En manque de surface ? élaborez votre jardin en étages

La société Courtirey sous l’impulsion de son concepteur Jean-Claude Rey plusieurs fois récompensé, a mis au point une structure modulaire auto-portante permettant le jardinage en étage avec à la clé une augmentation des surfaces cultivables et un travail d’entretien plus aisé.

Partant du principe que les surfaces cultivables disparaissent progressivement autant dans les pays riches (urbanisation galopante !) que dans les pays émergents, ces tours de jardinage en étages ont pour mission ultime de rendre les populations locales (des pays émergents surtout), autonomes dans la production et la préservation de leur nourriture en optimisant les ressources en eau.

Les tours de jardinage facilitent ainsi le contrôle et l’enrichissement des terres pour une récolte jugée "plus biologique". D’après la société, grâce justement à cette conception par niveau surélevé, cela a pour effet de limiter les agressions sur les plantes, de faciliter la mise en serre et de permettre la pose d’un filet contre les attaques volantes.

Elles apportent une solution au manque de terres agricoles et utilisent l’énergie solaire. Modulaires, leur configuration leur permet de s’adapter à tous types de terrains et de gérer l’arrosage en économisant l’eau.

Comme signifié plus haut, le principal objectif de ces tours est de gérer au mieux les ressources en eau en utilisant l’eau de pluie et en récupérant également l’eau d’arrosage pour alimenter successivement tous les étages. Les toits récupèrent l’eau de pluie, protègent les cultures des intempéries ou des brûlures du soleil, les bacs surélevés préservent les cultures des prédateurs, des pollutions du lessivage des sols et placent les cultures à hauteur d’homme pour un travail debout.

Le besoin en énergie pour leur fonctionnement est apporté par des panneaux solaires photovoltaïques, procurant un autre avantage environnemental et permettent d’alimenter d’autres infrastructures (conserveries, dispensaires, écoles, etc.).

Les appareils dédiés à la circulation de l’eau sont alimentés par un panneau solaire photovoltaïque fixé sur le toit de la tour agricole ce qui la rend, grâce à sa batterie, autonome en énergie. La multiplication de ces panneaux solaires photovoltaïques permet la production d’électricité en plus grande quantité pour d’autres besoins.

Le toit protège les cultures des intempéries, de la grêle et permet la récupération de l’eau de pluie, qui par un circuit indépendant, descendra dans une citerne placée sous la tour, fournissant une réserve d’eau gratuite, permanente et renouvelable.

Cette réserve peut être augmentée par le choix d’une citerne de plus grande contenance et/ou le forage d’un puits sous la tour lors de son implantation. La tour devient alors autonome, son eau sera pompée à la demande par le système de gestion semi fermé décrit au paragraphe suivant. Les citernes sont hermétiques aux pollutions extérieures.

L’arrosage contrôlé en circuit semi fermé des bacs, est géré en standard par une carte électronique fixée dans une armoire qui sert aussi à protéger la batterie de la pompe, qui enverra en fonction de la programmation souhaitée, une nouvelle fois l’eau dans le circuit d’arrosage, qui peut être lui-même géré en continu ou en goutte à goutte. Une informatisation optionnelle de la gestion de l’eau permet d’affiner les besoins pour chaque type de culture.

En façade sur la porte de l’armoire le programmateur permet un accès rapide à la programmation des arrosages – fréquences, durée.

Un voyant d’alerte signalera un éventuel manque d’eau. Le travail d’arrosage étant supprimé, les personnels seront rendus et disponibles pour des tâches plus productives. Il est aussi possible d’ajouter pour l’arrosage, un système parallèle de traitement des cultures avec récupération des écoulements dans une citerne supplémentaire, sans risque de pollution des terres par des rejets intempestifs.

La société propose plusieurs gammes adaptées aux besoins de chacun : professionnels, particuliers, ONG, associations humanitaires, large est l’éventail de ceux qui trouveront dans ces tours de cultures en étages les solutions économiques si longtemps recherchées.

Par exemple, la gamme Nifflon permet un jardinage autonome de balcon équipé d’un système de récupération de trop plein d’arrosage. Les prix hors taxes varient entre 220 euros et 420 euros.

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La gamme Chaltaz quant à elle pourra vous apporter une agriculture biologique à domicile. Pour répondre aussi bien aux besoins d’un particulier que d’un professionnel, elle est composée de 4 modèles de tailles différentes.

En manque de surface ? élaborez votre jardin en étages

Son toit récupère l’eau de pluie pour l’arrosage, protége les récoltes de la grêle et – accessoirement – abrite aussi le jardiner quand il pleut. Pour le prix, compter entre 2.250 euros (4 bacs) et 9.100 euros hors taxes pour le plus sophistiqué (16 Bacs et un jardin sur deux niveaux).

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Enfin la gamme Chalune constitue un jardin surélevé en acier galvanisé, autonome et économique. Le Chalune Pro peut par exemple se monter en tour jusqu’à vingt mètres de haut, contre des façades d’immeubles ou sur des terrains escarpés. Les travées de bacs peuvent être réglées à la hauteur souhaitée pour un confort de travail optimal. Le prix sur devis reste fonction des besoins.

 

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Pastilleverte

EDF : ” la terre arable est notre avenir, économisons la”