Areva se réjouit de la construction d’un deuxième EPR

Le président de la République française, Nicolas Sarkozy, a annoncé jeudi soir la construction d’un deuxième EPR en France. Areva se dit "réjouit de cette perspective qui confirme la reconnaissance de cette technologie développée par le groupe."

L’EPR demeure à la fois un réacteur évolutionnaire de 1600+ MWe à eau pressurisée et le premier de Génération III+ en cours de construction dans le monde. Il s’appuie sur un retour d’expérience de plus de 40 années d’exploitation de centrales nucléaires.

Conforme aux exigences des autorités de sûreté et répondant aux attentes des compagnies d’électricité, l’EPR a été retenu pour ses performances économiques et environnementales ainsi que pour son niveau de sûreté. D’une durée de vie de 60 ans, l’EPR permet de limiter au minimum l’impact sur l’environnement grâce à une réduction d’environ 15 % de l’uranium nécessaire à son fonctionnement et une faible production de déchets.

Ce nouveau réacteur, dont la construction devrait commencer en 2012, sera le cinquième mis en chantier dans le monde, après ceux d’Olkiluoto en Finlande, de Flamanville en France et de Taishan 1 et 2 en Chine.

La technologie EPR a été également retenue par EDF et E.ON dans le cadre de la politique de relance du nucléaire menée au Royaume-Uni. L’EPR est aussi en cours de certification aux Etats-Unis où plusieurs électriciens ont déjà manifesté leur intention de le retenir pour sept projets dans le cadre de l’extension de leur parc nucléaire. Areva le propose également aux Emirats Arabes Unis en partenariat avec GDF-Suez et Total.

      

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Zino

La guerre de l’uranium débute au Niger                                                                                                                                     Par : Y.Mérabet Comment faire pression sur la France pour sauver l’Afrique ?                                                     La solution est très simple, cela demanderait un peu de réflexion et de courage de la part de nos dirigeants et des institutions de défense des intérêts africains , le NEPAD et l’UA etc.. La France coloniale, semble vouloir échapper à la forte dépendance énergétique de la Russie, du Moyen-Orient ou de l’Afrique, elle n’a pas trouvé mieux de corrompre certains courants politiques des pays africains pour s’accaparer de toutes les richesses énergétiques que recèle leur sous-sol.                                                     L’uranium africain transformé en électricité par la France équivaut à 81 millions de tep/an de pétrole. Si l’on prive la France de l’uranium africain, elle s’abattrait probablement dans un premier temps sur l’achat massif du pétrole de l’OPEP, la demande augmentera considérablement et les prix grimperont jusqu’à 400 dollars le baril. Après vingt ans de sous-investissement, au vue à l’horizon d’une pénurie sans précédent de pétrole approche, la renaissance du nucléaire relance la chasse française aux gisements africains, et les tensions s’exacerbent sur le marché de l’uranium entre les puissances en quête d’énergie. Les stocks militaires recyclés en combustible pour centrales dans le cadre des politiques de désarmement s’épuisent en effet au moment où les pays émergents (Chine, Inde, Russie…) développent leur parc électronucléaire. Y a-t-il pénurie en vue ? « Au rythme actuel de la consommation, les ressources uranifères identifiées approvisionné l’industrie que dans un temps relativement de deux décennies seulement pour ne produire que l’électricité. Un optimisme dénoncé qui jugent que le monde manquera totalement de ressources conventionnelles, largement surestimées qui, s’épuiseront vers 2030. Les Droits de l’Homme bafoués                                                                                Depuis une déclaration de l’ONU datée de septembre 2007, la communauté internationale a reconnu aux peuples nomades du Sahara – Touaregs compris- le droit d’occuper les territoires du Nord du Niger. Les Nations unies ont également institué le droit à la propriété pour ces populations et des missions onusiennes sont sur place. En tant qu’éminent membre des Nations unies, la France a signé cette déclaration, ses soldats font partie en même tant partie des missions au Tchad et au Niger et répriment en même tant la population Touarègue. La France ‘bafoue’ totalement les droits de l’homme, le Gouvernement nigérien quant à lui il continu sa razzia contre les populations Touarègues.  Areva est en partie responsable du conflit entre Niamey et les touaregs car « l’entreprise française a fait exproprier des terres qui appartenaient aux tribus nomades » et les travailleurs autochtones de la mine sont réduits à l’esclavage. Le Gouvernement nigérien et l’entreprise française Avéra sont responsable de la mort des ouvriers de la mine et de la prolifération des maladies dites ‘nucléaires’  et responsables aussi des graves retombées radioactives sur le territoire algérien, libyen et malien et enfin ils sont responsables de l’accélération de la désertification de l’Afrique septentrionale.  L’entreprise Avéra et les autorités de Niamey ont en effet expulsé des villages entiers manu militari pour satisfaire les besoins de l’entreprise française. Une plainte a été déposée par une association Touarègue et une ONG allemande semble-t-il ? Le président nigérien en exercice, Mamadou Tandja, encourage ces expropriations illégales sous la pression des français d’Avéra, bien introduits dans les rouages politiques de l’Etat nigérien. La française Avéra sponsorise, les conflits et le terrorisme dans cette région subsaharien pour nuire l’Unité africain et créer des entraves aux projets socio-économiques du NEPAD. Une pollution durable et sans remède                                                                                             asséchant par conséquent les réserves en eau de la régionUne. L’été dernier, le directeur d’Areva au Niger, Dominique Pin, avait été expulsé du pays à la suite de différends entre le groupe et le pays. Par ailleurs, Areva a obtenu l’agrément du gouvernement pour lancer le projet d’exploitation du gisement d’Imouraren et étendre son périmètre d’exploration, confirmant ainsi sa position d’opérateur minier au Niger pour les décennies à venir. La population Touarègue reprend les armes pour lutter contre le dépouillement des richesses africaines par la française Aréva et le gouvernement. Avec un investissement prévu de plus de 1 milliard d’euros (près de 650 milliards de FCFA), le site d’Imouraren constituera le plus grand site polluant du monde et le deuxième projet industriel minier jamais envisagé au Niger, le plaçant au deuxième rang mondial avec une production de près de 6000 tonnes d’uranium produites annuellement. Conclusion                                                                                                                       Pour ses besoins en énergie la France utilise 81 millions de tep/an. La production française annuelle d’électricité s’élève  450,6 tétra watts/h (TWD), dont 356, 2 TWD d’origine nucléaire à base de minerai Nigérien  La France commercialise aussi 50 % de son énergie produite par ses centrales nucléaires sur le réseau de l’Union européenne. En faisant la conversion en dollars on s’aperçoit que pas moins de 51,03 milliards de dollars sont raflés par la française Aréva chaque année du sous-sol Nigérien en échange quelques fois contre une aide alimentaire pour la population affamée.                                                                                             *tep (tonne équivalent pétrole)                                                                   Expert en énergie                                                                                                          Algerian Society For International Relations  

