Engagé, le Prince de Galles a fait des propositions pour lutter contre le changement climatique et a souligné la nécessité d’abandonner le modèle traditionnel d’une économie de la croissance basée sur une industrie à forte intensité énergétique.
Le défi consistera selon lui à bâtir une économie à faible taux d’émission de carbone qui, non seulement, fera naître des opportunités économiques substantielles, mais fournira les moyens nécessaires pour assurer la compétitivité de l’Europe.
Lors de l’ouverture d’une conférence organisée sur ce thème, le Prince Charles de Galles a souligné "la nécessité de passer à une économie à faible émission de carbone et de reconnaître les liens directs entre la résilience des écosystèmes et celle des économies nationales."
Il a insisté sur l’obligation de passer à une "économie verte" basée sur une gestion durable des actifs, un traitement des déchets plus efficace, la construction d’habitats passifs et la mise en conformité du parc immobilier existant, et il a également rappelé l’importance d’établir des objectifs d’efficacité énergétique contraignants pour les habitations, les véhicules automobiles et les appareils électroménagers.
Le président du Parlement européen Jerzy Buzek a déclaré que la stratégie "UE 2020" contribuera à créer une économie verte, à faible taux d’émission de carbone, grâce à l’investissement dans l’innovation et les nouvelles technologies. Il a remercié le Prince pour sa participation à la conférence et a rendu hommage à son engagement dans les questions environnementales. Il a rappelé l’importance de la tenue de conférences sur ce thème, au cours desquelles des idées nouvelles peuvent contribuer à améliorer la législation et il a rappelé que le projet de "Communauté européenne de l’énergie" présenté au Parlement européen le 5 mai 2010, réduira non seulement les coûts, mais aussi les consommations d’électricité et de gaz.
Le président de la Commission José Manuel Barroso a estimé pour sa part que la seule réponse possible pour assurer la protection de la planète, la sécurité des approvisionnements et la croissance économique consiste à se tourner vers l’utilisation plus efficace des ressources. Il a attiré l’attention sur la nécessité de créer un environnement propice aux investissements et sur les retombées positives des technologies propres. Il a également fait observer qu’en dépit des progrès accomplis, ce n’était pas le moment de lever le pied, et d’ajouter qu’une nouvelle série d’objectifs serait adoptée pour 2050.
Le président du Conseil européen Herman Van Rompuy a appelé à une mutation radicale du système énergétique, tout en faisant observer que le dernier Conseil européen du 4 février avait été consacré, en grande partie, aux questions énergétiques. Il faut s’orienter vers des investissements dans les économies d’énergie, les réseaux intelligents et les compteurs intelligents. "Nous devons veiller à consommer moins d’énergie" a-t-il ajouté.
Enfin, M. Van Rompuy a attire l’attention sur la nécessité de combiner l’action nationale avec celle de l’UE pour mettre en place des synergies et des économies d’échelle.
Au bout de la chaîne, qui va payer? Le contribuable vache à lait….
Le Prince Charles est connu pour son positionnement dogmatique concernant le réchauffement climatique anthropique (RCA). Rien à voir avec la science, car il n’utilise le dogme du RCA que pour faire passer ses idées politiques radicales. Le fait que Phil Jones, directeur du CRU à l’Université d’East Anglia et éminent membre du GIEC, ait déclaré dans une interview à la BBC que le réchauffement depuis 1995 n’est pas « statistiquement significatif » lui est parfaitement égal, car son positionnement dogmatique n’a que faire des données d’observation. Source : Bref, il n’a aucune crédibilité en ce domaine.
Le prince de Galles a donc renoncé à son Aston martin, sa Range Rover et autres engins, certes « so british », mais sipeu respectueux de l’environnement (au moins du point de vue consommations de carburant)
on le croyait un peu benet à cause des scandales dont sa vie conjugale fut le theatre et l’on s’aperçoit qu ‘il est beaucoup plus intelligent qu’il n’y parait . J’ai pu assister à une interview de lui : il est beaucoup plus ouvert et moins crispé sur ses certitudes que nombres de membres de ce forum . Ses réflexions sont loin d’être insipides et l’on sent qu’il a étudié le problème du réchauffement . Lorsque dans une dizaine d’année le consensus quasi général actuel se sera transformé en consensu total les négationistes ici présents diront tous : mais je l’avais toujours dit que la planète se réchauffe , j’étais même le premier à en parler dans les forums d’énerzine!!! En attendant claude allègre a mangé son chapeau : il a admit et signé la conclusion générale (alors qu’on ne le lui demandait pas ) c’est à dire que le réchauffement était une réalité , devant les arguments irréfutables que lui ont présenté le collège d’experts auquel il s’était joint.
