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Le coût d’une catastrophe nucléaire en France chiffré à 430 milliards

par La rédaction
14 février 2013

Il y a quelques jours, l’Institut national de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) jetait un froid en annonçant que, si une catastrophe nucléaire semblable à celle de Fukushima survenait en France, celle-ci pourrait coûter de l’ordre de 430 milliards d’euros.

Faisant suite à l’hypothèse évoquée par l’IRSN, Thomas Le Diouron, Directeur d’Impulse Partners (société de conseil en stratégie), nous livre sa réflexion sur l’acceptabilité du risque, et donc des coûts induits qu’il faudrait supporter.

Les coûts indirects (impacts sur l’économie) étant d’ailleurs estimés plus élevés que les coûts directs (décontamination, indemnisation des victimes…). Certes, le chiffre peut sembler démesuré d’autant que la catastrophe de Fukushima résulte d’une suite d’évènements qui paraissent peu reproductibles dans l’hexagone (tremblement de terre et tsunami dans une région très industrielle et très peuplée, impéritie de l’opérateur Tepco….). Mais faut-il vraiment s’étonner d’un tel montant et peut-on être vraiment assuré que ce scénario catastrophe ne se produira jamais en France ? A ces deux questions, la réponse est malheureusement non. L’histoire récente des catastrophes relevant de l’intervention humaine montre que leurs coûts et leurs conséquences ne font que s’amplifier. Ainsi, Tchernobyl a coûté plusieurs centaines de milliards de dollars et a précipité la faillite de l’Union Soviétique. Dans d’autres registres, les attaques contre le World Trade Center ont déclenché les conflits d’Afghanistan et d’Irak ; l’effondrement de mécanismes de titrisation de crédits « subprime » a provoqué une contagion sur le système bancaire mondial.

Des objets sans contrôle

L’homme invente des machines si complexes qu’il en perd le contrôle. Ces catastrophes si diverses dans leur nature ont de nombreux points communs : un coût humain au niveau local, un coût de nuisances global et un coût psychologique de portée internationale avec de lourds impacts économiques qui dépassent tout ce que les responsables avaient pu imaginer.

Elles résultent d’une course au gigantisme et à la technologie qui permet d’élaborer des objets d’une très grande complexité (immeubles de grande hauteur, superpétroliers, A380, EPR…) et de vouloir rechercher une efficacité économique maximum. Attention, l’idée n’est pas ici de remettre en question les innovations technologiques qui nous offrent la possibilité d’être mieux soigné, mieux éduqué et mieux informé. Mais plutôt, de rappeler que ces objets hors norme peuvent échapper au contrôle de leurs exploitants.

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Et l’on s’aperçoit alors que les conséquences sont sans commune mesure avec la fonction et l’utilité initiale de ces objets, allant parfois jusqu’à bouleverser les fragiles équilibres de l’ordre mondial. C’est pourquoi, l’histoire récente nous indique qu’il est ni possible ni raisonnable d’affirmer avec certitude que la France pourrait échapper à une catastrophe de l’ampleur de celle de Fukushima.

Apprendre à vivre avec le risque

Mais s’en lamenter ou appeler à l’arrêt immédiat des centrales nucléaires en France ne résoudra pas le problème. Quelle que soit l’issue de ces débats, si issue il y a, il y aura de toute façon un parc existant de centrales nucléaires à gérer et toute transition vers des solutions moins risquées (comme la transition énergétique vers le renouvelable) sera lente et coûteuse à mettre en place.

Se focaliser sur ce débat masque la nouvelle réalité de notre planète : dans un monde de 7 milliards d’habitants de plus en plus urbanisé, il n’est pas économiquement pensable de se passer des dernières avancées technologiques. Mais personne n’est à l’abri de leurs défaillances. Même si nous choisissons de les écarter car nous ne sommes pas prêts à en supporter le risque, d’autres nations moins regardantes les appliqueront et le risque sera tout aussi présent.

