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L’ANCRE propose des scénarios de transition énergétique à l’horizon 2050

par La rédaction
29 janvier 2014
en Energie

L’ANCRE** a présenté le rapport d’études sur trois scénarios possibles d’évolution du système énergétique français à horizon 2050, visant à atteindre le « facteur 4 » (division par 4 au moins des émissions de gaz à effet de serre, ou GES, liées à l’énergie par rapport à l’année 1990).

Ces scénarios reposent sur une approche volontariste en termes d’innovation scientifique et technologique. Le rapport, fruit du travail de quelques 400 experts scientifiques de l’ANCRE pendant 18 mois, décrit des trajectoires contrastées de la demande et du mix énergétique, et il évalue leurs impacts socio-économiques et environnementaux. L’objectif est d’apporter des éléments d’éclairage dans le cadre de la préparation du projet de loi sur la transition énergétique prévu pour être examiné par le Parlement en 2014.

Ces trois scénarios se caractérisent de la façon suivante :

• Le scénario « Sobriété renforcée » (SOB) s’appuie sur une évolution majeure des comportements individuels pour la réduction de la demande d’énergie, l’amélioration de l’efficacité énergétique et le développement des énergies renouvelables. Il suppose notamment un effort de rénovation considérable de l’habitat (650 000 logements par an contre 125 000 actuellement).

• Le scénario « Décarbonisation par l’électricité » (ELE) est fondé sur la combinaison d’un effort marqué d’efficacité énergétique et d’un accroissement dans les différents usages de la part de l’électricité décarbonée. Le scénario ELE table, par exemple, sur 45 % de mobilité électrique en 2050.

• Le scénario « Vecteurs diversifiés » (DIV) mise sur l’efficacité énergétique et met l’accent sur la diversification des sources et vecteurs énergétiques, avec une forte contribution de la biomasse, la récupération de chaleur fatale (dont celle des réacteurs nucléaires) et un rôle important des systèmes énergétiques intelligents.

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Pour ces trois scénarios, au-delà de l’atteinte du « facteur 4 », on suppose que la part du nucléaire dans la production d’électricité est de l’ordre de 50% en 2025 tel que cela est proposé par le Gouvernement. Une variante, proche du scénario ELE a également été étudiée : elle permet un meilleur résultat sur la réduction des émissions de CO2,au prix d’une contrainte moindre sur le nucléaire. Dans cette variante, la part de l’énergie nucléaire dans la production d’électricité décroît tendanciellement pour atteindre 60% à l’horizon 2050.

Ces scénarios, qui supposent tous un effort soutenu d’efficacité énergétique, permettent une réduction très importante des consommations d’énergies fossiles et le développement d’une offre importante d’énergies renouvelables, en particulier dans le secteur électrique.

Au regard d’autres trajectoires présentées dans le cadre du débat sur la transition énergétique, les baisses de consommation d’énergie finale se situent en 2050 à des niveaux « intermédiaires », soit entre 27 % et 41 % selon les scénarios.

Néanmoins, le « facteur 4 » n’est atteignable que si d’autres conditions sont réunies :

• un rythme soutenu d’innovation et de diffusion des technologies qui implique un important effort national de R&D sur la période, le développement de nouvelles infrastructures et aménagements et enfin une stratégie industrielle, pour parer le risque de dépendance par rapport aux technologies importées ;

• le recours à des technologies de rupture : captage, recyclage et stockage du CO2 (jusqu’à 40 MtCO2 en 2050) et réseaux intelligents (SOB), stockage électrique de grande capacité (38 GWe-47 TWh – ELE), cogénération, notamment nucléaire (jusqu’à 80 TWh vers le résidentiel tertiaire et 40 TWh vers l’industrie en 2050 – DIV). Le rapport de l’ANCRE souligne par exemple que, dans le scénario ELE, le niveau très élevé de stockage qui a été identifié ne pourrait être satisfait par les technologies identifiées à ce jour.

L’évaluation des scénarios

Afin de fournir aux décideurs des éléments d’appréciation, un premier travail d’évaluation multicritères, en particulier sur les impacts économiques, sociaux et environnementaux des scénarios, a été mené par l’ANCREi. Compte tenu de la complexité des questions posées, des incertitudes et du manque de modèle adapté, il doit être et sera poursuivi.

Pour réduire les dépenses récurrentes de consommation d’énergie fossile, il apparaît, d’ores et déjà, qu’un fort niveau d’investissement est nécessaire. Les montants estimés sont de l’ordre de mille milliards d’euros d’ici à 2050. C’est une constante de tous les scénarios, sans qu’il ait été identifié d’écart très notable entre eux. Par exemple, le scénario SOB est très couteux en investissement dans le résidentiel et tertiaire, il l’est moins dans les autres secteurs où la production diminue avec la baisse de la demande.