Claude allègre a signé le rapport, parce que, justement, il n’y était surtout pas question ni de consensus, ni que la science du climat était « définitive » (« settelde » comme a dit le prix Nobel… de la Paix, Al Gore). D’ailleurs Jouzel (co président du GIEC) a regretté que le rapport ait donné trop la part belle selon lui aux « sceptiques » (terme qui devrait être flatteur pour tout scientifique, surout dans une science encore en développement). Au passage, il ne s’agissait que de signer le compte-rendu des présentations faites par les divers intervenantys, plus ou moins « réchauffistes » ou « sceptiques » ou « carbo centriques », c’est comme ou voudra, et dans la mesure où les propos n’ont pas été déformés, pourquoi CA ne l’aurait-il pas signé ?. Que le réchauffement existe, peu de monde en disconviendra, surtout à la sortie du « petit âge claciaire » à partir de 1775-1800.Une étude d’Akasofu montre que depuis cette date, les augmentations de temperature, de hausse du niveau des océans, de retrait des glaciers, de fonte de la banquise artique, sont quasiment limnéaires, modullo les variations climatiques naturelles océaniques (ENSO, NAO, PDO etc…) Ce qui est en cause, parmi les scientifiques tout simplement honnêtes, c’est le caractère inhabituel, les causes (on ne sait pas chiffrer avec certitude le rôle des nuages, par exemple), et surout les conséquences, qu’elles soient écon,omiques, environnementales ou sanitaires; Que les émissions de CO2 augmentent du fait des huamins par la consommation d’énergie fossile, dans une Terre dont la population et le niveau de vie auugmentnet, c’est un fait. Que les questions des énergies se posent, cela va de soi Que la démographie et l’urbanisation soient « folles » dans certains pays, par ailleurs pauvres et exposés aux catastrophes naturelles, c’est aussi un problème. Que l’accès à l’eau potable et à l’assainissement, la gestion des déchéts de toute sorte, la santé et l’éducation restent des soucis pour une bonne part del’humanité, encore une fois oui. Mais réduire les « changements climatiques » (la belle affaire, comme si le climat n’a pas toujours changé et ne continuera pas à changer, avec ou sans l’Homme) aux émissions de CO2, et induire derrière des politiques extravagantes dont le rapport cxoût/efficacité est, lui, catastrophique, voilà qui devrait nous réveiller. Maintenant libres à vous à choisir vos « champions » de gérer vos peurs et de crier tellement au loup que les vrais problèmes resteront toujours derrière (voir plus haut). Et n’hésitez surtout pas à sortir des phrases tellement belles du genre « ce que nous faisons, c’est pour nos enfants, et les enfants de nos enfants », c’est ce qu’ont dû dire les hommes depuis Adam et Eve (ou Lucy si vous préférez)
Même si le changement climatique était une aimable plaisanterie, ce dont on peut sérieusement douter, faudrait-il continuer sur la même voie énergétique ? Faudrait-il continuer avec le pétrole qui n’a plus d’avenir à court terme parce que la trop forte demande va lui ôter toute sa rentabilité….. Faudrait-il continuer avec le nucléaire dont l’opacité, tant en ressource, qu’en déchets, ou qu’en démantèlement nous empêche tout prise de conscience réellement objective … Faudrait-il risquer les dangers des gaz de schistes, alors que l’on gaspille autant tous nos valorisables et autres biomasses délaissées … Le soleil et le vent sont à la portée de quasiment la terre entière, même balbutiantes et pas suffisamment au point, ces techniques vont éteindre d’elles-même toutes les autres … réchauffement ou pas … ne serait-ce que par rentabilité … Une fois l’immobilier amorti, à 15 ans environ, l’éolien est d’ors et déjà l’électricité la plus rentable …. et le solaire va rapidement le suivre …. Donc, même les sceptiques ont intérêt à s’ouvrir aux ENR …………
Le coup de l’année la plus chaude, excellent, vous êtes un lecteur assidu de la presse française. Dans les pays anglo saxons, les journalistes sont plus sérieux et font des recoupements. Un seul des 4 « instituts » qui mesurent la temprêrature « moyenne » (quoique cela puisse vouloir dire…) trouve que l’années 2010 est la plus chaude de celles avec mesures thermométriques. Admirez la précision de 0,01°C, quand des zones entières ne sont pas couvertes par des stations terrestres, et que les courbes du GISS (filiale de la NASA, mais qui travaille avec des stations éparses, de moins en moins nombreuses, et de qualité médiocre) ne montre pas 2010 le plus chaud, mais 1998, au coude à coude avec 2005. Trois années avec un phénomène El nino particulièrement fort. Autrement dit, entre 1998 et 2010, la temperature n’a pas varié, c’est sans doute ce qu’on appelle une hausse continue et sans précédent. DDésolé pour le lien, c’est de l’anglais :