Ces catastrophes sont donc inéluctables et leur fréquence va aller en grandissant. Elles font désormais partie de notre modèle et il faut apprendre à vivre avec. Mais pas n’importe comment : d’abord en arrêtant de se mentir en prétendant qu’elles ne peuvent pas se produire chez nous. Ensuite, en imposant aux exploitants de ces objets un niveau de contrôle et d’exigence cohérent avec les conséquences. Enfin, en acceptant d’envisager le pire et d’anticiper les conséquences : à défaut de prévenir le risque, au moins doit-on en limiter les impacts et leurs conséquences.

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Commentaires 24

  1. Pas naif says:
    il y a 12 ans

    ..l’accuse de la rage. On voit clairement se déployer la campagne perverse contre le nucléaire en France, en exagérant tous les aspects paraîssant négatifs de façon outrancière: quand on est au niveaude milliards d’€, personne ne comprendra un mensonge qui annonce 430 et bientôt 4300 pour finir à 100 000. Qui est allé faire de pareilles campagnes de dénigrement dans le passé contre: * Les trains au 19° siècle ou chaque accident coûtait la vie à des centaines de personnes car les wagons en bois, fermés de l’extérieur et éclairés au pétrole brûlaient comme un fétu de paille… * Les premier paquebots disparus corps et bien dans les années 1870-1875? * L’aviation qui a tué des centaines de milliers de personnes et qui rend un service bien superficiel à la classe aisée? * Le tabac et autres drogues, sans commentaires. Mais il n’y a pas que quelques pays obsédés en Europe (3-4), il y a le reste du monde où 67 tranches sont en construction comme jamais auparavant. On voit bien les pays d’avenir qui ont la main pour l’avenir, laissant ceux contaminés par les éternels écolo-minimalistes-anti-tout sur le bord de la route du progrès. A propos, à combien évalue-t-on l’impact économique gigantesque des thèses écolo ci-dessus étalées sur 50ans, qui émasculent l’économie et le développement? A des dizaines de fois un PIB et là nous parlerons de centaines de milliers de milliards d’€.

    Répondre
  2. Rice - le troll says:
    il y a 12 ans

    Comme de nombreux internautes le rappellent à juste titre au fil des articles, il n’y a quasiment plus de pays développés qui investissent dans l’énergie nucléaire ; seuls les pays en voie de développement et les « démocraties populaires » ou « islamiques ». Pour les premiers, qui bien souvent disposent de ressources naturelles et renouvelables, on peut raisonnablement s’étonner qu’ils cèdent aussi facilement au mythe de l’atome pas chér et sûr (mais le lobby du nucléaire sait acheter les consciences…; le problème c’est quand ces populations auront accédé au niveau des pays occidentaux, elles se rendront compte un peu tard, de l’erreur dramatique) ; quant aux deuxièmes, s’agissant de dictatures, ils ont pas l’habitude de demander leur avis aux populations. Fermez le ban. On comprends dès lors mieux pourquoi il vaut mieux parler de « tranche en construction » que de pays pro-nucléaire. Alors, un conseil à notre ami PasNaïf (bien nanti, bien au chaud et p’têtre même retraité de Framatome – toute une vie -), qu’il aille donc faire son prosélytisme dans ces pays. Bon voyagge et bon débaras. PS : 430 milliards d’euros c’est une somme non ? même en appliquant un faible taux de probabilité de réalisation du risque, pour sur que la prime d’assurance (si lelle existait !) promberait pour le moins la compétitivité de votre kWh atomique….

    Répondre
  3. Temb says:
    il y a 12 ans

    Que la cour des compte dise qu’un accident nucléaire coute cher et il s’agit pour vous de propagande. Qu’un BE dise que l’éolien n’a pas besoin en france de back-up et qu’il contribue à la pointe : propagande. Vous vivez encore à l’époque de la guerre froide? Le monde change, le nucléare n’a jamais été et n’est plus une solution d’avenir unique. Vos 67 tranches en construction, sont pour les 2/3 dans une dictature communiste, ça explique votre nostalgie de la guerre froide? Votre discours est tellement caricatural qu’il ferait passer le plus écolo des décroissantistes éleveur de chèvres pour un incroyable moderniste visionnaire.

