On le sait depuis longtemps, les éoliennes perturbent les radars, et plus particulièrement les radars météo ; C’est pourquoi, des organismes tels que l’Onera et Astrium (EADS) travaillent à la mise au point d’une pale d’éolienne discrète grâce à des matériaux absorbants intégrés.
On sait que les pales d’éoliennes sont en mesure de perturber les signaux radar émis dans leur voisinage : radars météo, radars militaires de surveillance de l’espace aérien, ou encore radars de l’aviation civile.
"Si une éolienne est située à moins de 30 km d’un radar météo, la mesure de la vitesse du vent, effectuée par les radars météo grâce à l’effet Doppler, peut être altérée. Cette altération est fonction de la taille de l’éolienne et du nombre implanté", a expliqué Gérard Bobillot, ingénieur à l’Onera. "Mais ce n’est pas là le seul problème : dans l’axe du faisceau, l’estimation des précipitations est également perturbée par un effet de masquage".
Dès lors, on comprend mieux pourquoi trois quarts des refus d’implantation d’éoliennes sont liés aux radars météo.
Dans le cadre du projet EODIS, un programme piloté par l’Ademe, l’Office national d’études et de recherches aérospatiales a entamé mi-novembre des tests de mesure sur leur première pale furtive dans l’usine de Blanquefort, près de Bordeaux. "L’objectif, c’est de montrer que la signature radar peut être 100 fois inférieure à celle d’une pale normale", a expliqué à l’AFP, Fabrice Boust, chef du projet chez Onera.
[ Vidéo ] – Cohabitation éoliennes / radars
Les compétences de l’Onera ont été mises à profit pour modéliser ces perturbations, afin de mieux les comprendre, puis dans un second temps de trouver des solutions pour les résoudre. Pour évaluer la meilleure façon d’intégrer ces matériaux, l’Onera a réalisé des mesures et des analyses par imagerie holographique, dans sa chambre anéchoïque BABI, habituellement utilisée pour travailler à la furtivité d’avions ou de missiles.
L’Onera possède une solide expérience de la détermination des Sections Efficaces Radar (SER). En travaillant leur furtivité, les pales d’éoliennes sont devenues plus discrètes grâce à des matériaux absorbants ‘radar’ intégrés aux pales dont le démonstrateur a été réalisé par EADS Astrium. De leur côté, les radaristes ont développé des traitements du signal pour corriger les effets des éoliennes.
Concernant le surcoût de cette technologie dîte furtive, on apprend qu’il sera de +10% sur le composant pale, elle même représentant le quart du prix de l’éolienne.
[ Vidéo ] – Eoliennes furtives
Le potentiel pour libérer ces espaces interdits pour cause de brouillage reste tout de même important. En France, il serait de 4 GW alors qu’au niveau européen, Vestas l’estime à 20 GW.
* L’effet Doppler est le décalage de fréquence provoqué par un réflecteur en mouvement sur l’onde émise par le radar ; la mesure de ce décalage permet d’évaluer la vitesse.
Et avec 25 000 eoliennes, ils font comment les Allemands, ils ont pas de radars meteo ?
Vestas n’a-t-il pas deja sorti une eolienne furtive?
Et pourquoi vouloir absolument les implanter sur terre, ( avec tous les inconvénients que celà comporte, alors que nous avons quasimment le plus grand parc maritime Européen, et une société d’éoliennes flottantes considérées comme parmi les plus compétitives I…L, pour ne pas la nommer…étonnante cette mentalité Française qui cultive l’immobilisme, mème sans avoir bénéficiés du plan Marshall, celà n’empèche pas d’innover.
Argument complètement bidon comment font les allemands avec un territoire plus petit que le notre. Hors du nucléaire pas de salut! On se moque du monde
pourquoi utiliser des radars météos, alors que les éoliennes elles mêmes sont d’excellents « capteurs » qui permettraient d’améliorer le maillage. il faudrait donc au contraire associer les éoliennes en les dotants de capteurs supplémentaires connectés en réseaux. et pourquoi pas à l’inverse, supprimer des radars qui peuvent coûter plus cher, sans apporter forcément plus. d’autre part de plus en plus de stations météos « individuelles » arrivent sur le marché avec des prix et qualités comptétitifs et leurs informations peuvent être mise commun, pour donner des résultats avec un maillage extrêmement fins. Pourquoi rester sur de vieux schémas de météo, alors que la technlogie évolue et permettrait d’autres modèles?