Zino

La guerre de l’uranium débute au Niger                                                                                                                                     Par : Y.Mérabet Comment faire pression sur la France pour sauver l’Afrique ?                                                     La solution est très simple, cela demanderait un peu de réflexion et de courage de la part de nos dirigeants et des institutions de défense des intérêts africains , le NEPAD et l’UA etc.. La France coloniale, semble vouloir échapper à la forte dépendance énergétique de la Russie, du Moyen-Orient ou de l’Afrique, elle n’a pas trouvé mieux de corrompre certains courants politiques des pays africains pour s’accaparer de toutes les richesses énergétiques que recèle leur sous-sol.                                                     L’uranium africain transformé en électricité par la France équivaut à 81 millions de tep/an de pétrole. Si l’on prive la France de l’uranium africain, elle s’abattrait probablement dans un premier temps sur l’achat massif du pétrole de l’OPEP, la demande augmentera considérablement et les prix grimperont jusqu’à 400 dollars le baril. L’uranium nigérien est un enjeu majeur pour la politique énergétique européenne. Une fois la mine d’Imouraren ouverte, le Niger représentera plus du tiers des approvisionnements en uranium d’Area. L’Afrique fournie presque la totalité de la matière première pour l’électronucléaire français, la France de Sarkozy  et sera encore plus que jamais dépendante seulement que de deux ou trois pays africains riches en minerai d’uranium. Le Président Nigérien Mamadou Tanja n’est pas aussi bête comme le pensent certains ‘chrono critiqueurs’, il est entrain d’attirer la France dans un piège appelé ‘ stratégie du buffle’ qu’avait déjà utilisé Chaka le roi des Zoulou pour détruire les armées anglaises en Afrique du Sud, il y’a de ça  plus de deux siècles. Le Niger pourvoyeur de matière première pour l’industrie française du nucléaire                                                                                L’uranium future source d’énergie potentiel de l’après pétrole réveille toutes les convoitises – celle de la France en particulier, dont 80 % de l’électricité est produite par les centrales nucléaires d’EDF. Dans ses voyages à l’étranger, Nicolas Sarkozy ne se contente pas de brader sa technologie  du nucléaire « made in France »  des réacteurs EPR de troisième génération et de les proposer aux pays arabes pour trois raisons essentielles: la première pour ouvrir une brèche sur le persistant problème israélo-palestinien et la deuxième pour vendre le matériel et la technologie du nucléaire français et enfin de vendre son surplus plutonium aux acquéreurs de centrales françaises et contrôler le nucléaire des PVD et élargir le champ de sa clientèle en  ‘plutonium’. Dans les deux cas cités, la France cherche à prendre le contrôle de la chaine complète de l’exploitation du minerai à la production de l’électricité, chose que personne ne va accepter, déjà  les russes sous la pression de l’Union européenne des Etats-Unis ont fait cette proposition à l’Iran, qu’il a rejeté. La France de Sarkozy a déjà une main mise sur tous les gisements de minerai d’uranium africain faisant d’elle la plus grande puissance mondiale du commerce et du trafic du ‘plutonium’. La France condamnée à supporter le fardeau énergétique de l’Europe des 27, résultat d’une politique népotiste et raciste (problème da l’adhésion de la Turquie à l’UE). L’Europe au sous-sol stérile aura besoin de beaucoup plus d’énergie pour pouvoir affronter  les crises énergétiques qui se dessinent à l’horizon 2015, cette date c’est demain ou le pétrole n’aura plus d’égal prix. L’Europe orientale aura besoin d’un prêt de 1000 milliards d’euros pour relancer la construction d’infrastructures (réseaux routiers, de gaz d’eau et centrales nucléaires), cette somme colossale somme  sera débloqué par les Fonds Monétaire International et de la Banque Mondiale, malheureusement lorsqu’il s’agit d’une  aide pour le développement de l’Afrique, le G20 dit ‘niet’. Avec ses 850 millions d’habitants, et des richesses inestimables, les pays riches veulent que  l’Afrique reste à la traine. L’Afrique est marginalisée pour être  riche de son sous-sol et de ses hommes, elle n’a pas le droit d’apporter sa contribution à la construction du monde de demain, bien que l’avenir lui appartient. L’Afrique comme l’appellent les Français ‘la grotte d’Ali Baba’, parce qu’elle approvisionne à bon marché le monde nantis de richesses, et plus particulièrement en énergie ‘tout venant’ (pétrole, gaz, houille, minerai d’uranium, solaire, bois pour la biomasse etc..), c’est en enfonçant les populations africaines dans la misère, le besoin, les confits et les guerres , que les européens pensent récupérer leur ‘nourriture’.  Les ressources énergétiques de notre planète sont partagés en trois parts par les ‘forts’ : les Etats-Unis convoitent le Moyen-Orient qui recèle plus de 50% de l’énergie mondial,  l’Union européenne convoite le sous-sol africain qui recèle lui 20% d’énergie (y compris le minerai d’uranium) et les russes le reste du gâteau entre autres ; l’Amérique latine et quelques petits pays éparses de la planète.  La France que représente Nicolas Sarkozy, un émigrant, s’emploie aussi à parrainer des accords destinés à sécuriser l’approvisionnement du pays en uranium, nécessaire à la fabrication du combustible des cinquante-huit réacteurs français, mais aussi fabriquer du ’plutonium militaire’ pour le complexe militaro-industriel du nucléaire  qui fabriques des armes de destruction massive les plus redoutables du monde.  La France reste le fournisseur exclusif  de plutonium militaire (hautement enrichi) des pays  ‘rebelles’ au TNP  les plus connus : l’Inde, le Pakistan et Israël.                                               La France porte atteinte au Traité de Non Prolifération Nucléaire et aux Droits de l’Homme sous l’œil complice de l’AIEA.  Le dépouillement des richesses africaines par la France           Le  président nigérien en exercice, Mamadou  Tandja du Niger, part en guerre contre le dépouillement des richesses africaines par les européens. Pour attiser la révolte populaire contre la présence française au Niger, il a promis à son peuple, qu’il va mettre fin à tous les contrats français et fermer tous les sites miniers et cela en vue des prochaines élections présidentielles qui auront lieu à la fin de l’année 2009. C’est Areva une société française à caractère militairo-industriel, ciblée mondialement pour sa prolifération nucléaire et du trafic du ‘plutonium enrichi’ c’est aussi un  leader  mondial dans le commerce de ‘l’énergie de la mort’, Avéra fourni du plutonium à tous les pays non-signataires du traité de non proliférations nucléaire (TNP), et entre autres Israël la rebelle.  