Le Finistère et la Bretagne souffrent d’un double déficit électrique, non seulement structurel (importations annuelles d’électricité du reste de la France), mais également conjoncturel (pics de consommation hivernaux), qui pourrait compromettre leur développement économique futur.
Bien que les statistiques départementales soient rares, Zelya Energy estime qu’entre 2003 et 2008, le déficit annuel du Finistère, qui représente environ 4,6 TWh en 2008, n’a cessé de se creuser : le taux de couverture de la consommation d’électricité par la production finistérienne a ainsi doublé, passant d’environ 3% à 6%.
De surcroît, chaque hiver, depuis 2003, le pic de consommation (pointe de consommation d’électricité en raison des besoins en chauffage des secteurs résidentiel et tertiaire), ne cesse d’augmenter, passant de 14 800 MW à 17 150 MW, pour l’ensemble de la région « Grand Ouest » (Bretagne, Poitou-Charentes, Centre, Pays-de-Loire). En 2009, le pic de consommation en Finistère représente environ 1 000 MW.
Ce double déficit est difficilement couvert, en raison d’une part de la localisation du Finistère en bout de ligne, d’autre part à cause de l’insuffisance du parc de production local existant.
Le transport d’électricité en Bretagne est réalisé via le réseau géré par Réseau de Transport d’Electricité (RTE), et structuré à partir d’un arc estouest, selon deux axes (schéma ci-dessous) : « Bretagne nord » (en orange : Ille et Vilaine et Côtes d’Armor) et « Bretagne sud » (en vert : Morbihan et Finistère). L’approvisionnement de ces deux axes est quasiment indépendant, bien qu’une ligne HT 225 kV relie accessoirement les postes de La Martyre (Finistère) et de la Plaine Haute (Côtes d’Armor). La direction des flux est du ressort de RTE, mais elle se fait globalement en minimisant la distance parcourue par les électrons.
En termes de sécurisation du réseau pour « la Bretagne sud », la construction d’un transformateur 400 kV / 225 kV envisagé par RTE près de Lorient, permettra de faire face à une augmentation de 15% de la consommation et de repousser à 2015-2020 les contraintes actuelles sur le réseau. Pour autant, RTE signale que 800 MW de capacités supplémentaires à l’ouest d’une ligne Saint-Brieuc Lorient relèveraient de près de 30% le niveau de consommation pouvant être desservi en toute sécurité dans en « Bretagne sud ».
Le parc de production finistérien comptabilise en 2008 une capacité installée totale de près de 600 MW, dont 113 MW d’éoliennes terrestres, 465 MW de centrales thermiques à flammes (295 MW à Brennilis et 170 MW à Dirinon), 7 MW d’hydraulique (Saint-Herbot) et 15 MW de cogénération.
En sus, la production extérieure appelée pour les besoins de la Bretagne sont :
1) la centrale thermique de Cordemais (Loire-Atlantique, 2 460 MW au total). L’électricité produite est acheminée vers la « Bretagne sud » à 60% par les lignes HT 225 kV et à 40% par les lignes HT 440 kV ;
2) les centrales nucléaires de Chinon (Indre-et-Loire, 3 600 MW), voire de Civaux (Vienne, 3 000 MW) qui permettent d’alimenter la « Bretagne sud » à partir de Cordemais ;
3) la centrale nucléaire de Flamanville (Manche, 2 600 MW) qui permet d’alimenter la « Bretagne nord » à partir de Launay.
Dans ces conditions, le Finistère importe déjà annuellement plus de 94% de l’électricité qu’il consomme, non seulement de Bretagne, mais surtout des régions limitrophes. Il doit également importer près de 400 MW lors des pics de consommation.
Si aucune action n’est entreprise pour augmenter les capacités de production d’électricité en Finistère, le déficit annuel et la couverture des pics risquent de se traduire par des coupures significatives du courant dans les prochaines années, faute de capacités de production locales suffisantes.
