Gaz de schiste : “Face au culot de certains, retrouvons l’audace”

Criminelle, comme l’a dit François Fillon ? Peut-être pas, certes, mais inconcevable, absurde, inique, allant à l’encontre des intérêts de la France et des Français, à l’exception des écologistes pour qui le Traité de Rome qui leur sert de bréviaire est encore trop osé… telle est la position du chef de la France à l’égard des gaz et huiles dits de schiste.

 

Tribune de Gérard Medaisko
Géologue-conseil, diplômé de l’ENSG et Docteur-ès-Sciences (Sorbonne, Paris)

 

Nous exagérons** ? Allons bon, disons qu’elle est schizophrénique ! On voudrait les effets sans la cause. François Hollande n’ignore pas l’existence de ce relais de croissance que nous avons sous les pieds et dont la mise en production conforterait notre balance commerciale et contribuerait à faire infléchir la courbe du chômage mais, dans le même temps, il en bannit la recherche et l’exploitation sous des prétextes fallacieux qui font plaisir à l’aile minoritaire de sa majorité. Et pourtant, les Français ont le droit inaliénable de savoir ce que recèle le sous-sol de leur pays : c’est l’un des fondements mêmes du Code Napoléon.

A l’heure où l’on débat de la transition énergétique (alors qu’il s’agit simplement de l’évolution du bouquet énergétique, car la transition nous la vivons quotidiennement depuis que nous sommes passés du bois au charbon, puis à l’hydraulique, au pétrole et au nucléaire), seule la mise en exploitation de nos ressources en gaz et huiles dits de schiste nous permettra dans les années qui viennent de réduire la part du nucléaire dans nos sources d’approvisionnement. Les hydrocarbures sont les seules ressources fiables (par rapport à l’intermittence des renouvelables), stockables et rentables.

Inconstitutionnelle ? Cette position l’est vraisemblablement !

La loi 2011-835 dite Loi Jacob votée le 13 juillet 2011 et publiée en catimini le jour de notre fête nationale prévoit la création d’une Commission de suivi dont le premier membre, Michel Teston, Sénateur socialiste de l’Ardèche vient d’être nommé par Jean-Pierre Bel, Président du Sénat. Il n’entre pas dans les prérogatives du Chef de l’Etat de retoquer cette loi et, plutôt que de la voir s’étrangler d’apoplexie à la pensée que ces hydrocarbures aient un jour droit de cité, nous suggérons à Madame Delphine Batho de changer de fonctions. Qu’importe si l’Energie se trouve privée de ses lumières (sic).

Après avoir prêché dans le vide pendant plus de deux ans pour défendre les gaz et les huiles dits de schiste, avoir été ignoré de la plus part des média et de l’ensemble de la classe politique, subi des sarcasmes et des dénigrements, nous constatons que de tous côtés des voix s’élèvent maintenant pour venir à leurs secours et nous confortent dans notre position première : évaluons-en le potentiel, modernisons le cadre d’exploitation, dépoussiérons le code minier et mieux, créons un code pétrolier et encadrons les travaux de normes acceptées et reconnues.

Ces voix, ce sont celles de personnalités politiques de tous bords, comme en témoignent les interventions de Michel Rocard et de François Fillon dans la presse, du MEDEF, de l’UFIP, de nombre de grands patrons, des journalistes toutes tendances confondues qui se faisaient hier encore l’écho sans scrupule des propos mensongers et infondés des José Bové, Nicolas Hulot, Eva Joly, Corinne Lepage, Noël Mamère ou encore Michèle Rivasi. Bref, tous ceux qui ont observé un mutisme assourdissant pendant la mandature de Nicolas Sarkozy et celle de François Hollande prennent enfin conscience de s’être trompés. Nous avons une pensée que l’on souhaiterait émue pour Christian Jacob et ses 269 collègues de l’UMP, géniteurs de la loi scélérate 2011-835 interdisant la fracturation hydraulique. Seigneur, pardonnez- leur, leurs offenses mais la pêche aux voix électorales et le panurgisme les a sans doute aveuglés. Quant aux écologistes, « Notre Parent Numéro Un » qui êtes aux cieux, absolvez-les car ils ne savent pas ce dont ils parlent.

Nous ne savons pas s’il faut nous réjouir d’avoir enfin été entendus et d’avoir peut être contribué à ce changement d’opinion. Nous n’avons fait que dire notre vérité face aux contre-vérités que le documentaire Gasland a propagées à l’encan et dont le Président Hollande s’est fait le porte parole lors de la Conférence environnementale de la mi-octobre et de sa récente Conférence de Presse. Aujourd’hui, nous allons plus loin et réclamons de l’audace.