    Répondre
  4. Temb says:
    il y a 12 ans

    En fait c’est pire, c’est l’IRSN qui sort cette étude et pas la cour des comptes. Je vois mal comment on peut les taxer d’être des anti-nucléaires primaires. Vous êtes un fou dangereux pasnaif. J’espère qu’on embauche plus de gens comme vous chez EDF, qu’on fait quelques tests psychiatriques avant. Vous auriez été parfait à Tchernobyl pour conduire les tests qui ont abouti à l’explosion et à ses conséquences qui perdurent aujourd’hui. D’ailleurs qui paye pour Tchernobyl? L’europe. 1,5milliards gaspillés pour le sarcophage grace à des fous comme vous.

    Répondre
  5. einstein30 says:
    il y a 12 ans

    pour « temb »,je ne vois aucun rapport avec l’IRSN encore moins avec la cour des comptes ; ces deux institutions n’ont rien a voir avec la « production d’energies nucleaires ; pour info, j’ai 35 ans de NUK derriere moi avec intervension dans une centrale en russie et je ne suis pas mort (dosimetrie negative) ;donc faut arreter de parler des sujets que vous n’avez pas vecu sur le terrain et non pas des intox(s) publies a tout va par les anti nuk qui profitent de celui-ci pour s’eclairer et se chauffer.

    Répondre
  6. Velka says:
    il y a 12 ans

    Il est enfin temps de chiffrer les vrais coûts du nucléaire. Ensuite, on pourra choisir pour l’avenir, sur la base de critères rationnels. En effet, seuls les pays en fort développement industriel (ou militaire) semblent encore vouloir financer la filière nucléaire. Mais en France le mythe de l’énergie miraculeuse et à bas prix, est encore très présent. On n’a pas encore intégré les vrais coûts du démantèlement et de la gestion infinie des déchets, qui vont aussi nous coûter très cher dans l’avenir. On commence à peine par l’essentiel : le risque. Logique, surtout vu le passif de la filière et les accidents récents (a Fukushima, mais y compris à Marcoule, site ayant surement la plus forte densité d’ingénieurs et physiciens du pays ?). C’est cela qui est déconcertant, ce déni du risque, C’en est presque une attitude irrationnelle. A mi chemin entre une croyance immuable (en quoi ?) et une prétention de maitrise de l’atome (douteux, sachant que même Einstein à apparemment commis des erreurs en physique).

    Répondre
  7. Etiennesolar says:
    il y a 12 ans

    « dans un monde de 7 milliards d’habitants de plus en plus urbanisé, il n’est pas économiquement pensable de se passer des dernières avancées technologiques. » Et oui !, les PV, l’éolien, les microalgues, la geothermie … sont des technologies beacoup plus avancées et avec des possibilités R&D bien plus importantes que nos vielilles bouilloires nuk dont on ne sait comment réduire les dangers, et dont le cout de démantellement va nous manger les deux bras ! Ah oui ! encore un petit détail : Fuku se trouve sur la côte ouest du Japon avec des vents dominant d’est … en France, à l’est il y a toute l’Europe (c’est un peu plus peuplé que le Pacifique !) … Juste une question : messieurs les pronuk, êtes vous prêt à signer un acte de don de tous vos biens aux Suisses – Allemands – Italiens – Belges – Autrichiens qui pourraient souffrir de votre inconscience !

    Répondre
  8. Etiennesolar says:
    il y a 12 ans

    Erreur … Fuku sur la côte Est du Japon et vents dominants Ouest … en France les vents dominants sont également Ouest et de nombreuses centrales à l’Est !

    Répondre
  9. Velka says:
    il y a 12 ans

    Il est enfin temps de chiffrer les vrais coûts du nucléaire. Ensuite, on pourra choisir pour l’avenir, sur la base de critères rationnels. Car en effet seuls les pays en fort développement industriel (ou militaire) semblent encore vouloir financer la filière de l’Atome. Mais en France le mythe de l’énergie miraculeuse et à bas prix est encore très présent. On n’a pas encore intégré les vrais coûts du démantèlement et de la gestion infinie des déchets, qui vont aussi coûter très cher. On commence à peine par l’essentiel : le risque. Logique, surtout vu le passif de la filière et les accidents récents (y compris à Marcoule, site ayant la plus forte densité d’ingénieurs et physiciens du pays ?). C’est cela qui est déconcertant, ce déni du risque, C’en est presque une attitude irrationnelle. A mi chemin entre une prétention de maitrise de l’Atome (douteux, sachant que même Einstein à apparemment commis des erreurs en physique) et une croyance immuable.

