Dans le cadre du « Grenelle de l’environnement », la Fédération Nationale des Transports Routiers (FNTR) a fait des propositions concrètes. Rappelons que la France s’est fixé comme objectifs de diminuer ses émissions de CO2 (523 millions de tonnes en 2005) de 20% d’ici à 2020 et les diviser par 4 d’ici à 2050. Après avoir plus ou moins maîtrisé ses rejets de gaz polluants (diminution de 80 % depuis 1990), elle doit maintenant s’efforcer de réduire sa consommation de carburant et ses émissions de CO2 (évaluées à 35 millions de tonnes par an, soit 6,7% seulement du total des émissions françaises). Les propositions de la FNTR sont les suivantes :
"Ces propositions permettront au transport routier de réduire les quantités de CO2 qu’il produit d’un tiers et de participer à hauteur de 12,2 millions de tonnes par an aux efforts d’économies en CO2 exigés de notre pays (soit 10% de l’effort total de réduction de CO2 demandées à la France d’ici à 2020)" annonce la FNTR. De plus, la fédération indique clairement que " la généralisation de l’utilisation du biocarburant B30 dans son réseau dédié permettra également au secteur du transport routier d’utiliser dans sa consommation d’énergie 30% d’énergie renouvelable, dépassant ainsi les objectifs de 20% fixés par l’Europe en la matière. " |
Que des bonnes réponses de “bon sens”, sauf l’utilisation des carburants que l’on appelle “bio” pour flouer le public. Voici un ouvrage qui devrait reprendre la vérité sur ce combustible qui fait encore plus de dégâts que le pétrole ‘classique’ “La faim, la bagnole, le ble et nous”.