L’implantation de la française Avéra à la frontière Algéro-nigérien est très contesté par la population nomade des Touaregs opprimée par le Gouvernement nigérien et les hommes armés par Avéra, une situation dramatique qui risque de se dégénérer en revendication territoriale. La France veut s’accaparer du plus grand gisement uranifère prolongé inter-frontalier (Algérie-Niger) du continent, la création d’il est temps que ces trois pays voisins du même continent se concertent pour prendre en charge ce problème, soit de nationaliser cette ressource, soit de fermer les sites miniers aux étrangers ?  Le Niger peut grossièrement être divisé  en deux zones : le Sud du pays, plus urbanisé, se concentre sur les rives du fleuve Niger et au tour de la capitale Niamey ; le Nord du pays correspond à de vastes territoires peuplés de populations nomades ou semi-sédentaires- notamment les Touaregs. L’Etat nigérien aidé par la France mène une guerre sans merci contre la population Touareg du Nord, ces derniers exigent au Gouvernement le partage équitable de la rente uranifère ou le départ des compagnies françaises qui exploitent anarchiquement les mines d’uranium qui ne fait que profiter aux français et aux proches du de Mamadou Tanja. La française Avéra, le géant mondiale de l’exploitation et du commerce du ‘plutonium’ est devenue très influent sur les régimes politiques de l’Afrique notamment sur ceux du ; Gabon, Mali, Niger, du Congo, cela se comprends que le sous sol de ces pays recèle de l’uranium, mais le flirtages de la France avec le Maroc cela se comprends du fait qu’au Sahara occidental (Polisario) le Maroc exploite du phosphate qui renferme de petites quantité d’uranium exploitables que les deux pays courtisent ensemble. Pour cela que la France voudrait faire échec à la résistance Sahraouie. L’uranium africain devient une hantise des français. L’Etat nigérien mène une guerre très intensifiée ces dernières années contre les Touaregs considérés comme rebelles parce qu’ils réclament leurs droits. Tout le monde sait ce que c’est la virulente colonisation française et ses retombées socio-économiques sur les pays africains après leur indépendance. La France et l’France deux signataire du Traité de Non Prolifération Nucléaire, profitent du vide juridique du TNP   C’est alors que débarque Areva, fleuron du  ‘nucléaire européen’ et le principal  industriel de la France, l’ancienne puissance coloniale du Niger et de la région. Très rapidement, le spécialiste de l’enrichissement de l’uranium et le plus grand fournisseur de plutonium du monde jette son  dévolu sur le Gabon et ensuite sur  zone d’Arlit et tout dernièrement la  mine géante d’Imouraren  au Niger, ces gisements se prolongent à l’intérieur du territoire algérien non encore prospectés.  Avéra compte produire plus de 3O% du combustible nucléaire mondial extrait du sous sol africain et contrôler 60% du trafic mondial du minerai d’uranium. Quatre-vingt pour cent (80 %) de e la consommation électrique française provient des mines d’uranium du Niger, alors que la population Touarègue à la lune. Le nucléaire ne représente environ que 5% de l’énergie mondiale alors qu’en France 80% de l’électricité produite est d’origine nucléaire, le nucléaire en France représente environ  41% de sa consommation d’énergie. La France exporte 50% sa de son énergie nucléaire et le Niger lui fourni 100% de la matière première.  La France en manque d’énergie conventionnelle (pétrole, gaz, houille et uranium), veut rattraper son déficit en dépouillant l’Afrique de ses richesses uranifères et projette de détenir le quasi monopole du commerce international du plutonium ainsi que la livraison de centrales nucléaires. Dès l’aube de son élection à la présidence française, Sarkozy met en  vente  une cinquantaine de centrales nucléaire avec leur ‘savoir-faire technologique’ aux arabes et aux africains, de manière que ces pays ‘endormis’ deviennent tributaires de la France pour l’éternité, nos bidonvilles seront éclairés à la bonne humeurs des français, une nouvelle forme de domination coloniale.L’accord avec la République Démocratique du Congo  intervient après la signature entre Areva et le Niger, début janvier, d’une convention minière stratégique pour le numéro un mondial du nucléaire. La mise en œuvre du permis d’exploitation d’Imouraren en ferait la deuxième mine du monde lors de son ouverture prévue en 2012. Elle permettra à Areva de faire passer sa production annuelle de 6 000 à 12 000 tonnes vers 2015 et permettra à la France de contrôler plus de 30% du commerce mondial du plutonium. Les Européens barons du trafic d’uranium africain            . L’opération s’était effectuée dans le plus grand secret, à l’insu évidemment du parlement belge. Edgar Sengier (de nationalité anglaise), directeur de l’Union Minière du Haut Katanga, avait vendu 1200 tonnes de minerai d’uranium aux USA depuis 1939. En quelque sorte, le premier scandale de contrebande d’uranium congolais. La mine de Shinkolobwe est située dans la province du Shaba (ex-Katanga) dans l’extrême-sud du pays et se trouve au centre d’un filon uranifère long de 400 km. Elle a été fermée officiellement par décret présidentiel en janvier 2004, et les puits ont été recouverts de couvercles en béton, mais l’exploitation se poursuit de manière frauduleuse par la filière de trafic ‘franco-britannique’ qui aliment clandestinement en bâtonnets d’uranium les centrales nucléaires militaro-industrielles d’Israël, de l’Inde et du Pakistan. Plus de 100 barres d’uranium aussi bien qu’une quantité inconnue d’uranium ont disparu du centre nucléaire de Kinshasa dans le cadre d’un vaste trafic. Rappelez-vous que le ‘Yellow cake’* du uranium du Niger, qui a été utilisé comme prétexte pour faire la guerre à l’Irak. Le vol de l’uranium africain par les européens est une arme à double tranchants pour les pays su Sud sans défense! Rappelez-vous le ‘Yellow cake’ du uranium du Niger, qui a été utilisé comme prétexte pour faire la guerre à l’Irak. Le ‘Yellow-cake’ : littéralement « gâteau jaune », ce terme désigne un précipité chimique (sous forme d’uranate de magnésium, de sodium, d’ammonium ou sous forme de peroxyde d’uranium) ayant l’aspect d’une poudre ou d’une pâte jaune. Ce précipité contient environ 75 % d’uranium et peut-être fabriqué dune manière artisanale sur le site même de la mine, avec un minimum d’équipement. Alors vous voyez qu’il est facile de fabriquer l’arme ‘nucléaire du pauvre’ à partir de rien. Il est temps que les