Car si vous changiez d’avis Monsieur le Président (seuls les imbéciles n’en changent pas) nous savons bien que ces vents favorables ne seront que le début de nouveaux combats passionnants :

– Combat contre certains membres de votre majorité, actuellement inféodés aux altermondialistes pour qui la régression est un signe de progrès. Ils ne veulent ni du nucléaire, ni des hydrocarbures fossiles et dissimulent mal sous le terme de « sobriété » un programme de décroissance et de pauvreté. Avec de pareils alliés, le Gouvernement n’a plus besoin d’adversaires, il a déjà sa cinquième colonne !

– Combat contre les multiples collectifs qui se sont constitués à l’appel de José Bové et qui, sentant le vent tourner, brandissent déjà l’étendard de la révolte et l’on sait que la vox populi étant la vox dei il conviendra de se munir de rameaux d’olivier et de les agiter à bon escient. Car eux sont prêts à une mobilisation pas toujours très pacifique ni respectueuse des lois.

Toutefois il y a un combat que nous sommes prêts à mener avec vous, c’est celui de la croissance en devenir et de la lutte contre le chômage. La voie est on ne peut plus étroite compte tenu de la crise financière qui grippe l’économie mondiale. La croissance ne viendra pas d’elle-même : il convient de la provoquer, de retrouver l’inventivité de nos industries avec des idées neuves, venant de jeunes gens ayant l’âge de vos plus jeunes ministres. Ainsi, autoriser aujourd’hui la recherche des gaz et huiles dits de schiste serait un excellent moyen de mettre une soixantaine de sociétés pétrolières au travail avant même que l’encre ne sèche sur leurs contrats d’octroi de permis. Car si ces sociétés espèrent gagner de l’argent, il faut savoir qu’elles vont commencer par en dépenser beaucoup pour mener à bien les recherches parce que c’est ainsi que fonctionne le secteur pétrolier : dans la durée.

Tourner le dos à cette manne serait irrationnel alors qu’aujourd’hui même, nos amis anglais viennent de lever le moratoire sur l’exploitation par fracturation hydraulique des gaz dits de schiste : God save the british shale gas ! Le pragmatisme anglais anticipe sur la place que tiendra le gaz dans le bouquet énergétique du futur. Nous, nous ferons appel alors à davantage de gaz russe que Gazprom se réjouit à l’avance de nous fournir. Et ils ne sont pas les seuls à préférer une ressource naturelle : nos amis polonais disposent d’importantes ressources, comparables à celles de la France. Dans quelques années, nous demanderons aux plombiers polonais de nous envoyer du gaz dit de schiste qui, venant de chez eux, n’est pas polluant et n’a aucun effet de serre (sic) et, en prime, ils viendront l’installer dans nos usines et nos foyers faute de posséder nous-mêmes la technique pour le faire. Quel gâchis !

Autres temps autres mœurs, le Parti Socialiste n’a pas toujours été opposé à la recherche des hydrocarbures fossiles, bien loin s’en faut. Que l’on se rappelle Paul Ramadier, nommé sous secrétaire d’Etat aux Mines et aux Combustibles liquides du gouvernement de Front populaire en 1937 : il relança la recherche pétrolière en France. A son initiative fut créé le Centre de Recherches de Pétrole du Midi (CRPM) qui était alors chapeauté par l’Office National des Combustibles Liquides. Le CRPM fut à l’origine de la découverte du champ de gaz de Saint-Marcet, non loin de Saint-Gaudens, le 14 juillet 1939. Puis il participa à la création de la Régie Autonome des Pétroles (RAP) quelques mois plus tard et, en 1941, à celle de la Société Nationale des Pétroles d’Aquitaine (SNPA) dans laquelle l’Etat détenait une participation de 55%.

Le 19 décembre 1951, la SNPA découvrit le champ de gaz de Lacq profond qui pendant 60 ans fut un des fleurons de l’industrie française et qui n’a peut être pas dit son dernier mot !
Voilà l’histoire d’une audace payante et réussie. En effet, l’incroyable gisement de 260 milliards de mètres cubes de gaz venait d’être découvert mais hélas, cette aubaine était enfouie profondément à plus de 3 000 mètres sous la surface. Pis, ce gaz était riche en CO² et en hydrogène sulfuré, produits extrêmement corrosifs qui mettaient à rude épreuve le matériel traditionnel. D’autres auraient jeté l’éponge, considérant que ce trésor était techniquement trop toxique et inexploitable. Mais le génie français n’a pas baissé les bras face à ce défi de taille ! On mit au point un acier spécial capable de résister aux gaz corrosifs, on inventa de nouvelles méthodes, on perfectionna les techniques, on automatisa et en 1955 on put produire du butane, du propane, du pétrole et du soufre. Près d’un tiers de la consommation nationale de gaz était produite sur le territoire national à partir des années 60, une indépendance énergétique dont on n’ose rêver aujourd’hui alors qu’elle est peut-être possible. Une région autrefois agricole prenait son envol industriel, et des futurs champions de l’industrie naissaient : la Société nationale des pétroles d’Aquitaine (ancêtre d’Elf Aquitaine devenu Total depuis) les aciéries de Pompey et Vallourec.

