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Des éoliennes au large de Fukushima, tout un symbole

par La rédaction
16 septembre 2011
en Eolien, Non Renouvelable

L’évènement traumatique de Fukushima en mars dernier a laissé des traces profondes dans les esprits et le gouvernement nippon entend y remédier en partie en misant également sur les énergies renouvelables.

Hier, les autorités japonaises ont affirmé avoir l’intention d’installer un parc éolien offshore au large de la centrale nucléaire accidentée.

L’AFP a relayé le discours d’un responsable de l’Agence des Ressources naturelles et de l’Energie. "Ceci entre dans le cadre des efforts du gouvernement pour reconstruire la région tout en promouvant une énergie renouvelable", a t’il expliqué, avant d’ajouter : "Construire des éoliennes sur la terre serait compliqué à cause des nuisances sonores et des plans d’urbanisme. Nous envisageons donc un parc offshore".

Au total, jusqu’à 190 millions d’euros (20 milliards de yens) seront investis dans ce projet de 12 MW comprenant six éoliennes, d’une capacité unitaire de 2 mégawatts. Autant dire une goutte d’eau dans l’océan pacifique mais ce n’est qu’un début !

Alors que le parc devrait voir le jour d’ici à 2015, les industriels japonais tels que Mitsubishi Heavy Industries, Fuji Heavy Industries et Japan Steel Works seront mis à contribution.

Comme l’objectif du gouvernement est de réduire la dépendance du Japon à l’énergie nucléaire, ce dernier devrait présenter un nouveau plan mix-énergétique (éoliens, solaire, géothermie) d’ici à l’été 2012.

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Tags: arevaeoliennefukushimajaponoffshore
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Commentaires 39

  1. Nolana says:
    il y a 14 ans

    A voir car pour l’instant cela ressemble plus à une opération médiatique sans doute orchestré en sous-main par le lobby japonais du nucléaire afin de mieux faire accepté le redémarrage du ncléaire au Japon…

    Répondre
  2. raymond9 says:
    il y a 14 ans

    je ne suis pas d’accord avec toi les japonais ne fonctionne pas comme nous et je pense qu’un revirement complet de la politique énergetique du Japon est possibel. Bien sur 12 mw c’est symbolique. On verra demain. Je préfère être optimiste

    Répondre
  3. ccsiaix says:
    il y a 14 ans

    en l’absence de vent, (c’est à dire souvent) les japonais allumeront des centrales au gaz …. Ne comprenez vous donc pas que c’est la production d’électricité à partir de fossiles carbonnés (gaz,charbon, pétrole) qui a gagner la bataille mondiale ? Consultez les chiffres (de l’agence de l’énergie) au lieu de débattre ….

    Répondre
  4. Pastilleverte says:
    il y a 14 ans

    elles nefassent pas trop de »vagues »…

    Répondre
  5. oeildecain says:
    il y a 14 ans

    Que quelqu’un explique à CCSIAIX que la R & D de pas mal de pays planche actuellement sur la production d’H2 spécifiquement éolien pour alimenter des turbines à gaz pour l’électricité à la demande … Il n’y aucun élément technique indiquant une non-faisabilité, seulement quelques éléments  » …… LOBBYISTES ……. »

    Répondre
  6. ccsiaix says:
    il y a 14 ans

    Que quelqu’un explique à oeildecain que nous vivons dans un monde réel menacé par les gaz à effet de serre. Je veux bien croire à vos recherches mais les déréglements climatiques majeurs risquent fortement d’intervenir avant que ces recherches n’aboutissent….

    Répondre
  7. Bachoubouzouc says:
    il y a 14 ans

    @ Nolana : Vous avez raison. Moi aussi j’y vois la main du Démon. @ oeildecain : C’est curieux : A chaque fois que sur le traitement des déchets nucléaires nous avancons notre R&D, vous nous répondez que ce n’est pas suffisant, qu’on ne sait pas si cela va un jour aboutir, etc. Et sur ce point ci, faire appel au futur et à la R&D devient tout d’un coup acceptable… Il y a comme un double standart ici… non?

    Répondre
  8. Nicias says:
    il y a 14 ans

    190M pour 12MW, ouille ouille ! « les industriels japonais tels que Mitsubishi Heavy Industries, Fuji Heavy Industries et Japan Steel Works seront mis à contribution. » Pourquoi eux ? Ils pourraient faire au moins semblant comme en France et lancer un appel d’offre.

