Total a inauguré lundi à Lacq dans le sud ouest de la France, le premier pilote européen intégrant la chaîne complète de captage, transport et stockage de CO2*.
Cette technologie est destinée à contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre des installations industrielles utilisant les combustibles fossiles (fioul, gaz ou charbon) telles que les centrales électriques, les aciéries, cimenteries, raffineries…
Selon le groupe d’experts intergouvernemental sur l’énergie et le climat (GIEC), le captage et le stockage de CO2 devrait pouvoir s’appliquer à un tiers des émissions de CO2 et à 7 000 installations industrielles dans le monde d’ici à 2050.
Le pilote de Lacq représente un investissement de 60 millions d’euros. Il complète les autres actions du Groupe dans le cadre de la lutte contre le changement climatique : amélioration de l’efficacité énergétique des installations et des produits, promotion et développement des énergies renouvelables.
La technologie du captage du CO2 par oxycombustion mise au point dans les laboratoires d’Air Liquide a été retenue pour ce pilote. L’oxycombustion consiste à remplacer l’air dans une chaudière industrielle par de l’oxygène pur. On obtient en sortie de chaudière des fumées moins abondantes mais très concentrées en CO2 (90%). Le CO2 est ensuite acheminé jusqu’au site de stockage géologique de Rousse à 27km de l’usine de Lacq, par pipeline, puis injecté à 4 500 mètres de profondeur dans cet ancien gisement de gaz.
Sur les 2 prochaines années, cette opération industrielle prévoit de capter et piéger environ 120 000 tonnes de dioxyde de carbone. C’est une quantité de CO2 équivalente à celle rejetée par 40 000 voitures pendant la même période.
Le lancement de ce pilote a été précédé par une large consultation des parties prenantes locales. Une période de trois ans de suivi est prévue à l’issue des deux années d’injection de CO2.
* dioxyde de carbone – principal gaz à effet de serre.
1. Secrétariat A.S.F.I.R (Algérie) Abrahms le 8 janvier 2010 à 23:51: ENERGIE Le nouveau Lobby “technologique” du captage et du stockage du CO2 Par: Y.Mérabet Au fait, le captage et le stockage du CO2 désignent une succession de procédés technologiques consistant à capter le dioxyde de carbone (CO2) présent dans les gaz rejetés par l’industrie, à le transporter et à l’injecter dans des formations géologiques. Les méthodes de séquestration sont loin d’avoir fait leur preuve sur le long terme et ce n’est qu’un prétexte pour la naissance de nouveau lobby “technologiques”, après le lobby pétrolier qui contrôle toutes les nos réserves pétrolières, ce véritable coupable de la libération massive du CO2 dans l’atmosphère. La mission principale du captage et stockage du CO2 (CSC) est la réduction des émissions de CO2 dues à la combustion de l’énergie fossile à des fins industrielles en premier lieu le charbon et le pétrole et les gaz conventionnels et non conventionnels. Selon le degré de respect de la règlementation de la lutte contre le réchauffement climatique par les Etats, il pourrait être dans les autres secteurs de l’industrie, qui émettent beaucoup de CO2 comme la cimenterie, le raffinage, la sidérurgie, la pétrochimie, la transformation du pétrole et du gaz, etc. Une fois capté, le CO2 est transporté vers une formation géologique adaptée, dans laquelle il sera injecté afin de l’isoler à court terme de l’atmosphère. Les conséquences des modifications de la biomasse sont actuellement imprévisibles, car les processus bio-réactionnels ont étés peu étudiés dans les conditions correspondant à celle d’un stockage de gaz acides. Cette capture et ce stockage du CO2 à la manière ‘hypocrite’ dans un réservoir naturel, ne se passera pas sans conséquences graves dans le moyen et long terme, car cette pratique est une source de fort déséquilibre thermodynamique (du coté mécanique), mais aussi peut perturber le fonctionnement biologique dans le réservoir. Du coté écologie et lutte contre le réchauffement climatique, il est certain que cette ‘technologie laboratoire’ et loin de servir cette lutte, bien au contraire dans le long terme il faudrait s’attendre à des transformations imprévisibles dangereuses de l’écorce terrestre. La consommation de l’énergie fossile nécessaire au maintient du niveau de développement des pays fortement industrialisés et à l’accroissement du niveau de vie celui des pays émergeants, s’accompagnera par des émissions croissantes de rejets du CO2 dans l’atmosphère, qu’il faudrait le ‘cacher’ sous terre, au même titre que les déchets nucléaires. Cette pratique insolente pour le mépris de notre terre, nous rappelle celle ‘d’un homme malade qui cache ses crachats sous son lit’. A cet effet, nous exprimons nos craintes sur l’invocation de la possibilité de séquestration qui pourrait conduire certains Etats à ne pas s’adopter à ce nouveau comportement mondial de réduction du niveau de la consommation ou à ne pas soutenir des politiques énergiques en la matière, ainsi que le reste des résolutions sur la question du réchauffement climatique. Il y a également accord sur le fait que la séquestration, certes ‘ incontournable’ pour les pilleurs de la planète, sera chère et posera des problèmes d’environnement, elle restera qu’un moyen. « curatif » contre les émissions et une façon de tromper les écologistes. D’autres moyens que la nature a développés pour absorber le surplus du CO2 de l’atmosphère sont plus humaines et justes, comme la reforestation par exemple. Cela semble beaucoup moins absurde de planter des arbres que d’aller enterrer du CO2 sous terre comme si la croute terrestre n’appartient plus à la terre! Quand on sait le coût d’une (1) tonne de CO2 dégagé dans l’atmosphère fait des dégâts évalués à plus de 2000 $ et que des milliers, sinon des millions d’Ha de nos forêts ont été détruites ou brulés, sachant qu’une superficie de 300 Km2 peut absorber 1 000 000 de tonnes de C02 en plus de ses innombrables effets bénéfiques pour l’homme et la nature. Il serait quand