Pourquoi n’autorise-t-on pas aujourd’hui un programme aussi ambitieux sur les hydrocarbures de schistes afin d’en récolter les fruits sur le long terme ?

La réponse est simple : en 1955 il n’y avait pas d’écologistes et Jacques Chirac n’avait pas encore inventé le principe de précaution que l’on a dévoyé dès sa naissance pour en faire un principe d’inaction. Aurait-on eu les chemins de fer à vapeur à la fin du XIXème siècle avec leurs escarbilles qui « brûlent tout sur leur passage », les mines de houille avec les chevaux condamnés à vivre dans le noir en fond de mines et ces affreux terrils instables en surface, les barrages qui noient des régions entières, le nucléaire avec ses déchets radioactifs et plus récemment… les TGV et l’aéroport de Roissy ? Nous en serions restés au temps des diligences si les gouvernements d’alors s’étaient conduits comme ceux d’aujourd’hui. Le progrès ne nait pas de la génération spontanée, il faut créer les conditions de son apparition et l’encourager au lieu de l’entraver.

Entre-temps, devenu Premier Ministre en 1945, Paul Ramadier bouta les ministres communistes hors de son gouvernement car ils s’opposaient systématiquement à la ligne politique qu’il s’était fixée. L’histoire se répète, dit-on. A bon entendeur…

** Tribune de G. Medaisko – Amicale des Foreurs et Métiers du pétrole

 

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fredo

quand un docteur es sciences n’a que des pseudo arguments juridico médiatiques à apporter, c’est qu’il n’a pas d’argument à apporter dans son domaine d’expertise. rien de neuf donc

nrjlibre

bonjour Avouez que c’est rassurant d’entendre des arguments pareils ! Cette lucidité, ça fait presque envie ! Je ne sais pourquoi mais j’ai envie de me mettre au garde à vous quand j’entends ce genre de discours ! Je suis prêt à parier que malgré sa profession, monsieur est un fervent pro-nucléaire ! Ca doit être bien d’être comme ça: bardé de certitudes, confiant dans l’avenir et sans angoisses existentielles ! avec des décideurs pareils on peut être tranquilles: la planète est bien barrée et nous avec ! Terrifiant, au secours !

Citoyen

Ce genre de déclaration purement politique n’a aucun intéret. Il s’agit de l’expression d’un avis personnel, qui de plus n’est meme pas étayé par des arguments scientifiques et technologiques. Ce genre d’article ne devrait pas etre publié sur Enerzine…

crolles

Ce papier est une longue litanie d’imprécations et non un argumentaire réfléchi. La haine des écologiste vous permet de baver avec style, mais ne constitue pas un argument. Au contraire, ceci dessert la cause (-quelle est-elle d’ailleur, mais on s’en fout finalement) que vous prétendez défendre… Je pense qu’il faut effectivement réfléchir sur l’avenir de l’énergie. Mais avec vous on n’est vraiment pas aidé. Cdlt – prenez une tisane ça vous fera du bien.

Wattwatt

C’est beau cette foi technologique aveugle. Un peu 19ème siècle comme apporche malheuruesement. Le Messieur oublie juste un paramètre de taille : le changement climatique. Un détail en somme !!?? Le terme efficacité énergétique ne doit pas faire partie de son vocabulaire. Dommage, là il y a un vrai potentiel pour de vrais emplois.

climax1891

50% du gaz naturel en France est utilisé pour le chauffage résidentiel et tertiaire. Pour l’année 2007, le chauffage (donc l’eau chaude sanitaire) a représenté environ 50% du gaz naturel utilisé (énergie primaire) en France. Soit 20,8 millions de TEP (tonne équivalent pétrole) pour un total de 41 millions de TEP de gaz naturel. En 2007, le chauffage a aussi utilisé 11,6 millions de TEP de fioul et 9,6 millions de TEP (111 TWh) d’électrique. Au niveau européen, le secteur résidentiel–tertiaire consomme 166 millions de TEP de gaz naturel par an (chiffres 2010), principalement pour la production d’eau chaude et le chauffage. Grâce à l’isolation, les chaudières biomasses, les chauffe-eau solaires (dans le sud), les pompes à chaleur valorisants la chaleur des eaux usées, l’Europe peut massivement réduire réduire sa consommation de gaz naturel, mais aussi réduire l’utilisation du chauffage électrique et du chauffage au fioul, ceci jusqu’à la fin des temps.