    Répondre
  9. jeff_1982 says:
    il y a 14 ans

    Les éoliennes offshore déjà présentent au large de Fukushima ont résistées aux temblement de terre, à l’accident nucléaire… tout en gardant leur production éléctrique optimale. Quand à la disponibilité de l’éolien, une production allant de 200 à 300 jours par an ce n’est pas incompatible avec la consommation domestique qui peut être modulée en fonction de la disponibilité de l’énergie. En faisant des efforts sur le quand et le comment consommer, la R&D sur le stockage est moins problèematique. Quand à l’appel d’offre… il ne fait pas gagner du temps. Le Japon aura fini ses projets offshore bien avant nous car ils ont compris leur interet. j’attend avec impatience le nouveau plan mix-énergétique du Japon, 3°pays le plus riche du monde et le 10° plus peuplé.

    Répondre
  10. ccsiaix says:
    il y a 14 ans

    Les communicants dont Enerzine, arréteront de nous présenter les centrales électriques en avançant leurs puissances (ici 12 MW) mais avanceront la quantité d’électricité fournie effectivement sur une année. On pourra alors VRAIMENT comparer.

    Répondre
  11. Disponibilite says:
    il y a 14 ans

    Ccsiaix, plutôt d’accord avec votre proposition, à condition de tenir compte de TOUS les paramètres : disponibiilté du nucléaire = 100% du temps de production – temps d’arrêt des machines pour maintenance – énergie auto-consommée pour le refroidissement – pertes électriques liées au transport de l’électricité « centralisée » = ? disponibilité de l’éolien = 2500 à 3000h par an (équivalent pleine puissance, donc 8-10h par jour pleine puissance, donc près de 80% du temps à des degrés de produciton divers) – énergie auto-consommée pour le refroidissement et la communication (vers les centres de contrôle) – pertes électriques liées au transport d’énergir « décentralisée » = ? Je ne connais pas les réponses, et j’ai sans doute oublié des paramètres. Et je n’ai pas de réponse pré-conçue… j’attends des éléments de réponse d’experts, pour me fixr une opinion. Il serait temps que les politiques et industriels décisionnaires en fassent de même EN TOUTE transparence et rendent des comptes… (ceci est valable pour les autres énergies, bien sûr… qu’on nous explique enfin quel mix énergétique est mieux adapté à nos différents situations géographiques/économiques/délmographiques/etc.)

    Répondre
  12. oeildecain says:
    il y a 14 ans

    . Effectivement, je me suis mal exprimationné, ce n’est plus de la R&D, puisqu’ils en sont au stade du développement…… Quasiment tous les pays qui entourent la France ont démarré l’opérationnel, avec une avance pour les Allemands qui prévoit l’amélioration d’H2 en méthane via du CO2 … Quand les Allemands ont décidé l’arrêt du nucléaire, ils avaient déjà leur idée en tête, VW le premier : observez bien les directions de leurs investissements ….. ils ne se vantent pas, car ils veulent être les premiers ….. Mais il y a des signes qui ne trompent pas, et la dernière foire de Hanovre faisait partie de ces signes avant-coureurs …

    Répondre
  13. Jakituria says:
    il y a 14 ans

    Il y a une erreur majeure dans le papier, merci de la corriger. 2 milliards de yen, font au coût actuel 18,86 millions d’euros (dix fois moins qu’annoncés). Ce qui fait le mégawatt maritime à 1,9 millions d’Euros (contre environ 1 millon d’euro le megawatt terrestre en Navarre par exemple). Effectivement, 12 megawatt aux large de Fukushima, c’est de la poudre de perlinpinpin… Il y a en Navarre, pour en revenir à elle, 1 100 éoliennes, de 1 à 4 megawatt chacune, et produisant 76 % de l’électricité de l’une des deux communautés autonomes basques. Ces éoliennes produisent 76 % de la consommation d’énergies de cette communauté autonome (+14 % pour l’hydraulique, 6 % pour la biomasse, 4 % pour le solaire). À titre indicatif, cela fait une éolienne tous les dix kilomètres carrés, pour un territoire dont 40 % du PIB est d’origine industrielle (contre moins de 20 % en France) histoire de faire taire l’idée saugrenue que les régions industrielles ne peuvent pas produire leur énergie de manière renouvelable. Le projet actuel, s’il est exact, de Fukushima, est donc totalement marginal. Et le potentiel des éoliennes marines de nouvelle génération est infiniment plus important que ça…