    Répondre
  10. chiedo says:
    il y a 12 ans

    @Etiennesolar Et les Allemands – Italiens – Belges – Autrichiens Ils on signés un acte de don pour toutes les personnes qui souffre ou meur en toute conscience de la pollution du charbon et autres saloperies qui elle, pollut deja au quotidient ?!

    Répondre
  11. fredo says:
    il y a 12 ans

    ok, faut vivre avec le risque, principe de réalité. Mais ce n’est pas un quitus à la construction de nouvelles centrales nucléaires. Et faut-il attendre d’avoir un incident niveau 7 sur l’échelle INES pour arrêter (ou tenter de le faire à ce niveau de gravité, cf Fukushima) une centrale nucléaire ? A mon humble point de vue, il est très préférable d’arrêter une centrale avant d’avoir un accident, voire d’atteindre une probabilité forte, probabilité qui augmente avec l’âge. Rappelons que les centrales nuc françaises ont plus des 30 ans prévus de leur durée de vie prévue lors de leur construction Mais au vu de certaines réactions plus haut, cet avis est-il partagé par les partisans du nucléaire ?

    Répondre
  12. chiedo says:
    il y a 12 ans

    Il me semble qu’il y a une autorité de sureté habilité à dire si une centrale est apte au service ou non et éventuellement les choses à faire pour qu’elle le soit (C’est le cas de Fessenheim). Rien ne justifie de fermer une centrale (ou n’importe qu’elle autre équipement dans quelque domaine que ce soit), sur la base de sont age, du moment qu’elle reçoit l’entretient et les mises à niveau sécuritaire pour correspondre aux attentes d’une centrale actuel !

    Répondre
  13. Dan1 says:
    il y a 12 ans

    Juste une petite interrogation : Est-ce que quelqu’un a lu les documents de l’IRSN qui sont disponibles depuis deux mois ?

    Répondre
  14. javahl says:
    il y a 12 ans

    Comme dans toute activité humaine, dans le nucléaire, le risque zéro n’existe pas. Mais un accident comparable à Fukushima est considéré comme improbable en France. Il est quand même important de rappeler que Tepko a reconnu ne pas avoir entrepris des travaux de sécurisation de ses installations pour une question de cout. Des travaux qui avaient été également préconisés, si mes souvenirs sont bons, par l’AIEA. Tepko a aussi reconnu avoir triché en produisant des rapports fallacieux. Il faut donc faire la part des choses sur les origines de l’accident de Fukushima. Ce dernier est surtout la conséquence de décisions politiques visant à faire du nucléaire au rabais dans un pays hautement à risques. Les Japonais ont joué à la roulette russe et ils ont perdu avec pour résultat des conséquences incommensurables pour leur économie et leur population. D’ailleurs, il n’y a pas que dans le nucléaire où les Japonais trichent en permanence pour réduire leurs couts de production et concurrencer nos industries. Ce qui est extraordinaire, c’est que l’accident de Fukushima fait surtout peur…. aux Français, et surtout pas aux Japonais. Alors que cet accident a eu lieu sur leur sol, ils ont voté pour un changement de majorité à leur assemblée nationale favorable au redémarrage de leurs centrales nucléaires. Quant à la France, la notion d’accident improbable n’est pas en soi déraisonnable. Les risques sont en permanence réévalués et jusqu’à ce jour je ne connais pas de directeur de centrale qui aurait refusé d’entreprendre des travaux pour améliorer la sécurité de ses installations qui auraient été imposés par un organisme de contrôle. J’imagine que les antinucléaires auraient vite fait de sauter sur l’occasion pour enfoncer un clou. Il y a plus de 40 ans, alors que j’étais étudiant en fac à Lille, j’ai croisé dans la rue une manif des premiers écolos (organisée par « les amis de la Terre ») contre le projet de création du parc actuel de nos centrales nucléaires. Ils avaient distribué un trac dans lequel il était précisé que dans les 30 ans à venir, l’une de ces centrales connaîtrait forcément l’accident le plus grave : la fusion du cœur du réacteur, qu’ils avaient appelée à cette époque « le syndrome chinois ». Tout était donc prévu et annoncé pour faire peur à la population. De nos jours, j’attends toujours ce fameux syndrome chinois….

