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La pollution aux particules fines en Ile-de-France disséquée en temps réel

par La rédaction
24 mars 2014
en Durable, Environnement

Avec l’observatoire atmosphérique Sirta, des chercheurs du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement ont pu quantifier et caractériser en temps réel la pollution aux particules fines en Ile-de-France entre le 7 et le 15 mars 2014.

Ils ont ainsi observé que les particules fines étaient principalement issues d’émissions liées à l’activité humaine : majoritairement l’agriculture, mais aussi le chauffage au bois et les transports.

Les particules fines dont le diamètre aérodynamique est inférieur ou égal à 2,5 microns (PM2.5) – potentiellement les plus toxiques – représentent un problème majeur de santé publique en Ile-de-France. Plusieurs millions de Franciliens sont ainsi exposés chaque année à un air qui ne respecte pas les réglementations européennes.

Le Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement met en œuvre depuis plusieurs années un suivi systématique de la composition chimique des particules fines en Ile-de-France. Ce suivi est réalisé sur le « supersite » atmosphérique Sirta de l’Institut Pierre-Simon Laplace, situé sur le Plateau de Saclay (ici), à 20 km au sud-ouest de Paris. Ce site est aujourd’hui la seule station française de surveillance de l’atmosphère capable de rendre compte en temps réel des niveaux de pollution ambiante et de la nature chimique des particules. Le Sirta est également doté de systèmes de télédétection (lidar, radar, photomètres) permettant de documenter les propriétés optiques des particules (particules fines, nuages) sur toute la colonne atmosphérique en plus des propriétés chimiques et physiques des gaz et aérosols proches de la surface.

Relativement éloigné du centre urbain, le Sirta est peu affecté par des sources de pollutions très locales comme les axes routiers et constitue ainsi un point de référence pour la pollution à l’échelle de la région francilienne.

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Les observations atmosphériques menées au SIRTA durant l’épisode de pollution aux particules fines du 7 au 15 mars 2014 font apparaître plusieurs faits :

– Les niveaux de concentration de particules fines (PM2.5) observées au SIRTA étaient comparables à ceux enregistrés par Airparif sur l’agglomération parisienne mettant en lumière un phénomène de pollution à grande échelle.
– Les conditions météorologiques ont favorisé la pollution aux particules, l’anticyclone limitant la dispersion des polluants et l’ensoleillement favorisant la formation des polluants secondaires. Elles ont aussi favorisé l’accumulation d’aérosols au sein d’une couche de mélange mince (à 200 m d’altitude la nuit, de 600 à 1200 m le jour) conduisant à une dilution faible sur la verticale.
– les particules fines étaient principalement issues d’émissions liées à l’activité humaine (majoritairement l’agriculture, mais aussi le chauffage au bois et les transports).

La majorité des particules fines mesurées sur la région parisienne étaient constituées de particules dites "secondaires", c’est-à-dire non émises directement, mais formées dans l’atmosphère, sous l’action de transformations photochimiques (ensoleillement), à partir de gaz précurseurs comme les oxydes d’azote (transport), l’ammoniac (activités agricoles) et les composés organiques volatils.

Différentes fractions de particules fines observées du 7 au 15 mars dernier, sur la zone 5 du supersite SIRTA au CEA Saclay :

PM2,5 nitrate d’ammonium : 51 % – le nitrate d’ammonium est un composé "secondaire", formé dans l’atmosphère à partir d’ammoniac et d’oxyde d’azote, sous l’action de la photochimie. L’ammoniac est principalement émis par les activités agricoles. Il représente 97% des émissions nationales annuelles d’ammoniac en 2011. Les oxydes d’azote (NOx) sont principalement émis par les transports, et dans une moindre mesure l’industrie manufacturière et l’agriculture. Ils concernent respectivement 56%, 14% et 10% des émissions nationales de NOx en 2011.

PM2,5 primaires combustion de biomasse : 15 % – particules fines émises directement dans l’atmosphère par la combustion de biomasse (chauffage au bois et brûlage de déchets verts).

PM2,5 primaires fuel fossile : 11 % – particules fines émises directement dans l’atmosphère par la combustion de dérivés du pétrole (dont les transports).

PM2,5 organiques secondaires
: 12 % – particules fines composées de matière organique, générées dans l’atmosphère à partir de précurseurs gazeux comme les composés organiques volatils (COV). En période hivernale (comme c’est le cas actuellement), ces COV sont émis principalement par les activités humaines.

PM2,5 sulfate d’ammonium
: 11 % – le sulfate d’ammonium est également un composé "secondaire", formé dans l’atmosphère à partir d’ammoniac et de dioxyde de soufre. Le dioxyde de soufre est émis en France par l’industrie manufacturière et la transformation d’énergie.