A moyen terme (d’ici 2015), le Finistère devra faire face :
– à un pic de consommation de l’ordre de 1 000 MW chaque hiver (déficit conjoncturel) qui, compte tenu d’un parc actuel d’environ 600 MW, serait comblé par une capacité d’environ 400 MW, qui si elle est de pointe, doit être maîtrisable (non intermittente) ;
– et à des besoins annuels (déficit structurel) de l’ordre de 5,5-6,8 TWh/an. Pour couvrir 20% de ce déficit structurel annuel, il faudrait une capacité comprise entre 140 MW (pour un fonctionnement de 8000 h/an en base) et 730 MW (pour 1500 h/an en pointe).
qui a payé Zelya Energie, cabinet d’audit sans historique de société en France? d’où sortent ces chiffres, qui ne sont pas disponibles publiquement? Sauf erreur, RTE a retiré l’année dernière les consommations régionales de son site, et les infos régionales sur le site du Meeddat date de 2007. Comment dès lors trouver ces chiffres 2009, au niveau départemental qui plus est, autrement que par RTE, qui se les garde sous le coude? A quand un baromètre mensuel et départemental des consommations d’énergie? Développons plutôt les économies d’énergies et le solaire thermique en Bretagne! Kenavo
Cet article n’est pas inintéressant, mais il se contente de décrire une situation et oublie le plus important : les causes de cette situation. La réalité, c’est que les Bretons ont été « punis » par EDF et l’Etat français pour avoir refusé le nucléaire (grâce à des mobilisations citoyennes massives et exemplaires de courage et de dignité, de Plogoff au Carnet). EDF est théoriquement au service du public : ses dirigeants auraient dû dire « Bon, puisque vous refusez le nucléaire, nouys allons faire de la Bretagne un laboratoire de l’alternative ». Aujourd’hui, le Bretagne serait la vitrine mondiale des énergies renouvelables et des économies d’énergie. Mais voilà : la pieuvre nucléaire est telle qu’elle ne supporte pas l’existence d’une alternative, même localisée. Alors les dirigeants pronucléaires d’EDF et de l’Etat français ont soigneusement organisé la dépendance de la Bretagne et lui assènent aujourd’hui « Heureusement qu’il y a des centrales nucléaires ailleurs pour vous alimenter ». Quelle honte. Voilà les données que cet article a juste oublié de rappeler. Et ça change tout. SL
La Loire-Atlantique, c’est aussi la Bretagne Sud………………
avec tout ce vent hivernal, que n’ont-ils pas multiplié les éoliennes, qui ont le gros avantage de devoir obligatoirement être doublées de centrales à flamme, ce qui aurait permis de contrer l’odieux complot d ‘EDF et des atomistes. En rajoutant les économies d’énergie, qu’EDF empêche de faire, le solaire thermique, dans ce beau pays ensoleillé, les énergies marines, le biogaz des porcheries, la biomasse issue de la forêt de Brocéliande,sans compter l’ETM, on pourrait se passer totalement du nuke. Bretons de tous les pays unissez-vous !
Habitant dans le Finistère, et en plus ‘au bout du bout’ du réseau (à Roscoff), d’ailleur au bout de TOUTES les réseaux (transports en commun, routes, eau, etc), quelques commentaires s’imposent (les seuls ‘continuités’ de ‘réseaux’ ici ce sont les vedettes de l’Ile de Batz et les ferrys transmanche) !: 1: Isoler un département de cette manière, concernant son ‘jus’ est une aberation qui nie le fait que des gros ‘soucis’ dans le domaine de l’electricité est LA DISTRIBUTION et une ‘mutilisation’ plus efficace (interconnexions, et pourquoi pas entre la Bretagne et le Cornouaille anglaise, qui j’ai déjà evoquer ici sur enerzine) et non la production. 2: Malgré des ‘menaces’ aux Bretons du ‘BIG BLACKOUT’, répétées depuis plusieurs années (et apparament malgré une hausse de notre consommation de pointe en pleine hiver) cet hiver, pourtant bien rigoureux, nous avons, ici à Roscoff eu que 2 ou 3 heures de ‘noir’! Peut être ceci est à mettre au credit du ‘civisme ECOWATTien’ des Bretons depuis 2 ou 3 ans. Pour ma part, voilà 10 ans avec mes 25 jours rouges d’hiver TEMPO (a 5 fois le tarif kwh de base !), je suis déjà bien rodé ! Si on n’est pas ‘regardant’, on paie le prix fort ! Donc suggestion – TEMPO obligatoire pour tous le monde et après on voit le resultat ‘réel’ entre l’offre et la demande, non seulement en Bretagne, mais pour tous les Français. 