Confluence

En effet, cette diatribe doit nous inquiéter par sa violence et ses arguments à l’empporte pièce. Il n’est qu’à voir comment, même aux USA, sont décrits les sites d’exploitation de ces gaz et pétroles pour se dire que si gisement il y à, s’il est, éventuellement, obligé de les exploiter à terme, il est impératifs de ne pas se précipiter sur une rente qui, actuellement, séduit plus des affairistes que des gestionnaires de qualité. On ignore les potentiels existants. On ignore comment les exploiter sans risques à court, moyen et long terme. Il n’est qu’à voir les conséquences de l’exploitation inepte des mines de charbon (effondrement du sous-sol entre-autres) pour se dire que ces beaux messieurs sont bien souvent des “après moi le déluge”. Donc, si gisement il y à, il ne va pas s’évaporer du jour au lendemain, il ira même en se valorisant par la loi de l’offre et de la demande. Il faut donc avoir les moyens de savoir ce qui existe en terme de technologie sans conséquences secondaires avant de lancer une procédure dont nous aurions, par inconséquence, à laisser une ardoise monstrueuse à nos descendants. La facture du démentellement des centrales nucléaires est un rappel à l’ordre quand à une mise en place de toute nouvelle politique industrielle. Ce n’est pas une analyse de bobo écolo que je fais, mais du réalisme économique, n’en déplaise…

Flo rahl

Posons les bases : Nous disposons d’un stock fini d’hydrocarbures, dont les réserves restantes sont insuffisantes à garantir une croissance économique permanente au cours de la vie entière des générations qui naissent actuellement (la croissance économique est une dérivée de la consommation d’énergie, celle-ci étant principalement à base d’hydrocarbures). Ceux qui défendent le choix d’investir collectivement dans des technologies à la fois à court-terme et génératrices des émissions de gaz à effet de serre, ne peuvent le faire que pour trois raisons : L’intérêt personnel : Alors qu’ils se prétendent citoyens désintéressés soucieux d’aider la société, ils ne souhaitent en réalité que tirer profit de la situation actuelle à leur avantage, même si cela signifie la sacrification de la qualité de vie des générations futures. L’ignorance : Parce qu’il est bien plus facile de recevoir de recevoir l’information que d’aller la chercher à la source, de nombreux individus se contentent de souffler dans le sens du vent, ou dans le sens inverse pour exister médiatiquement. Il n’est pas possible de prendre connaissance du mur vers lequel nous nous dirigeons et de ne pas appuyer sur la pédale de frein. La misanthropie : Quoi de mieux pour un misanthrope que d’accélerer la chute ? Dans les deux premiers cas, lorsque les individus sus-cités ont accès à des tribunes médiatiques, ils font preuve d’une hypocrisie ou d’une négligence criminelle au regard des enjeux liés à la crise climatique et énergétique. M. Gérard Medaisko, je vous espère misanthrope…

alainraf

je demande à voir et à comprendre… quant aux anti nucléaires qui dénigrent systématiquement parce qu’ils sont perdants et perdus, est ce qu’ils ne se chauffent qu’au bois ?? je demande à voir et à comprendre aussi

gp

C’est à pleurer de lire des déclarations pareilles! Pendant combien de temps encore les vieux c… nostalgiques du XXème siècle font continuer à nous faire la morale sur les vertus des fossiles pour l’avenir de notre pays. Il va vraiment falloir songer à une loi interdisant aux cheveux gris de nous imposer leur vision ringarde du futur! Y en a vraiment raz-le-bol de ces incompétents qui se prévalenrt de titre “pompeux” tout ça pour au final nous affliger leur analyse aussi médiocre que ringarde. Mon pauvre monsieur, retournez lire votre journal papier à l’ancienne dans votre grand appartement parisien chauffé au gaz à 23°C. Vous n’avez plus votre place dans ce siècle. Il faut savoir laisser sa place aux jeunes. Ficher nous la paix et allez donc vous mettre à jour sur les capacités actuelles et futures des ENR plutôt que de continuer à défendre l’indéfendable. Ca n’est vraiment pas faire honneur aux scientifiques de votre génération que de tenir des propos pareils. Non seulement vous insultez l’avenir comme peu s’autorisent encore à le faire mais en plus vous l’assumer haut et fort en faisant valoir votre diplome de géologue obtenu au milieu du siècle dernier. Non monsieur Medaisko, en 2013, il ne suffit pas de se créer à la hâte un compte twitter avec une quinzaine d’abonnés au compteur pour réussir à faire valoir son expertise et sa place dans l’avenir énergétique de la France. Continuez à étudier la géologie au sens strict du terme et laisser les experts énergéticiens soucieux d’offrir à leurs enfants l’avenir qu’ils méritent sur cette planète. Vos paroles ne sont que des mots de trop. La société française tout entière est gangrénée par les gens comme vous qui refusent de laisser la place à la jeune génération. C’est affligeant de lire des gens comme vous qui semblent tout ignorer des mutations profondes que notre société est en train de vivre. Le XXème siècle fût celui des guerres, des fossiles, de la croissance et de la consommation de masse. Ce siècle sera celui de l’énergie durable, du climat, du partage, de la sobriété. Ne vous en déplaise. Bonne retraite.

