La consommation française de carburants en octobre 2011

Selon les derniers chiffres du Comité Professionnel du Pétrole (CPDP), les livraisons de carburants sur le marché français se sont élevées à 4,3 millions des mètres cubes en octobre 2011, en baisse de 2 % par rapport à octobre 2010.

Cette variation est la résultante d’une baisse de 3,7 % des livraisons de supercarburants sans plomb et d’une hausse de 1,6 % des livraisons de gazole. La part du gazole dans la consommation française de carburants a été de 80,1 % en octobre 2011.

En année mobile, la consommation française de carburants a été stable (+0.01%) entre novembre 2010 et octobre 2011 comparativement à la période novembre 2009 – octobre 2010. Durant cette période, la consommation de supercarburants a baissé de 4,8 % tandis que celle du gazole a augmenté de 1,3 %.

Articles connexes

4 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
maxxxx

-3,7 % sur l’essence et +1,6 % sur le gasoil avec une part de 80% pour le gasoil, pour moi ça fait une hausse de 0,5 % non pas une baisse de 2%. Détail : 80*1.016 + 20*(1-0.037) = 100.54

Tang'

Je me faisais exactement la même réflection ! … et j’obtient les même résultats.

Nicias

Je cite l’article: En année mobile, la consommation française de carburants a été stable (+0.01%) entre novembre 2010 et octobre 2011 comparativement à la période novembre 2009 – octobre 2010. Durant cette période, la consommation de supercarburants a baissé de 4,8 % tandis que celle du gazole a augmenté de 1,3 %. On est toujours pas sur votre 0,5% mais on s’en approche. Si l’on postule que 80% est une valeur approchée (par le haut), on doit pouvoir y arriver. D’après ce site, on a aussi 1% de GPL. j’aimerai savoir pourquoi on ferme nos raffineries de super sans en construire pour produire du gazole.

Pastilleverte

construire ou même tranformer une raffinerie est un investiossement très lourd, mais bon, c’est pas une excuse… pour en revenir aux chiffres, stabilité ou léger plus, étonnant quand même en période de crise, ne serait-e que par les transports routiers de marchandises qui devraient baisser, ajoutés à un comportement théoriquement moins consommateur pour la voiture individuelle ? il faudrait voir les “effets calendrier” qui peuvent faire varier facilement , toutes choses égales par ailleurs de 1%.