    Répondre
  14. Bachoubouzouc says:
    il y a 14 ans

    « Effectivement, je me suis mal exprimationné, ce n’est plus de la R&D, puisqu’ils en sont au stade du développement……  » Le développement fait partie de la R&D. C’est même le « D » de « R&D ». Ces technologies de stockage sont donc toujours au stade de la R&D comme je vous le disais. Remarquez, je peux me tromper : Existe t’il quelque part sur notre planète une installation « d’H2 en méthane via du CO2 » capable de stocker plusieurs GWh ? … Je ne crois pas. Toutes ces technos sont donc bien toujours dans les cartons et vous essayez de nous la jouer à l’envers !

    Répondre
  15. Pastilleverte says:
    il y a 14 ans

    ces communautés navarraises n’utilisent que de l’électrcitié dans leur mix énergétique ? EZ !!!! Alors déjà si Sa sainteté Eole fournit 76% de l’électricité, c’est déjà bien beau; A défaut de offshore, vive les mendiak, le vent y souffle plus et plus régulièrement que dans les plaines.

    Répondre
  16. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    Il a souvent été prétendu que la navarre était autonome (ou presque grace aux EnR et notamment l’éolien). Bien évidemment c’est une légende et les faits sont un peu plus compliqué. La réalité a déjà été exposé statistiques à l’appui :

    Répondre
  17. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    Pour mettre à jour les élements concernant la Navarre, il faut télécharger le rapport 2010 de REE (voir pages 110 à 118) : La Navarre produit beaucoup avec ses centrales à gaz (3,5 TWh en 2010) et exporte beaucoup quand le vent souffle. Au total, en 2010, les EnR auront produits 3,51 TWh dont 2,61 TWh d’éolien. Tout cela pour une consommation intérieure de 5,2 TWh. La Navarre n’est donc pas autonome.

    Répondre
  18. Rice says:
    il y a 14 ans

    . C’est vrai que cela pourrait être mieux… En attendant… en 2010, on a importé 2 fois plus d’électricité d’Espagne que l’on en a exporté…………….

    Répondre
  19. ccsiaix says:
    il y a 14 ans

    J’imagine que les contraintes en mer sont fortes sur ces éoliennes ? Quelle est la durée de vie de ces éoliennes ? 10 ans ? 20 ans ? Peux-t-on vraiment parler d’énergie renouvelables ?

    Répondre
  20. oeildecain says:
    il y a 14 ans

    . Bien des phares en pleine mer ont dépassé le siècle, au même titre que notre bonne vieille Tour Eiffel … donc si c’est bien fait, il ne devrait pas y avoir de problème ….

    Répondre
  21. ccsiaix says:
    il y a 14 ans

    Vous êtes bien optimiste Monsieur ! comparé un phare en brique à une éolienne me parait bien audacieux J’ai trouvé aisément pas mal d’inconvénients à ces éoliennes : (voir réf) Vous avez dit renouvelable ?? J’aimerais bien connaitre l’état du premier parc et son bilan financier après dix ans d’exploitation ….. la fixation des éoliennes sur le fond de la mer est techniquement délicate et onéreuse les frais fixes sont importants (coûts des études, de la mise en place du chantier, du raccordement électrique, de l’exploitation et de l’entretien) le retour d’expériences est nettement plus limité qu’à terre (aucun parc en France ; le premier parc danois a une dizaine d’années ; la puissance installée sur mer à travers le monde représente 1 à 2% de celle installée sur terre) les mâts doivent être étudiés pour résister à la force des vagues et du courant la protection contre la corrosion dû à l’humidité et la salinité (particulièrement importante du fait des embruns) doit être renforcée l’implantation en mer nécessite des engins spécialisés le raccordement électrique implique des câbles sous-marins coûteux et fragiles les opérations de maintenance peuvent nécessiter de gros moyens financiers réf :

    Répondre
  22. Rice says:
    il y a 14 ans

    . @ ccsiaix A provocation, provocation et demie…. …. et dès que vous nous aurez indiqué le coût de mise en sureté de l’ensemble du parc nucléaire français, le coût du démantèlement et le coût du stockage des déchets nucléaires pendant 10.000 ans, je vous répondrai personnellement.