L’industrie éolienne a installé des centaines de stations météo de 80m a 100m de haut pour mesurer les vitesses et directions de vent sur plusieurs hauteurs, la temperature, la pression etc… dans tout la france depuis plusieurs années avec du materiel de haute qualité. Météo France a des stations météo de 10m de hauteur a peine avec du materiel qui vaut ce qu’il vaut. Une éolienne elle meme peut etre considéré comme une super station météo. Je sais pas mais ils pourraient pas s’entendre ? se coordoner ? Échanger des données. Au lieu de cela il y a des zones immenses sans éoliennes a cause des radars, puis par contre ailleurs des éoliennes on été construite trop proche des maisons ce qui nuit a l’image de cette industrie d’avenir car il y a des plaintes de bruit. dommage.
ça c’est sur, c’est scandaleux que les constructeurs d’éoliennes n’aient pas encore tout à fait le droit d’implanter leurs moulins où ils veulent et quand ils veulent. On comprend mieux quand sait qu’Areva est le premier actionnaire de Météo-France. Enfin, c’est ce qu’on m’a dit.
On implante sur terre car le coût du premier AO offshore, c’est 228 €/MWh là où on trouve des gens prêts à installer des éoliennes à terre pour 85€.
, évidemment , tant qu’il n’y aura pas de transferts de technologies, de compétences et surtout de production de ces éoliennes ( en terme de nombre), les couts ne risquent pas de baisser…! Il s’agit bien là de choix de fond à long terme, choix qui n’ont jamais réellement été réalisés, sinon en terme de profits au détriment de la condition de l’Homme et de la planète, robotisons, robotisons, il restera beaucoup d’emplois et peu de rentrées dans les caisses de l’état, la preuve là ou nous en sommes, .. c’est un exemple parmi , hélàs bien d’autres. C’est de la petite politique, comme toujours : à court terme.
« On comprend mieux quand sait qu’Areva est le premier actionnaire de Météo-France. Enfin, c’est ce qu’on m’a dit. » moi on m’a dit que les impots vont baisser de 50 %, tu voit moi aussi je peux raconter n’importe quoi ! « Mesurespourquoi utiliser des radars météos, alors que les éoliennes elles mêmes sont d’excellents « capteurs » qui permettraient d’améliorer le maillage. » tu a fumé quoi ? quel est le rapport entre une hélice qui tourne et un radar ? c’est parce que c’est vendredi que certains racontent n’importe quoi ?
le mieux serait des éoliennes invisibles et surtout des éoliennes qui tournent et produisent a volonté, même sans vent 24/24 , 365 jours par an !
L’idéal ce serait des éoliennes souterraines profondes qui fonctionneraient avec les courants géobiologiques qui constituent une source d’énergie méconnue mais quasi infinie. Zéro pollution visuelle, pas de bruit en surface ni de gêne pour les radars et, cerise sur le gâteau, on pourrait directement utiliser l’énergie produite sous terre pour la prospection in situ de gaz de schistes et autres pétroles visqueux dont nous avons tant besoin. Et dire que que les allemands y zont même pas commencé à y penser !
