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Eolien en mer (3 GW) : les 3 consortiums passés à la loupe

par La rédaction
13 janvier 2012
en Eolien, Non Renouvelable

Trois consortiums ont déposé mercredi différentes offres devant répondre aux critères de l’Etat afin de pouvoir installer la première tranche des 6 GW de capacité éolienne en mer par l’implantation au large des côtes françaises de 3.000 MW à partir de 2015.

Alors que chaque groupement industriel n’hésite pas à mettre en avant leurs attributs, il apparait que la création d’une activité économique pérenne devient une priorité avec la volonté certaine de faire émerger une filière française de l’éolien offshore .

Le consortium EDF EN / Alstom

Sites visés : Saint-Nazaire (Loire Atlantique), Saint-Brieuc (Côtes d’Armor), Courseulles-sur-Mer (Calvados) et Fécamp (Seine-Maritime)

EDF Energies Nouvelles et Alstom a annoncé avoir déposé 4 projets "solides et réalistes", en réponse à l’appel d’offres d’éolien offshore sur le territoire hexagonal. Selon les 2 industriels français, ces projets s’accompagnent d’un plan industriel "très ambitieux et équilibré" qui prévoit, notamment, la fabrication en France de l’éolienne conçue par Alstom et permettra la création d’environ 7.500 emplois.

Selon le consortium, l’éolienne d’Alstom, entièrement fabriquée en France, devrait contribuer à l’émergence d’une véritable filière industrielle "pérenne" et à terme "exportatrice" d’une technologie française. Alstom deviendra le fournisseur exclusif des éoliennes de 6 MW qui seront installées par le consortium. Ce dernier prévoit d’implanter 4 usines sur deux sites, à Saint-Nazaire et à Cherbourg. La fabrication de tous les composants clés de l’éolienne permettrait ainsi la création de 5.000 emplois pérennes et qualifiés, dont 1 000 emplois directs.

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En parallèle, le consortium prévoit d’implanter, dans les ports de Saint-Nazaire, Brest, Cherbourg et Le Havre, jusqu’à 8 unités pour la construction des fondations et l’assemblage des éoliennes, ainsi que 4 centres d’exploitation maintenance dans les ports de proximité de La Turballe, Saint-Quay-Portrieux, Caen-Ouistreham et Fécamp. Ce dispositif industriel permettra également de structurer et de développer l’activité d’un réseau d’industriels et de sous-traitants locaux tant pendant les périodes de construction que d’exploitation. Il s’appuiera sur des structures d’ingénierie et de R&D locales, travaillant en symbiose avec des partenaires universitaires régionaux.


Le Consortium GDF-Suez / Vinci / CDC

Sites visés : Courseulles-sur-Mer (Calvados), Dieppe-Le Tréport (Seine-Maritime, Somme), Fécamp (Seine-Maritime) et Saint-Brieuc (Côtes d’Armor).

GDF-Suez, Vinci et CDC Infrastructure qui ont également remis à l’Etat leurs dossiers de candidature pour développer l’éolien en mer, sont candidats sur quatre des cinq zones identifiées.

Le consortium s’appuiera sur des partenaires industriels reconnus dans la conception et la fabrication d’éoliennes en mer, il s’agit du français Areva (Courseulles-sur-Mer, Dieppe-Le Tréport et Fécamp) et de l’allemand Siemens (Saint-Brieuc).

Le consortium estime que jusqu’à 80 % de l’activité générée par le marché des éoliennes en mer (achats, production, sous-traitance) pourra être développée en France, contribuant ainsi au développement économique des régions concernées et à la création d’une véritable filière de formation. Ces emplois non délocalisables seront liés d’après eux, à la construction des éoliennes (phase de 3 à 6 ans) et à leur exploitation (20 ans et plus).

« Notre Groupe est un acteur incontournable dans les énergies renouvelables. Nous souhaitons, avec nos partenaires, apporter toute notre expertise d’énergéticien intégré pour développer cet ambitieux projet d’éolien en mer et contribuer à l’émergence d’une filière industrielle française » a déclaré Gérard Mestrallet, PDG de GDF Suez.

Avec plus de 1 000 MW éoliens installés, GDF Suez reste le premier producteur éolien en France, le Groupe ayant même pour objectif d’atteindre 2.000 MW installés dans l’éolien terrestre d’ici 2016. Dans le domaine de l’éolien offshore, le Groupe affirme disposer d’une expérience et d’un savoir-faire à travers ses filiales spécialisées comme INEO, Fabricom et Tractebel Engineering. En France, GDF Suez développe depuis plusieurs années le projet de parc éolien offshore des « Deux Côtes », situé dans la zone de Dieppe-Le Tréport, ainsi que d’autres projets dans les zones de Courseulles-sur-Mer et de Fécamp.