Zino

La guerre de l’uranium débute au Niger                                                                                                                                     Par : Y.Mérabet Comment faire pression sur la France pour sauver l’Afrique ?                                                     La solution est très simple, cela demanderait un peu de réflexion et de courage de la part de nos dirigeants et des institutions de défense des intérêts africains , le NEPAD et l’UA etc.. La France coloniale, semble vouloir échapper à la forte dépendance énergétique de la Russie, du Moyen-Orient ou de l’Afrique, elle n’a pas trouvé mieux de corrompre certains courants politiques des pays africains pour s’accaparer de toutes les richesses énergétiques que recèle leur sous-sol.                                                     L’uranium africain transformé en électricité par la France équivaut à 81 millions de tep/an de pétrole. Si l’on prive la France de l’uranium africain, elle s’abattrait probablement dans un premier temps sur l’achat massif du pétrole de l’OPEP, la demande augmentera considérablement et les prix grimperont jusqu’à 400 dollars le baril. L’uranium nigérien est un enjeu majeur pour la politique énergétique européenne. Une fois la mine d’Imouraren ouverte, le Niger représentera plus du tiers des approvisionnements en uranium d’Area. L’Afrique fournie presque la totalité de la matière première pour l’électronucléaire français, la France de Sarkozy  et sera encore plus que jamais dépendante seulement que de deux ou trois pays africains riches en minerai d’uranium. Le Président Nigérien Mamadou Tanja n’est pas aussi bête comme le pensent certains ‘chrono critiqueurs’, il est entrain d’attirer la France dans un piège appelé ‘ stratégie du buffle’ qu’avait déjà utilisé Chaka le roi des Zoulou pour détruire les armées anglaises en Afrique du Sud, il y’a de ça  plus de deux siècles. Le Niger pourvoyeur de matière première pour l’industrie française du nucléaire                                                                                L’uranium future source d’énergie potentiel de l’après pétrole réveille toutes les convoitises – celle de la France en particulier, dont 80 % de l’électricité est produite par les centrales nucléaires d’EDF. Dans ses voyages à l’étranger, Nicolas Sarkozy ne se contente pas de brader sa technologie  du nucléaire « made in France »  des réacteurs EPR de troisième génération et de les proposer aux pays arabes pour trois raisons essentielles: la première pour ouvrir une brèche sur le persistant problème israélo-palestinien et la deuxième pour vendre le matériel et la technologie du nucléaire français et enfin de vendre son surplus plutonium aux acquéreurs de centrales françaises et contrôler le nucléaire des PVD et élargir le champ de sa clientèle en  ‘plutonium’. Dans les deux cas cités, la France cherche à prendre le contrôle de la chaine complète de l’exploitation du minerai à la production de l’électricité, chose que personne ne va accepter, déjà  les russes sous la pression de l’Union européenne des Etats-Unis ont fait cette proposition à l’Iran, qu’il a rejeté. La France de Sarkozy a déjà une main mise sur tous les gisements de minerai d’uranium africain faisant d’elle la plus grande puissance mondiale du commerce et du trafic du ‘plutonium’. La France condamnée à supporter le fardeau énergétique de l’Europe des 27, résultat d’une politique népotiste et raciste (problème da l’adhésion de la Turquie à l’UE). L’Europe au sous-sol stérile aura besoin de beaucoup plus d’énergie pour pouvoir affronter  les crises énergétiques qui se dessinent à l’horizon 2015, cette date c’est demain ou le pétrole n’aura plus d’égal prix. L’Europe orientale aura besoin d’un prêt de 1000 milliards d’euros pour relancer la construction d’infrastructures (réseaux routiers, de gaz d’eau et centrales nucléaires), cette somme colossale somme  sera débloqué par les Fonds Monétaire International et de la Banque Mondiale, malheureusement lorsqu’il s’agit d’une  aide pour le développement de l’Afrique, le G20 dit ‘niet’. Avec ses 850 millions d’habitants, et des richesses inestimables, les pays riches veulent que  l’Afrique reste à la traine. L’Afrique est marginalisée pour être  riche de son sous-sol et de ses hommes, elle n’a pas le droit d’apporter sa contribution à la construction du monde de demain, bien que l’avenir lui appartient. L’Afrique comme l’appellent les Français ‘la grotte d’Ali Baba’, parce qu’elle approvisionne à bon marché le monde nantis de richesses, et plus particulièrement en énergie ‘tout venant’ (pétrole, gaz, houille, minerai d’uranium, solaire, bois pour la biomasse etc..), c’est en enfonçant les populations africaines dans la misère, le besoin, les confits et les guerres , que les européens pensent récupérer leur ‘nourriture’.  Les ressources énergétiques de notre planète sont partagés en trois parts par les ‘forts’ : les Etats-Unis convoitent le Moyen-Orient qui recèle plus de 50% de l’énergie mondial,  l’Union européenne convoite le sous-sol africain qui recèle lui 20% d’énergie (y compris le minerai d’uranium) et les russes le reste du gâteau entre autres ; l’Amérique latine et quelques petits pays éparses de la planète.  La France que représente Nicolas Sarkozy, un émigrant, s’emploie aussi à parrainer des accords destinés à sécuriser l’approvisionnement du pays en uranium, nécessaire à la fabrication du combustible des cinquante-huit réacteurs français, mais aussi fabriquer du ’plutonium militaire’ pour le complexe militaro-industriel du nucléaire  qui fabriques des armes de destruction massive les plus redoutables du monde.  La France reste le fournisseur exclusif  de plutonium militaire (hautement enrichi) des pays  ‘rebelles’ au TNP  les plus connus : l’Inde, le Pakistan et Israël.                                               La France porte atteinte au Traité de Non Prolifération Nucléaire et aux Droits de l’Homme sous l’œil complice de l’AIEA.  Le dépouillement des richesses africaines par la France           Le  président nigérien en exercice, Mamadou  Tandja du Niger, part en guerre contre le dépouillement des richesses africaines par les européens. Pour attiser la révolte populaire contre la présence française au Niger, il a promis à son peuple, qu’il va mettre fin à tous les contrats français et fermer tous les sites miniers et cela en vue des prochaines élections présidentielles qui auront lieu à la fin de l’année 2009. C’est Areva une société française à caractère militairo-industriel, ciblée mondialement pour sa prolifération nucléaire et du trafic du ‘plutonium enrichi’ c’est aussi un  leader  mondial dans le commerce de ‘l’énergie de la mort’, Avéra fourni du plutonium à tous les pays non-signataires du traité de non proliférations nucléaire (TNP), et entre autres Israël la rebelle.  