3: En fait….Et les Parisiens, ils produisent la totalité de leurs besoins en ‘jus’, ou doivent ils, comme nous les Bretons, aller ‘mandier’ de temps à autres quelques kw dans ‘la cagnotte nationale’ ? 4: N’oublions pas que la France est sur l’année ‘exportatrice’ net du ‘jus’, même si parfois elle doit avoir recours à des ‘importations’ massives pour faire face de temps à autre. C’est le preuve qu’il y a du ‘jus’ en rab dans le ‘réseau inter pays’, et notre problème est bien la distribution et non la production. Alors arretez de ‘taper’ sur les Bretons (en les rapellent sans cesse qui n’ont pas voulu de Plogoff !), car la géographie de la France ce n’est pas leur faute! Sinon, ils vont peut être décider de garder tout du leur ‘jus’ éoilien ou marée motrice présent et future pour eux, ou le ‘vendre’ a leurs amis de la cornouaille Britannique, et dire mer…..à la Royaume de France ! trimtab
je suis assez étonné de voir cet article sur la Bretagne avec comme source des informations la société Zelya Energy. Pour moi il s’agit d’une copie in extenso des informations figurant depuis plusieurs années dans les bilans de RTE (au moins depuis 2005 et amélioré en 2007 et 2009). Voici d’ailleurs le lien vers la version 2009 déjà plusieurs mentionné : Vous allez directement à la page 123/172 et vous trouverez 8 pages d’explications. Il vaut mieux l’original plutôt que la copie !
Si Edf avait dépensé autant d’argent dans les énergies alternatives, qu’il en a dépensé pour le nucléaire et qu’il en dépensera pour démanteler les centrales et tout dépolluer, il n’y aurait pas de problème de fourniture de courant. Combien de M2 de panneaux solaires pour le coût d’une centrale nucléaire ??? combien de paysages massacré par les mines d’uranium ? voir le beau reportage sur la dessalinisation de l’eau en Namibie pour laver le minerai d’uranium. On marche sur la tête ?? Non ?
Vous pouvez admirer l’art de observ-nuc qui tente de rendre l’absence de nucléaire coupable des malheurs de la Bretagne. Le nucléaire c’est super : quand y’en a, c’est sa faute et quand y’en a pas c’est encore sa faute ! Est-ce que le nucléaire ne serait fautif également de la déroute des bleus en coupe du monde ? Les bretons victorieux de Plogoff auraient été punis par EDF ! Ben la punition, c’aurait été de couper les deux lignes principales d’alimentation et de ne laisser que La Rance…. et EDF ne l’a pas fait. Pour le développement des énergies alternatives allez donc voir ou revoir là : ou là :
C’est observ-nuc qui a oublié le plus important… Le choix du site de Plogoff n’a pas été fait par EDF, ni par l’Etat. Il a été fait par le Conseil Général du Finistère, sur une liste proposée par EDF. On peut effectivement se demander s’il était le plus judicieux. Mais de là à diffuser des calembredaines sur un complot politico-industriel… Ne rejetez pas votre responsabilité sur d’autres.
mais effectivement jusqu’à présent il n’y a pas eu de black-out ni même de delestages volontaires conséquents. Ca peut quand même ne pas durer…Ca serait dommage d’attendre ce moment là pour faire quelque chose, mais il faut bien reconnaitre que chaque fois que quelque chose est tenté (on ne va pas remonter à Plogoff…),ça rate….Dernier exemple,200MW de pointe à St Brieuc suite à un appel d’offre de RTE, qui ne verront jamais le jour..Donc attendons le jour où la Bretagne sera dans le noir, EDF se fera engueuler, mais peut-être que ce jour là les politiques locaux seront obligés de prendre des décisions…
Une petite remarque quand même, quitte à me faire taxer de Jacobin: ce n’est pas parce qu’une région ( ou plutôt des groupes activistes bien organisés) refuse un certain nombre de solutions que cette région doit « devenir la vitrine mondiale des energies renouvelables », dont je vous rappelle qu’elles sont financées par l’ensemble des consommateurs francais. Si le Conseil régional veut lever un impot spécifique pour ce faire, très bien, qu’il le fasse. Mais bon, ça coute cher, les electeurs ne vont peut-être pas apprécier….