Bob 22

C’est la deuxième fois qu’un article de cette nature, par les mêmes auteurs (l’amicale des foreurs impartiaux et objectifs), est posté sur enerzine et c’est déjà une fois de trop!

Bachoubouzouc

“C’est la deuxième fois qu’un article de cette nature, par les mêmes auteurs (l’amicale des foreurs impartiaux et objectifs), est posté sur enerzine et c’est déjà une fois de trop!” C’est votre vision de la démocratie que de vouloir faire disparaitre les articles qui ne vont pas dans votre sens ? Pour ma part, je considère toujours qu’il est stupide d’avoir interdit la recherche sur les GDS. Décider de volontairement rester dans l’ignorance sur le potentiel géologique de la France et sur nos possibilités techniques relève bien d’un obscurantisme scientifique et politique. On se croirait au moyen âge !

gp

cette tribune est bien plus qu’un simple plaidoyer en faveur de la recherche! C’est une véritable apologie à la croissance carbonée et à l’exploitation sans limite ou presque des énergies fossiles, conventionnelles ou non. Probable que son grand âge soit un réel handicap lorsqu’il s’agit comme c’est le cas ici de changer de paradigme. On n’installe pas Windows 8 sur un PC de la fin des années 90. Il en va de même avec un géologue nostalgique des années Giscard lorsqu’il s’agit de présenter une VRAIE vision de l’avenir énergétique de la France. Les propos de ce monsieur sont grotesques, les arguments en faveur des GDS et leur impact très limités sur le CC le sont autant. Ces gens-là sont la gangrène de la France. Les mêmes qui depuis trop longtemps déjà nous empêche de mettre les 2 pieds dans ce siècle et de vivre au futur plutôt qu’au passé. à 70 ans passés, certains feraient mieux de songer à observer en silence les mutations profondes que notre société est en train de vivre plutôt que de vouloir à tout prix continuer à “exister” en nous imposant leur point de vue complétement archaïque. C’est une véritable injure vis-à-vis des générations futures à laquelle Gérard Médaisko se livre là. C’est indigne de notre époque et des enjeux inédits que nous allons devoir relever collectivement dans les prochaines décennies. Je fais mienne cette célébre réplique de A. Einstein qui déclarait il y a 1 siècle déjà : “on ne résoud pas un problème avec les modes de pensées qui l’ont engendré” Hélas, ce cher M. Médaisko n’a probablement pas le 1/4 de la moitié du talent de A. Einstein. Ce qui ne l’empéche pas de nous livrer sa vision complétement ringarde et dépassé du futur face aux enjeux que nous savons. C’est désolant.

Ericf

La phrase sur le progrès est très juste, Mais quelle direction doit prendre le progrès. La direction prise depuis 200ans qui s’appuie sur des énergies que l’on sait finie. Ou bien un autre progrès qui favorise une autre logique et nécessite des changements plus profonds. La notion de progrès ne couvre pas seulement le progrès technologique qui nécessite toujours plus d’énergie, mais aussi le progrès en terme de sobriété et en terme de respect de l’humain et de la terre. Un progrès dans cette direction serait un vrai progrès. Les recherches en sobriété sont actuellement à peine audible mais elle existent et sont portées par des citoyens qui souhaitent prendre en main leur avenir. La vision de cette autre voie de progrès est sources de bien être de beauté et de joie sont réelles et peut être moins d’argent et de pouvoir. Bref, la notion de progrès telle quelle est pensée par une grande partie de la population est aujourd’hui entravée par des règlementations et des choix vers des énergies non renouvelables de plus en plus risqués et de plus en plus polluantes. Quand cette entrave sera-t-elle enfin levée?

gp

à la relecture de cette tribune, la première question qui me vient à l’esprit est de savoir si ce monsieur n’est pas d’abord et avant tout historien avant d’être géologue? La seconde moitié de cette tribune TRANSPIRE la nostalgie d’une époque révolue que bcp rêvent pourtant de voir renaitre. Il est vrai que la gabegie actuelle dans laquelle l’industrie des GDS s’est lancée outre-atlantique depuis qlq années a fait naitre de nvx espoirs au fur et à mesure de sa montée en puissance. Imaginer un seul instant que ce feu de paille (rdv en 2030) puisse se reproduire à l’identique ou presque dans la vieille Europe tient davantage de l’incompétence que du rêve. Heureusement qu’il reste en France de jeunes talents qui chacun à leur niveau apportent un peu d’air neuf et d’innovation pour bâtir la société de demain. Consommation collaborative, économie circulaire, économie du partage, nvx modes de financements solidaires & citoyens, éco-industries, smart cities service, etc… tous affichent des taux de “croissance” à 2 chiffres. D’ici la fin de la décennie, certaines activités auront même réussi à supplanter les activités et/ou services traditionnels auxquels ils se substituent (en totalité ou en partie). Et pourtant, il reste encore des naïfs qui persistent à penser que tout cela ne sera jamais en capacité de répondre aux besoins d’une lagre part de la population. Mieux vaut en rire…

