Record de production des éoliennes espagnoles

Les éoliennes espagnoles ont battu un nouveau record de production électrique la semaine dernière, alors que des  vents puissants balayaient le Nord-Ouest du pays.

Le pic de production a été enregistré jeudi dans la matinée, avec 11 180 MW. Ce pic a permis à l’éolien de couvrir 29% de la demande. Quelques heures plus tôt, alors que la demande était bien plus basse, ce niveau de fourniture s’est établi à 40%

La plupart des parcs éoliens de grande envergure sont situés dans le Nord-Ouest de l’Espagne.

L’association des professionnels de l’éolien espagnol a annoncé qu’au moment du pic de production, les turbines fonctionnaient à 69% de leur capacité maximale.

En février, les éoliennes ont fournit 31% de la production totale d’électricité espagnole, notamment en raison des forts vents qui se sont abattus sur le pays.

[Correction le 10/03 16:50]

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Yully

Si en février les éoliennes ont fournit 31% de la production totale d’électricité espagnol, il serait bon de savoir pour être précis quel est la part de la production électrique espagnol hors éoliennnes en tenant compte des importations ??????

Oblix

11 180 W de puissance représentaient peut-être 29% de la demande Espagnole… en 1900. Ensuite, les vents puissants balayent le nord-ouest alors que les grands parcs éoliens sont au nord-est… gaffe monumentale des exploitants ou simple faute de frappe ?

Lo

“En février, les éoliennes ont fournit 31% de la produciton totale d’électricité espagnole, notamment en raison des fortes pluies qui se sont abattues sur le pays.”   euh,  quelqu’un peux expliquer en quoi la pluie influence les eoliennes?… a la limite les barrages mais les éoliennes…..   cet article est censé faire l’éloge de l’éolien, mais plombé d’erreur et d’a peu pret  il fait l’effet inverse  

renewable

Record retors recors… Quel lien faites-vous donc si ce n’est l’erreur stratégique de l’Espagne de ne pas s’être lancée à fond dans le nucléaire pour limiter sa part de thermique? 😉

lion

Malgrè la défense de M.renewable, cet article est truffé d’erreurs; 11 180 W de puissance, cela me paraît bien modeste. A moins que ce ne soient des MW. En outre et une fois de plus, on confond allègrement la puissance et l’énergie ce qui ne facilité pas la compréhension du grand public sur ces notions élémentaires. Comme les autres lecteurs je m’interroge sur le rôle de la pluie!

marius76

Autant prendre l’info à sa source :   (visualisation jour par jour, et on peut remonter plusieurs années en arrière ; quand aura-t-on la même transparence en France ???). N’en déplaise à Oblix, les 11 110 MW (le nombre de MW qu’on voit sur le site ree, un peu inférieur aux 11 800 de l’article) produits à 11h20 représentaient bien 29% des 37 600 MW de demande espagnole à ce moment-là, 5 mars 2009 …et pas 1900 !(cf. ). Globalement sur l’année, c’est évidemment beaucoup moins, mais en 2008, les 31,1 TWh d’énergie produite par les éoliennes ont représenté 11,6% des 265 TWh d’électricité consommée en Espagne.   sur la localisation : voir  . Il y a plus de 660 fermes éoliennes référencées, pour plus de 16 000 MW de puissance installée : sauf doubles comptes, on a à peu près toutes les éoliennes espagnoles. Et on voit qu’il y en a dans le Nord Est, comme le dit Oblix, mais aussi dans le Nord Ouest, …et ailleurs : cette large dispersion géographique permet des compensations entre zones où le vent souffle et zones où il ne souffle pas, ce qui atténue les fluctuations de production éolienne et permet de maintenir un système électrique gérable.  Quand au record d’émissions de CO2 évoqués par bmd, j’ai de sérieux doutes, et si record il y a bien eu, ce n’est certainement pas la faute de la production d’électricité : de 2007 à 2008, la production des CCG est passée de 72,5 à 91,3 TWh (+ 8 millions de tonnes CO2), celle des centrales fioul s’est stabilisée à 2,4 TWh, et la production des centrales charbon a baissé de 71,8 à 46,3 TWh (- 25 millions de tonnes CO2).