Tags: centrale solaireidfparticules finespollution
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Commentaires 7

  1. gaga42 says:
    il y a 11 ans

    Quand j’étais en primaire, mon instite m’apprenait qu’il ne fallait pas additionner des pommes et des poires… C’est un peu ce qu’on fait ici: on met dans le même panier particules diesel, nitrates et sulfates d’ammonium, et si on habitait plus au sud, il y aurait aussi les particules du désert… Ces particules présentent-elles toutes les mêmes danger? Il me semble que recemment l’OMS a classé les particules diesel comme cancérigènes, seulement les particules diesel?

    Répondre
  2. Pingus001 says:
    il y a 11 ans

    1) 11% de particules primaires 2) 51% de nitrate d’amonium provenant de la réaction amoniac + NOx, avec 56% de NOx provenant du transport en 2011 (on doit friser les 60% aujourd’hui) cela donne 29% du indirectement au transport. Donc si je compte bien, çà fait quand même 40% environ de particules du au transport, directement ou indirectement, et donc en grande partie imputable aux moteurs mazout vu que ce sont les plus grand générateur de NOx et de particules. Vive le mazout ^_^ Attention, je ne dis pas que le mazout à tout les torts, mais qu’on arrète de le faire passer pour une gentille victime qui sauve le pouvoir d’achat des pauvres.

    Répondre
  3. Tech says:
    il y a 11 ans

    donc la suppression de circulation d’une partie des automobiles c’était pour gagner 11% – toutes les exceptions (police, ambilance, transports public, transports alimentaires, etc, etc – ceux qui ont pris leur vielle voiture impaire alors que la paire polluait x fois moins) et donc tout cela divisé par 2 en supposant que les immatriculations sont réparties équitablement! cela veut dire que royalement on a emm » »dé 50% des français pour agir sur même pas 5% des causes de la polution !!! et même les « prunes » infligées aux quelques milliers d’automobilistes « inciviques » ne seront même pas versées à la lutte contre la pollution! et ne srviront même pas à payer les heures sup de ces fonctionnaires qu’on à mobilisé à 5 heure du mat! sans parler de la désorganisation qui fait que le rattrapage de ce jour va couter à la collectivité encore plus que ce qu’ila évconomisé. ce n’ était pas la solution et il vafalloir réellement penser à installer des prises de courant des stations GPL et des stations H2 si on ne veut plus souffrir des particules, ou alors le transport n’est pas la source principale et c’est l’ammoniac de l agriculture qu’il faut réduire en premier! il faudrait redescendre sur terre remuer son stylo 7fois dans samain avant de signer des décrets inutiles

    Répondre
  4. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    du boulot (boulot jugé mortifère par un certain bord politique…), j’ai eu l’occasion de voir un agriculteur brûlant de l’ordre de 10m3 de végétaux, et qui empuantissait tout le voisinage. Des brûlages comme ça, j’en vois pratiquement tous les jours. Et on pourrait y remédier de manière infiniment plus rapide, économique et efficace que la pollution automobile. Bref, les écolos persistent à se tromper de combats.

    Répondre
  5. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    Là, j’ai vraiment l’impression que l’on rentre dans le vif du sujet. Si on cherche on trouve… mais pas nécessairement ce qu’on cherche. J’évoquais souvent cette focalisation a priori outrancière sur le diésel : Il semble bien que cela se confirme de plus en plus. La pollution aux particules fines et ultrafines est beaucoup plus complexe que ce qui se disait dans la presse. Mais bon, ça n’empêche nullement que le diésel reste une saloperie sans nom… comme disait l’écologiste en tirant sur sa clope ! Et je ne vous parle de l’encens à la maison : De là à interdire le Bouddhisme à Paris !

    Répondre
  6. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    Bon, ça devient grave, l’OMS annonce 7 millions de morts à cause de la pollution en 2012. Là le Bouddhisme doit pas être prépondérant. Et Enerzine ne nous dit rien. On va interdire quoi maintenant ? A titre préventif, je vais arrêter respirer !

    Répondre
  7. jpm says:
    il y a 11 ans

    On apprend que l’agricultureintensive, non contente de nous faire manger de la m. , attaque gravement nos poumons. Ca n’exonère pas le diésel bien sûr, il est devenu indécent de le taxer moins que l’essence, ça ne sauve plus PSA et ça plombe notre pétrochimie et notre balance commerciale. Toutefois on ne fera pas rouler les camions à l’essence (ni avec des batteries lithium-ion!), le gaz naturel serait une bonne transition, l’hydrogène n’étant pas « mûr ». Une bonne solution serait aussi moins de camions et plus de trains (ils roulent à l’électricité nucléaire, ça ne fait pas d’effet de serre. Il faut choisir).

    Répondre

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