Sur le plan environnemental, tous les scénarios vont au-delà du facteur 4 pour le CO2 d’origine énergétique et permettent une baisse de 65 % à 70 % de la totalité des émissions de gaz à effet de serre (tous secteurs confondus) à l’horizon 2050.

Les autres impacts positifs portent principalement sur la réduction de la dépendance énergétique extérieure, qui passerait de 50 % aujourd’hui à 27 % (ELE), 28 % (DIV) et 36 % (SOB), sur l’amélioration de la balance commerciale et, potentiellement, sur l’emploi. Mais pour obtenir des conséquences favorables sur l’emploi, de nouvelles filières technologiques soutenues par des investissements publics et développées par des entreprises françaises et européennes devront être mises en place.

Les prix unitaires de l’énergie augmentent dans tous les scénarios, selon des dynamiques différentes.

Un doublement du prix de l’électricité est envisageable d’ici 2050
. L’impact sur le budget des ménages et les coûts des entreprises est cependant limité, compte tenu d’une consommation d’énergie fortement réduite.

Enfin, le rapport de l’ANCRE formule des premières propositions en termes de programmation de la recherche pour le projet de loi sur la transition énergétique. Celles-ci portent notamment sur l’intensité de l’effort R&D à fournir et les modalités de pilotage à mettre en place, en lien avec la stratégie nationale de la recherche sur l’énergie.

>>>> Accéder aux scénarios de l’Ancre : ici (.pdf)

Ce rapport a été présenté à l’occasion de l’Assemblée générale annuelle de l’ANCRE tenue ce jour, jeudi 23 janvier, présidée par Jacques Bittoun, président de l’Université Paris-Sud.

** ANCRE, Alliance Nationale de Coordination de la Recherche pour l’Energie réunit 19 membres, organismes publics de recherche, conférences universités et de grandes écoles, conduisant des recherches dans le domaine de l’énergie : ANDRA, BRGM, CDEFI, CEA, CIRAD, CNRS, CPU, CSTB, IFREMER, IFSTTAR, INERIS, INRA, INRIA, IRSTEA, IRD, IRSN, IRSTEA, LNE, ONERA. Elle travaille étroitement avec les pôles de compétitivité spécialisés.

La communauté scientifique, au travers de l’ANCRE, s’est engagée dans un travail de longue haleine qui va encore être affiné dans les mois à venir. Il permet de donner à la puissance publique des éléments de compréhension sur l’impact des différentes orientations possibles pour le futur énergétique de la France, mais aussi d’enrichir la réflexion et la connaissance scientifique sur les innovations à mettre en œuvre. Ces travaux seront soumis à la communauté scientifique et constituent un ensemble cohérent ouvert à la discussion. L’ANCRE organisera au printemps un séminaire scientifique dans ce but.

Tags: ancrehydrocarburestransition energetique
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Commentaires 14

  1. Sonate says:
    il y a 11 ans

    Le document disponible ne semble pas indiquer qu’une quelconque étude de l’équilibre des résseaux électriques eût été faite. Cela limite la portée de l’étude.

    Répondre
  2. Enr citoyennes says:
    il y a 11 ans

    Scénario beaucoup moins satisfaisant que celui de Négawatt, car il ne nous permet pas une indépendance énergétique : le combustible nucléaire ne vient pas de France, c’est une ressource fossile, donc épuisable dans un horizon prévisible plutôt que de capter le CO2, avec des techniques coûteuses et risquées, évitons d’en produire, grâce aux ENR . On parle de scénario décarbonné pour noyer le poisson.

    Répondre
  3. climax1891 says:
    il y a 11 ans

    Il y a 4 domaines où il reste de gros potentiels d’énergie d’énergie ou des possibilités de subtituer les énergies fossils par la géothermie, le solaire et la biomasse. – Le chauffage. – l’Eclairage et réfrigération – Le transport des marchandises – La chimie.