L’implantation de la française Avéra à la frontière Algéro-nigérien est très contesté par la population nomade des Touaregs opprimée par le Gouvernement nigérien et les hommes armés par Avéra, une situation dramatique qui risque de se dégénérer en revendication territoriale. La France veut s’accaparer du plus grand gisement uranifère prolongé inter-frontalier (Algérie-Niger) du continent, la création d’il est temps que ces trois pays voisins du même continent se concertent pour prendre en charge ce problème, soit de nationaliser cette ressource, soit de fermer les sites miniers aux étrangers ?  Le Niger peut grossièrement être divisé  en deux zones : le Sud du pays, plus urbanisé, se concentre sur les rives du fleuve Niger et au tour de la capitale Niamey ; le Nord du pays correspond à de vastes territoires peuplés de populations nomades ou semi-sédentaires- notamment les Touaregs. L’Etat nigérien aidé par la France mène une guerre sans merci contre la population Touareg du Nord, ces derniers exigent au Gouvernement le partage équitable de la rente uranifère ou le départ des compagnies françaises qui exploitent anarchiquement les mines d’uranium qui ne fait que profiter aux français et aux proches du de Mamadou Tanja. La française Avéra, le géant mondiale de l’exploitation et du commerce du ‘plutonium’ est devenue très influent sur les régimes politiques de l’Afrique notamment sur ceux du ; Gabon, Mali, Niger, du Congo, cela se comprends que le sous sol de ces pays recèle de l’uranium, mais le flirtages de la France avec le Maroc cela se comprends du fait qu’au Sahara occidental (Polisario) le Maroc exploite du phosphate qui renferme de petites quantité d’uranium exploitables que les deux pays courtisent ensemble. Pour cela que la France voudrait faire échec à la résistance Sahraouie. L’uranium africain devient une hantise des français. L’Etat nigérien mène une guerre très intensifiée ces dernières années contre les Touaregs considérés comme rebelles parce qu’ils réclament leurs droits. Tout le monde sait ce que c’est la virulente colonisation française et ses retombées socio-économiques sur les pays africains après leur indépendance. La France et l’France deux signataire du Traité de Non Prolifération Nucléaire, profitent du vide juridique du TNP   C’est alors que débarque Areva, fleuron du  ‘nucléaire européen’ et le principal  industriel de la France, l’ancienne puissance coloniale du Niger et de la région. Très rapidement, le spécialiste de l’enrichissement de l’uranium et le plus grand fournisseur de plutonium du monde jette son  dévolu sur le Gabon et ensuite sur  zone d’Arlit et tout dernièrement la  mine géante d’Imouraren  au Niger, ces gisements se prolongent à l’intérieur du territoire algérien non encore prospectés.  Avéra compte produire plus de 3O% du combustible nucléaire mondial extrait du sous sol africain et contrôler 60% du trafic mondial du minerai d’uranium. Quatre-vingt pour cent (80 %) de e la consommation électrique française provient des mines d’uranium du Niger, alors que la population Touarègue à la lune. Le nucléaire ne représente environ que 5% de l’énergie mondiale alors qu’en France 80% de l’électricité produite est d’origine nucléaire, le nucléaire en France représente environ  41% de sa consommation d’énergie. La France exporte 50% sa de son énergie nucléaire et le Niger lui fourni 100% de la matière première.  La France en manque d’énergie conventionnelle (pétrole, gaz, houille et uranium), veut rattraper son déficit en dépouillant l’Afrique de ses richesses uranifères et projette de détenir le quasi monopole du commerce international du plutonium ainsi que la livraison de centrales nucléaires. Dès l’aube de son élection à la présidence française, Sarkozy met en  vente  une cinquantaine de centrales nucléaire avec leur ‘savoir-faire technologique’ aux arabes et aux africains, de manière que ces pays ‘endormis’ deviennent tributaires de la France pour l’éternité, nos bidonvilles seront éclairés à la bonne humeurs des français, une nouvelle forme de domination coloniale.L’accord avec la République Démocratique du Congo  intervient après la signature entre Areva et le Niger, début janvier, d’une convention minière stratégique pour le numéro un mondial du nucléaire. La mise en œuvre du permis d’exploitation d’Imouraren en ferait la deuxième mine du monde lors de son ouverture prévue en 2012. Elle permettra à Areva de faire passer sa production annuelle de 6 000 à 12 000 tonnes vers 2015 et permettra à la France de contrôler plus de 30% du commerce mondial du plutonium. Les Européens barons du trafic d’uranium africain            . L’opération s’était effectuée dans le plus grand secret, à l’insu évidemment du parlement belge. Edgar Sengier (de nationalité anglaise), directeur de l’Union Minière du Haut Katanga, avait vendu 1200 tonnes de minerai d’uranium aux USA depuis 1939. En quelque sorte, le premier scandale de contrebande d’uranium congolais. La mine de Shinkolobwe est située dans la province du Shaba (ex-Katanga) dans l’extrême-sud du pays et se trouve au centre d’un filon uranifère long de 400 km. Elle a été fermée officiellement par décret présidentiel en janvier 2004, et les puits ont été recouverts de couvercles en béton, mais l’exploitation se poursuit de manière frauduleuse par la filière de trafic ‘franco-britannique’ qui aliment clandestinement en bâtonnets d’uranium les centrales nucléaires militaro-industrielles d’Israël, de l’Inde et du Pakistan. Plus de 100 barres d’uranium aussi bien qu’une quantité inconnue d’uranium ont disparu du centre nucléaire de Kinshasa dans le cadre d’un vaste trafic. Rappelez-vous que le ‘Yellow cake’* du uranium du Niger, qui a été utilisé comme prétexte pour faire la guerre à l’Irak. Le vol de l’uranium africain par les européens est une arme à double tranchants pour les pays su Sud sans défense! Rappelez-vous le ‘Yellow cake’ du uranium du Niger, qui a été utilisé comme prétexte pour faire la guerre à l’Irak. Le ‘Yellow-cake’ : littéralement « gâteau jaune », ce terme désigne un précipité chimique (sous forme d’uranate de magnésium, de sodium, d’ammonium ou sous forme de peroxyde d’uranium) ayant l’aspect d’une poudre ou d’une pâte jaune. Ce précipité contient environ 75 % d’uranium et peut-être fabriqué dune manière artisanale sur le site même de la mine, avec un minimum d’équipement. Alors vous voyez qu’il est facile de fabriquer l’arme ‘nucléaire du pauvre’ à partir de rien. Il est temps que les