même utile de replanter des arbres partout et là ou on le peut. La forêt reste le seul moyen pour absorber définitivement les rejets délibérés du C02 que l’homme méchant fait jaillir de la terre. Certes le combat contre le réchauffement climatique est du long terme, que les pauvres doivent mener contre les riches, car ils ont besoin de vivre, mais viendra le jour ou nos enfants verront les effets, ils nous salueront d’avoir redonné vie à leur planète et oublieront notre malédiction. Les méthodes de séquestration sont loin d’avoir fait leur preuve sur le long terme et on n’y voit qu’un prétexte pour la naissance de nouveaux lobbies “technologiques” et des Etats corrompus : après le règne du lobby pétrolier sur la planète, voilà les véritables coupables de la libération massive du CO2 dans l’atmosphère depuis le siècle dernier. La séquestration du C02, une bombe à retardement Quand au stockage du CO2, les plantes font cela très bien depuis des millions d’années (c’est grâce à cela entre autre que le pétrole est apparu sur terre puisqu’il est issu par la transformation des plantes sous l’effet de la pression et de la température dans l’écorce terrestre, lors des mouvements tectoniques des plaques; ça prend quelques millions d’année, c’est bien pour cela qu’on ne parle pas de renouvelable, du moins à l’échelle humaine…). Des exemples naturels laissent penser que la séquestration longue durée est possible, mais non sans risques : certains gisements de gaz naturel contiennent une proportion importante de CO2, conservé sous pression depuis des millions d’années. Néanmoins, des fuites naturelles existent, parfois mortellement brutales comme dans le lac Monoun (1984) ou dans le Lac Nyos où l’émission soudaine d’une énorme “bulle” de CO2 a en 1986 tué 1700 personnes et des milliers d’animaux. Dans le cadre du Protocole de Kyōto, les entreprises séquestrant le carbone éviteraient des taxes et pourraient vendre leurs droits d’émission, tout en pouvant bénéficier de subventions et programmes de recherches, une règlement ne concernant plus les pays pauvres et en tète l’Algérie a industrie obsolète. D’une manière ou d’une autre, personne n’est capable d’affirmer que le carbone aujourd’hui présent sous forme de charbon dans le sous-sol ne se retrouvera pas demain dans l’atmosphère sous forme de CO2, participant ainsi à l’effet de serre. Le stockage géologique du CO2 est la seule façon de s’assurer, sans hypothèse hasardeuse sur l’action de l’homme dans des siècles, que ce carbone ne participera pas au réchauffement climatique. En 2006, le géologue américain Youcef Kharaka lança le message suivant à propos du stockage géologique du CO2 : quand on injecte du CO2 dans un aquifère profond, il déclenche une cascade de réactions chimiques qui pourraient mettre en cause l’étanchéité du stockage. Une alerte reprise par plusieurs articles de presse et sur le Net. A l’origine de l’annonce de Youssef Kharaka, une expérience d’injection de CO2 dans le sous-sol. Menée sur le site de Frio, dans le golfe du Texas, elle s’est déroulée en octobre 2004. Les scientifiques ont injecté 1 600 tonnes de gaz carbonique dans un puits creusé à 1 500 mètres de profondeur. Là, se trouve une couche de grès, perméable, poreuse, chargée en saumure. Puis ils ont mesuré, grâce à un puits d’observation distant de 30 mètres et par des prélèvements d’échantillons, les conséquences géochimiques de l’opération. En injectant ainsi du gaz carbonique, la saumure a baissé son pH drastiquement de plus de 6 aux environs de 3. Cette acidification brutale contribue à une dissolution rapide de minéraux carbonatés et au largage d’ions métalliques ainsi que de molécules organiques. Kharaka se posa la question : est ce que ces transformations géochimiques vont-elles se traduire par la «formation de chemins vers la surface», permettant ainsi le retour du CO2 à l’atmosphère ? Les métaux et composants organiques toxiques mobilisés peuvent-ils se retrouver ailleurs, dans des nappes d’eau utilisées ? Au final, faut-il abandonner l’idée du stockage géologique? La séquestration du CO2 intéresse un grand nombre de chercheurs et de décideurs, ainsi que le public, mais ne semble pas être une solution disponible à court terme ni opérationnelle à grande échelle à moyen terme. Des expérimentations sont en cours et une dizaine de projets d’envergure industrielle pourraient être opérationnels en 2010, mais ils resteront insignifiants par rapport aux émissions mondiales d’environ 25 milliards de tonnes/an de CO2. Pour séquestrer rien que 10% de ces émissions, il faudrait environ un millier projets de grande envergure, et plusieurs centaines de sites sécurisés, ainsi que des milliers de kilomètres de pipe-line pour enfin de ne rien faire avec ce CO2. Actuellement, des institutions comme Sonatrach, BP, Statoil, l’UE, ou encore le département US de l’énergie, ont contribué au financement du projet pour suivre le comportement des gaz dans le sous-sol à In Salah, utilisant le réchauffement climatique comme prétexte, leur intérêt c’est de faire du business, que du business. L’Algérie est utilisée par le lobby ‘technologique’ du CSG comme tremplin pour accéder aux futures gros marchés de carbone des pays de l’OPEP, qui se chiffre à plusieurs milliards de dollars. L’AIE (L’Agence Internationale de l’Energie), un instrument du lobby pétrolier mondial et des superpuissances économiques vient de saluer la réalisation du laboratoire de séquestration du CO2 de In-Salah par Sonatrach et encourage les autres pays de l’OPEP à suivre cet exemple, voilà les prémices d’une collaboration douteuse. Ceux qui est derrière le CSC sont déjà connus, les ministres corrompus des Etats du Sud, l’Agence Internationale de L’Energie, et en fin le lobby ‘Technologique’. Ce n’est plus le réchauffement climatique qui les intéresse, mais le réchauffement de leur portefeuille. De nouvelles évolutions (notamment en ce qui concerne le stockage) seront nécessaires et plusieurs obstacles devront être surmontés