Paf 71

Il y a du charbon au Spitzberg, et à Kerguelen…. Ily a du pétrole en Arctique et en Patagonie…. Toutes ces zones ont connu des végétations et des vies animales intenses, des sédimentations massives, et concentré de l’énergie carbonée….. Notre bonne vielle Gaïa se contrefiche des élucubrations des uns et des autres: quand elle a envie de faire bouger son axe, elle ne demande l’avis de personne… Et quand son comparse Hélios fait une fièvre et fait monter aussi la température de Mars et Vénus, il n’y a pas d’ homoncules rouges ou verts pour l’aider…. ARRHENIUS, tes pseudos disciples confondent hypothèse et théorème…. …

pclost

Non, cette tribune de “l’Amicale des foreurs…” est haineuse et dédaigneuse. G. Medaisko se permet de justifier l’utilisation des GDS parce que c’est une avancée technologique équivalente au TGV ! Sidérant, il aurait pu aussi utiliser la fameuse expression “s’éclairer à la bougie” !? Non sans doute trop connoté Sarkozy et orienté pour un “Independent Oil & Energy Professional” (selon son profil LinkedIn)…

jymesnil

Voilà je me suis, enfin, on va savoir ou se trouve ces considérables gisements français de gaz et huiles de schistes, enfin on va savoir combien la France a de ces réserves, combien ça coûte à extraire, combien la France va faire de profits ?! ……enfin, rien sauf une tirade franchouillarde 🙂

Naif

BRAVO Mr. Medaisko. Bravo Enerzine. Il semble que votre démonstration dérange terriblement certain posteurs! Ils ont vu Gasland, eux! Franchement ridicules. C’est fou que certains ont une courte vue. La vie à l’entrée d’une caverne devant un petit feu leur parrait bucolique, mais en regardant la télé bien au chaud sur leur canapé. Que ceux qui réfléchissent un peu plus évaluent la nouvelle ressource minière et voient ce qu’on peut éventuellement, raisonnablement et proprement en tirer. Cette étude aura au moins le mérite de donner du travail à beaucoup de gens pendant un bon moment.

Dapi

Parler de transition énergétique est une bonne chose, elle est indispensable pour le futur même de l’humanité. Cette transition doit se faire bien sûr sans prétrole, sans charbon et aussi sans gaz. Sinon, pourquoi parler de transition ? C’est une énergie propre qu’il est nécessaire de trouver, sans rjet de CO2 et sans destruction de l’environnement. Alors, que viens faire ce discours aveugle ? Ouvrez les yeux, Monsieur Medaisko. Votre vision est celle du passé. Une retraite rapide me semble nécessaire. Je suis étonné d’un tel discours sur ce site. Avec mes salutations les meilleurs.

gp

… C vrai que ça donne pas envie de vieillir. En tout cas, pas comme ce cher M. Médaisko. Heureusement qu’il y en a qlq’ uns pour prendre pitié et applaudir des 2 mains le discours complétement archaïque de papy Médaisko. Avec ou sans Gasland, là n’est pas la question. L’important est d’avoir une vision globale de la problématique énergie-climat (que ce soit sous l’angle économique, social ou environnemental), avoir les bons ordres de grandeur en tête, savoir de quoi on parle et surtout, surtout, arrêter de prendre les gens pour des ignorants. C’est triste d’avoir besoin de publier des tribunes comme celle-là pour avoir l’impression d’exister encore.

Temb

Marre de ces fossiles de siècle productiviste qui nous ont imposé un système gaspilleurs, polluant, dangereux et qui veulent nous enfoncer la tête pour des décénnies dans les conséquences de leur inconséquence. On devrait les enterrer avec leurs diesel et leurs déchets nucléaires…

E5conseil

En fait, à partir de la ligne 10 l’expert-spécialiste se discrédite : “seule la mise en exploitation de nos ressources en gaz et huiles dits de schiste nous permettra dans les années qui viennent de réduire la part du nucléaire dans nos sources d’approvisionnement.” Bah bien sûr…Efficience énergétique ! Mossieu le docteur. M.Gérard Medaisko, membre de l’Amicale des foreurs et des métiers du pétrole (AFMP) Tout lobbying ne serait que fortuit. AFFLIGEANT

Bwinner

Il faut le grand combat contre certains membres de la majorité présidentielle qui est actuellement inféodés aux altermondialistes pour qui la régression est un signe de progrès. Ils ne veulent ni du nucléaire, ni des hydrocarbures fossiles et dissimulent mal sous le terme de « sobriété » un programme de décroissance et de pauvreté. Avec de pareils alliés, le Gouvernement n’a plus besoin d’adversaires, il a déjà sa cinquième colonne ! Et s’il continue dans cette voie,il sera balayé aux prochaines présidentielles et législatives. Pour sortir du marasme économique et du chomage terrible qui va avec,nous avons besoin de renouer intensément avec la grosse croissance économique. Les mode de pensées archaiques,délétères et la vision complétement ringarde et dépassé du futur sont celles des “GP” et autres escrolos qui sévissent hystériquement sur ce site, face aux enjeux que nous avons à affronter. Mr. Medaisko a 1000 fois raison et les gp et consorts ont infiniment tord. Ce sont les gp et consorts qui seront rejettés dans les poubelles de l’histoire. Pas les Medaisko qui sont le véritable avenir du pays et du monde.N’en déplaise à tous les escrolos sevissant dans tous le pays.

