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Première hydrolienne raccordée au réseau électrique français

par La rédaction
29 septembre 2015
en Energie, Hydro

HydroQuest a annoncé le raccordement effectif de son hydrolienne fluviale implantée à Orléans au réseau électrique français, une première en France pour tout type d’hydrolienne, fluviale, marine ou encore estuarienne.

Pour HydroQuest, cette étape ouvre de nouvelles perspectives de développement en France et à l’international pour ses technologies à fort potentiel énergétique mais aussi environnemental.

L’hydrolienne fluviale HydroQuest River 1.40 a été implantée dans la Loire à Orléans fin 2014. Après 10 mois de fonctionnement en conditions réelles et des mesures de la production électrique permettant de valider la performance de la machine en milieu naturel, l’hydrolienne vient d’être raccordée au réseau électrique ERDF.

HydroQuest a désormais pour objectif d’implanter à travers le monde des parcs de plusieurs dizaines de machines permettant d’alimenter en électricité des dizaines de milliers de personnes.
 
"Nous sommes fiers d’être les premiers à raccorder une hydrolienne au réseau électrique français. Forts des succès rencontrés avec nos hydroliennes fluviales testées en conditions réelles, nous avons lancé il y a quelques semaines la commercialisation de notre gamme afin de contribuer à la dynamisation de la filière industrielle française et de répondre
aux besoins énergétiques croissants des pays industrialisés et des pays émergents. C’est dans cet objectif que j’ai accompagné en juillet dernier le chef de l’Etat François Hollande dans ses voyages d’Etat au Bénin, au Cameroun et en Angola. La France doit se positionner aujourd’hui comme un modèle international dans le secteur des énergies marines et fluviales, notamment à travers la mise en place  d’une ferme pilote significative qui permettra de démontrer à des clients du monde entier les capacités de l’hydrolien
" a déclaré Jean-François Simon, président d’HydroQuest.

Baptisée HydroQuest River, la gamme d’hydroliennes fluviales d’HydroQuest utilise l’énergie cinétique des cours d’eau. Ainsi, la production d’énergie se fait de manière régulière et prédictible. L’hydrolienne est adaptable à tout profil de rivière offrant un minimum de 2 mètres de tirant d’eau.

Fabriquées en France, elles se composent de turbines hydrauliques à axe de rotation vertical et reposent sur une barge flottante amarrée au fond du fleuve, afin de faciliter la maintenance et les contrôles.

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Première hydrolienne raccordée au réseau électrique français

Le modèle HydroQuest River 1.40 se compose de 2 turbines hydrauliques avec une puissance nominale électrique de 40 kW.

Le modèle HydroQuest River 2.80 dispose de deux étages avec une puissance nominale électrique de 80 kW.

 

Tags: hydrolienneneutralite climatiquereseau electrique
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Commentaires 18

  1. gaga42 says:
    il y a 10 ans

    Après 10 mois de fonctionnement, on est en droit d’attendre de cet article qu’il nous fournisse la production totale ou moyenne… afin de vérifier les 40 kW. Perso, 3.1 m/s sur la Loire, avec l’engin et sans barrage, j’ai du mal à y croire, et comme E=1/2mv^2…

    Répondre
  2. seb says:
    il y a 10 ans

    Pour bien connaitre le lieu d’implantation du prototype, je pense que vous avez raison… la vitesse moyenne d’écoulement sur ce site est à mon avis bien inférieure à 11km/h… Et effectivement, la physique est cruelle… La puissance dépend de la vitesse au cube(E=mv^2, et la masse d’eau traversant la turbine dépendant aussi de sa vitesse)…

    Répondre
  3. Domzac says:
    il y a 10 ans

    On aimerait savoir ce qu’il en est pour les poissons et les alevins ?? Merci pour la réponse

    Répondre
  4. Herve says:
    il y a 10 ans

    Le poisson débile mental (il y a pas que les humains) peut être tenté d’aller se faire broyer dans la machine, dumoins celui qui ne s’est pas fait pêcher ou bouffer avant par un heron, un cormoran (especes protégées), ou les divers poissons carnassiers… Les autres poissons passent leu chemin (enfin leur rivière…) à coté de la machine… Ce genre de bebete est en principe craintif et ne va pas aller s’aventurer dans l’engin. Sinon sur l’utilité de ces machines, coté rendement d’ensemble bien voir que ça n’a rien à voir avec une vraie microcentrale, mais si c’est implanté la ou on ne peut pas mettre de microcentrale pour diverses raisons, c’est toujours mieux que rien! Concernant le coté financier de l’opération, je suis d’accord avec gaga42, les chiffres auraient été intéressants. Cependant on est encore au début de cette techno bien que le principe ait été déja exploité par le passé (anciens moulins avec une roue a aube par dessous monté sur une barge).