pour que la CSC devienne une technique de réduction déguisée des émissions de CO2 à part entière. De nombreux projets pilotes sont développés à différents stades dans le monde entier. Sonatrach est la première compagnie nationale de l’OPEP et des pays du Sud qui controverse les principes fondamentaux de la lutte contre le réchauffement climat en tendant la main au lobby ‘technologique’. Selon l’AIE, la technique du CSC pourrait être mise en place d’ici 2015 à plus grande échelle si ces projets pilotes obtiennent de bons résultats, voilà que l’enjeu des CSG qui se confirme après le sommet se confirme ? Conclusion : L’existence de conflits d’intérêts entre deux agences de l’ONU, l’Agence Internationale pour l’Énergie Atomique, dont l’objectif principal est la promotion des centrales nucléaires dans le monde. L’Agence Internationale de l’Energie désinforme la réalité et communique des chiffres gonflés sur les réserves pétrolières et gazières pour rabaisser les prix du baril au profit de l’approvisionnement des superpuissances grandes dévoreuses d’énergie Des voix s’élèvent au sein des ONG des commissions, contre les lobbies mais cela ne suffit pas encore à les faire trembler. Les scientifiques qui osent, preuves à l’appui, se positionner contre les thèses officielles sont méprisés et décrédibilisés, ceux qui persistent voient leur carrière brisée, s’ils ne terminent pas en prison. N.B Le Dr. Vasco du Lawrence Berkeley National Laboratory fait des recherches sur les déformations de la surface du sol suite à l’injection de CO2 à In Salah dans le Sahara algérien. Un million de tonnes de gaz sont injectées par an à environ 2 km de profondeur. L’interférométrie radar a permis d’observer une élévation de la surface du sol de 5mm par an sur des kilomètres… Expert en énergie (Algérian Society For International Relations) Laisser un commentaire Abrahms le 8 janvier 2010 à 23:51: ENERGIE Le nouveau Lobby “technologique” du captage et du stockage du CO2 Par: Y.Mérabet Au fait, le captage et le stockage du CO2 désignent une succession de procédés technologiques consistant à capter le dioxyde de carbone (CO2) présent dans les gaz rejetés par l’industrie, à le transporter et à l’injecter dans des formations géologiques. Les méthodes de séquestration sont loin d’avoir fait leur preuve sur le long terme et ce n’est qu’un prétexte pour la naissance de nouveau lobby “technologiques”, après le lobby pétrolier qui contrôle toutes les nos réserves pétrolières, ce véritable coupable de la libération massive du CO2 dans l’atmosphère. La mission principale du captage et stockage du CO2 (CSC) est la réduction des émissions de CO2 dues à la combustion de l’énergie fossile à des fins industrielles en premier lieu le charbon et le pétrole et les gaz conventionnels et non conventionnels. Selon le degré de respect de la règlementation de la lutte contre le réchauffement climatique par les Etats, il pourrait être dans les autres secteurs de l’industrie, qui émettent beaucoup de CO2 comme la cimenterie, le raffinage, la sidérurgie, la pétrochimie, la transformation du pétrole et du gaz, etc. Une fois capté, le CO2 est transporté vers une formation géologique adaptée, dans laquelle il sera injecté afin de l’isoler à court terme de l’atmosphère. Les conséquences des modifications de la biomasse sont actuellement imprévisibles, car les processus bio-réactionnels ont étés peu étudiés dans les conditions correspondant à celle d’un stockage de gaz acides. Cette capture et ce stockage du CO2 à la manière ‘hypocrite’ dans un réservoir naturel, ne se passera pas sans conséquences graves dans le moyen et long terme, car cette pratique est une source de fort déséquilibre thermodynamique (du coté mécanique), mais aussi peut perturber le fonctionnement biologique dans le réservoir. Du coté écologie et lutte contre le réchauffement climatique, il est certain que cette ‘technologie laboratoire’ et loin de servir cette lutte, bien au contraire dans le long terme il faudrait s’attendre à des transformations imprévisibles dangereuses de l’écorce terrestre. La consommation de l’énergie fossile nécessaire au maintient du niveau de développement des pays fortement industrialisés et à l’accroissement du niveau de vie celui des pays émergeants, s’accompagnera par des émissions croissantes de rejets du CO2 dans l’atmosphère, qu’il faudrait le ‘cacher’ sous terre, au même titre que les déchets nucléaires. Cette pratique insolente pour le mépris de notre terre, nous rappelle celle ‘d’un homme malade qui cache ses crachats sous son lit’. A cet effet, nous exprimons nos craintes sur l’invocation de la possibilité de séquestration qui pourrait conduire certains Etats à ne pas s’adopter à ce nouveau comportement mondial de réduction du niveau de la consommation ou à ne pas soutenir des politiques énergiques en la matière, ainsi que le reste des résolutions sur la question du réchauffement climatique. Il y a également accord sur le fait que la séquestration, certes ‘ incontournable’ pour les pilleurs de la planète, sera chère et posera des problèmes d’environnement, elle restera qu’un moyen. « curatif » contre les émissions et une façon de tromper les écologistes. D’autres moyens que la nature a développés pour absorber le surplus du CO2 de l’atmosphère sont plus humaines et justes, comme la reforestation par exemple. Cela semble beaucoup moins absurde de planter des arbres que d’aller enterrer du CO2 sous terre comme si la croute terrestre n’appartient plus à la terre! Quand on sait le coût d’une (1) tonne de CO2 dégagé dans l’atmosphère fait des dégâts évalués à plus de 2000 $ et que des milliers, sinon des millions d’Ha de nos forêts ont été détruites ou brulés, sachant qu’une superficie de 300 Km2 peut absorber 1 000 000 de tonnes de C02 en plus de ses innombrables effets bénéfiques pour l’homme et la nature. Il serait quand même utile de replanter des arbres partout et là ou on le peut. La forêt reste le seul moyen pour absorber définitivement les rejets