Zino

La guerre de l’uranium débute au Niger                                                                                                                                     Par : Y.Mérabet Comment faire pression sur la France pour sauver l’Afrique ?                                                     La solution est très simple, cela demanderait un peu de réflexion et de courage de la part de nos dirigeants et des institutions de défense des intérêts africains , le NEPAD et l’UA etc.. La France coloniale, semble vouloir échapper à la forte dépendance énergétique de la Russie, du Moyen-Orient ou de l’Afrique, elle n’a pas trouvé mieux de corrompre certains courants politiques des pays africains pour s’accaparer de toutes les richesses énergétiques que recèle leur sous-sol.                                                     L’uranium africain transformé en électricité par la France équivaut à 81 millions de tep/an de pétrole. Si l’on prive la France de l’uranium africain, elle s’abattrait probablement dans un premier temps sur l’achat massif du pétrole de l’OPEP, la demande augmentera considérablement et les prix grimperont jusqu’à 400 dollars le baril. L’uranium nigérien est un enjeu majeur pour la politique énergétique européenne. Une fois la mine d’Imouraren ouverte, le Niger représentera plus du tiers des approvisionnements en uranium d’Area. L’Afrique fournie presque la totalité de la matière première pour l’électronucléaire français, la France de Sarkozy  et sera encore plus que jamais dépendante seulement que de deux ou trois pays africains riches en minerai d’uranium. Le Président Nigérien Mamadou Tanja n’est pas aussi bête comme le pensent certains ‘chrono critiqueurs’, il est entrain d’attirer la France dans un piège appelé ‘ stratégie du buffle’ qu’avait déjà utilisé Chaka le roi des Zoulou pour détruire les armées anglaises en Afrique du Sud, il y’a de ça  plus de deux siècles. Le Niger pourvoyeur de matière première pour l’industrie française du nucléaire                                                                                L’uranium future source d’énergie potentiel de l’après pétrole réveille toutes les convoitises – celle de la France en particulier, dont 80 % de l’électricité est produite par les centrales nucléaires d’EDF. Dans ses voyages à l’étranger, Nicolas Sarkozy ne se contente pas de brader sa technologie  du nucléaire « made in France »  des réacteurs EPR de troisième génération et de les proposer aux pays arabes pour trois raisons essentielles: la première pour ouvrir une brèche sur le persistant problème israélo-palestinien et la deuxième pour vendre le matériel et la technologie du nucléaire français et enfin de vendre son surplus plutonium aux acquéreurs de centrales françaises et contrôler le nucléaire des PVD et élargir le champ de sa clientèle en  ‘plutonium’. Dans les deux cas cités, la France cherche à prendre le contrôle de la chaine complète de l’exploitation du minerai à la production de l’électricité, chose que personne ne va accepter, déjà  les russes sous la pression de l’Union européenne des Etats-Unis ont fait cette proposition à l’Iran, qu’il a rejeté. La France de Sarkozy a déjà une main mise sur tous les gisements de minerai d’uranium africain faisant d’elle la plus grande puissance mondiale du commerce et du trafic du ‘plutonium’. La France condamnée à supporter le fardeau énergétique de l’Europe des 27, résultat d’une politique népotiste et raciste (problème da l’adhésion de la Turquie à l’UE). L’Europe au sous-sol stérile aura besoin de beaucoup plus d’énergie pour pouvoir affronter  les crises énergétiques qui se dessinent à l’horizon 2015, cette date c’est demain ou le pétrole n’aura plus d’égal prix. L’Europe orientale aura besoin d’un prêt de 1000 milliards d’euros pour relancer la construction d’infrastructures (réseaux routiers, de gaz d’eau et centrales nucléaires), cette somme colossale somme  sera débloqué par les Fonds Monétaire International et de la Banque Mondiale, malheureusement lorsqu’il s’agit d’une  aide pour le développement de l’Afrique, le G20 dit ‘niet’. Avec ses 850 millions d’habitants, et des richesses inestimables, les pays riches veulent que  l’Afrique reste à la traine. L’Afrique est marginalisée pour être  riche de son sous-sol et de ses hommes, elle n’a pas le droit d’apporter sa contribution à la construction du monde de demain, bien que l’avenir lui appartient. L’Afrique comme l’appellent les Français ‘la grotte d’Ali Baba’, parce qu’elle approvisionne à bon marché le monde nantis de richesses, et plus particulièrement en énergie ‘tout venant’ (pétrole, gaz, houille, minerai d’uranium, solaire, bois pour la biomasse etc..), c’est en enfonçant les populations africaines dans la misère, le besoin, les confits et les guerres , que les européens pensent récupérer leur ‘nourriture’.  Les ressources énergétiques de notre planète sont partagés en trois parts par les ‘forts’ : les Etats-Unis convoitent le Moyen-Orient qui recèle plus de 50% de l’énergie mondial,  l’Union européenne convoite le sous-sol africain qui recèle lui 20% d’énergie (y compris le minerai d’uranium) et les russes le reste du gâteau entre autres ; l’Amérique latine et quelques petits pays éparses de la planète.  La France que représente Nicolas Sarkozy, un émigrant, s’emploie aussi à parrainer des accords destinés à sécuriser l’approvisionnement du pays en uranium, nécessaire à la fabrication du combustible des cinquante-huit réacteurs français, mais aussi fabriquer du ’plutonium militaire’ pour le complexe militaro-industriel du nucléaire  qui fabriques des armes de destruction massive les plus redoutables du monde.  La France reste le fournisseur exclusif  de plutonium militaire (hautement enrichi) des pays  ‘rebelles’ au TNP  les plus connus : l’Inde, le Pakistan et Israël.                                               La France porte atteinte au Traité de Non Prolifération Nucléaire et aux Droits de l’Homme sous l’œil complice de l’AIEA.  Le dépouillement des richesses africaines par la France           Le  président nigérien en exercice, Mamadou  Tandja du Niger, part en guerre contre le dépouillement des richesses africaines par les européens. Pour attiser la révolte populaire contre la présence française au Niger, il a promis à son peuple, qu’il va mettre fin à tous les contrats français et fermer tous les sites miniers et cela en vue des prochaines élections présidentielles qui auront lieu à la fin de l’année 2009. C’est Areva une société française à caractère militairo-industriel, ciblée mondialement pour sa prolifération nucléaire et du trafic du ‘plutonium enrichi’ c’est aussi un  leader  mondial dans le commerce de ‘l’énergie de la mort’, Avéra fourni du plutonium à tous les pays non-signataires du traité de non proliférations nucléaire (TNP), et entre autres Israël la rebelle.  