    Répondre
  4. s4m says:
    il y a 11 ans

    @enr citoyennes : moins satisfaisant ? je dirais moins farfelu ! Negawatt base ses projections sur des hypothèses pour le moins discutables. Il est certain que fixer des objectifs ambitieux permet parfois d’en faire un peu plus, mais là les prévisions sont carrément extravagantes : – consommation résidentielle/tertiaire divisée par deux (sachant que la population française devrait croitre de plus 10% d’ici à 2050 d’après l’INSEE j’ai un peu de mal à y croire). Pour être raisonnable, une fourchette de 15 à 20% me semble envisageable et déjà très ambitieuse quand on regarde derrière nous (consommation électrique multiplié par 4 en 40 ans) ! – recours à la biomasse multiplié par 2.5 (de 120 à 260 Twh) + 150TWh de « biogaz » : cela impliquerait soit de bruler nos forêts (la filière bois s’en inquiète déjà), soit qu’on remplace notre agriculture alimentaire par de l’agriculture énergétique (et puisqu’il faut bien manger, cela impliquerait de déplacer ces cultures ailleurs, comme par exemple en amérique du sud). Arte avait diffusé un reportage sur tous les méfaits du recours massif à tous les « biomachins » en se basant sur l’exemple allemand. Il mettait notamment en lumière le lien direct entre les modifications de l’agriculture allemande (à des fins énergétiques) et la déforestation en amérique du sud. Je ne suis donc pas certain que cela soit une solution « durable ». – environ 200 TWh d’éolien soit plus de 21 000 éoliennes (d’après leur calcul). Cela pose des problèmes à plusieurs niveaux : où intégrer toutes ces machines (si c’est pour les implanter dans la creuse, il faudra en installer beaucoup plus !) ? Quid du réseau pour supporter les variations de charge ? Et quel impact sur l’environnement ? Car oui, à grande échelle, les éoliennes ont un impact non négligeable sur l’environnement (une étude du MIT s’y était intéressée, ici : lien). On peut donc s’interroger non seulement sur la faisabilité technique mais aussi sur la pertinence écologique d’une telle prévision. Fixer des objectifs pour changer des comportements, je suis OK, mais il faut qu’il soit réalistes ! Moi aussi je pourrais faire des projections en adéquation avec mes envies mais cela n’a aucun intérêt si je suis déconnecté de la réalité et que je ne prends en compte que les contraintes qui m’arrangent. Avant que certains ne me tombent dessus : je ne suis pas opposé aux ENR ! Elles ont un intérêt certain et ont leur place dans le mixe énergétique du future ! Mais leur utilisation, pour qu’elle soit pertinente, doit être réfléchie et toutes les conséquences doivent être examinées avant de s’y engoufrer.

    Répondre
  5. Reivilo says:
    il y a 11 ans

    Les Enr dans le scénario négaWatt c’est loin d’être prioritaire, ça arrive même en dernier donc je ne pense pas que ce soit un scénario « pour se faire plaisir ». Le scénario ci-dessus lui, voudrait démontrer que c’est la technologie de production (principalement nucléaire) qui va nous sauver alors que le salut est dans le changement des comportements de consommation. Piètre scénario reprenant les croyances magiques dans le « progrès scientifique » pour nous dédouaner des changements indispensables que nous devons tous réaliser à notre niveau. 107 occurences « nucléaire » sur un peu plus de 100 pages, difficile de faire plus…

    Répondre
  6. Luis says:
    il y a 11 ans

    ¤ Une erreur commune à éviter, la confusion entre le fissile et le fossile. Le nucléaire utilise une énergie fissile, l’uranium, mais pas fossile (organismes vivants décomposés au cours des millénaires). Le minerai d’uranium n’est pas plus fossile que le minerai de fer, de zinc ou de cuivre.

    Répondre
  7. s4m says:
    il y a 11 ans

    Pour revenir sur vos craintes d’indépendance énergétique, je crois qu’aujourd’hui, dans un contexte de mondialisation, cela ne veut plus rien dire. Quelque soit la filière, il y aura toujours un composant essentiel qui proviendra d’ailleurs que ce soit en matière première (minerai, terres rares, …) ou en produits finis (composants électroniques, …). Il existe un exemple célèbre : les aimants ! Utilisés dans de très nombreux secteurs et à tous les niveaux, les US étaient devenus entièrement dépendant de la Chine pour une partie de leur industrie militaire. Ici il y a tout un tas d’autres exemples de dépendance : Toyota aussi s’en inquiète : Alors oui, le minerai d’uranium provient d’ailleurs. Cependant, face au hydrocarbure cette dépendance est moins « risquée » car les exportateurs sont plus diversifiés (canada, kazakhstan, niger, australie), sont historiquement plus stables géopolitiquement,

    Répondre
  8. jmdesp says:
    il y a 11 ans

    J’ai l’impression que la part chauffage résidentiel et tertiaire est très élevée vu les chiffre que j’ai vu pour ma part dans à peu les mêmes sources. Mais un point important, c’est que le chauffage industriel et agricole, ce n’est pas du chauffage, c’est la chaleur utilisées dans les processus industriels. Sur ce type de graphique, il serait utile de séparer les usages chaleur en fonction de la température, et bien distinguer la basse température de la haute.