délibérés du C02 que l’homme méchant fait jaillir de la terre. Certes le combat contre le réchauffement climatique est du long terme, que les pauvres doivent mener contre les riches, car ils ont besoin de vivre, mais viendra le jour ou nos enfants verront les effets, ils nous salueront d’avoir redonné vie à leur planète et oublieront notre malédiction. Les méthodes de séquestration sont loin d’avoir fait leur preuve sur le long terme et on n’y voit qu’un prétexte pour la naissance de nouveaux lobbies “technologiques” et des Etats corrompus : après le règne du lobby pétrolier sur la planète, voilà les véritables coupables de la libération massive du CO2 dans l’atmosphère depuis le siècle dernier. La séquestration du C02, une bombe à retardement Quand au stockage du CO2, les plantes font cela très bien depuis des millions d’années (c’est grâce à cela entre autre que le pétrole est apparu sur terre puisqu’il est issu par la transformation des plantes sous l’effet de la pression et de la température dans l’écorce terrestre, lors des mouvements tectoniques des plaques; ça prend quelques millions d’année, c’est bien pour cela qu’on ne parle pas de renouvelable, du moins à l’échelle humaine…). Des exemples naturels laissent penser que la séquestration longue durée est possible, mais non sans risques : certains gisements de gaz naturel contiennent une proportion importante de CO2, conservé sous pression depuis des millions d’années. Néanmoins, des fuites naturelles existent, parfois mortellement brutales comme dans le lac Monoun (1984) ou dans le Lac Nyos où l’émission soudaine d’une énorme “bulle” de CO2 a en 1986 tué 1700 personnes et des milliers d’animaux. Dans le cadre du Protocole de Kyōto, les entreprises séquestrant le carbone éviteraient des taxes et pourraient vendre leurs droits d’émission, tout en pouvant bénéficier de subventions et programmes de recherches, une règlement ne concernant plus les pays pauvres et en tète l’Algérie a industrie obsolète. D’une manière ou d’une autre, personne n’est capable d’affirmer que le carbone aujourd’hui présent sous forme de charbon dans le sous-sol ne se retrouvera pas demain dans l’atmosphère sous forme de CO2, participant ainsi à l’effet de serre. Le stockage géologique du CO2 est la seule façon de s’assurer, sans hypothèse hasardeuse sur l’action de l’homme dans des siècles, que ce carbone ne participera pas au réchauffement climatique. En 2006, le géologue américain Youcef Kharaka lança le message suivant à propos du stockage géologique du CO2 : quand on injecte du CO2 dans un aquifère profond, il déclenche une cascade de réactions chimiques qui pourraient mettre en cause l’étanchéité du stockage. Une alerte reprise par plusieurs articles de presse et sur le Net. A l’origine de l’annonce de Youssef Kharaka, une expérience d’injection de CO2 dans le sous-sol. Menée sur le site de Frio, dans le golfe du Texas, elle s’est déroulée en octobre 2004. Les scientifiques ont injecté 1 600 tonnes de gaz carbonique dans un puits creusé à 1 500 mètres de profondeur. Là, se trouve une couche de grès, perméable, poreuse, chargée en saumure. Puis ils ont mesuré, grâce à un puits d’observation distant de 30 mètres et par des prélèvements d’échantillons, les conséquences géochimiques de l’opération. En injectant ainsi du gaz carbonique, la saumure a baissé son pH drastiquement de plus de 6 aux environs de 3. Cette acidification brutale contribue à une dissolution rapide de minéraux carbonatés et au largage d’ions métalliques ainsi que de molécules organiques. Kharaka se posa la question : est ce que ces transformations géochimiques vont-elles se traduire par la «formation de chemins vers la surface», permettant ainsi le retour du CO2 à l’atmosphère ? Les métaux et composants organiques toxiques mobilisés peuvent-ils se retrouver ailleurs, dans des nappes d’eau utilisées ? Au final, faut-il abandonner l’idée du stockage géologique? La séquestration du CO2 intéresse un grand nombre de chercheurs et de décideurs, ainsi que le public, mais ne semble pas être une solution disponible à court terme ni opérationnelle à grande échelle à moyen terme. Des expérimentations sont en cours et une dizaine de projets d’envergure industrielle pourraient être opérationnels en 2010, mais ils resteront insignifiants par rapport aux émissions mondiales d’environ 25 milliards de tonnes/an de CO2. Pour séquestrer rien que 10% de ces émissions, il faudrait environ un millier projets de grande envergure, et plusieurs centaines de sites sécurisés, ainsi que des milliers de kilomètres de pipe-line pour enfin de ne rien faire avec ce CO2. Actuellement, des institutions comme Sonatrach, BP, Statoil, l’UE, ou encore le département US de l’énergie, ont contribué au financement du projet pour suivre le comportement des gaz dans le sous-sol à In Salah, utilisant le réchauffement climatique comme prétexte, leur intérêt c’est de faire du business, que du business. L’Algérie est utilisée par le lobby ‘technologique’ du CSG comme tremplin pour accéder aux futures gros marchés de carbone des pays de l’OPEP, qui se chiffre à plusieurs milliards de dollars. L’AIE (L’Agence Internationale de l’Energie), un instrument du lobby pétrolier mondial et des superpuissances économiques vient de saluer la réalisation du laboratoire de séquestration du CO2 de In-Salah par Sonatrach et encourage les autres pays de l’OPEP à suivre cet exemple, voilà les prémices d’une collaboration douteuse. Ceux qui est derrière le CSC sont déjà connus, les ministres corrompus des Etats du Sud, l’Agence Internationale de L’Energie, et en fin le lobby ‘Technologique’. Ce n’est plus le réchauffement climatique qui les intéresse, mais le réchauffement de leur portefeuille. De nouvelles évolutions (notamment en ce qui concerne le stockage) seront nécessaires et plusieurs obstacles devront être surmontés pour que la CSC devienne une technique de réduction déguisée des émissions de CO2 à part entière. De nombreux projets pilotes sont