Dans sa dernière lettre « Stratégies et études », l’Ademe a dressé un bilan de l’évolution des emplois dans le domaine de la maitrise de l’énergie et du développement des énergies renouvelables sur la période 2006-2013.
L’étude de l’Ademe permet de constater, malgré un contexte marqué par la crise, une progression des marchés et de l’emploi dans le domaine des énergies renouvelables et de la maitrise de l’énergie. Elle porte sur environ 30 segments de marchés dans les secteurs de la rénovation énergétique des logements, la diffusion des équipements énergétiques performants, les transports collectifs, les véhicules particuliers et les installations pour la production d’énergies renouvelable.
Selon l’Ademe, le nombre d’emplois serait passé de 200.000 à 310.000 entre 2006 et 2013, grâce à une forte progression entre 2006 et 2010 (+11% par an). La progression continue entre 2010 et 2013 mais de manière bien moins soutenue : + 1,3 % par an.
Pour cause, une stabilisation des emplois liés aux marchés de l’amélioration énergétique du logement (amélioration du bâti et équipements du logement performants) et une baisse des emplois liés à l’investissement dans les EnR.
Néanmoins, on constate entre 2010 et 2013 une progression des emplois liés à la production d’EnR marchande (+6%), ainsi qu’une progression supérieure au rythme des années précédentes des emplois liés au marché de l’amélioration énergétique des transports (transports collectifs, véhicules particuliers de classes A et B, hybrides et électriques). 60% des 31.000 emplois créés proviennent de la réalisation des infrastructures ferroviaires.
Entre 2006 et 2013 :
> Emplois issus de la fabrication d’équipements ENR : +21%
> Emplois issus du BTP : +61 % (l’installation des équipements, les travaux sur le bâti et la réalisation des infrastructures de transport)
> Emplois dans le secteur de la distribution : +53%
Une croissance des emplois ralentie, mais qui profite aux emplois pérennes
Si entre 2006 et 2010 la croissance des emplois s’est essentiellement ressentie dans le secteur du BTP (+63 000 emplois), elle est principalement due, à partir de 2010, à l’augmentation des emplois pérennisés dans la production des énergies renouvelables, l’entretien des équipement domestiques et l’exploitation des nouvelles lignes de transport collectifs urbains (+14 000 emplois) ;
Par ailleurs, la croissance des emplois dans la fabrication des équipements d’énergies renouvelables connait un ralentissement durant la même période (excepté dans les secteurs de l’éolien offshore et des véhicules électriques et hybrides). Ils passent de 9700 en 2006 à 11500 en 2013.
Télécharger l’étude de l’ADEME no 43 : ici (.pdf)
En comparaison à la perte d’emploi dans le BTP, pas si sûr que ce bilan soit aussi positif…
L’ADEME publie en 2015 une étude sur la période 2006-2013 avec des prévisions pour 2014 …. j’ai un peu du mal à comprendre à quoi ils servent…
Bonjour, Vous avez fait faire l’étude par un stagiaire? A ce jour en Allemagne 53GW de solaire 380 000 emplois et en France 6GW 300 000 PAS POSSIBLE Inadmissible!!!
Il faut lire les documents, avant de les étriller… Les 380 000 emplois allemends correspondent à des emplois dans les énergies renouvelables (pas seulement le PV… il y en a d’autres). Les 300 000 emplois en France correspondent aux énergies renouvelables, et à l’efficacité énergétique (AEE dans l’étude, pour Amélioration de l’Efficacité Energétique). Ce n’est pas du tout le même périmètre, donc comparer ces chiffres n’a pas de sens ! Peut être devriez vous faire un petit stage à l’ADEME…
» … dont l’entretien des équipement domestiques et l’exploitation des nouvelles lignes de transport collectifs urbains (+14 000 emplois) » Quel rapport avec les ENR ? Si toute l’étude est de cette « largesse d’esprit », peu probable qu’au final les ENR aient créé beaucoup d’emplois…
Force est de constater que le grand gagnant est : « les infrastructures ferroviaires » (+ 23.000 entre 2010 et 2014). Et le grand perdant …. le PHOTOVOLTAIQUE (-23.000 pour la même période). Ah les chiffres publics, toujours un régal… Mais pour rejoindre le post précédent, pourquoi cet intitulé a ce rapport qui parle et mélange un peu tout. Car si on regarde strictrement les emplois directs dans les ENR, c’est une catastrophe !!! Autre enseignement interessant : la balance du commerce extérieur. Après vous avoir rebaché des « emplois non délocalisables » (et pour cause, ils sont purement et simplement disparu !), on a oublié de nous dire que le matériel vient de l’étranger et qu’il grève lourdement notre solde du commerce extérieur… L’enfer est pave de bonnes intentions, non ?