oui, au moins, ayons l’honneteté de dire que la question de l’énergie (comme d’autres) va se poser de plus en plus ardument, surtout avec la population qui augmente et l’aspiration à un niveau de vie supérieur dans les pays « du Sud ». J’aimerais être aussi optimiste que vous sur l’éolien et le soleil, non pas qu’ils ne soient pas abondants, mais tellement disséminés… Je suis moin sûr des question de « rentabilité », en tout cas pour les exploitants de gisements, car le prix de vente suivra, et c’est pas demain la veille qu’on pourra se passer des énergies fossiles dans bien des applications. Et même si ce n’est pas une raison, si les pays « occidentaux » réduisent considérablement leur consommation (à voir ?) , d’autres pays en forte croissance et/ou peuplés (suivez mon regard) « compenseront » et bien au-delà nos économies.; Certes, les énergies fossiles et surtout le pétrole seront de plus en plus chers, mais on bien déjà vécu un prix multiplié par 15 en 40 ans. Enfin, on peut être « climato sceptique » (et pas négationniste, qui est une insulte qui ne grandit pas ceux qui la profère) et favorable aux ENR. Ce n’est pas parce qu’on n’est pas prêts à dire amen aux conclusions de la science « officielle » (nouvelle religion digne de Lyssenko) qu’on est payé par les pétroliers. (Elle est excellente, celle-là, Exxon a reconnu avoir versé il ya quelques années 30 millions de $ aux « sceptiques » de l’époque, et la recherche climatologique publique a récolté environ 50 milliards de $ depuis que le GIEC existe. d’autre part des BP, Total ou Shell ont investi ou investissent encore dans les ENR, quand ce n’est pas Areva…)
tous les instituts internationaux ont validé la mesure à commencer par la nasa qui est le plus connu. Et si vous étiez bien renseigné vous sauriez que la décennie 2000 -2010 est la plus chaude depuis le début des mesures. Que pour éliminer les cycles solaires (onze ans , el nino , la nina) on prends la somme des onze dernières années et que chaque année on recommence avec un décalage de 1 an . En procédant ainsi on obtient une courbe de température ascendante qui monte actuellement à la vitesse de 0,1 degrés par décennies. En lissant les irrégularités cycliques du climat la courbe thermique devient alors une pente ascendante d’une linéarité sans faille. Les différentes modifications en cours de notre biotope vont malheureusement aggraver la pente de cette courbe thermique.
Si vous allez vous documenter sur des sites de confiance ( pour moi la nasa est un site de confiance) L’année la plus chaude est 2010 quasi à égalité avec 2005 et dépassant d’une courte tête 1998. La décennie la plus chaude est 2000-2010 battant à plate couture la décennie précèdante 1990-2000 de 0,14° qui était elle même plus chaude que la précèdante. Depuis 160 ans il y a eu des décennies de stagnation thermique mais la courbe fut toujours ascendante et depuis 30 ans cette courbe voit sa pente monter en accélèré. Je ne sais pas ou vous êtes allé pêché vos sources mais tous les organismes internationnaux ( à part hadley qui ne tient pas compte de la basse troposphère dans ses calculs ) arrivent aux mêmes conclusions , seuls quelques autodidactes adossés à des études sorties d’on ne sait où arrivent à ce genre de conclusions désinformatives. Visiblement vous n’avez pas appliqué la méthode des lissages sur 11 ans qui permet d’écréter tous ces phénomènes el nino la nina et cycles solaires qui polluent et stérilisent les échanges. Si vous le faisiez vous verriez une montée lisse et sans les accidents de type 1998 – 2005 et 2010. Il n’y a qu’à attendre encore 10 ans et quand la température moyenne aura grimpé encore de 0,14° les derniers irréductibles mangeront leur chapeau comme le fit allègre il y a peu.
Ajoutons que ,il y a peu ,le Prince de Galles,a dénoncé une architecture mégalomaniaque,plus qu’onéreuse en termes de consommation énergétique,sans parler de la violence faite aux sites(,mais dont les auteurs se moquent comme de l’an 40 de l’écologie)