Un petit coup d’oeil sur la production éolienne allemande aujourd’hui : Et elles ne sont pas enterrées. Et pourtant, la puissance installée vient de passer les 30 GW :
En fait, j’ai travaillé 2 ans dans les radars , disons non-civils et j’ai pu constater de visu que les éoliennes induisent une « zone de bruit » qui s’étent très loin de leur voisinage. Le résultat est une perte de résolution pour les installations radar avec des artefacts difficiles à filtrer car les paramètres des pales (vitesse, inclisaison, orientation) sont très changeants. Le filtrage de signal sur paramètres fixes (freq, amp, phi) est donc peu efficace. Le filtrage algoritmique est couteux en R&D car, pour en avoir écrit un , je vous assure que même avec 20 CPU sur la carte , on ne peut pas faire de temps réel et le stockage des données consomme un To par seconde ! Si le filtrage se fait en 3 passes , il faut relire 3 fois chaque donnée en appliquant le filtre… même en assembleur c’est un peu mortel , je ne dis pas que c’est impossible , mais même avec des machines récentes et chères, on s’arrache les cheveux Je pense que les fabricants d’éoliennes pourraient investir dans ce travail et fournir des filtres algoritmiques en plus du développement des pales en carbone. Mais combien de temps faudra-t-il pour q’une machine aussi lourde que l’état valide ces travaux ? Les pales en carbone sont un très bon début , il reste à trouver les fonds pour payer 3 ou 4 bons ingés en TT signal pour développer des filtres , c’est un budget de 20keuros par mois à perpétuité , je dirais.. et le problème finirait par être résolu par le hard (pales furtives) et le soft (filtres algo) bonne chance quand même
tropictof c’est tropictof! « Quel est le rapport entre une hélice qui tourne et un radar » il faut tout lire, on parle de radar météo pour mesurer quoi entre autre? la vitesse du vent! et pour vous une éolinenne n’est pas en mesure de mesurer la vitesse du vent? et un réseau d’éolienne ne serait pas plus précis qu’un maillage beaucoup plus large de radars? il y en a le vendredi il n’ont même plus un neurone de frais :o)) il en faut pourtant pour comprendre les changements de paradigmes! et à l’âne martin qui se trouve drole avec ces éoliennes souterraines ,s’il se gardait de ses commentaires, cela nous ferait zero pollution textuelle.
Réduire l’utilité d’un radar météo à la mesure de la vitesse du vent (de surcroît à 100 m du sol) me paraît être révélateur de méconnaissance ou de malhonnêteté : Le radar météo est capable de découper l’atmosphère en tranche et notamment de « voir » la pluie. Bien évidemment il ne se limite pas à la proximité du sol et il est capable de voir le haut d’un cumulonimbus, ce qui sera plus dur avec une éolienne…. sauf si elle fait entre 12 et 15 km de hauteur. Evidemment, les éoliennes peuvent servir à compléter le réseau d’information météorologique, mais leur but, d’après ce que j’avais compris, c’est de se substituer à des centrales électriques (de préférence thermique) et pas de prendre la place des radars météo.
on a eu droit à toutes les réactions du style: ** »il n’est pas normal que les favricants d’éoliennes ne puissent pas installer leur bazar n’importe où.. » (eh alors, auraient-ils tous les droits? nous ne sommes pas en régime dictatorial!) ** « la météo est vendue à Areva », (et quoi encore? c’est la parabole de la poutre et du brin de paille: alors que le lobby éolien s’affiche de façon éhontée, ils sont les premiers à en accuser les autres ! Faut croire que ce lobby paye très bien ses dessous de table pour déchaîner de pareilles émotions…). La vérité apparaît peu à peu: Ces « merveilleuses énergies » prétendues propres ont de grave inconvénients: irrégularité, inhabitabilité des environs, immenses surfaces sacrifiés, coût extravagant.. A propos, en lisant le raport de la cour des comptes, on se rend compte que si toutes les sommes investies dans le nuc, y compris la recherche d’Etat, avaient été dépensées en éolien off-shore, le parc n’aurait que le tiers de celui du nuc en ne produisant qu’ 22% du temps contre 78% pour le nuc, la production effective de ce parc virtuel ne serait que 9% de la production nucléaire…. Et de plus erratique! A se taper la tête contre les murs de rigolade.
Et ils font comment les allemands ? Décidémment, ce n’est pas qu’une réputation : les ingénieurs allemands sont vraiment plus forts que les français !!!!!