L’implantation de la française Avéra à la frontière Algéro-nigérien est très contesté par la population nomade des Touaregs opprimée par le Gouvernement nigérien et les hommes armés par Avéra, une situation dramatique qui risque de se dégénérer en revendication territoriale. La France veut s’accaparer du plus grand gisement uranifère prolongé inter-frontalier (Algérie-Niger) du continent, la création d’il est temps que ces trois pays voisins du même continent se concertent pour prendre en charge ce problème, soit de nationaliser cette ressource, soit de fermer les sites miniers aux étrangers ?  Le Niger peut grossièrement être divisé  en deux zones : le Sud du pays, plus urbanisé, se concentre sur les rives du fleuve Niger et au tour de la capitale Niamey ; le Nord du pays correspond à de vastes territoires peuplés de populations nomades ou semi-sédentaires- notamment les Touaregs. L’Etat nigérien aidé par la France mène une guerre sans merci contre la population Touareg du Nord, ces derniers exigent au Gouvernement le partage équitable de la rente uranifère ou le départ des compagnies françaises qui exploitent anarchiquement les mines d’uranium qui ne fait que profiter aux français et aux proches du de Mamadou Tanja. La française Avéra, le géant mondiale de l’exploitation et du commerce du ‘plutonium’ est devenue très influent sur les régimes politiques de l’Afrique notamment sur ceux du ; Gabon, Mali, Niger, du Congo, cela se comprends que le sous sol de ces pays recèle de l’uranium, mais le flirtages de la France avec le Maroc cela se comprends du fait qu’au Sahara occidental (Polisario) le Maroc exploite du phosphate qui renferme de petites quantité d’uranium exploitables que les deux pays courtisent ensemble. Pour cela que la France voudrait faire échec à la résistance Sahraouie. L’uranium africain devient une hantise des français. L’Etat nigérien mène une guerre très intensifiée ces dernières années contre les Touaregs considérés comme rebelles parce qu’ils réclament leurs droits. Tout le monde sait ce que c’est la virulente colonisation française et ses retombées socio-économiques sur les pays africains après leur indépendance. La France et l’France deux signataire du Traité de Non Prolifération Nucléaire, profitent du vide juridique du TNP   C’est alors que débarque Areva, fleuron du  ‘nucléaire européen’ et le principal  industriel de la France, l’ancienne puissance coloniale du Niger et de la région. Très rapidement, le spécialiste de l’enrichissement de l’uranium et le plus grand fournisseur de plutonium du monde jette son  dévolu sur le Gabon et ensuite sur  zone d’Arlit et tout dernièrement la  mine géante d’Imouraren  au Niger, ces gisements se prolongent à l’intérieur du territoire algérien non encore prospectés.  Avéra compte produire plus de 3O% du combustible nucléaire mondial extrait du sous sol africain et contrôler 60% du trafic mondial du minerai d’uranium. Quatre-vingt pour cent (80 %) de e la consommation électrique française provient des mines d’uranium du Niger, alors que la population Touarègue à la lune. Le nucléaire ne représente environ que 5% de l’énergie mondiale alors qu’en France 80% de l’électricité produite est d’origine nucléaire, le nucléaire en France représente environ  41% de sa consommation d’énergie. La France exporte 50% sa de son énergie nucléaire et le Niger lui fourni 100% de la matière première.  La France en manque d’énergie conventionnelle (pétrole, gaz, houille et uranium), veut rattraper son déficit en dépouillant l’Afrique de ses richesses uranifères et projette de détenir le quasi monopole du commerce international du plutonium ainsi que la livraison de centrales nucléaires. Dès l’aube de son élection à la présidence française, Sarkozy met en  vente  une cinquantaine de centrales nucléaire avec leur ‘savoir-faire technologique’ aux arabes et aux africains, de manière que ces pays ‘endormis’ deviennent tributaires de la France pour l’éternité, nos bidonvilles seront éclairés à la bonne humeurs des français, une nouvelle forme de domination coloniale.L’accord avec la République Démocratique du Congo  intervient après la signature entre Areva et le Niger, début janvier, d’une convention minière stratégique pour le numéro un mondial du nucléaire. La mise en œuvre du permis d’exploitation d’Imouraren en ferait la deuxième mine du monde lors de son ouverture prévue en 2012. Elle permettra à Areva de faire passer sa production annuelle de 6 000 à 12 000 tonnes vers 2015 et permettra à la France de contrôler plus de 30% du commerce mondial du plutonium. Les Européens barons du trafic d’uranium africain            . L’opération s’était effectuée dans le plus grand secret, à l’insu évidemment du parlement belge. Edgar Sengier (de nationalité anglaise), directeur de l’Union Minière du Haut Katanga, avait vendu 1200 tonnes de minerai d’uranium aux USA depuis 1939. En quelque sorte, le premier scandale de contrebande d’uranium congolais. La mine de Shinkolobwe est située dans la province du Shaba (ex-Katanga) dans l’extrême-sud du pays et se trouve au centre d’un filon uranifère long de 400 km. Elle a été fermée officiellement par décret présidentiel en janvier 2004, et les puits ont été recouverts de couvercles en béton, mais l’exploitation se poursuit de manière frauduleuse par la filière de trafic ‘franco-britannique’ qui aliment clandestinement en bâtonnets d’uranium les centrales nucléaires militaro-industrielles d’Israël, de l’Inde et du Pakistan. Plus de 100 barres d’uranium aussi bien qu’une quantité inconnue d’uranium ont disparu du centre nucléaire de Kinshasa dans le cadre d’un vaste trafic. Rappelez-vous que le ‘Yellow cake’* du uranium du Niger, qui a été utilisé comme prétexte pour faire la guerre à l’Irak. Le vol de l’uranium africain par les européens est une arme à double tranchants pour les pays su Sud sans défense! Rappelez-vous le ‘Yellow cake’ du uranium du Niger, qui a été utilisé comme prétexte pour faire la guerre à l’Irak. Le ‘Yellow-cake’ : littéralement « gâteau jaune », ce terme désigne un précipité chimique (sous forme d’uranate de magnésium, de sodium, d’ammonium ou sous forme de peroxyde d’uranium) ayant l’aspect d’une poudre ou d’une pâte jaune. Ce précipité contient environ 75 % d’uranium et peut-être fabriqué dune manière artisanale sur le site même de la mine, avec un minimum d’équipement. Alors vous voyez qu’il est facile de fabriquer l’arme ‘nucléaire du pauvre’ à partir de rien. Il est temps que les

