La Commission européenne a lancé le 17 septembre 2010 l’instrument de l’UE qui permet la démonstration rapide à grande échelle des technologies de captage et de stockage de CO2 (CSC).
Le réseau de projets CSC est le premier réseau mondial de projets de démonstration en matière de CSC, destiné à favoriser le partage des connaissances et à aider les citoyens à mieux comprendre le rôle du CSC dans la réduction des émissions de CO2.
Grâce à ce réseau, l’acquisition des connaissances gagnera en vitesse et la Commission pourra aider la technologie CSC à développer tout son potentiel sans encombre et à devenir commercialement viable.
« Le CSC est l’une des technologies essentielles à déployer aujourd’hui pour réaliser les réductions drastiques indispensables des émissions de dioxyde de carbone provenant du secteur de l’énergie au cours des prochaines décennies. Il s’agit d’une avancée très prometteuse pour les principaux promoteurs de projets en Europe, qui travailleront ensemble et informeront les scientifiques, le secteur de l’énergie et les citoyens des progrès réalisés. Le partage des connaissances sera crucial pour accélérer le déploiement des technologies propres en Europe et dans le monde » a déclaré à ce sujet M. Günther Oettinger, commissaire européen chargé de l’énergie.
Les premiers projets CSC faisant partie du réseau qui ont signé un accord de partage des connaissances sont tous des projets soutenus par le programme énergétique européen pour la relance (PEER) de la Commission européenne. Un promoteur de projet ne peut bénéficier d’un financement de l’UE qu’à la condition d’en diffuser aussi largement que possible les résultats. L’objectif est de créer, en lui assurant une grande visibilité, une communauté de projets rassemblés autour d’un même but: la viabilité commerciale des technologies CSC d’ici à 2020.
Pour que l’ensemble du secteur énergétique en Europe puisse bénéficier des travaux du réseau de projets CSC, un forum consultatif se réunira chaque année dans le but d’examiner les avancées et de définir les connaissances qu’il serait le plus utile de trouver dans les activités du réseau de projets CSC.
La première réunion du forum consultatif a lieu vendredi dernier, sous la co-présidence de la Commission européenne et de la Plateforme des centrales électriques à combustion fossile à taux d’émission zéro (ZEP). Elle rassemble des représentants des États membres, de la ZEP, des projets de démonstration CSC, du secteur de la recherche, d’ONG et d’organisations internationales.
de l’argent f… en l’air (enfin, dans le sol en l’occurrence), sauf si on sait réutiliser « intelligemment » le « captif », par exemple pour nourrir des micro algues servant à fabriquer des bio carburants.
Espérons qu’il y aura du concret très vite de la part des GROS contributeurs CO2 et autres by-products coproduits par la combustion du charbon, lignite et autres intrants fossiles…comme nos amis et voisins allemands par exemple pour nos poumons européens directement…et très vite derrière ou en //, why not?, nos amis chinois, indiens, autraliens et US….. Du concret = un Plan D’actions concret avec Calendrier volontaire ! pas juste de la réunionite aigüe, histoire de donner l’impression de ! Donc, merci à Enerzine de glâner ou d’aller aux nouvelles pour obtenir le CR de la réunion de vendredi 17/09/10 ASAP histoire de voir la teneur des dispositions prises ! A suivre très précisément au vu du volume d’énergie et d’électricité issue du charbon et autres générateurs de CO2 et autres gaz et particules, etc…car capter le CO2 voudra dire par voie de fait qu’on pourra aussi capter au moins les particules voire les autres gaz résultant de la combustion ! C’est donc une démarche et des enjeux clés et colossaux à traiter avec le sérieux qui leur est dû…sorry Pastilleverte…. A+ Salutations Guydegif(91)
rassurez-vous, ce n’est pas le CO2 qui est à craindre pour nos poumons….
OK, je suis d’accord il n’y a PAS QUE le CO2, c’est pourquoi j’avais dit ci-dessus: »…car capter le CO2 voudra dire par voie de fait qu’on pourra aussi capter au moins les particules voire les autres gaz résultant de la combustion ! » en mettant les filtres ad hoc pour les particules (concept FAP auto adapté? ou autre) et des solutions de neutralisation type Urée (?) pour les NOx et des solutions de neutralisation autres pour les autres substances présentes COV, etc… Faut que les spécialistes chimistes et physiciens impliqués chez les »pollueurs » ou leurs sosu-traitants labos ou autres se creusent la cervelle pour trouver LES Solutions qui vont bien… C’est pourquoi je disais plus haut: »..donc une démarche et des enjeux clés et colossaux à traiter avec le sérieux qui leur est dû… A+ Salutations Guydegif(91)
Capter est une chose, transporter et stocker en est une autre… ASAP est facile à écrire, mais démontrer scientifiquement puis convaincre que le stockage est sans risque va forcément prendre un peu de temps. Et de ce point de vue, même si je reconnais que les « machins » européens peuvent être parfois un peu inefficaces, une approche européenne me parait nécessaire. Sinon on retombera dans les approches complètement différentes comme celles vis-à-vis des déchets nucléaires, et là, adieu le captage/stockage de CO2…