Il y a plus de 5 ans que j’ai essayé de présenter des éoliennes sur un aéroport en France et un autre en Belgique. Même discours des deux côtés: çà va pas la tête ?! Mais en même temps, celui qui interdit devrait spécifier techniquement ce qui l’empêche d’exister, au lieu de tout bêtement dire « Non ». Il est préférable de dire « Oui si… » Encore faut-il être capable de déterminer le « si ». C’est la Commission Européenne qui finaklement vient au secours des Aviations Civiles, en publiant à l’Agence Européenne de Sécurité Aérienne un document harmonizant les pratiques et donnant une méthode d’évaluation des risques tant d’installation que d’exploitation de tout système « innovant. Vive l’Europe ! Il doit y avoir eu des allemands pour y travailler…
dans le but de critiquer par principe des ENR quand le sujet n’est pas de défendre mordicus le nuke, vous en arrivez à « ramer » un max. dire que les éoliennes empêcheraient de voir le haut des cumulo nimbus , si ce n’est pas de la mauvaise foi caractérisée alors là !!! tout ça par manque d’imagination, par reconduction des méthodes de pensée unique d’une époque, et par la non remise en cause de méthode, quand d’autres deviennent possibles. un peu d’ouverture, que diable pourquoi dénigrer systématiquement? je maintiens, l’argument radar est fallacieux et révèle une protection des pré carrés, nuisible à une saine évolution.
Oui c’est ce que je disais plus haut, combien de temps faudra-t-il aux clients de service radar généralement riches et très conservateurs , pour accepter les améliorations induites par les pales en carbone et le filtrage algorithmique ? A mon avis très longtemps. La question reste donc sensible surtout si vous comprenez les non-dits de la grande muette… (pas mouette hein ? muette , c’est pas du tout pareil) Cela dit, la muette est bien plus réactive que les autres , elle scrute les écrans radar chaque minute, dispose de bancs de test incomparables.. Elle pourrait éventuellement comprendre mieux que personne quel avantage lui donnerait un filtrage que l’ adversaire n’aurait pas. Mais les meteo-aviation et consorts préfèreront sortir un vieux rapport des années 90 qui disait que les Jeumont du Havre mettaient le souk dans leur cumulo-nimbus… C’est ainsi , pour des ultra conservateurs , l’occasion est trop belle de mettre un baffe a ces hippies nauséabonds et on n’y peut pas grand chose. La muette pourrait peut être mais ses budgets en chute libre et un tas d’incidents de paiment des nouveaux projets car le ministère s’est équipé d’un ensemble de gestion SAP buggé qui a ruiné le secteur pour des décennies.. tout cela fait que la seule qui avait de l’information fiable va faire ce qu’elle fait le mieux , rester muette ! Le problème risque donc de durer un moment si un pays moins éoliphobe que la France ne prend pas l’initiative
A Tech. « dire que les éoliennes empêcheraient de voir le haut des cumulo nimbus , si ce n’est pas de la mauvaise foi caractérisée alors là !!! » Là, je crois que vous avez été un peu aveuglé par les a priori et vous n’avez pas bien compris ce que j’ai écrit, je reprends : « … Bien évidemment il ne se limite pas à la proximité du sol et il est capable de voir le haut d’un cumulonimbus, ce qui sera plus dur avec une éolienne…. sauf si elle fait entre 12 et 15 km de hauteur. » Ce que je veux dire, c’est que le radar météo est capable de voir bien plus de choses qu’un instrument recueillant des données uniquemebt à proximité du sol. Et mettre un des centaines d’instruments à 100 mètres du sol ne remplacera jamais une « vue en coupe » de l’atmosphère qui monter très haut et donc au-delà des nuages les plus hauts. En cela, l’instrumentation des éoliennes ne pourra jamais remplacer un radar météo, cela peut compléter un réseau de recueil au niveau du sol. D’autre part, et contrairement à ce qui a été dit, le but du radar météo n’est pas simplement de mesurer la vitesse du vent mais de suivre la pluie. Le réseau ARAMIS participe donc pleinement à la création des alertes météo. Pour ce qui est des perturbations des éoliennes, je ne sais si cela pourrait empêcher à un radar météo de voir le haut des cumulonimbus. Il faut cependant savoir, que la plupart des radars à longue portée sont capables de voir légèrement au-delà de l’horizon géographique…. est-ce que les éoliennes perturbent ce phénomène ? A défaut d’ingénieurs allemands (qui sont les meilleurs puisqu’ils ont participé à la conception de l’EPR !), ils devrait bien y avoir un ingénieur de Météo France qui travaille sur ARAMIS pour nous dire quelle est la nature exacte des perturbations.