Zino

                                                                                                                                      Par : Y.Mérabet   Après vingt ans de sous-investissement, au vue à l’horizon d’une pénurie sans précédent de pétrole approche, la renaissance du nucléaire relance la chasse française aux gisements africains, et les tensions s’exacerbent sur le marché de l’uranium entre les puissances en quête d’énergie. Les stocks militaires recyclés en combustible pour centrales dans le cadre des politiques de désarmement s’épuisent en effet au moment où les pays émergents (Chine, Inde, Russie…) développent leur parc électronucléaire. Y a-t-il pénurie en vue ? « Au rythme actuel de la consommation, les ressources uranifères identifiées approvisionné l’industrie que dans un temps relativement de deux décennies seulement pour ne produire que l’électricité. Un optimisme dénoncé qui jugent que le monde manquera totalement de ressources conventionnelles, largement surestimées qui, s’épuiseront vers 2030. Les Droits de l’Homme bafoués   Depuis une déclaration de l’ONU datée de septembre 2007, la communauté internationale a reconnu aux peuples nomades du Sahara – Touaregs compris- le droit d’occuper les territoires du Nord du Niger. Les Nations unies ont également institué le droit à la propriété pour ces populations et des missions onusiennes sont sur place. En tant qu’éminent membre des Nations unies, la France a signé cette déclaration, ses soldats font partie en même tant partie des missions au Tchad et au Niger et répriment en même tant la population Touarègue. La France ‘bafoue’ totalement les droits de l’homme, le Gouvernement nigérien quant à lui il continu sa razzia contre les populations Touarègues.  Areva est en partie responsable du conflit entre Niamey et les touaregs car « l’entreprise française a fait exproprier des terres qui appartenaient aux tribus nomades » et les travailleurs autochtones de la mine sont réduits à l’esclavage. Le Gouvernement nigérien et l’entreprise française Avéra sont responsable de la mort des ouvriers de la mine et de la prolifération des maladies dites ‘nucléaires’  et responsables aussi des graves retombées radioactives sur le territoire algérien, libyen et malien et enfin ils sont responsables de l’accélération de la désertification de l’Afrique septentrionale.  L’entreprise Avéra et les autorités de Niamey ont en effet expulsé des villages entiers manu militari pour satisfaire les besoins de l’entreprise française. Une plainte a été déposée par une association Touarègue et une ONG allemande semble-t-il ? Le président nigérien en exercice, Mamadou Tandja, encourage ces expropriations illégales sous la pression des français d’Avéra, bien introduits dans les rouages politiques de l’Etat nigérien. La française Avéra sponsorise, les conflits et le terrorisme dans cette région subsaharien pour nuire l’Unité africain et créer des entraves aux projets socio-économiques du NEPAD. Une pollution durable et sans remède                                                                                                                               asséchant par conséquent les réserves en eau de la régionUne. L’été dernier, le directeur d’Areva au Niger, Dominique Pin, avait été expulsé du pays à la suite de différends entre le groupe et le pays. Par ailleurs, Areva a obtenu l’agrément du gouvernement pour lancer le projet d’exploitation du gisement d’Imouraren et étendre son périmètre d’exploration, confirmant ainsi sa position d’opérateur minier au Niger pour les décennies à venir. La population Touarègue reprend les armes pour lutter contre le dépouillement des richesses africaines par la française Aréva et le gouvernement. Avec un investissement prévu de plus de 1 milliard d’euros (près de 650 milliards de FCFA), le site d’Imouraren constituera le plus grand site polluant du monde et le deuxième projet industriel minier jamais envisagé au Niger, le plaçant au deuxième rang mondial avec une production de près de 6000 tonnes d’uranium produites annuellement. Pour ses besoins en énergie la France utilise 81 millions de tep/an. La production française annuelle d’électricité s’élève  450,6 tétra watts/h (TWD), dont 356, 2 TWD d’origine nucléaire à base de minerai Nigérien  La France commercialise aussi 50 % de son énergie produite par ses centrales nucléaires sur le réseau de l’Union européenne. En faisant la conversion en dollars on s’aperçoit que pas moins de 51,03 milliards de dollars sont raflés par la française Aréva chaque année du sous-sol Nigérien en échange quelques fois contre une aide alimentaire pour la population affamée.                                                                                             *tep (tonne équivalent pétrole)                                                                   Expert en énergie                                                                                                        

Zino

                                                                                                                                      Par : Y.Mérabet   Après vingt ans de sous-investissement, au vue à l’horizon d’une pénurie sans précédent de pétrole approche, la renaissance du nucléaire relance la chasse française aux gisements africains, et les tensions s’exacerbent sur le marché de l’uranium entre les puissances en quête d’énergie. Les stocks militaires recyclés en combustible pour centrales dans le cadre des politiques de désarmement s’épuisent en effet au moment où les pays émergents (Chine, Inde, Russie…) développent leur parc électronucléaire. Y a-t-il pénurie en vue ? « Au rythme actuel de la consommation, les ressources uranifères identifiées approvisionné l’industrie que dans un temps relativement de deux décennies seulement pour ne produire que l’électricité. Un optimisme dénoncé qui jugent que le monde manquera totalement de ressources conventionnelles, largement surestimées qui, s’épuiseront vers 2030. Les Droits de l’Homme bafoués   Depuis une déclaration de l’ONU datée de septembre 2007, la communauté internationale a reconnu aux peuples nomades du Sahara – Touaregs compris- le droit d’occuper les territoires du Nord du Niger. Les Nations unies ont également institué le droit à la propriété pour ces populations et des missions onusiennes sont sur place. En tant qu’éminent membre des Nations unies, la France a signé cette déclaration, ses soldats font partie en même tant partie des missions au Tchad et au Niger et répriment en même tant la population Touarègue. La France ‘bafoue’ totalement les droits de l’homme, le Gouvernement nigérien quant à lui il continu sa razzia contre les populations Touarègues.  Areva est en partie responsable du conflit entre Niamey et les touaregs car « l’entreprise française a fait exproprier des terres qui appartenaient aux tribus nomades » et les travailleurs autochtones de la mine sont réduits à l’esclavage. Le Gouvernement nigérien et l’entreprise française Avéra sont responsable de la mort des ouvriers de la mine et de la prolifération des maladies dites ‘nucléaires’  et responsables aussi des graves retombées radioactives sur le territoire algérien, libyen et malien et enfin ils sont responsables de l’accélération de la désertification de l’Afrique septentrionale.  L’entreprise Avéra et les autorités de Niamey ont en effet expulsé des villages entiers manu militari pour satisfaire les besoins de l’entreprise française. Une plainte a été déposée par une association Touarègue et une ONG allemande semble-t-il ? Le président nigérien en exercice, Mamadou Tandja, encourage ces expropriations illégales sous la pression des français d’Avéra, bien introduits dans les rouages politiques de l’Etat nigérien. La française Avéra sponsorise, les conflits et le terrorisme dans cette région subsaharien pour nuire l’Unité africain et créer des entraves aux projets socio-économiques du NEPAD. Une pollution durable et sans remède                                                                                                                               asséchant par conséquent les réserves en eau de la régionUne. L’été dernier, le directeur d’Areva au Niger, Dominique Pin, avait été expulsé du pays à la suite de différends entre le groupe et le pays. Par ailleurs, Areva a obtenu l’agrément du gouvernement pour lancer le projet d’exploitation du gisement d’Imouraren et étendre son périmètre d’exploration, confirmant ainsi sa position d’opérateur minier au Niger pour les décennies à venir. La population Touarègue reprend les armes pour lutter contre le dépouillement des richesses africaines par la française Aréva et le gouvernement. Avec un investissement prévu de plus de 1 milliard d’euros (près de 650 milliards de FCFA), le site d’Imouraren constituera le plus grand site polluant du monde et le deuxième projet industriel minier jamais envisagé au Niger, le plaçant au deuxième rang mondial avec une production de près de 6000 tonnes d’uranium produites annuellement. Pour ses besoins en énergie la France utilise 81 millions de tep/an. La production française annuelle d’électricité s’élève  450,6 tétra watts/h (TWD), dont 356, 2 TWD d’origine nucléaire à base de minerai Nigérien  La France commercialise aussi 50 % de son énergie produite par ses centrales nucléaires sur le réseau de l’Union européenne. En faisant la conversion en dollars on s’aperçoit que pas moins de 51,03 milliards de dollars sont raflés par la française Aréva chaque année du sous-sol Nigérien en échange quelques fois contre une aide alimentaire pour la population affamée.                                                                                             *tep (tonne équivalent pétrole)                                                                   Expert en énergie