Bwinner

Vive l’énergie pas chère et ultra abondante qui seule permettra de sortir le pays du marasme économique et du très gros chomage que nous subissons depuis plus de 30 ans,c’est à dire depuis que l’idéologie décroissantiste escrologiste, infiltre et gangrène notre socièté tout entière. En tout cas cet article d’énerzine sur l’avis de mr. medaisko est excellent. On en voudrait tous les jours un comme ça.

jyfran

“Une région autrefois agricole prenait son envol industriel”; cette phrase du bon dr medaisko est incomplète, il y manque un adverbe: enfin. Ainsi serait bien résumé le paradigme de la société dans laquelle notre civilisation se dissoud. C’est à la limite de l’obscurantisme de vouloir s’y accrocher à tout prix. En revanche, le retour d’une civilisation durable basée sur la renouvelabilité de tout ce qui sert à assouvir ses besoins est visionnaire. Bien évidemment la clé d’une telle civilisation repose sur une exploitation intelligente de la nature, et donc sur une agriculture différente de celle qui défigure nos grandes plaines. Le sujet est vaste, le chantier gigantesque, les perspectives économiques et sociales insoupçonnées. Il faudra juste accepter de mettre des bottes

gp

allez vous formez à l’énergie plutôt que de raconter des bêtises plus grosses que vous. Vos commentaires sont affligeants de nullité. Aucun argumentaire sérieux. Du vent, comme la plupart des imposteurs qui régulièrement s’expriment ici et là sur des sujets de société complexes alors qu’ils n’en saisissent même pas la moitié. Vous êtes affligeants.

jyfran

conjecture hasardeuse; si tout le monde suit votre raisonnement, l’histoire est finie, et aucun de nous ne pourra donc finir dans ses poubelles……

Et pif!

C’est dommage, mon message n’est pas passé ..;il était pourtant plein de sagesse et d’évidence devant la bétise de cet article.

Sicetaisimple

On imagine bien sûr que la quasi totalité des commentateurs ci-dessus: – ne se chauffent ni au gaz ( Russe, Algérien, Norvégien ou autre), ni au fioul, ni encore moins à l’electricité nucléaire. -n’ont pas de voiture, de moto,, et n’utilisent jamais celle des autres ou les transports en commun – alimentent leur PC avec PV+batteries – ne prennent jamais l’avion, – etc, etc…. -ne voient absolument aucun inconvénient, quand ils utilisent quand même et bien malgré eux un litre de gaz ou de pétrole, voire un kg de charbon à ce que celui-ci soit extrait bien loin du sol francais de façon à éviter tout risque de pollution sur le même sol francais.

Jyf

Vraiment, votre religion n’est pas faite? Relisez vous

Bob 22

Relisez-moi! Je n’ai pas souhaité censuré les articles qui vont dans mon sens comme vous le dite… J’ai dit que c’etait la deuxième fois et qu’il y en avait une de trop… donc que la première pouvait se justifier justement pour faire valoir cette libertée de pensée mais quand une pensée est stupide et /ou totalement partiale elle n’amène rien au débat!

Benoit

L’exploitation de ces hydrocarbures est une catastrophe économique basée sur la spéculation à court terme et la destruction d’espaces, le gaspillage de matière et d’eau douce. Ne nous engouffrons pas dans ce délire illusoire ! Les Etats Unis vont bientôt prendre conscience de l’ampleur du désastre.

climax1891

Pour vous donner les ordres de grandeur, l’Europe consomme aujourd’hui 500 milliards de mètres cubes de gaz par an, dont 300 milliards viennent de la mer du Nord. On pourrait obtenir des gaz non conventionnels quelques dizaines de milliards de mètres cubes par an en Europe. La France consomme 50 milliards de mètres cubes par an, dont 30 pour le chauffage et 15 pour l’industrie. Si le seul souci, c’est de satisfaire les demandes des chimistes français, il suffit de conserver une consommation de 15 milliards de mètres cube par an et nous nous en sortirons : il faut seulement supprimer les 30 milliards du chauffage qui coûtent 6 milliards d’euros en importations par an ; cela se fait avec l’isolation et les pompes à chaleur. Audition sur le changement climatique et la transition énergétique

Bachoubouzouc

“J’ai dit que c’etait la deuxième fois et qu’il y en avait une de trop… donc que la première pouvait se justifier justement pour faire valoir cette libertée de pensée mais quand une pensée est stupide et /ou totalement partiale elle n’amène rien au débat!” Et aux anti-GDS genre Greenpeace et autres, vous leur donnez droit à combien d’articles ? Dire à ses opposants “vous avez le droit à la parole une fois et pas deux” c’est une forme d’oppression !