développés à différents stades dans le monde entier. Sonatrach est la première compagnie nationale de l’OPEP et des pays du Sud qui controverse les principes fondamentaux de la lutte contre le réchauffement climat en tendant la main au lobby ‘technologique’. Selon l’AIE, la technique du CSC pourrait être mise en place d’ici 2015 à plus grande échelle si ces projets pilotes obtiennent de bons résultats, voilà que l’enjeu des CSG qui se confirme après le sommet se confirme ? Conclusion : L’existence de conflits d’intérêts entre deux agences de l’ONU, l’Agence Internationale pour l’Énergie Atomique, dont l’objectif principal est la promotion des centrales nucléaires dans le monde. L’Agence Internationale de l’Energie désinforme la réalité et communique des chiffres gonflés sur les réserves pétrolières et gazières pour rabaisser les prix du baril au profit de l’approvisionnement des superpuissances grandes dévoreuses d’énergie Des voix s’élèvent au sein des ONG des commissions, contre les lobbies mais cela ne suffit pas encore à les faire trembler. Les scientifiques qui osent, preuves à l’appui, se positionner contre les thèses officielles sont méprisés et décrédibilisés, ceux qui persistent voient leur carrière brisée, s’ils ne terminent pas en prison. N.B Le Dr. Vasco du Lawrence Berkeley National Laboratory fait des recherches sur les déformations de la surface du sol suite à l’injection de CO2 à In Salah dans le Sahara algérien. Un million de tonnes de gaz sont injectées par an à environ 2 km de profondeur. L’interférométrie radar a permis d’observer une élévation de la surface du sol de 5mm par an sur des kilomètres… Expert en énergie (Algérian Society For International Relations) Laisser un commentaire
biologique du réservoir? Quelqu’un peut-il m’expliquer? Il y a une vie dans les aquifères salins, à 2000 ou 3000m de profondeur?
La sequestration du CO₂ n’est pas une bombe à retardement. Et plus tard,à l’époque où l’on produira de l’Hydrogène abondament et moins cher:On pourra récupérer tout ce CO₂ et le combiner à l’H₂ via la réaction exothermique de Paul Sabatier pour obtenir du méthane(CH₄);que l’on peut injecter dans les réseaux actuels de gaz naturel(avec leurs réservoirs de stockages déjà en places).Ce CO₂ sera donc potentiellement réutilisable pour être transformé en méthane(CH₄)pour des usages industriels ultérieurs de la chimie des hydrocarbures(ou pour des usages énergétiques selon les besoins et la demande).Le CO₂ stocké pourra ainsi devenir trés utile aux générations futures.
qui n’est toujours pas mon copain!
qui n’est toujours pas mon copain!
Extrait intéressant de marcob12: Par définition H2 sera produit lors des excédents importants de production électrique. On ne peut donc le brûler de suite en centrales ou PAC. Contrairement au méthane on ne peut l’injecter dans un réseau de transport, ni le stocker en réservoir souterrain, quand à le brûler en centrale, il faudrait les modifier (canalisations, brûleurs).Il faut tout inventer ce qui majorera les coûts (on ne parle pas de quelques kg de H2 à stocker). Il est BIEN PLUS FACILE de stocker le CO2 et de convertir le H2 quand il apparaît en injectant le méthane produit dans le réseau. ON A DEJA toute l’infrastructure pour gérer le méthane et comme la réaction de Paul Sabatier semble peu coûteuse en énergie(puisque exothermique),elle valorise près de 100% du H2 . Par ailleurs pour le stockage inter-saison le méthane semble une voie royale.
Ca , on en a déjà débattu avec l’auteur. So what?
Pour préciser, mais là c’est ma prose que je recopie: « à maxxxx et marcob Bon, je n’ai pas envie de me lancer dans la recherche des E1, E2, E3.., mais « casser du CO2 » en « C+O2 » à l’aide d’hydrogène me parait devoir consommer au moins autant d’énergie que celle dégageé par l’oxydation du carbone, tout ça pour le bruler ensuite sous forme de méthane et donc reformer le CO2. Ca me parait un peut Shadock, SAUF si c’est une source infinie et gratuite qui permet de « casser le CO2 ». Heureusement, cette source existe,et la réaction aussi, c’est la photosynthèse! Eb bref, je suis d’accord avec l’idée que défend Marcob 12 (produire un produit « commercial » qu’on injecte dans des réseaux existants). Mais de ce point de vue, il me semble que le meilleur produit est l’électricité. Quand nous en serons au jour où on devra « réguler » la production de solaire ou d’éolien par de l’electrolyse, ce qui n’est quand même et de loin pas le moyen le plus élégant, il sera toujours possible de prévoir quelques usines « régionales » d’électrolyse associé à un stockage dédié (par exemple au point d’arrivée du raccordement d’un parc offshore) et à un moyen de production dédié ( cycle combiné ou PAC). Mais bon, on n’en est pas encore là! »
Par rapport à l’article sur la CCS et donc le stockage à long terme du CO₂ qui n’est pas une bombe à retardement pour générations futures (contrairement à ce que dit Zino en premier message);il faut comprendre aussi,que les énormes quantités de CO₂ qui seraient stockées pendant des décénies ou des siècles pourraient être réutilisées plus tard,par les générations futures ,parceque transformées en méthane( réaction de Paul Sabatier avec l’H₂) qui serait la base d’une chimie organique(via la polymérisation du méthane)pour fabriquer des plastiques et composites en tout genre,dont entre autres choses, des cellules PV organiques(à leurs époques futures)…Bref,si ce n’est pas sous forme d’ énergie;le méthane(issu du CO₂ stocké) peut être utilisé pour la chimie organique et production des composites,cellules PV organiques,fabrication de fibres de carbone et bien d’autres choses encore(que je n’ai pas en tête en ce moment) que les industriels savent faire en chimie organique industrielle.Donc le CO₂ stocké sera une ressource pour les générations futures et non pas une calamité comme le croient certains à tord.C’est surtout de ça que je voulais parler.qu’en pensez vous ? Ceci dit : à demain(si vous me répondez) car je dois m’absenter.Bonsoir.