Le bilan n’est peut être pas brillant mais malgré tout positif pour ce qui est des infrastructures et du bâtiment. Cependant le bilan pour les ENR est vraiment mauvais voire catastrophique. J’aurais aimé croire que les milliards d’€ investits dans les ENR profitent au moins à doper l’emploi, même artificiellement. Mais à en croire les chiffres du tableau p8, depuis 2010 on détruit des emplois (et même beaucoup) dans les ENR ! Le bilan le plus « marquant » est pour le PV : +1500% entre 2006 et 2010 puis patatra -73% pour une croissance finale de seulement 7000 emplois, sur une pente décroissante. Ca confirme bien que l’injection massive et rapide d’argent « artificiel » est tout sauf positif pour l’économie et l’emploi.
Je trouve qu’une question mérite d’être posée et reposée à propos de l’emploi dans les filières et plus particulièrement dans le photovoltaïque : Je reprends l’intitulé de la question : Question : Comment fait-on pour obtenir des dizaines de milliers d’emplois durables dans le photovoltaïque en France si on installe très vite un parc de 30 GW ? Une fois les installations terminées que fait-on des employés ? Vont-ils pointer à pôle emploi ? Car si le photovoltaïque est si fiable et si peu cher, c’est qu’il nécessite peu d’emplois sur la durée de vie ? Je l’ai posée des dizaines de fois et j’ai pu constaté que ça se bouscule pas pour répondre. Et le temps et l’élection présidentielle de 2017 approche, alors faudrait peut être accélérer le pa…. à moins qu’EELV déclare forfait ! Le photovoltaïque : Pôle d’emplois ou Pôle Emploi ?
Dan 1 Le problème que vous soulevez est en effet intéressant mais à mon sens c’est parce que vous posez mal la question. Car lorsqu’on regarde le problème de l’emploi, il ne faut pas regarder l’emploi direct mais plutôt les emplois qui résulterait de la baisse du prix de l’énergie. En premier lieu les finances des entreprises et celles de tous les Français qui auraient bien besoin d’un coup de pouce pour pouvoir consommer.Sans compter les capacités de développement des technologies gourmandes en énergie comme la sidérurgie, la cimenterie qui permettrait d’envisager d’autres développements ? Et si l’on fait le calcul parc par parc, éolien ou photovoltaïque en comparaison du nucléaire ou autres fossiles, je suis persuadé que les premiers emploient et emploieront plus de personnels. Voilà,vous avez une réponse à votre question. Le malheur pour nous Français c’est que depuis quarante ans nous avons la gauche la plus arquaïque et revancharde et la droite la plus bête du monde et qu’à chaque élection on remet les même puisqu’ils sont tous issus des mêmes écoles.
A Verdarie « Et si l’on fait le calcul parc par parc, éolien ou photovoltaïque en comparaison du nucléaire ou autres fossiles, je suis persuadé que les premiers emploient et emploieront plus de personnels. » D’abord merci d’avoir le courage de vous attaquez à la question, mais surtout à la réponse. Cependant, votre réponse ne correspond pas à ce qui a été affirmé notamment dans les promesses électorales. Il s’agissait bien d’emplois directs et indirects liés à la filières. Or si une filière procure durablement plus d’emplois, elles coûte plus chère. De toute façon la baisse (en Euros constants) du prix de l’électricité en France a déjà été obtenue avec le parc nucléaire historique. Ce que l’on obtient aujourd’hui en Europe avec les nouvelles EnR, c’est une augmentation parfois incontrôlée de la volatilité des prix qui peuvent devenir négatifs et envoient donc un très mauvai signal économique et accessoirement écologique. Mais il y a un peu plus à creuser notamment dans le cas du photovoltaïque : c’est la durabilité des emplois. Le photovoltaïque est un système statique nécessaitant peu de maintenance. Je repose donc ma question : « Une fois les installations terminées que fait-on des employés ? Vont-ils pointer à pôle emploi ? » Alors le photovoltaïque dans 10 ans, c’est pôle d’emplois ou Pôle Emploi ?
