L’Union Française des Industries Pétrolières (UFIP) a estimé à 230 millions d’euros, pour le raffinage français, le coût des mouvements sociaux au Grand Port Maritime de Marseille, dans les autres terminaux pétroliers et dans les raffineries.
En effet, ces mouvements ont conduit à immobiliser des navires pétroliers et à arrêter les installations de raffinage pendant plusieurs semaines.
L’UFIP souligne dans un communiqué que ce coût ne pourra pas être récupéré et qu’il vient donc affecter directement le raffinage français qui souffre déjà de conditions économiques particulièrement dégradées.
A l’issue de cette crise, l’UFIP souhaite en tirer toutes les leçons à la mesure des enjeux pour l’industrie du raffinage et pour ses clients distributeurs et consommateurs de produits pétroliers.
[ Capacité de production en 2008 ]
[ Credit images : Total / UFIP ]
L’UFIP n’a quà déposer une plainte contre le gouvernement pour avoir provoqué ces évènements de manière délibérée.