    Répondre
  15. Bachoubouzouc says:
    il y a 12 ans

    L’étude de l’IRSN cherche à fournir un chiffre très approximatif (chiffrage difficile) sur deux types d’accidents : 1) L’accident sévère, qui correspond à un accident avec fusion du coeur où les rejets radioactifs seraient plus ou moins contrôlés. Cela correspondrait donc à quelque chose entre TMI et Fukushima. 2) L’accident majeur, qui correspond à un accident avec fusion du coeur où les rejets radioactifs ne seraient pas du tout contrôlés. Cela correspondrait donc à quelque chose entre Fukushima et Tchernobyl. Pour un accident sévère, le coût total pour la France serait de 120 milliards d’euro, dont : – 6 milliards d’euros de coûts sur site (destruction du matériel, décontamination, démantèlement, etc) – 9 milliards de coûts radiologiques externes (mesures de sécurité civile, coût en terme de santé publique) – 11 milliards au titre des surfaces contaminées (coût du terrain, déplacement des populations, etc) – 44 milliards au titre des pertes de production électrique, en partant du principe que les conséquences politiques de l’accident amèneraient à réduire de 10 ans la durée de vie de tout le parc nucléaire français. – 47 milliards au titre des coûts d’image, à savoir en gros l’influence de l’accident sur le reste de l’économie (tourisme, image de marque des terroirs, etc) Pour un accident majeur, le coût (repris par la presse) serait de 430 milliards d’euro, et on est à 8 milliards d’euro de coûts sur site, 53 milliards de coûts radiologiques, 110 milliards au titre des surfaces contaminées, 166 miliards au titre des coûts d’image et 90 milliards au titre des conséquences politiques sur le parc nucléaire. De ces chiffres on peut tirer plusieurs conclusions : 1) Les coûts de décontamination et de démantèlement de l’installation accidentée sont relativement faibles et constants au regard du coût total de l’accident : 6 à 8 milliards, soit de 2 à 6% du coût total. 2) 60 à 80% du coût de ces accidents tient à la contamination des territoires : Coûts radiologiques, coût des territoires irradiés et coûts d’image. La contamination des territoires tient à la dispersion de plusieurs éléments : – L’iode, qui disparait au bout de quelques jours. Cet élément constitue principalement un danger pour les enfants (car il se fixe sur leur glande tiroïde), et est la raison pour laquelle on distribue des pastilles d’iode en cas d’accident. – Le césium, qui met des décénies à décroitre radioactivement. La parade consiste à installer sur la ligne de décompression des bâtiments réacteur un filtre « U5 », ou filtre à sable, qui est prévu pour retenir 99% des particules de césium des gaz qu’on rejette à l’atmosphère en cas d’accident grave. Les japonais n’avaient pas suivi cette recommandation de WANO suite à l’accident de TMI (1979). Mauvais pari. – Les composants du combustibles usés si le coeur explose ou fuit dans le sol. Les parades sont l’enceinte de confinement et le core catcher qu’on trouve sur l’EPR ou l’ATMEA. En conclusion, les technologies et organisations pour limiter les conséquences d’un accident sont connues et relativement simples, mais elles représentent un coût lors de la construction et de l’exploitation des réacteurs et il ne faut pas faire d’économies de bouts de chandelle dessus. L’exemple du Japon est sur ce point frappant.

    Répondre
  16. Curieux 2 says:
    il y a 12 ans

    de voir à combien on estimerait le cout des dégats d’une bombe atomique envoyée par erreur ou malveillance . Va-t-on demander la suppression de toutes les bombes atomiques ?