    Répondre
  9. climax1891 says:
    il y a 11 ans

    Une étude du projet ECOHEATCOOL montre que, dans l’industrie, 30% de la chaleur utilisée est à une température inférieure à 100 C° et 27% est une température comprise entre 100 et 400 C°. La biomasse et des capteurs solaires thermiques sont capables de fournir ces températures. Potential for Solar Heat in Industrial_Processes

    Répondre
  10. jumper says:
    il y a 11 ans

    ANCRE … mais c’est bien le projet d’analyse de la transition énergétique du CEA ? Et le rapport dit qu’il nous faut du nuke !! Quelle surprise ANCRE : mais oui, ce sont ceux qui se sont fait gaulés avec leur logiciel de simulation de transition énergétique. L’étude de leur code source montrait des choses du genre : en passant par ce point, hop tu soustrais sans aucune raison X millions de tonnes de CO2 et autres bogues (ou falsifications volontaires) , c’est selon comment on interprète de telles « maladresses » dans une présentaiton destinée à Matignon Bref, ANCRE « vend » du nuke comme bien d’autres (Jancovici …). Leurs rapports sont biaisés et veulet favoriser le nuke sans s’occuper du bien réel de la population. Encore du travail de lobbyiste pro nuke financé par le contribuable. Aucun intérêt !

    Répondre
  11. jumper says:
    il y a 11 ans

    @s4m : ta réponse comporte des points intéressants. Maintenant S4M si on comparait ? PAsser aux Enr, indiscutablement, va amener des ennuis : – le réseau est inadapté, il faut le refondre totalement. OK, quelques dizaines de milliards d’euros. – les éoliennes terrestres perturbent la nature. OK. En 3 siècles, nous allons renvoyer 500 millions d’années de CO2 issu du volcanisme dans l’atmosphère. C’est pire que les éoliennes S4M. Bien pire. De toute façon, la solution passe par les éoliennes off shore et le solaire thermique / PV massif. Et à payer l’énergie à son vrai prix.

    Répondre
  12. btamain says:
    il y a 11 ans

    Merci à S4M dont je partage l’analyse. Le problème de fond est celui de l’intermittence des ENR principales. Ces ENR seraient la solution si on savait stocker l’électricité à coût raisonnable. Y arrivera-t-on un jour? En attendant, on n’a pas le choix : il faut beaucoup de back-up pour les périodes sans vent et sans soleil qui couvrent parfois toute l’Europe. Et là, il faut choisir : charbon ou nucléaire? Entre les deux, toutes les études sérieuses montrent que les conséquences sanitaires du charbon sont bien plus graves que celles du nucléaire, accidents compris. Malheureusement, le public n’est pas informé des conséquences sanitaires du charbon car elles sont diluées dans la population qui subit les rejets des centrales électriques au charbon… Alors, les médias n’en parlent pas…

    Répondre
  13. s4m says:
    il y a 11 ans

    @jumper Je suis d’accord avec vous ! Mais ce que je regrette c’est que les erreurs qu’on a pu commettre avec les hydrocarbures (c’est à dire construire une société qui en est dépendante, sans s’interroger sur les conséquences à long terme d’une utilisation intensive), on pourrait les répéter avec les ENR ! Le nucléaire on sait plus ou moins à quoi s’attendre (avec plus ou moins de réponses adéquates selon les questions) : – à long terme des accidents surviendront et des zones géographiques de qq centaines à qq milliers de km² seront impactées, – les installations devront être démantelées, – des déchets devront être gérés en très grande quantité. Pour les ENR, rares sont les études qui étudient les conséquences d’une utilisations massives des différentes filières sur le long terme (et quand elles existent, elles sont ignorées/occultées) : – impact sur l’albédo si le PV représente X%, – impact sur les températures si l’éolien représente X%, – impact des biogaz, biomasse, biodiesel, … sur les terres agricoles et la déforestation, – … Si les études montrent que l’impact est négligeable (il l’est tant que le X est faible), tant mieux, mais en attendant, nous n’avons aucune certitude si ces solutions sont réellement « meilleure » lorsque les proportions augmentent ! Et là je ne parle que des effets sur l’environnement (qui représentent quand même la principale raison d’être des ENR), je ne parle même pas des effets sociaux, économiques et industriels.

    Répondre
  14. christian says:
    il y a 11 ans

    Je crois que peu des commentateurs ont lu le rapport… qui certes n’est pas des plus pédagogiques. Du coup, la discussion consiste essentiellement dans les chamailleries habituelles… C’est dommage : pour une fois que tous les scientifiques, experts de toutes les énergies se sont mobilisés ensemble, on dirait que personne n’y « croit ». Peut-être que personne n’a envie d’entendre la vérité scientifique…

    Répondre

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