur moi…donc il va faloir demonter un jour » B’en oui, mais a la suite de la 2G, on sera rodé a ce moment là! Sinon, Je suis plutot d’accord avec vous, difficile de prévoir ce que sera l’avenir sauf que ça ne justifie pas non plus de faire n’importe quoi avec les ENR. Actuellement il n’y a pas de visibilité sur leur capacité à remplacer de manière économique le mix actuel. ça permets tout juste de dimminuer un peu les émissions d’un mix fossile. Malgrés tout ce qui se raconte, ce n’est pas a la hauteur d’une transition energétique, juste un appoint, une inflexion. Concernant l’EPR, faut voir, car si le KWh restera aussi cher qu’indiqué par certains, il faudra effectivement se poser les bonnes questions. Mais je doute que les difficultées de l’EPR soit un echec de la technologie nucléaire, c’est un échec industriel, ce qui est sensiblement different. On peut comparer à ce qui s’est passé avec le solaire PV, ce n’est pas parceque la quasi totalité des constructeurs européens ont fait faillite que la technologie du PV est mauvaise .
@EnerZ : franchement, vous faites un drôle de métier…
« J’ai vu qu’on prefere bouillir de l’eau pour produire de l’electricité, que prendre cette energie pour iradier les dechets… » A ma conaissance, on a utilisé PX/ SPX qui faisait les deux operations en même temps. Ca fait de l’électricité tout en transmuttant les déchets (dont une partie des déchets est en fait le combustible de l’opération). A la fin, en cycle fermé, il ne reste que des déchets à durée de vie moyenne. Mais vous avez d’autres exemples? « Que la mixité chimique de ces dechets sous iradiation est je suppose ingerable industrielement. » C’est ce qu’ils font tous les jours à la hague (entre autres). C’est pour cela qu’il y a trés peu de HAVL. La chime fonctionne trés bien, même sous irradiation. « Ben que la couche d’argile ne se fissure pas, n’est pas de transformation chimique du aux rayonnement, pas de diffusion d’eau irradier sur le long terme, que la chaleur residuelle des dechets ne provoquent pas des fissuration de la zone d’argile? » Ces expériences sont déja toutes en cours, (c’est pour ça que ça prends du temps) notamment celles sur le pouvoir d’autocicatrisation des fissures des cette roche. Quand vous allez dans ces galleries vous avez souvent de l’eau au dessus de votre tête, en dessous mais la galerie est parfaitement étanche, et ça depuis des des millenaires (démontré) bien qu’il y a des traces d’anciennes fissures qui se sont refermées (visibles). C’est cette roche qui est comme ça et c’est pour cela qu’elle a été choisie. « Dans ce cas ma solution au fond de l’ocean est la bonne, par 5000-7000metres de fond, les pecheurs sont aux abonnés absents et la vie peut continuer sur terre… » L’ennui c’est que la seule barierre est le contener, bien qu’il soit trés fiable, il sera exposé, s’il faillit, on retrouve le tout dispersé dans l’océan. Sur les stockages géologiques, 2 barrieres sachant que l’association des deux fait que ça s’auto protège mutuellement. Le risque est bien moindre . Les risques principaux sont qu’il pousse un volcan sous le stockage (l’endroit est choisi pour l’éviter) ou la méteorite géante (dans ce cas l’europe n’existera plus, donc le souci de l’échec du stockage passe au second plan…)
Cet article du monde fait froid dans le dos Là, on est très loin des coûts de production, des déchets, etc… Si EDF, ou un de sous sous-traitant a embauché un frapindingue ou un converti radicalisé. Apparemment en Belgique, ils ont eu un cas!
Votre analyse sur l’article du monde et également sur le sabotage de la centrale de Doel (Vous le saviez?) À la Gemanwings, l’inconcevable est pourtant arrivé.
« Votre analyse sur l’article du monde et également sur le sabotage de la centrale nucléaire de Doel (Vous le saviez?) » Ce n’est pas à vous ou moi d’analyser cet évènement (et certainement pas sur internet), cette tâche revient aux services compétents de l’Etat. « À la Germanwings, l’inconcevable est pourtant arrivé. » Il faudrait arrêter d’utiliser le mot « inconcevable » à tort et à travers : L’accident de la Germanwings était parfaitement concevable, il était d’ailleurs loin d’être le premier du genre.
Dans le débat public, ce genre d’évenement « concevable » dans un pays qui se déclare en « guerre » me préoccupe en tant que citoyen (même si je ne vois plus les panaches de la centrale de Nogent sur Seine). L’article du monde est sur internet avec une myriade de commentaires associées.
Le stockage géoloogique est la phase ultime, celle ou il n’y aura plus à s’en occuper. Pour stocker les déchets qui par nature chauffent, il faut donc les diluer de manière à éviter de dépasser une certaine dissipation au m3. d’ou un cout a l’année, mais au début seulement. Pour réduire le volume stocké, il est donc interessant de conserver les déchets avant de les enfouillir, le temps que la dissipation dimminue. ça permet d’en mettre plus (compromis économique). Donc la premiere phase est un stockage en surface qui lui est surveillé. Mais cette étape pouvant être facultative ne dure qu’un temps. Concernant SPX… si ça a marché industriellement, ils ont bouclé la boucle du combustible. Il y a eu qq soucis techniques, mais rien qui ressemble a un probleme majeur. Manifestement, le fait qu’il n’y ait plus de déchets HAVL semble génér certains écolos. D’ou leur empressement de faire capoter l’opération pour des raisons qui n’ont rien a voir avec la technique. Si les ENR n’arrivent pas au niveau, ou qu’on n’invente pas autre chose, ça ressortira, de toute façon.