Le Décarbonathon, compétition créée à l’initiative des Young Global Leaders du Forum économique mondial a pour objectif de trouver les solutions les plus prometteuses pour réduire les émissions de CO2 dans les villes, applicables directement et facilement par les citoyens.
Lors de la dernière édition, quatre projets innovants ont été déclarés vainqueurs.
Près de 600 participants et 175 équipes, originaires de 67 pays, ont rejoint cette compétition d’envergure mondiale lancée en octobre 2015 et articulée autour de quatre thématiques : mobilité durable, bâtiments économes en énergie, production et consommation durable d’énergie.
Les lauréats :
1er prix : Mobiliteam
Un dispositif « Air Booster » qui réduit la consommation d’énergie des véhicules électriques en améliorant l’efficacité énergétique du système de climatisation sans altérer le confort des passagers.
2e prix : Bynd
Une application mobile qui permet de partager des trajets quotidiens le plus facilement et le plus rapidement possible, en associant les moyens de transport publics et privés.
3e prix : TEBS (Traffic Energy Bar System)
Un système mécanique de production d’énergie distribuée, qui utilise l’énergie des voitures au moyen de modules installés au niveau des péages ou sur la chaussée, où les véhicules doivent réduire leur vitesse.
4e prix : Mutum
Une plateforme ludique et collaborative qui permet de mettre en commun différents objets et outils (utilisés occasionnellement, de manière individuelle) pour éviter la surconsommation.
Pour mémoire, les noms des 16 finalistes choisis ont été dévoilés le 4 décembre dernier, lors de la nuit de l’innovation de la COP21, à l’issue d’un processus de sélection rassemblant près de 100 spécialistes internationaux de l’économie bas carbone, qui ont examiné les projets des 175 équipes participantes.
Les équipes sélectionnées ont bénéficié des conseils d’un coach-expert pour les aider à affiner leur projet. Elles se sont ensuite affrontées au cours d’un « hackathon » de deux jours qui s’est déroulé à Paris. Il s’est achevé le 15 janvier par une brève présentation de chaque projet devant un jury international. Les projets ont été évalués sur la base de critères tels que l’impact carbone, la faisabilité, le potentiel d’adoption par les citoyens ou la qualité de la présentation.
Le jury était composé d’experts politiques et de spécialistes en matière d’énergie et de climat, notamment Edmond Alphandéry, ancien ministre de l’Économie ; Jacqueline Lecourtier, ancienne directrice de l’Agence nationale de la recherche ; John Dutton, directeur du Forum of Young Global Leaders, Forum économique mondial ; Philippe Cadre, directeur de la Propriété industrielle à l’Institut national de la propriété industrielle (INPI) ; Jane Burston, directrice du département Climat et Environnement au National Physical Laboratory (NPL) britannique ; et Raphaël Schoentgen, directeur Recherche et Technologies d’ENGIE.
Gérard Mestrallet, Président-Directeur Général d’ENGIE, a déclaré : « Je tiens à remercier tous les participants de ce hackathon pour leur implication et pour la qualité du travail fourni pendant ces quatre mois de compétition. Avec nos partenaires, nous sommes extrêmement fiers et honorés de soutenir le développement de ces nouvelles idées, afin de lutter contre le réchauffement climatique ; ceci marque le début d’une collaboration ambitieuse avec les équipes lauréates. »
Les vainqueurs pourront bénéficier d’une médiatisation de leur projet et d’un contact direct avec des investisseurs potentiels. Outre des lots d’une valeur de plus de 20 000 euros, comprenant des vélos électriques et des voyages éco-responsables, ils auront également la possibilité de continuer à recevoir des conseils de la part d’experts et seront éligibles à un programme d’accélération avec le soutien des partenaires, pour permettre une mise sur le marché rapide de leur projet.
** Le Décarbonathon a bénéficié du soutien d’ENGIE, du Centre for Carbon Measurement du National Physical Laboratory (NPL) britannique, de Climate-KIC et de l’Institut national de la propriété industrielle (INPI).
( Src : CP – Engie )
de réduire les émissions de CO2 des véhicules électriques (premier prix) ! Ceci dit, tout ce qui optimise la conso de la clim°, et pas seulement sur les véhicules est une bonne chose Remarque (perfide) sur le 3° prix : je subodore un retour sur investissement en seulement quelques décennies.