Sicetaitsimple

Il est certain que certaines prises de positions ci-dessus sont un peu extrémistes voire totalitaires…Une OK, deux je coupe la tête. Loin de moi l’idée de vous imposer la moindre ligne “éditoriale”, je vis très bien avec votre site depuis 5 ans, il y a parfois à boire et à manger mais ensuite ça suscite des échanges. Mais pourriez vous nous dire concernant les GDS, pour rassurer certains (ou plutôt les remettre à leur place dans ce que j’estime est un vrai débat), combien de news publiées ont été plutôt “contre” et combien ont été plutôt “pour”?

Stephsea

Quel intérêt de publier cette tribune pour Enerzine? Pluralité des points de vues, débats, démocratie, ouverture d’esprit… ? Certes, mais la médiocrité n’est pas favorable à ces développements de toute façon, et là en matière de médiocrité, nous prenons une leçon. Courte vue, passéisme, invectives, jugements péremptoires, idéologie exacerbée, patriotisme économique incongru, comparaisons saugrenues, sophisme gros comme des camions citernes destinés au frack… La liste est longue des adjectifs disqualifiants qui aurait tenir ce texte à sa destinée première : une note interne d’automotivation dans un mouvement d’opinion “de quartier”. Que de propos disgracieux de la part de Docteur qui s’est habillé ce matin de sa pelisse de notabilité pour se faire passer pour un sage. Mais de notable à sage, de docteur à prescripteur, il y a évidement un monde, un abysse dont il nous est donné de constater qu’il reste infranchissable. A ce Docteur, on peut aussi répondre que science sans conscience n’est que ruine de l’âme. On peut aussi lui opposer non seulement un procès de forme (tout ces propos sont une insulte à l’inteligence) mais aussi un procès d’intention (le progrès tel qu’il le conçoit ne profite qu’aux riches et aux moins scrupuleux d’entre nous). Et enfin… Le progrès est il un fin en soi? En avons nous bien la même définition?

Stephsea

Quel intérêt de publier cette tribune pour Enerzine? Pluralité des points de vues, débats, démocratie, ouverture d’esprit… ? Certes, mais la médiocrité n’est pas favorable à ces développements de toute façon, et là en matière de médiocrité, nous prenons une leçon. Courte vue, passéisme, invectives, jugements péremptoires, idéologie exacerbée, patriotisme économique incongru, comparaisons saugrenues, sophisme gros comme des camions citernes destinés au frack… La liste est longue des adjectifs disqualifiants qui aurait tenir ce texte à sa destinée première : une note interne d’automotivation dans un mouvement d’opinion “de quartier”. Que de propos disgracieux de la part de Docteur qui s’est habillé ce matin de sa pelisse de notabilité pour se faire passer pour un sage. Mais de notable à sage, de docteur à prescripteur, il y a évidement un monde, un abysse dont il nous est donné de constater qu’il reste infranchissable. A ce Docteur, on peut aussi répondre que science sans conscience n’est que ruine de l’âme. On peut aussi lui opposer non seulement un procès de forme (tout ces propos sont une insulte à l’inteligence) mais aussi un procès d’intention (le progrès tel qu’il le conçoit ne profite qu’aux riches et aux moins scrupuleux d’entre nous). Et enfin… Le progrès est il un fin en soi? En avons nous bien la même définition?

fredo

curieuse demande de comptage ! vous voulez faire une analyse de discours ? le mieux, pour que cela soit fait à vos yeux en totale impartialité (nous ne savons pas si vous considérez que la ligne édotoriale d’Enerzine l’est ou pas) , le mieux serait donc que vous vous livriez à un comptage par vos propres soins des commentaires sur le GDS depuis son apparition selon 4 catégories: pour, contre, mitigé, ne sait pas. Merci !

Sicetaitsimple

Au travers de cette question, et sans attendre de réponse, je voulais juste faire remarquer à certains que si ils veulent acheter avec leurs sous leur journal préféré c’est tout-à-fait normal, ils seront très heureux d’y trouver des articles qui vont dans leur sens, Concernant Enerzine, à ma connaissance il n’y a pas d’obligation de consommation ni d’abonnement payant, si un article ne plait pas on va ailleurs….Mais on ne dit pas ” un article ça passe, le deuxième c’est inadmissible”, ce que vous trouvez plus ou moins ci-dessus.

crolles

Le problème du réchauffement climatique et de la transition énergétique ne peut se réduire au problème du marasme économique, meme si celui ci doit etre considéré dans le débat. Réfléchissez un epu plus loin que le bout de votre nez tout de meme. Cdlt