Le Secrétaire à l’Énergie des États-Unis (Steven Chu) et l’Administrateur général du CEA (Bernard Bigot) ont signé le 19 juin dernier, à Washington DC, un accord visant à faciliter la coopération dans le domaine de la recherche et du développement.
L’accord de coopération dans les technologies énergétiques bas carbone porte sur un éventail de technologies de pointe dans les domaines de l’énergie nucléaire, la science fondamentale, la gestion de l’environnement, les énergies renouvelables et les systèmes de gestion de l’énergie.
« Cet accord intervient à un moment clé pour les États-Unis, la France et le monde, a déclaré le secrétaire Steven Chu. Il reflète notre engagement commun à travailler ensemble sur les technologies de l’énergie nucléaire civile et des énergies renouvelables, qui sont les principaux moteurs de l’économie mondiale des énergies propres. »
Cet accord s’inscrit dans l’accord-cadre CEA-DOE, signé le 18 septembre 2000, sur les systèmes du futur (réacteurs et cycles innovants). Le nouvel accord offre de nombreuses possibilités pour les États-Unis et la France de travailler ensemble sur l’efficacité énergétique et la compétitivité des coûts du mix énergétique.
après avoir mis sous sa coupe une part majeure de la recherche publique sur les ENR (Ines, projets ANR, …), le CEA l’utilise comme vitrine pour un accord de recherche sur le nucléaire. Trop fort!