    Répondre
  5. stephsea0 says:
    il y a 10 ans

    J’ai moi aussi des réserves sur l’hydrolien en rivière… Je n’en vois presque aucune application commerciale dans les pays densement peuplés et donc densément connectés. Cela limite les débouchés. Il y a effectivement des applications pour les consomateurs non connectés au réseau (maison isolée, villages, micro industrie en zone non raccordée). Dans ce cas cette production relativement régulière et la simplicité d’instalation, l’absence d’infrastructures lourdes sont des atouts majeurs. Mais le kw restera évidement largement plus cher que celui qui sort des grosses instalations à haut rendement. J’ai surtout une réserve comme gaga sur la com’. On monte en épingle un événement sans le décrire, sans le justifier : l’hydrolienne est parfaite! C’est normal, elle financée par EDF! Qui pour en douter? Bon… Où sont les chiffres? Quel rendement entre l’énergie qui a effectivement traversé cette instalation et la production effective en kw? Comparaison avec d’autres systèmes? Un autre réserve est le faible rendement en pratique des systèmes sans barrage et sans guidage du flu. J’ai un doute sur l’efficacité des « flaps » arriere qui sont censés faire un effet d’accélération sur les conduites. Intuitivement je choisirais plutôt un guidage amont, ou une combinaison de guidage aval et amont. Mais la mecaflu nous réserve souvent des surprises. A noter aussi la forte exposition en cas de cru et de gros objets flottants… Comme déjà évoqué plus haut. Pour répondre à la question « poisson » ci-dessus : Les poissons n’ont rien à craindre, pas plus que d’un caillou ou d’un quelconque obstacle naturel. Il est vrai que les pales qui remontent le courant sont relativement rapides, mais de la à blesser un animal bien portant… une baleine – ou ma belle mère – pourrait se retrouver coinçée comme un tronc sur la face avant du système. Baleine en rivière? La mousse médiatique qui fleurie depuis plusieurs années est elle proportionnelle au rendement global du projet? La question reste, et la mousse avec. Question mousse ils en font un paquet. Hydroquest associé à un grand chantier naval de normandie, hydroquest qui se balade avec notre suprême commandeur (le mec au scooter) en Afrique… Ca tape fort! Disproportion? J’ai un mauvais pressentiment… Je n’ai rien contre Hydroquest mais comme toujours, cette com’ intensive n’est absolument pas en lien avec la qualité du projet. Et surtout, cette concentration de moyens est nuisible à d’autres projets moins mousseux – plus focalisées sur la technique surtout. On le voit sur le terrain. La concurrence est rude. Plus elle est rude, et plus la com’ s’en mèle et plus le résultat financier est déconnecté des performances techniques réelles.

    Répondre
  6. Sicetaitsimple says:
    il y a 10 ans

    « Je n’en vois presque aucune application commerciale dans les pays densément peuplés et donc densément connectés. Cela limite les débouchés.Il y a effectivement des applications pour les consommateurs non connectés au réseau (maison isolée, villages, micro industrie en zone non raccordée). Dans ce cas cette production relativement régulière et la simplicité d’installation, l’absence d’infrastructures lourdes sont des atouts majeurs ». Comme quoi un dialogue un peu viril peut faire réfléchir! Car vous déclariez il y quelques temps: Quelle mauvaise fois incommensurable de se servir des indiens du maroni (ou d’autre gentils sous-developpés, peuples-de-la-rivière) pour justifier leur mécano de labo à 2.5M€! Et en l’occurence la rivière est bel et bien barrée par un joli pont en acier… Si vraiment il fallait des ENRs là bas en Guyanne française (quelle rigolade quand on compte les centaines de milliards de Arianne), on ne se serrait pas gené pour construire des barrages massifs et rellemenent productifs comme celui de la Rance. De telles installations (2 barrages?) suffiraient probablement à produire toute l’électricité de Guyanne. Resterait alors à fair un réseau digne de ce nom. Mais ne nous inquiétons pas trop : dans les faits les indiens totalement illetrés (qui ne parlent pas français) qui vivent à quelques km de Kourou, de St Laurent ou de Cayenne sont le dernier des derniers des soucis de nos chers politiques et autres gérants de EDF. Ce à quoi je vous répondais: Guyane: pour ceuxqui voudraient parler d’electricité en Guyane, je recommande la lecture préalable de ce document: ….voir lien Il s y verront ce que sont les « communes de l’intérieur », et apprécieront en conséquence la remarque pertinente de Stephsea « Resterait alors à faire un réseau digne de ce nom. » Resterait donc à percer environ 300km de forêt amazonienne pour transporter quelques MW, Super développement durable, et économiquement je vous dis pas. C’était ici:

    Répondre
  7. Boubou18 says:
    il y a 10 ans

    Bob! OK! Elles ne sont pas tout a fait du mêeme type. Mais les unités de production de l’usine maré-motrice de la Rance ne sont-els pas des hydroliennes d’une autre conception? et depuis combien d’années tournent-elles? Arrêtons de nous gausser aavec de prétendues nouveautés………..