    Répondre
  17. Tech says:
    il y a 12 ans

    pas besoind’attaque atomique la pluie de métorite d’hier en Oural à fait des centaines de blessés, essentiellement par des éclats de verrre dus au bang d’enrée dans l’atmosphère. que serait il advenu si ces météorites était tombées au mauvais endroits sur les centrales les moins sécurisées? oui le risque est très très très faible, mais donc pas nul! rien n’a pu être fait pour éviter ces météorites! Une étude réalisée à partir de données déclassifiées de satellites espions américains montre que chaque année, une météorite explose dans l’atmosphère en dégageant une énergie comparable à celle de la bombe atomique d’Hiroshima», explique Patrick Michel. «Mais comme la Terre est recouverte à plus de deux tiers par des océans et que la plupart des régions du globe sont peu habitées, ces explosions passent le plus souvent inaperçues. ce n’est pas parcequ’on ne voit pas tout que ça n’arrive pas! et la loi de murphy finit toujours par fonctionner, si cela peut foirer, cela foirera!

    Répondre
  18. Devoirdereserve says:
    il y a 12 ans

    M. Momal a présenté ses travaux dans une conférence de l’IHEST, qui devrait bientôt être disponible en ligne. Pour mémoire : est qualifié de grave l’accident de niveau 5 sur l’échelle INES (type TMI) et de majeur celui de niveau 6 ou 7 (type Tchernobyl) Je précise donc les réflexions de Bachoubouzouc. Le fait le plus stupéfiant de l’étude est le suivant : dans le cas de l’accident grave, il y a des rejets très limités, qui ne nécessitent l’évacuation très temporaire que de 0 à 10 000 personnes. Eventuellement 0 évacués donc. Et en tout cas, pas de victime radiologique. (comme TMI) Dans ce cas, le principal coût est le coût d’image : 47 G€. Autrement dit, voilà chiffré, enfin, le coût de la panique, de la désinformation, qui veut nous faire croire depuis des décénnies que tout accident nucléaire est nécessairement une catastrophe sanitaire d’ampleur mondiale. 0 morts, mais des dégâts d’image considérables. Le deuxième poste est « l’effet de parc » c’est à dire l’arrêt précautionneux des autres réacteurs, pour 40 G€. C’est la traduction politique du dégât d’image. Autrement dit, 87 G€ sur 120 G€ du coût de l’accident grave sont dus à l’ignorance. Relativisons le (comme il n’y a pas de victime physique, on a le droit d’être comptable, non ?) : ce ne sont que deux-trois années d’imports d’hydrocarbures. Sur le long terme, l’accident grave ne change donc pas la donne : le nucléaire reste intéressant. Autant investir dans le béton pour prévenir l’accident majeur est « rentable », autant il est crucial d’investir dans l’éducation du public pour limiter le coût de l’accident grave. Faire vivre des associations, offrir des moyens de mesure, éduquer, en toute transparence : voilà le chantier. PS: le coût de l’accident majeur est structuré différement. Bizarrement, il n’a pas suscité de discussion enflammée, et le débat avec la salle était pourtant vif et constructif (présence simultanée de personnes d’Areva, EDF et SDN, un pur bonheur, arbitré par M. Alberganthi de France Culture).