Pour Xavier Huillard, PDG VINCI : « VINCI apporte à ses partenaires un savoir-faire global dans le montage de financement, la maîtrise des solutions techniques permettant de répondre aux différentes conditions de sol et d’intervention en mer, et la capacité à associer les parties prenantes aux grands projets d’infrastructure sur lesquels nous intervenons. C’est un gage de performance et d’efficacité dans cet appel d’offre ambitieux de développement de l’éolien en mer. »

Enfin pour Augustin de Romanet, Directeur général de la Caisse des Dépôts : « A travers sa filiale CDC Infrastructure, le groupe Caisse des Dépôts est fier de participer, avec ses partenaires, au développement des infrastructures éoliennes off-shore, projet essentiel pour modifier le « mix énergétique » de notre pays en faveur des énergies renouvelables. »

CDC Infrastructure est la filiale d’investissement direct de la Caisse des Dépôts dans le secteur des infrastructures. Son objectif est d’investir en fonds propres dans des actifs essentiels pour le développement économique et l’attractivité du pays et qui génèrent une rentabilité récurrente sur le long terme. Elle prend des participations minoritaires dans des sociétés gérant des actifs matures ou des projets nouveaux financés notamment sous forme de partenariats public-privé (PPP) ou de concessions. Elle se positionne sur 4 secteurs : transport, énergie, télécoms, environnement.

Le Consortium IBERDROLA / EOLE RES

Sites visés : Saint-Nazaire (Loire Atlantique), Saint-Brieuc (Côtes d’Armor)

Seront associés aux projets d’autres partenaires tels que Areva pour sa turbine éolienne (M5000), la société d’ingénierie et de construction Technip, ainsi que le développeur NEOEN Marine.

Pour chacun de ces deux lots, le consortium IBERDROLA – EOLE RES indique avoir créé deux sociétés de projets communes, Ailes Marines SAS et Perle Marine SAS, détenues à 70% par Iberdrola et 30% par EOLE RES.

Les deux dossiers de réponse à l’appel d’offres ainsi constitués portent sur le développement, la construction et l’exploitation de 2 parcs éoliens offshore tels que mentionnés dans le cahier des charges de l’appel d’offres : Le premier parc situé dans la Baie de Saint Brieuc, est d’une puissance installée de 500 mégawatts (MW). Le second parc situé au large de Saint-Nazaire en Loire Atlantique, est d’une puissance installée de 480 MW. La puissance installée combinée de ces deux parcs est donc de 980 mégawatts (MW), ce qui correspond à la consommation électrique de 1,3 millions habitants, soit près de 70 % de la population des départements de Côtes d’Armor et de Loire Atlantique.

Pour chaque lot retenu, le consortium indique qu’il se chargera de conduire le développement des futurs champs éoliens, avec le soutien de NEOEN Marine. Areva fabriquera et équipera les éoliennes avec ses modèles de turbine de 5 MW, dans sa nouvelle usine du Havre qu’elle projette de construire. De son côté, Technip réalisera les études d’ingénierie et installera les fondations et les éoliennes offshores sur leur site respectif.

« Notre consortium s’est constitué autour d’un objectif commun : la réalisation de deux champs éoliens offshore dans le cadre de l’appel d’offres du gouvernement français. La remise de ces deux dossiers de réponses pour les futurs sites de Saint-Brieuc et de Saint-Nazaire représente la première étape de ce gigantesque défi, que nous allons relever avec l’ensemble de nos partenaires. La dimension européenne de notre partenariat et de notre excellence technologique représente un atout considérable pour la constitution d’une filière éolienne offshore française
et lui offre d’importantes possibilités de développement au cours des prochaines années sur les marchés internationaux
» a précisé Keith Anderson, Président de la Division Offshore d’Iberdrola.

Pour Jean-Marc Armitano, PDG d’EOLE RES, « cette remise des deux dossiers de réponse marque officiellement l’entrée du consortium dans la compétition. Nous sommes particulièrement confiants quant à la qualité de notre candidature, car elle réunit de manière inédite cinq experts sur l’intégralité de la chaîne de réalisation d’un projet éolien offshore. Nous espérons à travers ces futures réalisations conforter et étendre les compétences technologiques et industrielles des entreprises qui oeuvrent au sein de ce partenariat ».

 

Tags: consortiumeconomiqueedfeolien offshoregdf suez
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Commentaires 18

  1. Pastilleverte says:
    il y a 13 ans

    de la France, de prendre son temps et le maximum de « précaution(s) » (comme le fameux principe préconstitutionnel), mais du coup, les impatients se rongent les ongles, les sangs ou autre chose, bref… s’impatientent… Cool ! Puisqu’on vous dit qu’on va le(s) faire ce(s) parc(s) éolien(s) off-shore-hors de portée de vue des résidents côtiers.