Une vraie solution qui marche depuis 2007, qui supprime tout CO2 pour se chauffer (soit près de 40% du CO2 dégagé pour chauffer ) est de garder la chaleur d’été canicule perdue, pour se chauffer avec l’hiver, en simple géothermie superficielle à recharge solaire thermique en été comme celle fonctionnelle de : w ww .dlsc.ca On stocke la chaleur en trop perdue en été sur nos toits et parkings dans la terre à environ 30 à 6 mètres de profondeur, sous les parkings, rues et jardins par simples forages tous les 2m. Cette chaleur se conserve intersaison de l’été pour l’hiver, car la chaleur n’avance par diffusion que de 3 à 6 m entre été et hiver, ce qui permet d’en récupérer une grande partie, si le volume de stockage délimité par les forages a une dimension de bien plus que 3 à 6m. De même la géothermie profonde en région parisienne (1500m de profond ) est très peu renouvelable, flux thermique des profondeurs terrestres par habitant limité à 100Watts soit la chaleur corporelle de chaque habitant !! Cela semble ignoré par tous, même professionnels !! Donc même cette géothermie profonde va s’épuiser, si on l’utilise fortement, et la seule solution et de la renouveler avec de la cheleur solaire en été prise sur nos toits, sinon elle se tarirera inévitablement !! Il est effarant que les vraies solutions soient totalement ignorées !!
Cette course aux ‘idées’ est une insulte au bon sens. C’est croire (ce que de nombreux politiques font) que l’innovation consiste à mettre des sous dans la babasse (sous forme de récompense, c’est pareil) et croire que des idées géniales vont être miraculeusement générées… C’est pas du tout comme ça que fonctionne l’innovation… Et la liste du jury (ancien ministre, directeurs) est la meilleure des garanties pour être certain que ce nouveau ‘machin’ ne fonctionnera jamais. C’est le BESOIN qui provoque l’innovation. Jamais les médailles.
@etehiver: juste une remarque: ce projet a été financé à hauteur de 3.3 millions de $ par l’état Canadien ! Je n’ai pas trouvé le coût global du projet mais rien qu’en aides, ça fait près de 63 500$ d’aide par maison (52 maisons au total) ! Même avec les économies d’échelles avec un important développement, je ne vois pas comment viabiliser cette solution à mettre en rapport avec les budgets des acheteurs !
cebh2o devrait d’abord cesser de regarder ce stockage qui marche, avec ses habitudes de petit chauffe eau isolé avec une fine couche d’air immobile, qui sont incapables de stocker la chaleur sur les 4 à 6 mois entre été et hiver, car le prix de ces réservoirs explose pour les volumes d’eau nécessaires , vraies piscines qui de plus perdent toute leur chaleur avec le temps bien avant l’hiver, très lourdes et très chères à isoler. La terre sous nos pieds est gratuite, en la laissant en place, juste quelques fins trous, de plus la terre est naturellement isolée par diffusion thermique, elle conserve sa chaleur depuis des millions d’années, grace à cette lenteur de diffusion comme la racine carrée du temps ( notion incompréhensible pour cebh2o ), 3m en un an, 2fois plus 6m en 2×2=4 ans, 3 fois plus 9m en 3×3=9 ans, 1000fois plus 3km en 1000×1000+1 million d’années, et 30km en 30×30=900millions d’années, épaisseur des continents typique depuis leur formation par la dérive des continents, et les volcans, seul moyen violent de refroidir l’intérieur ultra chaud de la terre ( avec 6300km de rayon ) depuis 4 milliards d’années !! La diffusion n’est pas un principe, mais une réalité observée appelée déphasage pour de faible épaisseurs en oubliant la pénétration atténuée selon une exponentielle sur les oscillations annuelles, ce qui évite de faire péter les canalisations d’eau à environ 1m de profondeur sur des grands froids de moins d’un mois (en 1956 un bon mois de gel cela avait pété à moins du mètre !! ) . Donc si on stocke de la chaleur sous terre sur des dimensions nettement plus que 3m on perd peu de la chaleur, qui n’a pas le temps de diffuser sur plus que 3m entre été et hiver !! Même les romains avaient compris cela, en sens inverse, en stockant la glace d’hiver dans de grandes salles (plus de 10m ) sous terre pour la retrouver en été, solution très écologique sans CO2 de climatisation oubliée par cebh2o, isolation par la lenteur de diffusion thermique en racine carrée du temps !! !! Cette lenteur de diffusion fait que la géothermie profonde en région Parisienne si exploitiée se tarira, car son renouvellment par cette diffusion est très lent, avec que 100Watts par habitant renouvelable en région Parisienne, fait réel oublié ou caché par les professionnels de la géothermie, qui l’appellent renouvelable à tort, alors qu’elle est très très peu renouvelable, que 100Watts, juste égale à la chaleur corporelle de chaque habitant !!!!! L’été avec canicule on gaspille la chaleur sur nos toit qui peut servir à nous chauffer en hiver en la stockant dans le moins cher la terre gratuite sous nos pieds en géothermie solaire superficielle.!! Mais il faut que cebh2o daigne apprendre la diffusion thermique qu’il ignore superbement !! cebh2o devrait réaliser un stockage été pour hiver avec une belle piscine d’eau pas chère chauffée en solaire en été et rendant sa chaleur en hiver pour chauffer la ou les maisons !! La terre n’a pas besoin de récipient sous nos pieds et immense est gratuite. !! Suivant la nature du sol les 3m typiques de pénétration thermique exponentielle annuelle oscillante sont entre 3 et 6m Les besoins en eau chaude sanitaire sont faibles par rapport à ceux en chauffage à 1000m d’altitude et des -30°C en hiver parfois !! Ils ont séparé les besoins très différents en esu sanitaire 60°C de ceux en chauffage 20°C dans les maisons, au lieu de tout mélanger comme cebh2o et d’avoir un échec.