    Répondre
  23. Reivilo says:
    il y a 14 ans

    Vous trouverez pas mal de renseignements sur les parcs éoliens en service au Japon sur ce lien ; carte, date d’installation, type de machines, on peut même voir les éoliennes sur la vue satellite. On y trouve des éoliennes françaises (par exemple les Vergnet à Minami Daito). Les premières installations datent de 1996 (15ans donc de fonctionnement apparement sans trop de soucis puisque les éoliennes de Fukushima ont même résisté au tsunami) Concernant la comparaison on/offshore, les avantages/inconvénients sont bien identifiés. Sur terre c’est plus simple à installer et à entretenir bien sûr mais dans le cas du Japon, la densité de population les pousse à aller vers les installations en mer. Si celles-ci sont plus coûteuses elles sont l’avantage de produire davantage et de façon plus régulière. (vents laminaires)

    Répondre
  24. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    Pour Rice : « dès que vous nous aurez indiqué le coût de mise en sureté de l’ensemble du parc nucléaire français, le coût du démantèlement et le coût du stockage des déchets nucléaires pendant 10.000 ans, je vous répondrai personnellement » Pour ce qui concerne votre recherche incessante des « coûts cachés », vous devriez consulter Benjamin Dessus qui a déjà publié une intéressante étude économique du nucléaire il y a déjà plus de dix ans. J’ai déjà maintes fois cité les documents afférents sur Enerzine et vous devriez les connaître… si vous n’êtes pas novice. Et puis, n’oubliez pas que les coûts du nucléaire français c’est nos emplois (derrière les coûts, il y a des salaires et des familles quui en vivent). et ces emplois snt en très grande majorité non délocalisables.

    Répondre
  25. Rice says:
    il y a 14 ans

    . Compte-tenu de la politique énergétique française basée sur le « tout nucléaire », la France ne dispose pas d’éoliennes en mer. Nous ne connaissons donc pas les coûts « français » qui seront nécessairement plus chers (puisque nous sommes plus intelligents). Donc… … merci de vous adresser vers des pays qui en ont (c’est à dire toute l’Europe Atlantique, Manche et Mer du Nord). Par contre la France à des réacteurs nucléaires, alors si vous pouviez nous indiquer le coût de la mise en sureté post-Fukushima, du coût du prolongement de la durée de vie, du coût du stockage des déchets et du coût du démantèlement des réacteurs, nous vous serions obligés. PS : merci d’essayer d’argumenter avec des chiffres et non avec de beaux discours ou des attaques sur les ENR.

    Répondre
  26. ccsiaix says:
    il y a 14 ans

    Ce sujet concerne les éoliennes, je ne vois pas en quoi demander un bilan financier est une provocation ! Un bilan danois, anglais ou austro-hongrois me suffirait. Les coûts du nucléaire que vous évoquez sont négligeables par rapport aux couts de constructions. économiquement, on a tout intérêt à prolonger la vie des centrales si la sureté le permmets… La grande différence entre une centrale nucléaire et un moulin à vent en mer est qu’une centrale nucléaire produit de l’électricité en permanence et non avec un facteur de charge de 15% … (vous l’avez cherché)

    Répondre
  27. Zephirin says:
    il y a 14 ans

    Voilà des chiffres qui pourraient vous donner une idée : (sans prétention d’exactitude mais pour apporter des éléments au débat) Facteur de charge de l’éolien en mer : 35% = éq 3 200 heures/an c’est la tranche moyenne dans l’hypothèse « obligation d’achat » (hors appel d’offre) Coût d’investissement : autour de 2 000 – 2 500 KEuros du MW installé tout compris (selon proximité des côtes, nombre d’éoliennes du parc …) A mon avis le montant indiqué dans l’article est faux d’un facteur 10 (il faut lire 19 millions d’euros) et ne comprend probablement que le coût d’achat et peut être d’installation des machines mais pas la partie études, et ingénierie. Production annuelle pour 1 MW installé : 1 x 3 200 = 3 200 MWh CA les 10 premières années (base MWh à 130 Euros ) = 3 200 x 130 = 416 kE/an CA les 10 années suivantes (base MWh à 90 Euros) = 3 200 x 90 = 288 kE/an Les côuts de maintenance sont largement variables selon le site et le niveau d’exigence de disponibilité. Peut-être 15 ou 20 Euro du MWh en moyenne ? Je vous laisse calculer les temps de retour sur investissement en incluant les frais financiers, les charges fixes, les taxes et impôts divers.

