La maîtrise de la fusion nucléaire représente l’un des plus grands mystères technologiques de notre époque. Les scientifiques recherchent depuis des décennies la capacité à reproduire les conditions extrêmes observées au cœur des étoiles. Une découverte récente réalisée par des chercheurs américains bouleverse les fondamentaux établis dans le domaine du traitement des déchets radioactifs.
Les laboratoires de Quantum Kinetics Corporation (QKC) ont franchi un seuil historique dans la recherche nucléaire. Les expérimentations, validées par des organismes indépendants, ont permis d’atteindre et de maintenir des températures de fusion plasmatique de 200 millions de degrés Celsius pendant 24 heures consécutives. Le processus breveté «Safe Nuclear Systems™» a simultanément réussi la fragmentation de l’uranium 234/235/238, une réaction considérée jusqu’alors comme techniquement impossible.
Le record précédemment établi par le réacteur KSTAR (Korea Superconducting Tokamak Advanced Reactor) en avril 2024 se limitait à 105 millions de degrés Celsius maintenus durant 48 secondes. La performance réalisée par le réacteur modulaire de QKC dépasse ainsi largement les standards établis dans l’industrie.
Les analystes financiers prévoient un impact majeur sur le marché de l’énergie. Un expert du secteur nucléaire a souligné : «Le potentiel économique se chiffre en milliards de dollars, uniquement pour le traitement des eaux usées radioactives des installations existantes.» Les applications commerciales de modification isotopique laissent entrevoir des possibilités inédites dans la production d’énergie propre
Les observations réalisées par les équipes scientifiques révèlent des phénomènes inattendus. Randal Bird, récemment nommé vice-président de QKC, présent lors des expérimentations, a détaillé : «La formation spontanée de thorium, de plomb et de tungstène s’accompagne de l’apparition d’éléments comme le bore, le potassium, le magnésium, le gallium et le silicium, un phénomène jamais observé auparavant.»
Les données fournies par l’École de développement durable Doerr de Stanford démontrent que le stockage des combustibles nucléaires usés coûte annuellement 500 millions de dollars aux contribuables américains. L’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AIEA) prévoit un doublement nécessaire de la production d’énergie nucléaire mondiale, passant de 393 à 792 gigawatts.
McKane Lee, inventeur principal du procédé, a précisé lors d’une interview : «La technologie développée permet désormais la transmutation sécurisée des combustibles nucléaires usés. Les éléments radioactifs dangereux, dont l’uranium et le césium, sont transformés en substances stables et valorisables, ouvrant ainsi de nouvelles possibilités pour l’industrie nucléaire.»
Légende illustration : L’Arc Reactor™ en marche
Source : OKC