Grâce en partie à ses hausses tarifaires partout en Europe, et grâce à l’intégration de l’Italien Edison, Electricité de France a réalisé un chiffre d’affaires en hausse de 20,6% sur les neuf premiers mois de 2006.
Il a par ailleurs annoncé un revenu de 42.764 millions d’euros contre 35.469 millions. Cette évolution s’explique par des effets de périmètre pour 2,6 milliards et des effets de change positifs à hauteur de 126 millions. La croissance organique est ressortie à 12,9%, dont 14,4% sur le seul troisième trimestre. En Europe (42,2% des revenus), la croissance a été plus rapide à 23,4% en données organiques, "principalement tirée par la hausse des prix dans plusieurs grandes filiales". – 25,9% en Grande-Bretagne (5.751 millions) "Cette performance confirme nos choix stratégiques, en particulier le recentrage sur l’Europe", a souligné le P-DG Pierre Gadonneix dans un communiqué. |
Bonjour, Que faut-il comprendre par effets de périmètre ? Cordialement
Le périmètre d’une entreprise augmente quand elle en rachète une autre . La somme des 2 chiffres d’affaires est alors plus importante qu’avec la seule entreprise d’origine . Par exemple , Edf en 2006 à racheté en partie une entreprise de distribution d’électricité en Hongrie .