Heula ignore superbement les 9 milliards d’€ mis dans l’EPR pas viable, 3 fois plus cher, dangereux par sa complexité d’infaillibilité imaginaire, avec derrière indispensable le pas rentable du tout des mille milliards mis dans le nucléaire et militaire autrefois. Il oublie la quasi certitude tôrt ou tard d’un tcherno-Fukushima inévitable car aucune technique ne peut être infaillible à perpétuité ( Heula pense que nos techiciens sont des surhommes bien plusintelligents que les japonais ou Russes ), en France vidant toute une région radioactivée pour des siécles, des mille milliards d’€ perdus et la France coulée économiquement, sans parler des déchets ingérables laissés à nos enfants pour des millénaires (eux rentables pour Heula conditionné et payé par les lobbys nucléaires et pétrolier )!! Mais 63 500$ d’études par maison pour des maisons qui valent entre 5 et 10 fois plus ( et pas 3 fois plus que leur prix comme pour l’EPR, véritable gaspillage dangereux et fou !!!! ), uniques au monde à chauffage gratis perpétuel sans aucun CO2 ( rentabilité certaine car prix sur temps infini d’économies en chauffage sans CO2 ) , sans la moindre pollution, sans aucun danger du tout, somme en pourcentage très faible pour une étude technique nouvelle unique au monde, alors que tout étude industrielle d’objet nouveau coute des dizaines voire des centaines de fois le prix d’un seul objet vendu, comme pour toute voiture, l’EPR, etc.., pourtant déjà fonctionnels et pas fondamontalement nouveaux. Cette réalisation dlsc.ca si généralisée partout permet d’économiser le CO2 dégagé par chauffage, soit 40% du CO2 total , sans aucun danger du tout, contrairement à la folie du nucléaire et du pétrole !! C’est incroyable la mauvaise foie des lobbys qui étouffent les vraies solutions futures avec des mensonges trompeurs !!
mettre du gras partout et partir sur des comparaisons avec l’EPR n’a pas vraiment de sens, car l’EPR c’est quand même plutôt franco-francais comme débat. Regardons donc ailleurs et expliquez nous pourquoi l’exemple de Drake Landing n’est pas multiplié quasiment à l’infini dans le monde? Doit y avoir un problème, non? Parce que techniquement ça semble bien marcher si on lit les rapports, au moins ceux que j’ai lu. Peut-être de coût, non? Remarquez, je posais déjà la question de façon assez insistante fin 2011 sur Enerzine.
Donc si on stocke de la chaleur sous terre sur des dimensions nettement plus que 3m on perd peu de la chaleur » On perd peu de de la chaleur peut-être , mais si j’en crois le dernier rapport annuel en ligne ( saison 2012/2013): « In the 2012-2013 season, 2,556.2 GJ was injected into the BTES and 1,306.8 GJ was extracted for an annual ratio of 50.9%. Since July 2011, 7,346.6 GJ were injected into the BTES and 3,428.1 GJ were extracted, for an overall ratio of 46.6% over the past 3 years » Bon, il semble qu’on en perde environ 50% quand même…..alors que Drake landing est maintenant en régime stabilisé. Vous avez une explication, au-delà de « une réalité observée appelée déphasage pour de faible épaisseurs en oubliant la pénétration atténuée selon une exponentielle sur les oscillations annuelles, « ?
Oui, c’est pas avec des promesses et des breloques qu’on va booster l’innovation. Celle ci résulte parfois d’un besoin nouveau,souvent économique, qui ne pouvait émerger faute de technologies adaptées. Mais l’innovation ne sert pas à grand chose dans une société écartelée entre les contraintes du droit au travail et des obligations patronales ? Entre employés exploités et patrons voyous, il doit bien y avoir un juste milieu ! Le juste milieu étant sans doute,la liberté de chacun ? L’employé de quitter l’entreprise si elle ne lui convient pas. L’employeur de remercier les employés qui ne font pas le job.