Reivilo

Merci pour ces liens pertinents et bravo aux espagnols pour la production réalisée et la transparence de l’information ! Il y aurait sûrement des leçons à en tirer en France. Par contre sur le site de localisation des parcs, en zoomant au maximum en vue satellite on voit assez bien les parcs éoliens et les implantations  et là c’est moins super. Pas mal d’implantations en ligne de crête – Ex. parc Escurillo près de Logroño – ou avec des logiques paysagères qui ne parraissent pas évidentes. Sur ce point je crois qu’on fait mieux en France.

Nature

En France on ne fait pas mieux en matière de protection des paysages,certes on prétend le contraire mais il suffit de suivre l’actualité en ce domaine pour constater la difficulté à faire comprendre aux  élus locaux qu’un paysage a ,aussi ,une valeur économique. Ce qui apparaît à l’évidence quand on enregistre l’apport du tourisme . Or vouloir installer 10000 machines en France métropolitaine c’est en prévoir 1 tous les 55 KM2!ou 1 tous les  7,5 KM!  

renewable

Rassurez-vous, les parcs éoliens ne sont pas formés d’une seule éolienne, mais d’une moyenne proche de 8…. D’autre part les objectifs sont de 8000éoliennes en France métropolitaine (environ 1000parcs, un pour 36 communes, soit en moyenne un parc pour 543,9km²) et 1000éoliennes dans les DOM TOM, loin derrière le “remplissage” territorial prévu par les autres pays européens qui font de l’éolien. Donc soyez rassurés, l’exception française reste conservée!

bmd

@ Marius 76 , je n’ai pas trouvé sur votre site Espagnol les variations 2007/2008 de la production électrique. Par contre j’ai trouvé les variations 2006/2007, qui montent une production en hausse de 8,8 % pour les centrales à charbon et de 8% pour les centrales à gaz à cycle combiné! Et le thermique représentait en 2007 54 % de la production électrique. Je suis très étonné que les centrales à charbon aient vu leur production décroître d’un tiers entre 2007 et 2008. Je crois que leur production est restée relativement stable. Par contre , l’augmentation des centrales à gaz est logique car on en a besoin, l’Espagne ayant assez peu d’hydraulique de lacs, pour compenser les fluctuations rapides des éoliennes. Eolien et gaz , même combat! Plus de gaz (c’est pour bientôt), plus d’éolien. Le bon côté de la chose, c’est que les émissions de CO2 de l’Espagne augmentent maintenat un peu moins vite. Pour les émissions de méthane, gaz à effet de serre bien plus puissant sue le CO2, c’est beaucoup moins sûr. Mais comme on ne le mesure pas, on ne le sait pas! A notez que le coût moyen de l’électricité éolienne en Espagne en 2007 est affiché dans votre document à 82 Euros/MWh ( 35 Euros/MWh pour le nucléaire en France)

