Un navire cargo tracté par un cerf volant !

Dans la course à la mondialisation, le commerce mondial a été multiplié par vingt depuis les années 1960. De nos jours, la plupart des marchandises transportées se font par voie maritime.

C’est pourquoi, le trafic maritime joue un rôle prépondérant dans la consommation en ressources énergétiques et dans l’émission de gaz à effet de serre.

Sur ce constat, la compagnie SkySails basée à Hambourg a développé un système de propulsion à base de cerf-volant.

Grâce à ce système, pour le moins original, le coût en carburant pour des bateaux de marchandises peut être abaissé en moyenne de 10 à 35 % par an, selon le type de bateau, les conditions réels de vent, et la période d’utilisation. La consommation de carburant peut même être temporairement réduite de 50 % lorsque les vents sont très favorables.

Ce prototype est le premier système commercialement applicable, efficace et automatique par propulsion à vent pour l’expédition marchande.

Le cerf-volant et le système de surveillance de vague WaMoS II de SkySails doivent être installés sur un gros porteur le « beluga SkySails de système mv ». Ce navire cargo d’une longueur de 140M appartient à la compagnie maritime, Beluga basé à Brême.

Accédez aux vidéos du prototype :

débit 256
débit 512

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Christophe

Bonjour, Je viens de lire votre article concernant ” Un navire cargo tiré par un cerf volant “, je voudrais vous présenter 2 de mes innovations liées à la voile : 1°/ Un concept de voile libre autoportée publié sur mon site : Ce système est préférable à celui de ” Skysails”, en ce sens qu’en cas de baisse de vent, la voile, autoportée, ne peut tomber à l’eau, car elle est portée par un/des gaz plus légers que l’air, cela évite les pertes de temps inhérentes à la récupération de la voile gorgée d’eau, ou à l’emmêlement de celle-ci dans l’hélice de propulsion. Ce concept peut s’appliquer à un gros voilier, pour augmenter la surface de voilure. 2°/ Un concept d’hydrolienne de gouvernail visible ici : Qui permet aux voiliers dépourvus de moteur thermique, d’avoir l’électricité et un moteur d’appoint à bord. Ce concept peut s’appliquer à un gros voilier, car il est préférable au système classique d’arbre d’hélice (obligatoire sur les gros voiliers), car, lorsque que la propulsion n’est pas utilisée, le système est relevé, et de ce fait, l’hélice, inerte, ne freine pas le bateau. Pour info, je cherche un/des industriels pour développer ces innovations. Si vous désirez de plus amples informations, je reste à votre disposition. Cordialement, Christophe Verna