Dan 1 Certes les emplois ont un coût mais il faut tout compter pour savoir si une technique en vaut une autre. Si vous prenez le nucléaire qu’on nous dit peu cher ? Evidemment puisque personne ne compte le véritable coût du stockage souterrain (voir la catastrophe du stockage souterrain au nouveau mexique, déjà !) et des rejets en mer qui rendent impropre à la consommation tout ce qu’ils approchent .Stérilisant le phytoplancton,par exemple, qui est à la base de la vie sur terre puisqu’il fournit l’oxygène de la vie . La mer est le plus grand producteur d’02, pour combien de temps si l’on multiplie les installations ? Et la matière première qu’il faut acheter ! Regardez ce qu’elle coûte à Areva (voir l’affaire uramin) et et par contre coup aux consommateurs. Dans ce que coûte une industrie il faut également prendre en compte le potentiel de dangerosité et dire clairement aux Français qui habitent près des centrales mais aussi à ceux situés sous les vents dominants, s’ils sont près à sacrifier tout ce qui à fait leur vie pour nous permettre de disposer d’une énergie qu’ IL EST POSSIBLE AUJOURD’HUI DE PRODUIRE AUTREMENT , SANS RISQUE ET SANS MENACER LES EMPLOIS PUISQU’IL S’AGIT D’UNE TRANSFORMATION Vous dites que la réponse ne correspond pas à ce qui a été affirmé, évidemment puisque ce qui manque aux énergies renouvelables pour pouvoir se développer sans contrainte, c’est un stockage de masse économique et performant. Ce dont disposent toutes les énergies fossiles, que ce soit sous forme de déchets, de pastilles, de réserve d’eau ou de fluides inflammable.
Les coûts du nucléaire ont été disséqués depuis des années. Si vous avez des éléments nouveaux chiffrés et sourcés, alllez-y. L’uranium importé, c’est moins d’un milliard par an pour 400 TWh d’électricité et ce coût est compensé par le combustible que l’on fabrique et qu’on exporte. Vous dites que les EnR ne disposent pas d’un stockage de masse économique et performant. Ben oui , c’est ce nous ne cessons de dire depuis 2008. Mais il ne suffit pas de le déplorer… il faut l’inventer !
Il est vrai que ce serait un plus, et que pour l’instant ce n’est pas vraiment ça. A noter également que ce ne serait pas forcément en défaveur du nucléaire, qui pourrait également en profiter. Attention, le délit de faciès est prohibé! Bon, pas d’affolement, il faut déjà inventer « le stockage de masse économique et performant ».
Dan 1 Vous dites que » l’uranium importé,c’est moins d’un millards par an « ? Bien, mais le soleil et le vent c’est Zéro euro tout le temps ! Et chacun peu comprendre ou vous souhaitez en venir avec vos 400 Twh, puisque pour atteindre une telle puissance il faudrait multiplier les installations de production des renouvelables. Alors faisons un petit calcul si vous le voulez ? Combien nous ont coûté toutes nos centrales nucléaires depuis qu’elles existent, quelles ont été les améliorations dans les performances de production depuis 70 ans et combien coûte et coûtera le stockage des déchets ? Dont tous les chiffres avancés sont faux parce qu’on ne sait pas ce qui se produira dans le temps (voir catastrophe du stockage souterrain au nouveau Mexique) Déjà un accident alors que le stockage démarre à peine ! Et affectons les mêmes sommes et le même temps au développement des Enr pour pouvoir comparer à combien se situerait la production élctrique ? Comparons également le côté sécuritaire qui en résulterait !Puisque l’INRS évalue entre 760 et 5700 milliards le coût d’un accident nucléaire en France Les Français acceptent de vivre près des centrales parce qu’ils ne connaissent pas les risques ou les minimisent inconsciemment ou consciemment. Puisqu’il faut bien vivre ! Mais demandez leurs s’il préfèreraient vivre près d’une centrale nucléaire ou près d’une éolienne, je crois que la réponse serait évidente. Maintenant pour ce qui concerne la question du stockage à laquelle j’ai déjà répondu sur ce site, qui m’interdit d’en parler parce que ça gène certains des lecteurs ? Qui ne se gènent pas de me traîter d’escroc ! Je rappelle donc que je suis porteur d’un projet de stockage de masse de l’énergie électrique, qui comme le fait justement remarquer Sicetaitsimple pourrait tout à fait convenir au nucléaire, comme à n’importe quelle autre type d’énergie. Que ce stockage permettrait de mieux répartir les installations de productions tout en limitant leurs nombre sur le territoire. Que je cherche des investisseurs intéressés par un partenariat pour mettre au point et développer ce système.