Dan1

Pour l’Espagne et d’une manière générale pour tous les pays européens l’UCTE c’est pas mal car très complet. Voici le lien direct pour l’espagne en 2007 ou 2008: Vous avez les fichiers téléchargeable au format Excel, ce qui bien sûr est aussi valable pour la France qui n’affiche pas encore la transparence pour la production éolienne (alors que l’on peut trouver l’historique très détaillé du fonctionnement de ses réacteurs depuis leur mise en service !). Pour l’Espagne nous avons notamment 157 TWh de fossile en 2007 pour une production totale de 278 TWh (56,5 %) et en 2008 : 163,5 TWH de fossile pour une production de 289 TWh (56,6 %). C’est le gaz qui est gagnant en passant de 84,4 à 113,3 (+ 29 TWh ou 34 %). C’est certes au détriment du lignite et du charbon qui passe respectivement de 20,7 à 13,5 TWh et de 47,3 à 30,2 TWh, soit au total – 24,3 TWh. Encore un effort et environ 46 TWh à gagner (dont 6 de fioul). Ils pourraient tenir les engagements avec 15 % d’éolien et 50 % de gaz et aussi 20 % de nucléaire, 9 % d’hydraulique et 6 % autres renouvelables.  C’est peut être à cause de l’importance croissante du gaz (39,2 % du mix et en croissance) que les espagnols ont entamé des négociations avec le camarade Vladimir.

pasnaif

que dans des circonstances exceptionelle de vent, seulement 69% de la puissance installée était disponible. Seulement? C’est peu. Quand au “cocorico éolico espagnol” c’est de la gaminerie.

Duchnok

va-t-on efin arrêter de nous bassiner avec ces “records” de performance de l’éolien en Espagne. Cette participation occasionnelle de 40% de l’éolien à la production instantanée en Espagne résulte de son équipement (16 000MW), de son facteur de charge (que j’estime à 20% sans doute moins, il est de 23% en France), de sa production annuelle moyenne de 280TWh. ce qui lui donne une participation moyenne de 10-11% à la production. Au hasard de la demande instantanée, et de la production éolienne, qui peut être occasionnellemnt de 3 fois la moyenne (fdc instantané de 60%), ces 40% de part de production intantanée sont normaux et attendus. C’est “mathématique”! Cette “performance” n’est possible que parce que l’Espagen n’a que 20% de nucléaire: cette performance signifie que l’Espagne émet un recorde CO2 avec une dépendance nationale complète vis à vis des combustibles fossiles. Encore heureux qu’en france, on est à l’abri d’une telle “performance”! On ne peut pas demander aux journalistes de comprendre le premier  mot de tout ceci: si les journalistes comprenaient ce qu’ils produisent, on s’en serait rendu compte depuis longtemps!  Si les lecteurs d’ENERZINE veulent tout savoir de l’éolien en France, mon mail est F. NIMAL, Ingénieur Centralien de 68 ans.    

Nature

Avec l’hypothèse admise d’installer 20000 MW sur notre territoire,et des machines de 2 MW on en est bien à 10000. Si on les veut plus puissantes ,il les faut encore plus hautes( + de 140 M;)!donc plus visibles. Si on prend 400 ZDE de 50 MW ( soit 25 machines de 140 M. ce qui semble invraisemblable),on arrive à la vue d’une éolienne sur 25 % du territoire,en restant immobile,car le moindre déplacement nous placerait dans le champ visuel d’une machine. C’est donc bien l’invasion des paysages annoncée. Sources-Journal de l’éolien- N° 2 -2008-

renewable

Vous semblez découvrir que chaque énergie à ses défauts..Sauf le nucléaire? Vous oubliez également de nous rappeller que le nucléaire, comme l’éolien ou le solaire, a besoin d’une régulation par le thermique, l’hydraulique ou le stockage…Le gaz est incontournable pour un bon paquet d’années, comme le nucléaire, mais ce n’est pas une fin en soi!