OK, mais répondez à ma question…Mes notions de chimie sont peut-être un peu lointaines, mais comment transforme-t-on du CO2 ( atome de C complètement oxidé) en CH4, puis à nouveau retour au CO2 par combustion du CH4, avec un bilan énergétique positif??? Solution:il faut de l’H2 gratuit, mais s’il est gratuit, autant faire simple et le bruler dans une turbine à combustion ou une PAC.. Bon, je suis peut-être un peu basique, ou j’ai loupé une révolution majeure dans les équilibres thermo-chimiques. J’attends vos explications avec impatience. Cordialement.
Sur le cas de figure du bilan énergétique positif,vous avez raison :Il faudrait de l’H2 gratuit, et s’il est gratuit, autant faire simple et le bruler dans une turbine à combustion ou une PAC. Mais les industriels de l’énergie ne font pas toujours dans le bilan énergétique positif:La preuve en est avec les schistes bitumineux et les sables bitumineux qui consomment plus d’énergie pour produire 1 baril de pétrole que n’en contient ce même baril une fois produit.Et pourquoi ils le font quand même ? Parceque le pétrole est plus pratique pour toutes les applications de l’industrie pétrolière que le gaz ou le charbon(il y a même des projets avec des futurs petits réacteurs nucléaires type « Hypérion »avec 70 MWth ou 27 MWe pour fournir cette énergie)qui fournissent le surcroit d’énergie pour produire ce baril de pétrole au bilan énergétique négatif,mais TELLEMENT PRATIQUE pour toutes les applications de l’industrie pétrolière. De même avec les futures productions du méthane artificiel via l’utilisation d’H₂ avec la réutilisation du CO₂ stocké sous terre dont se serviront les générations futures pour faire surtout de la chimie organique industrielle avec production des plastiques et composites,cellules PV organiques,fabrication de fibres de carbone et bien d’autres choses encore(que nous n’avons pas en tête en ce moment) que les industriels savent faire en chimie organique industrielle et sauront encore mieux faire dans les siècles et millénaires suivants. Et n’oublions pas sur un plan purement pratique industriel(hors bilan énergie)que pour le stockage pratique d’énergie:Un même volume,à la même pression stocke plus d’énergie sous forme de méthane que sous forme d’hydrogène.Et avec des réservoirs moins exigeants et donc moins chers que ce qui est nécessaire pour l’hydrogène.Même chose pour le transport d’énergie avec les tuyauteries et autres gazoducs .
Je n’ai pas le temps de rentrer dans cette discussion (qui me concerne un peu) mais celui de dire par contre les études montrent que l’EROI (retour sur investissement énergétique) des schistes et sables bitumineux est positif (5/1) et qu’il s’améliore avec les techniques employées. Par pour rien que la production du Dakota du Nord est passée de 120 à 300 (milles) barils/jour en 3 ans à partir de schistes bitumineux. Triste, mais la réalité.
Tiens ?? ça c’est intéressant!: »les études montrent que l’EROI (retour sur investissement énergétique) des schistes et sables bitumineux est positif (5/1) et qu’il s’améliore avec les techniques employées ». Je l’ignorais.Merci Marcob12 ! Il faut donc selon les études que vous citez(5/1),l’énergie de 1 baril de pétrole pour obtenir sur des schistes et sables bitumineux 5 barils de pétrole.Pas étonnant que les pétroliers s’intéressent de plus en plus aux schistes et sables bitumineux avec un tel EROI.. Ben,on n’est pas encore sorti du pétrole 🙁 .
Une brève (page 38 du dernier Science&Vie) et je vérifie sur le réseau. Fraunhofer a validé et va mettre en service une unité qui doit prouver qu’on peut transformer les excédents éoliens (kwh peu valorisables sur le marché voire sans écoulement possible, donc très bon marché) en méthane (via électrolyse et méthanisation (je parie sur la réaction de Sabatier qui me semble la voie royale)). Le rendement global de l’opération serait de 60% (conversion de l’électricité en gaz) et comme le dit l’article l’allemagne peut stocker sous forme de gaz l’équivalent de 200 Twh, a le réseau de transport, les appareils pour le valoriser. L’article n’est pas de moi, honest !…
Bon, vous avez le bénéfice du doute! Interessant en tout cas, et le passage du papier à une expérimentation est toujours un signe encourageant. Quelques doutes quand même sur le rendement visé. Les 60% signifient-ils qu’à partir d’un MWh d’électricité on va injecter 0,6MWh de pouvoir calorifique (inférieur ou supérieur?) sur le réseau de gaz? Je n’ai plus les chiffres en tête, mais il me semblait que l’electrolyse elle-même n’atteignait des rendements que de l’ordre de 50%.. Au-delà des aspects techniques, l’aspect économique ne me semble pas évident. On parle d’éviter le wind curtailement, et donc de bénéficier d’electricité à coût nul, mais le wind courtailement, même avec un parc d’éoliennes très important, restera quand même à des niveaux qui ne pourront excéder quelques centaines ou un peu plus d’heures par an (sinon, le développement de nouvelles éoliennes s’arretera naturellement). Or on a derrière une installation ( electrolyse+ « Sabatier plant »+stockage de CO2)qui va couter forcément très cher, et qui ne peut fonctionner pour être rentable que ces quelques centaines d’heures par an….Bref, je ne vois pas quand et comment ça peut converger, au moins selon des schémas économiques classiques. Mais il est vrai que ces schémas seront de moins en moins classiques…..