    Répondre
  8. seb says:
    il y a 10 ans

    On ne peut pas comparer un barrage comme celui de la Rance qui fonctionne en barant un estuaire et avec une hauteur de chute de plus de 10 m à une turbine fixée sur une barge simplement amarée au fond ! Sur le principe de l’hydrolienne fluviale, c’est vrai que j’ai des doutes sur leur réelle utilité … Même si au premier abord l’idée semble séduisante. Il y a très peu de fleuves comportant des vitesse d’écoulement intéressantes avec des profondeurs de plus de 2m. Des vitesses au dessus de 3m/s sont rarissimes, et même la moitié ça ne court pas les rues. Si on ajoute à ça le risque en cas de crues, l’équation devient difficile, même pour une utilisation hors réseau.

    Répondre
  9. Papijo says:
    il y a 10 ans

    Une vitesse de 3,1 m/s, cela correspond, sauf erreur, à l’équivalent d’une chute de 50 cm (à rendement 100%). Effectivement, avec en plus une profondeur de 1,5 m pour la seule roue (version 40 kW), ce qui exclue la plupart des rivières de montagne, les sites ne seront pas évidents à trouver !

    Répondre
  10. Tech says:
    il y a 10 ans

    quelle bande de rabat-joie. ça fonctionne, c’est relié, et c’est installé où ça peut produire, point barre pourquoi dire que c’est nul en prétextant que ça ne peut pas s’installer partout!

    Répondre
  11. Herve says:
    il y a 10 ans

    En fait la difference fondamentale c’est que la turbine classique (comme celles de la rance) exploite la totalité du potentiel d’un site. L’hydraulienne comme l’eolienne, n’en exploite qu’une petite partie. Donc s’il est impossible de faire un barrage, bonne maison, si l’operation est viable et que le Kwh sort pas cher, ça vaut toujours le coup, même en zone densément peuplée. En revanche installer ce type de machine à la place d’une turbine conventionelle serait une grosse bétise, sachant que le potentiel hydrau étant limité, il faut absolument l’exploiter du mieux qu’on peut (sous réserve de bilan financier positif biensur!) Pour répondre à Papijo, vous pouvez avoir 0.5m de chute sur une rivière de 5m d’epaisseur. La chute souvent répartie sur une distance significative donne tout de même de la vitesse à l’eau. De plus ces trés faibles chutes sont difficiles à exploiter de manière rentable avec des installations conventionelles car les machines sont énormes. Concernant les crues, et en se réferant aux images en bas d’article, il semble que la machine est montée sur barge et la roue semble pouvoir être relevée, certainement pour laisser passer les embacles. Donc les crues ne devraient pas poser de soucis, d’ailleurs c’est même probablement un point fort de ces machines, on doit pouvoir les utiliser pendant les crues!

    Répondre
  12. Sicetaitsimple says:
    il y a 10 ans

    Bien d’accord. Je le répète, le marché de ce produit ce n’est pas un raccordement au réseau d’Orléans, il se trouve que c’est certainement plus pratique de faire des tests à Orléans qu’à l’autre bout du monde. Mais ça ne sera jamais compétitif dans ce contexte. Le marché ce sont les systèmes isolés, sur une rivière ( et généralement les populations se groupent autour des rivières), là ou l’alternative c’est du groupe électrogène diesel approvisionné en gazole dans certains cas via des pirogues. Avec bien entendu aussi du PV par exemple. Ce type de population, mine de rien ça représente un paquet de monde qui aujourd’hui n’a pas accès ( ou très cher) à l’électricité.