    Répondre
  2. Bachoubouzouc says:
    il y a 13 ans

    Y a t’il un spécialiste de l’éolien pour rappeler les caractéristiques et les perfs des éoliennes proposées ici ? (alstom, areva et siemens) Merci d’avance

    Répondre
  3. Wouphe says:
    il y a 13 ans

    Concernant les caractéristiques des éoliennes: Seule l’éolienne proposée par Areva existe réellement et est en cours d’utilisation, sur le site d’alpha ventus en Allemagne. L’éolienne en question est une M5000, puissance nominale de 5MW, avec un diamètre de rotor de 135m (contre 116m sur le site d’alpha ventus). C’est la moins puissante des éoliennes proposée dans l’AO, mais aussi la seule qui fonctionne actuellement, puisque Siemens et Alstom proposent des machines qui n’existent pour le moment que sur le papier. Mais elle compense ce déficit par des concepts intéressants, qui améliorent sa fiabilité et son rendement, notamment un systéme anti-corrosion basé sur ce qui se fait dans le nucléaire. Siemens s’aligne avec sa nouvelle 6MW avec un direct-drive à la place d’une boite vitesse mécanique. Sur le papier, c’est certainement la machine la plus performante, avec un rotor qui varie de 120m à 154m, suivant les conditions sur site. Elle est actuellement en test, c’est donc un prototype. La fiabilité reste à démontrer et il y aura certainement des itérations, mais Siemens a déjà une grande expérience dans l’éolien offshore et on peut s’attendre à une machine intéressante. Point noir: Siemens ne s’aligne que sur un site, et à déjà des usines en Allemagne, on peut donc imaginer que du point de l’emploi français et de l’émergence d’une vraie filière, ce soit le constructeur le moins intéressant. Enfin, Alstom propose une 6MW, dont on sait peu de choses, et qui n’existe même pas encore au stade de prototype: direct-drive, diamètre de 150m, et machine française.A ce stade, ils annoncent une machine à haut rendement, mais sur le papier uniquement, et ça me semble présomptueux, surtout compte tenu des conditions en offshore. Mais il faut bien commencer. Je concluerais en disant que chaque offre à ses avantages et ses inconvénients, mais que Areva me semble avoir une petite longueur d’avance car sa machine existe et sera produite en France.

    Répondre
  4. traonvouez says:
    il y a 13 ans

    Pour moi le gagnant est GDF-SUEZ, sur la base de la supposition que le photovoltaïque va à EDG et l’éolien à GDF?

    Répondre
  5. Sodium75 says:
    il y a 13 ans

    on nous parle toujours d’une implantation à Saint Nazaire, mais il s’agit de La Baule à une dizaine de km au large, sur le banc de La Banche. Elles ne seront donc pas visibles de saint nazaire.

    Répondre
  6. Jp du carladez says:
    il y a 13 ans

    On ne sait pas qui sera le gagnant, mais on sait qui va payer. Au bas mot 850 000 000 euros par an pour les abonnés, une fois la première tranche des 3000 MW installés. En prenant pour base de calcul un prix de rachat de 175 euros le MWh et pour un taux de charge réaliste de 30%. Le prix de rachat risque de déraper et de s’éloigner de celui fixé par le législateur! La concurrence n’y changera rien.

    Répondre
  7. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    Effectivement le consommateur va subventionner massivement cette production. Mais nous aurons quand même 15,8 TWh d’électricité pour 850 millions d’euros. La bonne nouvelle, c’est que c’est nettement moins cher que le photovoltaïque et accessoirement un peu plus en phase avec les vrais besoisn de la France. Car en 2012, nous allons payer 1,5 milliards d’euros pour une production photovoltaïque d’environ 3 TWh. Conclusion : La subvention est presque le double pour 5 fois moins d’électricité produite et essentiellement en été. Pour l’instant, on peut noter un facteur 10 entre le PV et l’éolien offshore… en faveur du PV qui est beucoup plus efficace pour capter les subventions !

    Répondre
  8. Jp du carladez says:
    il y a 13 ans

    Oui, mais si cette électricité était destinée être exportée vers l’Allemagne, ce serait un comble. Ce qui sera certainement pour partie le cas

    Répondre
  9. Jp du carladez says:
    il y a 13 ans

    850 millions d’euros c’est le surcoût. pour le coût c’est au minimum 1,4 milliard par an pour les 3000 MW de la 1ère tranche.