Pour l’article page 38 de Science&Vie de Juillet 2010,je confirme .Voici les dernières phrases de cet article : « Dans un premier temps,les ingénieurs utilisent cette énergie éolienne exédentaire pour réaliser l’électrolyse de l’eau,ce qui aboutit à l’obtention d’oxygène et d’hydrogène. Dans un deuxième temps,l’hydrogène est combiné avec du CO₂,pour synthétiser du méthane.L’avantage de ce dernier est de pouvoir être stocké dans les réseaux existants!Il pourra ensuite être reconverti en électricité si besoin,ou bien utilisé pour alimenter des installations de chauffage et des véhicules(au GNV).Une première centrale éolienne de ce type,d’une puissance de 5 à 10 MW,verra le jour en Allemagne dans deux ans. » Fin de l’article .
Pour moi,il est bien évident que lorsque de l’hydrogène est combiné avec du CO₂,pour synthétiser du méthane,la voie royale est bien celle de la réaction de Sabatier. (Paul Sabatier; pas patrick).
Soit c’est un canular, soit je me demande pourquoi vous vous obstinez à répéter ce qui a déjà été dit quelques lignes plus haut…Mais bon…
A quel commentaire faites vous référence ??
C’est que cela pourrait en devenir vexant !
-15/07 à 21h25, copier/coller de Marcob sans rien de plus -aujourd’hui à 16h04: Marcob nous avait dit la même chose à 11h46 -aujourd’hui à 16h26 (idem Marcob à 11h46) Mais je ne veux pas être vexant….
d’ailleurs, très honnêtement, le coup de la réutilisation à très long terme du CO2 stocké ( pas encore, mais dans 15 à 20 ans)comme base de la chimie organique, c’est la première fois que j’en entends parler et je trouve le concept interessant.
Le 15/07/2010 à 21h25,le copier-coller de Marcob12 sans rien de plus : C’était POUR APPUYER le commentaire du 15/07/2010 à 17:00:32 afin de montrer comment le CO₂ sera potentiellement réutilisable pour être transformé en méthane,lui même devenant la base de la chimie organique des générations futures. Aujourd’hui à 16h04: « Marcob nous avait dit la même chose à 11h46 » : Ah pardon! Vous oubliez que Marcob12 n’avait pas parlé des véhicules(au GNV).Ni du fait que la première centrale éolienne de ce type,d’une puissance de 5 à 10 MW,verra le jour en Allemagne DANS DEUX ANS.Relisez plus attentivement et vous verrez ! Enfin vous dites: -aujourd’hui à 16h26 (idem Marcob à 11h46): OUI,là j’ai volontairement rabaché,parceque j’ai bien senti que vous ne vouliez toujours pas de Paul Sabatier comme copain et pourtant ce Paul Sabatier(bien que défunt depuis longtemps)est un bon gars qui vaut bien qu’on soit copain avec lui(même à titre posthume).
Il y a deux voies possibles à la réutilisation du CO₂ qui sera stocké à très long terme : Première voie possible: La production de méthane(gràce à ce bon monsieur Sabatier)qui servira de base à la chimie organique industrielle des générations futures(et là je ne parle même pas de carburant mais de matière composites,plastiques,solides ou souples). Deuxième voie possible: La transformation du CO₂ en acides carboxyliques qui sont à la base d’une quantité phénoménale de substances organiques et polymères en tous genres(exemple classique:les polyesters),absolument indénombrables tellement il y en a .Pensez un peu aux bétons(et ciments) polymères qui pourraient fabriqués par dizaines de milliards de tonnes par les générations futures si elles jugent ça nécéssaires.Et tellement d’autres choses impossibles à inventorier(voir à imaginer) tant les possibilités de la chimie organique industrielle actuelle et surtout future sont richissimes.Ces ressources de CO₂ stockées à très long terme seront une bénédiction pour les générations futures et non une bombe à retardement(ou une calamité) comme le croient à tord des pseudos-écolos attardés et ignorants.
Qu’est-ce que le Béton Polymère? Le béton polymère est un matériau composé de différents types d’agrégats liés par des résines de polyester. La légèreté de ce matériau et son pourcentage d’absorption d’eau pratiquement nul garantissent une totale étanchéité du produit. De plus, son inaltérabilité aux cycles de gel-dégel, sa haute résistance à la plupart des produits chimiques et au choc, ainsi que son usure minimale par abrasion sont autant d’autres caractéristiques qui font du béton polymère un matériau de haute qualité. Les produits préfabriqués en béton polymère, grâce à une combinaison étudiée et de choix d’agrégats de silice, quartz et résines de polyester stable, parviennent à maintenir des caractéristiques physiques et mécaniques excellentes, comme en témoignent les certificats de qualité émis par des organismes de renom. Sa résistance mécanique exceptionnelle (jusqu’à 4 fois plus résistant à la compression que le béton traditionnel) permet de produire des éléments légers et aux dimensions réduites. Cela facilite sa mise en chantier et permet d’obtenir des rendements jusqu’à présent irréalisables. En outre, sa qualité de produit préfabriqué lui procure une facilité d’installation et de manipulation sans égal.