    Répondre
  13. stephsea0 says:
    il y a 10 ans

    Puisque Enerzine ne le fait pas ou très partiellement – en ne publiant que de la com’ finalement, et sans le dire – je vais parler ici de quelques projets concurents – dans lesquels je n’ai aucun intérêt perso bien sûr. C’est à mon avis une architecture largement plus universelle. Je ne sais pas si les rendements sont supérieurs, mais c’est très probable. Cette machine n’a pas besoin de guider le flu pour l’exploiter, c’est une énorme différence! Elle est simple, et peu sensible aux objets dérivants contre lesquels une protection réduite sera suffisante, sans impact significatif sur l’énergie potentielle. Tout bon pour le moment. D’autres machines aussi belles dans votre horizon? Parlez en.

    Répondre
  14. stephsea0 says:
    il y a 10 ans

    Cher Sicetait, oui, je revendique une grande mobilité intelectuelle, et en même temps un engagement dans ce cheminement. Je sais que ce n’est pas évident à admettre ou à suivre pour mes interlocuteurs, et encore moins à assumer pour moi. Cette plasticité n’est pourtant pas assimilable à un mouvement de girouette. Ma « mobilité » demande beacoup d’énergie, et le vent d’automne ne suffit donc pas à me faire pivoter. En effet, le principe d’hydrolienne placée dans le courant est fortement applicable aux très grands fleuves d’Amérique du Sud. Je le dis avec quelques certitudes car je connais ces fleuves – un peu – pour en avoir remonté quelques uns, avoir naviguer sur quelques estuaires, etc. Je connais aussi la guyanne française, et un au moins de ses fleuves en partie basse. Je prolonge donc mes précédents propos sans les renier. Un barrage d’estuaire est un sujet digne d’étude en guyanne. Le barrage serait à proximité immédiate des deux grandes métropoles guyannaises! Est ce en contradiction avec la pose d’hydroliennes légères en amont? Pas du tout. Par contre, je persiste sur mes doutes. Hydroquest ne me parait pas apporter par son architecture les garanties de fiabilité accepatbles pour des instalations vraiment isolées, et vraiment sauvages dans tous les sens du terme. Cette machine est trop civilisée, déjà trop industrielle et sophistiquée.

    Répondre
  15. Herve says:
    il y a 10 ans

    Je suis plutot d’accord avec vous, la conception semble trop fragile dans les deux cas, faut que l’engin puisse se manger des arbres qui lui arrivent dessus à pleine vitesse. Faut voir toute la merde que les rivières transportent. Pour moi, les anciennes machines du moyen age à axe horizontal hors d’eau restent ce qui se fait de mieux pour la fiabilité sur le concept. De toute façon des solutions pour convertir l’energie mécanique de l’eau en energie, il y en a des wagons. Ensuite, le tri se fera par la rentabilité et seules la (les) meilleures subsisteront. Dans le cas des turbines conventionelles, il en existe des centaies de différentes, mais seulement 3 sont largement utilisés. La rentabilité inclue le cout de fabrication mais aussi la maintenance. Gagner 5 points de rendement c’est bien mais s’il faut remplacer la machine deux fois l’an ça va pas le faire. Pour le cas présent, je ne suis convaincu ni par l’une ni par l’autre. Faut dire qu’on n’a pas grand renseignements.

    Répondre
  16. Sicetaitsimple says:
    il y a 10 ans

    Trop fort… Changer d’avis comme de chemise,ou du moins raconter un jour quelque chose et raconter « le lendemain » le contraire c’est en fait de la « mobilité intellectuelle », de la « plasticité ». C’est un concept interessant. Vous m’éclairez, car en fait sur Enerzine on a pas mal de spécialistes de la mobilité intellectuelle et de la plasticité, même des champions qui changent d’affirmations entre le matin et le soir! Bon, désormais je vais regarder ça sous un autre angle…

    Répondre
  17. Dan1 says:
    il y a 10 ans

    Je confirme ce que dit Sicetaitsimple : Sur Enerzine, nous avons de véritables champions de la plasticité et de la mobilité intellectuelle, c’est indéniable. Mais j’avais tendance à penser que c’était l’exact inverse de la colonne vertébrale de la pensée. Des invertébrés en somme. Me trompé-je ?

    Répondre
  18. stephsea0 says:
    il y a 10 ans

    Je vois que l’insulte et la diffamation ne sont jamais bien loin… J’avais cru faire un effort de sociabilité, et de réciprcocité, en expliquant un peu ma possibilité d’évoluer, et même de changer d’avis. Je vois bien que cette faculté est très sévèrement critiquée, à dessein de me discréditer. Est ce parce qu’elle est mal partagée? Force est de constater la charge immuable des deux intervenants en dénigrement du changement, de la plasticité, et contre toute évolution significative du modèle dominant… En résumé, vos propos sont tout simplement inacceptables ici. C’est la première fois que j’observe de votre part un tel débordement – hors sujet.

    Répondre

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