Dan1

Rien n’est parfait, même le nucléaire? cependant, on ne peut pas assimiler directement le nucléaire aux autres moyens de production EnR éolien ou solaire. La France fonctionne très bien actuellement avec plus 75 % de nucléaire et 25 % d’autre chose (dont la moitié d’hydraulique) si on raisonne en quantité annuelle d’énergie produite. Maintenant, si on raisonne en capacités installées en GW, on retrouve 63 GW de nucléaire associés à 24 GW d’hydraulique et 15 GW de thermique à flamme. Ce mix a démontré sa robustesse depuis de nombreuses années. Et quoiqu’on en dise, il sait s’adapter aux variations saisonnières de la puissance appelée allant jusqu’à un facteur 3 entre le creux du mois d’août et le pic de décembre ou janvier. Le nucléaire, régule énormément sur le long terme car il est commandable. Sur le très court terme, c’est l’hydraulique qui fait le gros du travail de régulation horaire. On peut faire des simulations avec une autre composition du mix intégrant une majorité d’éolien et de solaire, mais l’équilibre devient beaucoup plus scabreux, même avec beaucoup plus de GW installés. Rappel : 420 TWh de nucléaire en équivalent éolien, c’est au moins 190 GW installés, et là on ne peut que constater qu’une France énergivore ne saurait pas quoi faire de l’électricité, même un 7 janvier 2009 si le parc éolien venait à produire à plus de 50 % de ses capacités. Pour l’instant aucun grand pays n’a dépassé les 10 % de production par l’éolien, sauf le Danemark, petit pays qui se sert de ses voisins pour réguler. Il suffit de regarder les statistiques de l’UCTE pour voir les très importantes exportations et importations de ce pays relativement à sa consommation. En 2007, Ouest et Est confondus, il a exporté 10 TWh et en a importé 7.

renewable

Quoi qu’il arrive, la question du stockage va se poser, quel que soit le mix choisi! Le nucléaire a aussi besoin du gaz, en interne comme en importation les mois de grand froid (gaz ou charbon, même combat sur le plan de la régulation). Vous avez du mal lire mon commentaire car vous ne faites que confirmer ce dont je parle sur les besoin de stockage et de réduction/stabilisation de la consommation! Quand au coût, tout est toujours relatif, et vous arriverez à me convaincre que le mix quasi tout nucléaire est actuellement moins cher qu’un mix plus équilibré mais vous n’y arriverez pas si on prend en compte le long terme et les efforts financiers colossaux de l’après production nucléaire. Je pourrai vous citer Brennilis ou l’EPR de flammanville pour parler des coûts réels du nucléaire mais vous me repondrez inlassablement que tout est prévu, calculé et quantifié. Soit, prenons acte de notre désaccord sur ce point mais il n’empêche que le stockage est indispensable à terme quel que soit le mode choisi et surtout que la maîtrise de la consommation passe par une réduction de la part du nucléaire dans notre mix, pour ne plus avoir à écouler une base trop importante à certaines période de l’année (je pense au chauffage électrique dont nous sommes les champions, à l’éclairage public de nuit, à la grande braderie de notre électricité en certaines périodes…). Sur ce dernier point, ne nous méprenons pas, les choses sont bien plus complexes et le nucléaire n’en est pas seul responsable. L’ampleur de ses effets peuvent aussi être discutés, il n’en reste pas moins qu’il participe au problème de l’absence de réelle volonté politique sur la maîtrise de la consommation.