@PasNaif que de mauvaise foi et de raccourci : Il n’est pas rare de voire de nombreux commentaires qui prétendent que l’éolien pourrait coûter à la France (3 à 5 milliards d’euros par an). Le « gendarme » de l’électricité, la CRE édite des bilans sans appel. L’éolien est financé par le biais de la CSPE. Certes cette taxe est payée par les consommateurs, mais dans les 5,1 milliard prévus en 2013, la part de l’éolien ne représente que 11 %, c’est à dire 0,56 milliard. (Source : ). En vérité nous sommes bien loin d’un autre chiffre : la facture énergétique de la France sur les douze derniers mois de septembre 2011 a septembre 2012 frôle la barre des 67 milliards d’euros, soit une forte hausse, de plus de 18%. À elle seule la facture pétrolière s’élève à près de 54 milliards d’euros, soit plus de 80% du total. selon les chiffres que publie le Commissariat général au développement durable (CGDD) dans sa note de conjoncture énergétique. ( ) Cette facture augmente d’ailleurs chaque année (36 milliards en 2010…) De plus, le démantèlement des installations nucléaires et la gestion des déchets radioactifs vont coûter très cher. Qui peut croire que c’est l’énergie éolienne, alors que le vent nous est fourni gratuitement, qui va nous ruiner ??? Au final, la subvention que les consommateurs que nous sommes payent via leur facture d’éléctricité pour que cette filière se lève en France ne représente que 4 euros par foyer par an en France pour déjà 3% d’électricité d’origine éolienne.
c’est bien ce que je dis. il ne faut pas beaucoup d’imagination pour utiliser les radars au dessus et à coté des éoliennes et se servie d’un plus grand maillage au sol des éoliennes en dessous de 100 mètres! pourquoi vouloir obtenir le résultat de la « coupe » avec un seul type d’analyse? et cela ne rajouterai vraiment pas grand chose au prix d’un éolienne de la doter d’un capteur météo, plus en transmetteur via le courant porteur. edf aurait même de cette façon ses propres infos météos et pourrait les valoriser auprès de météo France! dailleurs je pense que bientôt il existera des « box » (ADSL ou fibres) qui permettront de transmettre des infos de ce type à partir de stations individuelles chez les particuliers.Le maillage sera alors imbattable par les radars qu’il faudra utiliser à autre chose! au passage certains se mobilisent contre les éoliennes, mais très peu contre les radars! qui les in »ondes » après recherche, cela existe déjà!!! voir la société française Netatmo. 1 capteur extérieur , 1 intérieur et les résultats via internet sur votre mobile!
Au lieu de discuter dans le vide entre pour et contre et jensaisrien, je vous propose le résultat de l’étude de l’ANFR : Et vous trouverez aussi un passage sur l’Allemagne qui y regarde à deux fois dans un rayon de 5 km. Les servitudes n’ont pas été inventées hier, nul ne peut l’ignorer et surtout pas les promoteur éolien. Il faut faire cohabiter les technologies et c’est déjà vrai avec les télécommunications, l’aéronautique…. Dans l’intérêt général on ne peut pas faire ce que l’on veut.
Je lis sur votre site : » FEE a également pour objectifs : de promouvoir l’énergie éolienne notamment auprès du grand public » C’est bien. Cependant, sur votre site, sauf erreur de ma part, il manque la courbe suivante, et c’est bien dommage, je pense pour permettre une information complète sur les éoliennes :
Cette courbe est celle d’octobre 2012, sur le site de RTE.