Appel à projet Ademe sur le stockage De rien.
A Verdarie Pour ce qui est des coûts globaux du nucléaires (disséqués sans cesse sur Enerzine) il faut juste considérer que le parc nucléaire historique a déjà produit 12 000 milliards de kWh et en produira au moins encore autant, soit 24 000 TWh en fin de vie. A 0,05 €/kWh en Euros 2015, cela représente 24.10^12 x 5.10^-2 = 120.10^10 € = 1 200 milliards d’Euros de recettes. En face de ces 1200 milliards, vous mettez combien de milliards de dépenses ? Même s’il existe des incertitudes concernant les coûts futurs (ce qui est toujours le cas avec le futur), ils sont tout de même assez bien cernés.
Dan 1 Les éoliennes et le photovoltaïque n’existe que depuis peu. On ne peut donc pas dire aujourd’hui que ces technologies sont matures et qu’il n’y aura pas d’améliorations dans le temps. Comme par exemple un stockage de masse simple et économique comme je le propose, qui permettrait de se libérer totalement des contraintes liées à l’utilisation des fossiles. Ce qui transformerait totalement le monde et l’économie car cela voudrait dire : Plus de risque de pénurie,plus d’achat de matière première ou transformée, plus de recherche géologique pour cet objet,,plus d’accord de partage avec les pays exportateurs,plus de risque d’extraction, plus de marée noires, plus de transports multiples ,plus de stockage multiples ,plus de raffinage, etc … Et malgré ça vous voudriez nous faire croire que l’atome c’est l’avenir ? Parlez nous plutôt des coûts de construction des dernières centrales qui ne sont toujours pas opérationnelles malgré les années de retard et les milliards engloutis ? Et des autres, auxquelles il faut à chaque évènement accidentel rajouter de la sécurité, normalement pensée au départ pour répondre à tous les problèmes ? Des coût de déconstruction et du temps necéssaire pour pouvoir le faire ? Du coût du minerait de sa transformation et de sont transport ? Des coûts de la transformation des déchets et de l’enfouissement ? Pouvez vous évaluer le coût des rejet en mer et leurs conséquences sur la flore et la faune ?Dans le temps ? Pouvez-vous nous rassurer et dire qu’il n’y aura jamais d’accident majeur ? Ou que dans ce cas vous serez le premier en ligne pour combattre ses effets ? Et que vous indemniserez personnellement sur vos deniers les personnes sinistrées ? Voyez-vous, je ne fait pas une affaire personnelle de cette question puisque je crois que la décision d’utiliser l’atome au départ était une décision digne d’un grand pays. Mais il faut savoir voir ses limites et comprendre ou se trouve le véritable intérêt du pays qui nous fait vivre, parce que nous n’en avons qu’un ! Mais surtout qu’il est possible de faire aujourd’hui autrement avec des technologies disponibles et dévelopées. Et ne pas considérer que parce l’atome procure une très grande capacité énergétique nous devons mépriser les autres systèmes. Car une multitudes de petits systèmes autonomes et peu chers sont assurément bien plus fiable qu’une grosse machine destinée à les remplacer. Pour y réfléchir, je vous propose de relire la fontaine « Le lion et le rat ».
Je n’ai pas à apprendre la différence entre chiffre d’affaire et recette. J’ai simplement dit qu’en face des coûts il faut mettre des recettes. Afficher les chiffres, après on discutera ! EDF est l’électricien le plus endetté d’Europe, sauf que c’est le plus gros… tout est relatif. Quel est le palmarès de l’endettement, relativement au chiffre d’affaire des électriciens européens ?
Devoirderéserve Mais si, mais si ! Ce n’est pas la première fois que je regarde les propositions de l’Adème mais à chaque fois il y a des clauses qui m’empêchent de pouvoir prétendre aux aides apportées. Encore dans le document que je viens de « survoler », ils imposent de disposer de moyens, que je n’ai pas ! D’une collaboration effective avec au moins un PME ? Et la collaboration avec un organisme de recherche ?
A Verdarie « Enr contre atome qui va gagner ? Dan 1 » Vous êtes comme beaucoup dans le clivage et l’opposition pour raisons dogmatiques. La réponse est simple, en France comme dans d’autres pays, il ne s’agit pas d’un match gagnant-perdant, mais d’un système avec des ciomplémentarité. En France, dans le mix électrique des trentes prochaines années, ce sera nucléaire + EnR. D’ailleurs, c’est depuis longtemps nucléaire + EnR avec l’hydraulique. Mais si vous voulez proposer directement votre système de stockage qui permettrra d’éradiquer le nucléaire faites le, sinon c’est du pipeau.