    Répondre
  10. Dan1 says:
    il y a 13 ans

    Vous avez raison, plus le parc éolien augmentera et plus nous serons « contraint » à exporter : Vous étiez d’ailleurs intervenu sur cet article. Là il y avait deux notions différentes : – la substitution en puissance, – l’impact de la production éolienne dans le mix par substitution en énergie. Pour cette dernière, la CRE et RTE estimaient qu’un parc éolien de 17 GW en 2015, fournirait 1/3 d’exportations, 1/3 de substitution nucléaire et 1/3 de substitution thermique… en TWh

    Répondre
  11. Sicetaitsimple says:
    il y a 13 ans

    Voilà un débat interessant, mais à mon avis infini. Je me souviens avoir vu il y a peu un débat au Danemark sur ce sujet: quand le Danemark consomme par exemple 3000MW et produit 3000MW d’éolien (ça arrive) et 1000MW de charbon, les 1000MW exportés , c’est quoi? Du charbon , de l’éolien, un peu des deux? La réponse n’est pas évidente….et en tous les cas ne fait pas consensus.

    Répondre
  12. Eloi says:
    il y a 13 ans

    Un spécialiste pourrait-il m’indiquer pourquoi VESTAS ne participe pas à cet appel d’offre ?

    Répondre
  13. Jp du carladez says:
    il y a 13 ans

    Ils sont en mode wait and see. Ils seront cetainement présents pour la seconde tranche d’appel d’offre avec plus de recul et certainement moins de « Français » dans la course.

    Répondre
  14. Eloi says:
    il y a 13 ans

    Merci pour votre réponse !

    Répondre
  15. Bachoubouzouc says:
    il y a 13 ans

    L’importance de la création de capacités industrielles en France dans la note finale doit aussi les retenir un peu, non ?

    Répondre
  16. Jp du carladez says:
    il y a 13 ans

    @bachoubouzouc Pas certain d’avoir la question. Mais voici des éléments d’analyse financière de la situatio. C’est le nerf de la guerre Nos capacités industrielles éoliennes ne pèsent pas dans la balance et de toute façon, au pire pour eux, ils s’allierons aux groupes Français pour mieux passer. Vestas dans sa prsentation du 9 novembre dernieril a annoncé un important programme de réorganisation et de réductions de coûts et d’investissement en raison d’une chute de rentabilité afin de faire face à deux années « challenging » 2012 et 2013 et a en conséquence abandonné ses objectifs de chiffre d’affaires 2015 en raison des changements intervenus depuis deux ans sur ses trois principaux marchés -en Europe: « avec la crise de la dette souveraine: il existe une grande incertitude en Europe du Sud, même si l’Allemagne et la Suéde restent attrayants » -aux Etats-Unis « où les avantages fiscaux ne seront pas reconduits en 2013″, la rigueur budgétaire s’installant de façon pérenne après les élections présidentielles. La priorité est le gaz de schistes plus rentable. Les objectifs de réduction des émissions de CO2 passant loin derrière… -en Asie » la demande en Inde et Australie devrait rester forte; mais en Chine, devenu en 5 ans le premier producteur d’éoliennes, la dynamique quasi exponentielle paraît remise en cause »: en effet, les différents soutiens gouvernementaux(subventions, financements) ont entraîné surcapacités de production(60 fabricants!) face à un freinage de la demande provoqué et par des lité.problèmes de connexion aux réseaux électriques et des défauts de qualité. Tout cela sans présager de la capacité des banquier à suivre des chemins périlleux. Le secteur va plutôt mal dans son ensemble et voir nos nationaux s’y engoufrer tête baissée à de quoi inquièter.

    Répondre
  17. Lionel_fr says:
    il y a 13 ans

    Merci pour ces informations Jp et Wouphe – En Europe, le RU a les projets les plus importants, Vestas y installe son unité offshore 7MW mais plus de nouvelles depuis. -En Asie, le Japon ne brille pas par sa loquacité : se lancerait-il dans la bataille ou achètera-t-il ? -La position des BRICS est à surveiller , Brésil et South Africa ont tous deux des histoires de l’énergie très particulières et des moyens importants. S’ils optent pour 20% d’éolien ce qui serait logique, la filière exportera, sinon… -En Russie , V. Poutine est hostile aux éoliennes qui feraient sortir les vers de la terre à cause de leurs vibrations (sic) Effectivement, le souhait de la France de lancer une filière strictement nationale à un moment où les subventions s’annoncent en baisse pose questions. Mais les réponses viendront de pays ou le mix énergétique est le plus ouvert qui donneront le « la ». Quelle est la qualité des machines chinoises ? Peuvent ils esperer une place à l’export ? Quelle serait l’impact d’une hausse drastique du pétrole sur l’attractivité de la filière ? C’est la moins dépendante de toute en termes de transports.

    Répondre
  18. max76 says:
    il y a 13 ans

    Interview à écouter absolument face à se mensonge d’état car c’est si rare d’entendre cela vue à qule point l’éolien est subventionné par nos média à longueur de temps sur nos antenne en plus de l’état. Qui va oser critiquer l’éolien de nos jours ? Bon courage et place aux communicuants.

    Répondre

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