Hoppala Chapalain! Vous avez oublié le plus important pour l’électricité! Cette énergie difficle à produire, à stocker et à acheminer ne doit pas servir à chauffer quoi que ce soit. Sauf en France! A quand cette prise de consience de ne pas utiliser la fée électricité pour chauffer surtout une passoir thermique? Et en plus les centrales therliques qui sont à Brennilis et à Dirinon sont en plaine campagne. Elles ne valorisent pas la chaleur produite par le process de production d’électricité ( y a même pas une usine à tomate à Dirinon qui soit chauffée par la centrale). Si au moins les centrales thermiques étaient à Brest ou à Kemper elles pourraient fonctionner en cogé pour chauffer des logements qui n’utiliseront plus la fée électricité à cet effet! Idem pour les réacteurs nucléaires de la France qui pourraient chauffer Paris ou les autres métropoles au lieu de provoquer les réchauffement climatiques des fleuves ou de faire des nuages. Et pour répondre au jacobins qui ne voient pas la réalité du dictate français sur la production d’électricité je reprend une phrase d’une chanson de George Jouoin : « Fuck vit re Vro-C’hall!!! » Chans vad d’an oll evit an Douar!
Pourriez expliquer simplement aux lecteurs d’Enerzine comment on fait de la cogénération avec des TAC qui ne fonctionnent qu’en pointe pour soutenir le réseau et donc moins de 200 heures par an. De deux choses l’une, ou bien ça va coûter très cher et émettre beaucoup de CO2 pour qu’elles fonctionnent plus longtemps ou bien les bretons vont avoir très froid. Sinon, comme les 5 TAC (et deux éoliennes) sont rattachées à la centrales de Cordemais, c’est tout le système qu’il faudrait déplacer ou dupliquer à Brest. Donc vous seriez favorable à la construction d’une vraie grosse centrale à charbon fioul dans le Finistère. Pour vous aider à répondre : Brennilis Dirinon Cordemais Je crains que la France et EDF en particulier ne fasse pas beaucoup de cogénération avec les futures centrales thermiques, qui ne seront manifestement pas faites pour la base. D’autre part, la cogénération nous coûte fort cher en CSPE encore devant les renouvelables.
Pour trimtab. Je cite : « NB: les seuls ‘continuités’ de ‘réseaux’ ici ce sont les vedettes de l’Ile de Batz et les ferrys transmanche ! Pourquoi pas une future liaison HVDC Roscoff-Plymouth ! 1: Isoler un département de cette manière, concernant son ‘jus’ est abérant, et nie le fait que des gros ‘soucis’ dans le domaine de l’électricité est LA DISTRIBUTION et une ‘mutualisation’ plus efficace (interconnexions, et pourquoi pas entre la Bretagne et le Cornouaille anglaise, qui j’ai déjà évoquer ici sur enerzine) et non la production. » Une interconnexion de la Bretagne avec la Cornouaille est une très bonne idée, d’autant que cela vous permettra alors de bénéficier de l’électricité de la centrale nucléaire de Hinkley Point qui a produit 5 TWh en 2009 avec 2 réacteurs en fonctionnement : C’est le plus gros moyen de production à cet endroit là. Et Roscoff – Hinkley Point, ça fait juste 290 kms à vol d’oiseau. C’est un peu plus que Roskoff – Flamanville : 180 kms, mais c’est moins que Roscoff – Chinon : 340 kms ou Roskoff – Civaux : 420 kms ou Roscoff – Blayais : 450 kms. Donc c’est une bonne idée à soumettre à la société NEXANS ex Câbles de Lyon… si son plan de charge garni par les connexions des fermes éoliennes le lui permet. De toute façon, que vous soyez en France ou en Angleterre, vous n’échapperez pas à EDF : En en plus, EDF à un grand projet pour Hinkley Point : Avec tout ça, les Bretons n’auront bientôt plus de soucis.