Dan1. Putain 30 ans!
..l’endettement….. « Pour l’instant EDF est surtout l’électricien le plus endetté d’Europe ». Certes EDF est très endettée ( 35Md€ à mi 2015), c’est certainement trop car elle a beaucoup d’investissements à prévoir dans les prochaines années. Maintenant il faut comparer des choses comparables. Le ratio de comparaison généralement utilisé pour des entreprises très capitalistiques comme les utilities c’est le ratio dette/EBITDA. Slide 20, vous verrez qu’EDF arrive en 4eme position sur 19. Bref, vous racontez une fois de plus n’importe quoi.
Dan 1 Je crois n’être nullement dogmatique j’essaye juste de regarder la réalité en face. Le dogme c’est vous, avec l’atome !… Qui vous rend incapable de réfléchir parce que puissant. Mais la puissance c’est aussi la faiblesse ! Car votre système aussi puissant soit-il n’est pas capable de démarrer ou de s’arrêter sur l’heure une fois lancé. Ce qui fait qu’on consomme du combustible pendant parfois plusieurs semaines pour rien ? Heu ! Si pour produire un peu d’H2. Dont on comprend mieux votre intérêt pour son développement. C’est en cela qu’un système de stockage de masse simple et économique comme le souligne Sicétaitsimple, pourrait intéresser l’atome ? Mais ce serait contredire ce que vous dites puisque depuis le début vous nous racontez que le stockage rajouterait un coût au prix de l’énergie ? Enfin je suis d’accord avec ce que vous dites qu’il ne s’agit pas d’un match gagnant/perdant mais d’un match à gagner absolument. Pour ça, j’apporte ma solution à ceux qui voudront bien d’un partenariat !
Pour ça, j’apporte ma solution à ceux qui voudront bien d’un partenariat ! Bon,si c’est vous et votre prétendue invention secrète(que vous auriez,soi disant, grande peur de vous faire voler si vous en disiez trop à son sujet) ,qui êtes l’ennemi de l’atome,.. On peut dire que « l’atome » peut dormir tranquille pour toujours sur ses deux oreilles. En effet,un mythomane obsessionnel,incomptent aimant à jouer les martyrs incompris(ou un escroc minable)qui donne d’obscurs rendez vous à Toulouse ou sa région à des chefs d’entreprises qui seraient assez bête pour croire à des contes de fées aussi débiles,n’a aucune chance de menacer « l’atome »,ni l’hydrogene. Par contre il nous soule tous, depuis des mois,voir des années avec ses conneries mythomaniaques.Et il serait grand temps que la modération qui l’a déjà averti plusieurs fois par le passé,le rappelle de nouveaux à l’ordre.Il recommence à nous souler sérieusement car il pique sa crise aigue habituelle tous les 4 à 6 mois en moyenne.Et là il repart encore dans ses délires stérils qui nous gonflent sérieusement (peut être même qu’il y croit à ses conneries,tellement il a l’air d’un malade,s’il n’est pas un escroc). Quoi qu’il en soit,le forum enerzine n’est absolument pas un lieu pour donner des rendez vous à Toulouse ou sa région à des chefs d’entreprises.Auxquels il ne ferait que faire perdre du temps si ceux ci avaient la bétise d’y aller. Mais en fait personne n’ira jamais.On ne va pas au rendez vous de gens dont il est evident qu’ils sont: Soit des mythomanes monomaniaques obsessionels. Soit des escrocs. Soit des idiots qui croient sincèrement avoir découvert un truc formidable mais qui se sont auto-intoxiqués avec leur délire personnel. Et ces gens malades (ou malhonnêtes) finissent par nous souler et nous gonfler.Ils sont une vrai pollution pour un forum.Je demande donc que la modération y mette de l’ordre car ça devient de moins en moins supportable.Et surtout qu’il va continuer cette pollution de pire en pire si la modération n’intervient pas.Car il est à nouveau en crise.