Harlong

Le Nucléaire peut se passer des combustibles fossiles en stockant  les surplus des périodes creuses par production massive d’hydrogène(électrolyse) qui sera ensuite brulé dans des centrales à cycles combinées(ou plus tard réinjecté sur le réseau via les piles à combustibles industrielles quand elles seront au point).Ainsi plus de soucis avec les périodes de pics de consommation,et plus besoin de gaz,fioul,charbon.Il faut donc construire plus d’EPR(une bonne douzaine) et aussi passer le plus vite possible aux surgénérateurs(c’est encore plus important).Les prétendus ” maîtrise de la consommation ” qui passe par une réduction de la part du nucléaire et la réduction puis suppression du chauffage électrique;sont une anerie idéologique sans cesse répétée par les obsédés de la sobrièté et de la décroissance. Nous n’avons pas à nous plier à cette stupide idéologie car le nucléaire en grande quantité (et stockage des excés de production sous forme d’hydrogene),est entierement possible,désirable,souhaitable.Que l’on construise donc au moins une douzaine d’EPR voire bien plus si cela s’averrait nécéssaire en attendant de passer (aussi vite qu’il sera possible)aux surgénérateurs.Vive l’abondance énergétique massive grace au nucléaire en quantité illimité,vive le chauffage électrique(le plus pratique de tous les chauffages). A bas les antinucléaires de tous poils et toutes leurs nuances hypocrites possibles sous lesquelles se manifeste leur idéologie antinucléaire.Ils m’ont convaincus que 80% de nucléaire en France,c’est très insuffisant et qu’il nous faudrait plutot  98 % de nucléaire en France avec les EPR d’abord et les surgénérateurs ensuite.Le grenelle de l’environement s’il doit réduire le nucléaire,je le rejette totalement.La diminution du co2 en France ne doit passer que par l’abandon totale du “fossile” grace au nucléaire ultra dominant qui produira ultra majoritairement l’éléctricité y compris celle des véhicules électriques et celles pour produire l’hydrogene des véhicules à hydrogene .Ainsi que l’hydrogene pour les véhicules qui transporteront (plus tard) tous les minerais et matières impliqués dans la filière nucléaire, de la mine à la centrale nucléaire.Toute l’énergie pour traiter le cycle du combustible de l’amont à l’aval devra à terme provenir du nucléaire.Les réacteur VHTR (trés haute température)du futur produiront les trés grandes quntités industrielles d’hydrogene dont nous aurons besoin, avec un haut rendement.Les réacteurs RNR surgénérateurs consommeront tous les actinides mineurs qui ne seront plus des déchets mais des combustibles fissiles dans les RNR.Bref ,l’avenir le vrai,c’est le nucléaire franc et massif .La France a besoin de beaucoup plus de nucléaire.Vive le nucléaire et a bas les antinucléaires.Renewable et ses amis au panier,au oubliettes de l’histoire,ils sont les pires ennemis de la réussite de la France .Sans le nucléaire ,la France ratera son avenir pour devenir un petit pays merdique,tout ce qu’il ya de plus insignifiant et méprisable ,alors qu’elle a pour l’instant encore une chance d’avoir un avenir digne de ce nom grace à un savoir faire scientifique,technologique et industriel de tout premier plan dans le nucléaire.Mais cette avance reste fragile si on ne poursuit pas sérieusement les efforts et le dévellopement dans le nucléaire.Si la France laisse le lobby antinucléaire la diriger et réduire l’industrie nucléaire ,alors elle ira vers un destin minable de maniere irratrappable.Les Antinucléaires et leurs idéologies mensongères(Sobriété,décroissance,etc…)sont les pires ennemis de la richesse économique des Français,de l’emploi abondant et bien payé de leurs concitoyens,de la prospérité des générations futures qui vivront en France dans l’avenir.Il est temps que de nombreuses personnes se révoltent massivement contre leurs innombrables balivernes et leurs multiples propagandes mensongères.Encore une fois:A bas tous les antinucléaires et leurs arguments pourris,on ne le redira jamais assez !

Harlong

La sobriété tout court ,je la conseille aux antinucléaires qui adorent les substances illicites genre cocaine,héroine,haschich,amphétamines,LSD et champignons hallucinogènes.Sans oublier que les antinucléaires adorent aussi l’alcool en abondance et sans la moindre sobriété.   Quand aux” oeufs dans le même panier” ,Sachez que le nucléaire peut tolérer un peu d’Enr au besoin mais sans excés .Pas question de réduire la consommation d’énergie même si de nombreux très mauvais économistes se sont vendus aux idéologies écolobobos pour vendre leurs publications tels des mercenaires et être reçu à la Télé ,à la Radio  qui sont des médias dominés par cette absurde idéologie écolobobo antinucléaire.Ces pseudo-économistes médiatiques poussés par leurs cupides éditeurs,sont le déshonneur des sciences économiques et ne méritent que le mépris le plus profond !