    Répondre
  28. Rice says:
    il y a 14 ans

    . Content de savoir que vous connaissez les coûts (« … sont négligeables par rapport… »), mais un peu déçu que vous ne vouliez pas les partager. On lit en effet beaucoup de commentaires à leur sujet mais jamais de chiffres…. Etrange, non ? Quant aux chiffres de l’éolien, je vous invité à poser directement la question à la fédération concernée :

    Répondre
  29. ccsiaix says:
    il y a 14 ans

    pour ces informations. La maintenance de ces engins ne doit pas étre évidente. En cas de pannes ou de blocage , il doit valoir utiliser des hélicoptéres…. on a répondu mille fois à Mr Rice dans les sujets nucléaires ….

    Répondre
  30. Zephirin says:
    il y a 14 ans

    Pas forcément besoin d’hélico mais des barges et des navires spécialisés (qui restent à construire). Ca se bagarre déjà pas mal entre Bretagne, et Pays de la Loire sur ce futur marché important pour les chantiers navals.

    Répondre
  31. Rice says:
    il y a 14 ans

    . « On à répondu mille fois dans les sujets nucléaires »… Justement, cela devrait vous être d’autant plus facile de répondre en 4 chiffres : – coût de la mise en sureté post Fukushima, – coût de la prolongation de la durée de vie de certaines centrales, – coût du démantèlement, – coût du stockage pendant 10.000 ans. Seulement voila, vous êtes incapables de répondre ! Ou bien vous connaissez les chiffres et ne faites pas le timide : donnez-les nous ! Ou bien vous ne les connaissez pas, et dans ce cas ….

    Répondre
  32. Rice says:
    il y a 14 ans

    .

    Répondre
  33. Bachoubouzouc says:
    il y a 14 ans

    Eh bien on va les trouver ces coûts (je vais couper mon message en plusieurs pour des questions de nombre de liens) : 1) « coût de la mise en sureté post Fukushima » : Je vous ai déjà répondu à ce sujet (encore votre admirable mémoire sélective à l’oeuvre…) Comment voulez que ces coûts soient connus alors qu’on ne sait pas encore exactement quels travaux vont être effectués ? Savez vous combien va coûter l’extension de votre maison si vous n’avez pas décidé encore quelle surface vous allez construire ? 2) « coût de la prolongation de la durée de vie de certaines centrales » : Cela a été indiqué dans un article d’EnerZ il y a même pas un mois :

    Répondre
  34. Bachoubouzouc says:
    il y a 14 ans

    3) « coût du démantèlement » : « En 2008, le coût de ce démantèlement était évalué à 16,9 milliards d’euros » Evidemment c’est un chiffre à réévaluer régulièrement car en fonction des blocage de tel ou tel chantier par les écologistes (par exemple Brennelis), les budgets dérivent…

    Répondre
  35. Bachoubouzouc says:
    il y a 14 ans

    Et pour finir : 4) « coût du stockage pendant 10.000 ans » : La construction du centre de stockage définitif des dechets HA-VL était estimée à 15 G€ jusqu’à présent mais des rumeurs parleraient de réévaluation à 35G€ : On entend plus parler de cette histoire depuis, difficile donc de dire si ce que racontait cette « source » était vrai ou non. Alors, heureuse ?

    Répondre
  36. Bachoubouzouc says:
    il y a 14 ans

    Mais Ccsiaix a raison : on ne peut pas vraiment dire que ces sujets soient une nouveauté sur Enerzine et les chiffres que j’ai cité sont maintenant classiques dans ce débat. Je ne comprend d’ailleurs pas comment Dan1 fait pour ne pas se lasser de constamment devoir pallier à vos « trous de mémoire ».

    Répondre
  37. Nadia says:
    il y a 14 ans

    Peut-être ce sera des éoliennes à lentilles 3 fois plus puissantes !

    Répondre
  38. rouget says:
    il y a 14 ans

    A l’inverse de ce que l’on pourrait croire : Même chose pour l’Espagne. A croire qu’il n’y a que l’Allemagne plus vertueuse que vert dans cette affaire.

    Répondre
  39. Rice says:
    il y a 14 ans

    . Oh oui Dan… compilez !!!!!

    Répondre

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