Si on cherche à maîtriser la capture/stockage du CO2 c’est qu’on estime en émetttre bien trop dans l’atmosphère. Pour le réutiliser ultérieurement ? Très peu probable. Si on utilise le stockage en nappe aquifère saline il faudrait diminuer la solubilité du CO2 en chauffant la nappe pour la dégazer et le coût énergétique serait catastrophique. Le stock atmosphérique est durable et les végétaux le capturent facilement (on peut d’ailleurs les méthaniser directement). Par contre s’il y a capture, le CO2 étant une matière première dont les usages vont croître (on en trouvera bientôt dans nos réfrigérateurs et la variété supercritique semble avoir de nombreuses applications) on va le stocker (en surface et probablement sous forme solide ou liquide pour les volumes envisageables). Mais pas à l’échelle des volumes qu’on souhaite séquestrer. Par ailleurs on peut extraire le CO2 de l’air sans les végétaux si besoin. Un avenir se dessine ou ceux brûlant des énergies fossiles devront trouver un autre dépôtoir à CO2 que l’atmosphère. Comme l’essentiel sera capturé pour être stocké à grande échelle, le coût de la tonne de CO2 (avant injection) sera sans doute assez faible. En face on aura des kwh quasi gratuits lors de pics de production éolien et solaire et avec des électrolyseurs atteignant des rendements de 90%. Marions-les !
Tout d’abord: D’accord avec votre commentaire . Marions-les ! Quelques remarques de possibilités et idées : Concernant l’essentiel du CO₂ qui sera capturé pour être stocké à grande échelle,une bonne partie de celui-ci ne sera pas d’abord mis dans les nappes aquifères salines mais dans des sites de stockages géologiques comme par exemple: »celui de Rousse à 27km de l’usine de Lacq, par pipeline, puis injecté à 4 500 mètres de profondeur dans cet ANCIEN GISEMENT DE GAZ ».Donc dans des anciens gisements de gaz,pétrole,voir dans certains cas, quand la configuration d’étanchéité le permet, dans des anciens gisements souterrains de charbon réaménagés spécialement pour ça;avec possibilité de réversibilité au besoin.On peut aussi imaginer d’ajouter au besoin la solution des clathrates de CO₂ (principe des hydrates de gaz appliqués au gaz carbonique)dans les eaux glaciales artiques et antartiques au profondeurs correspondantes aux pressions adéquates au maintient à l’état stable de clathrates de CO₂ .Et bien sur,aussi, les nappes aquifères salines.Quand aux problèmes de coûts énergétiques pour la réversibilité dans les nappes aquifères salines,les générations futures verront bien,l’important est qu’on ne prétende plus(à tord)que l’on livre une bombe à retardement ou une calamité au générations futures alors que sans même parler des nappes aquifères salines, Ils auront de quoi faire avec les stockages plus facilement réversibles comme les anciens gisements de gaz,pétrole,les clathrates.De plus si on veut rendre reversible économiquement une partie des stockages CO₂ en aquifère salin,il suffit de sursaturer l’aquifère salin en CO₂ de telle sorte qu’au moins ce qui est mis en surdose par rapport à la capacité d’acceuil de l’aquifère salin(et se retrouve donc sous pression)sera récupérable à volonté rien qu’en ouvrant les vannes;mais cela suppose que le réservoir géologique de l’aquifère salin resterait étanche quand on le met sous haute pression(au besoin jusqu’au niveau CO₂ supercritique si c’est possible).Sinon il ne faut surtout pas le faire.Ces choses seront à expérimenter par des essais pilotes en aquifère salin pour les vérifier mais c’est pour plus tard car d’abord on a assez à faire avec les anciens gisements de gaz et pétrole(voir certains anciens gisements de charbons si suffisaments étanches).Bref de nombreuses variantes de possibilités restent ouvertes…De quoi éviter à l’atmosphère d’être comme vous dites un dépotoir à CO₂ .Et stocker des ressources CO₂ accessibles(à très long terme) pour la chimie organique industrielle des générations futures qui auront encore surement beaucoup progressé dans cette chimie organique industrielle.Pour eux,ça sera un gisement fabuleux et non une calamité,ni une bombe à retardement.
Bon, on ne va pas en faire une histoire, mais ce que vous écriviez était déjà écrit dans le lien de Marcob vers le Fraunofher Institute qui pour une raison qui m’échappe renvoie maintenant vers une autre page. Pour le reste , évitez quand même les copier-coller trop voyants: votre post sur les qualités du béton polymère est limite… Pour le reste, f’ai beaucoup de respect pour M. Sabatier, mais je ne suis pas encore persuadé que sa réaction ait un avenir…
J’ai juste remplacé une page en anglais par une page en français (trouvée plus tard sur le site bulletins électroniques. La page vers fraunhofer est là. Les sources en anglais peuvent rebuter quelques-uns.
Le post sur le béton polymère(que j’ai volontairement copier coller d’un autre site,et je ne vois pas où est le problème) est fait pour renseigner sur le fait que le béton polymère est composé entre autres ingredients de résine de polyesters qui pourront être issues (dans le futur)de la chimie organique sur la base de polyesters provenant eux même des acides carboxyliques (et alcools)synthétisés avec les grandes quantité de CO₂ stockés. Mais enfin,comme j’ai un peu l’impression que vous vous en foutez et que vous devez probablement survoler superficiellement mes posts vu vos remarques peu constructives;vous n’avez d’ailleurs probablement pas regardé attentivement(ou même pas du tout) le post du 17/07 à 21:57:39.Je pense que je vais peut-être et dans la mesure du possible éviter de correspondre avec vous car cela ne semble mener nulle part ou presque.Il semble que j’ai comme un problème de communication avec vous.Alors,laissons tomber,pas la peine de se fatiguer vainement.