Dragurian Lorsqu’on a plus d’arguments à opposer à la raison des choses,les FAIBLES utilisent l’invective, l’aboiement, le doute ou le soupçon dans le but de discréditer l’interlocuteur ? Cette combine fonctionne lorsqu’on parle puisque les mots s’envolent mais l’écriture a ceci comme avantage c’est de pouvoir être relue. J’invite donc les curieux à relire mes propos pour savoir s’il sont le fait d’un mythomane obsessionnel ou si ce sont vos propos qui traduisent la perte du sens des réalité. Ce qui ne peut qu’inquiéter un peu plus, sachant que c’est vous qui devrez prendre des décisions en cas d’accident dans votre spécialité ? Enfin vos propos prouvent bien qu’en France s’attaquer au nucléairocrates est un crime de lèse majesté. Chacun appréciera !
A Verdarie « Le dogme c’est vous, avec l’atome !… Qui vous rend incapable de réfléchir parce que puissant. » Ben, je ne savais pas qu’être simple client d’EDF pouvait rendre puissant parce que mon producteur utilise le nucléaire. Vous exagérez pas un peu là ? « Car votre système aussi puissant soit-il n’est pas capable de démarrer ou de s’arrêter sur l’heure une fois lancé. » Heu, le parc nucléaire est pilotable, contrairement aux EnR et la production est en permanence programmée pour s’adapter à la courbe de demande (à fond en hiver et pédale douce en été, idem entre semaine et week-end). Le problème du suivi de charge est un problème plus économique que technique, et c’est d’ailleurs un des points qui rend le système français moins performant que le système coréen ou finlandais par exemple. Mais attaquer le nucléaire sous cet angle, alors que l’on parle des EnR intermittentes et aléatoire, prête à sourire.
« Dan1 il va peut être falloir vous mettre dans la tête qu’aujourd’hui les producteurs d’électricité sont au service du client et plus l’inverse » C’est bête, on dit l’inverse ici :
Dan 1 A un moment il faut savoir choisir son camp Car se placer en fonction de l’évolution des propos ou de sa sensibilité à la place du producteur ou de l’abonné ne démontre que la faiblesse des arguments avancés et donc le peu de crédit qu’on doit leurs accorder. Pour suivre une conversation,(je viens de relire mes propos) il faut se reporter aux débats qui précèdent et à l’article qui les a déclanché.
Alors Verdarié,on veut toujours vendre son escroquerie minable à Toulouse et sa région ?
A Verdarie « A un moment il faut savoir choisir son camp » Vous restez dans le clivage. Mais non, il n’y a pas de camp à choisir, il y a un bon MIX énergétique à trouver en fonction du pays et des contraintes économiques.
Ce qui n’est pas fait par les uns sera fait par d’autres. Dan1 Le nucléaire à eu 50 ans de paix et de monopole pour se développer et trouver des idées de remplacement. Puisqu’il ne l’a pas fait, acceptez que d’autres puisse le faire !
Dionariou Quand on appellera le pot de chambre, vous sortirez de dessous le lit ?
« Le nucléaire à eu 50 ans de paix et de monopole pour se développer et trouver des idées de remplacement » Il est curieux d’accuser le nucléaire de n’avoir pas pensé à son remplacement par une autre filière ??? Mais bon, on a l’habitude. « Puisqu’il ne l’a pas fait, acceptez que d’autres puisse le faire ! » Encore faudrait-il qu’ils le puisse ! Il ne s’agit d’opinion ou de vote, il s’agit de problèmes complexes techniquement. Autant le nucléaire à fait la démonstration en France qu’il était capable d’assurer 80% des besoins en électricité à des coûts économiques très abordables, autant les nouvelles EnR (donc hors hydraulique) butent sur les problèmes de l’intermittence. Mais bon, il paraît que vous avez la solution, donc on vous écoute !
Dan 1 Si vous êtes capable de me faire une vrai proposition de collaboration, je peux tout à fait vous rencontrer pour discuter de ce projet. D’ailleurs le pot de chambre(Dionariou) vous explique ou c’est possible, dans le cadre d’une réunion organisée par Midii pyrénées innovation qui ressemblera des dizaines d’entreprises,des investisseurs et les pouvoirs publics. Voilà, vous savez tout ! La balle est dans votre camp !
« Si vous êtes capable de me faire une vrai proposition de collaboration, je peux tout à fait vous rencontrer pour discuter de ce projet » Vous souhaitez rencontrer quelqu’un qui s’engage avant que vous ne dévoiliez le strict minimum… vous risquez d’attendre longtemps votre prince, si tant que vous ayez un quelque chose à lui donner. De toute façon si le prince arrive on en entendra parler sur Enerzine.
Dan1 Mais non, je peux tout à fait parler confidentiellement du projet sans dévoiler ce que mon invention apporte de nouveau ! Ca s’appelle un accord de confidentialité !