2 unités charbon de 600 à 800MW dans la rade de Brest seraient effectivement une solution idéale! Il y a la place, les capsize peuvent accoster, et c’est parfait coté réseau.Pour la cogen, faut voir, mais pourquoi pas. Bon courage pour le montage de votre association! PS: A Coattan,le Jacobin n’a pas compris ( désolé), mais ça ne va pas m’empécher de dormir. Réfléchissez y, c’est un signe…Au moins, avec Trimtab, c’est du francais ou de l’anglais, c’est accessible au plus grand nombre. Au fait, Trimtab, what about your PV project?
Sauf erreur,vous bénéficiez: – d’un tarif d’acheminement ( transport+ distribution) égal à celui de tout autre francais, malgré le fait a minima que les pertes réseau soient plus importantes en bretagne et que RTE soit obligé de mettre en place des compensateurs de tension qui coutent cher à tous les Francais… – que sauf si vous avez souscrit à une autre offre que celle d’EDF, vous bénéficiez d’un tarif national, alors que les particularités bretonnes font qu’EDF est obligée de démarrer parfois des moyens très couteux ( Dirinon, Brenillis, tranches fuel de Cordemais) pour des raisons qui sont liées non pas à l’équilibre national, mais à des particularités locales de maintien de la sécurité du réseau et du maintien de la tesion… Alors s’il vous plait, arrétez de crier à « la dépendance de la Bretagne » et au « Dictate » (sic) d’EDF…. Un peu de pudeur ne nuit pas. Un peu de réalisme est un plus…
Sicetaitsimple – si vous voulez, vous pouvez m’envoyer un message privé (avec votre email perso) et je vous enverrai quelques détails de mon projet PV, car ici je ne peux pas mettre des photomaontages et d’autres doc joints. trimtab
Ca fait plusieurs fois que j’essaie de m’inscrire comme membre, mais je ne dois pas être doué, ça ne marche jamais! En attendant, une adresse dédiée, pense que nous sommes très différents, mais par ailleurs je crois que nous entendons bien ce que l’autre dit,..et puis j’aime bien la Bretagne. En attendant de vos nouvelles sur votre projet PV.Cordialement.
réponses point par point: 1.le département n’est pas la bonne unité de comparaison. Il y a plein de départements qui ne produisent quasiment rien par rappport à leur concommation. La région est un peu plus significative. 2. Black out: voit plus haut, mais ça ne tient parfois qu’à un fil… 3. les parisiens sont effectivement »importateurs », mais ils ont quand même près de 4500W de pointe installés à proximité ( 2400MW Porcheville, 750MW Vitry, 600MW Vaires, 400MW Montereau, 200MW Genevilliers) 4. du jus en rab, ok,c’est utilisé dans les deux sens, mai ça n’est pas vraiment une réponse aux problèmes locaux, dont ceux de la Bretagne.Il faudra attendre une interconexion spécifique! 5. Chiche! Cordialement.
@ Ar Korrig « Combien de M2 de panneaux solaires pour le coût d’une centrale nucléaire ??? combien de paysages massacré par les mines d’uranium ? » je répondrai : combien de millions de M2 de PV pour remplacer UNE centrale nuke (dsolé si la bretagne n’est pas la région la plus ensoleillée de France), et combien de milliers d’éoliennes « embelissant » le paysage (les mouettes en rient encore) Comme quoi, si c’était aussi simple comme dirait un des intervenants réguliers)
On espère que les bretons ne sont pas équipés de chauffage électrique On espère aussi que l’énergie marine sous ses différentes formes va ,enfin,prendre forme. C’est à se demander si ce problème technique est le plus difficile que l’ingénierie ait eu à affronter quand on voit le retard absurde du secteur. Enfin l’inanité des éoliennes apparaît en plein jour.