    Répondre
  19. Jpm2 says:
    il y a 12 ans

    Bonjour « Devoirdereserve ». Bon, alors… dans le cas de l’accident grave, il y a des rejets très limités, qui ne nécessitent l’évacuation très temporaire que de 0 à 10 000 personnes. Eventuellement 0 évacués donc. Evacuation de 0 à 10 000 personnes, donc…. Et donc vous retenez le chiffre… zéro! C’est beau, l’optimisme, tout de même! Je suppose que, dans le même ordre d’idée, un rayon d’évacuation de 2 kilomètres autour du réacteur accidenté (y compris en cas d’accident de niveau 6 ou 7) , comme ce qui est prévu actuellement, vous semble largement suffisant? Pour mémoire, il y a, par exemple, plus d’un million de personne dans un rayon de 30 kilomètres autour de Fessenheim. Pour mémoiré également, au moment de « l’incident » du Blayais, Alain Juppé s’était posé la question d’évacuer la ville de Bordeaux. Bordeaux, combien d’habitants? un peu plus de 10 000, je pense… Quand tentera-t-on, à titre d’exercice, l’évacuation d’un million de personne? Ah, c’est vrai, on a déjà fait des essais sur des populations, nettement plus modestes, de quelques milliers de personnes, et on a abouti à des cafouillages monstres… Arrêtons là sur le thème de l’évacuation. Vous écrivez également: voilà chiffré, enfin, le coût de la panique, de la désinformation, qui veut nous faire croire depuis des décénnies que tout accident nucléaire est nécessairement une catastrophe sanitaire d’ampleur mondiale. 0 morts, mais des dégâts d’image considérables également: 87 G€ sur 120 G€ du coût de l’accident grave sont dus à l’ignorance. Et donc vous concluez (et sur ce point je ne peux qu’être d’accord avec vous): il est crucial d’investir dans l’éducation du public . Par contre, je trouve la fin de votre phrase un peu décevante:… pour limiter le coût de l’accident grave. Donc, pour vous, l’éducation, ça a un but financier et c’est tout… c’est une façon de voir les choses (de plus en plus répandue et suivie d’effets, mais je ne développerai pas ici). éduquer, en toute transparence : voilà le chantier. J’espère que vous êtes conscient du fait que ce qe vous réclamez là, c’est un « changement de cap » à 180° par rapport à ce qui a été fait par les autorités de ce pays pendant les 60 dernières années? Vous vous plaignez de « la panique, la désinformation »… mais quand on fera un jour l’histoire de la désinformation en France sur la question nucléaire, il faudra faire un chapitre entier sur le professeur Pellerin: Pellerin, l’homme qui voulait que toutes les informations passent par lui, soient filtrées par lui, proviennent de lui… l’homme qui a réclamé aux autorités de l’époque (Chirac) ce monopole -exorbitant!- de l’information… et qui l’a obtenu! Et qui en a fait ce qu’on sait: minimisation (comme vous en début de post, tiens!) et mensonge à grande échelle… bref, de la désinformation! et 25 ans après, à l’heure de Fukushima, ça continue encore… Maintenant, il est vrai que la « méthode Pellerin », à l’ère d’internet, a largement pris du plomb dans l’aile. Ce que vous proposez est donc, au moins, plus réaliste… Après, pour ce qui est de vos propositions: Faire vivre des associations : Bon, « sauvons le nucléaire » (euh, pardon: « Sauvons le climat »), cette association désintéressée remplie de bénévoles retraités d’Areva et d’EDF, ça existe déjà! 🙂 offrir des moyens de mesure: je suis preneur; cela dit, de tels moyens sont surtout utiles et pédagogiques après catastrophe, quand il y a quelque chose à mesurer… mais « avant », on peut faire des choses aussi, quand même.Avec des « stériles » issus de l’exploitation des mines d’uranium, par exemple. En conclusion de cette partie: « Eduquer en toute transparence », banco: adopté! Mais n’espérez pas d’une telle mesure uniquement « une réduction du coût de l’accident grave »; en Allemagne, où un tel débat public a déjà eu lieu, l’effet le plus important dudit débat… a été de dégager un consensus largement partagé… en faveur de la sortie du nucléaire! Je finirai par deux petites remarques: présence simultanée de personnes d’Areva, EDF et SDN, un pur bonheur Apparemment, vous vous sentez bien (mieux?) lorsque vous êtes « entre vous »… soit… N’oubliez quand même pas que lorsqu’une salle est remplie de salariés d’EDF, Areva SDN, etc, « l’opinion de la salle » est probablement assez peu représentative de ce que pense et souhaite la population française dans sa diversité. Car les salariés d’EDF, d’Areva, de SDN, etc, ça n’est qu’une petite, une toute petite fraction de la population française…! le coût de l’accident majeur est structuré différement. Oui, effectivement. Quand on est face à LA catastrophe, il devient en fait assez difficile de mégoter/ d’ergoter en disant (comme vous le faites sur le cas de « l’accident grave ») que l’essentiel des conséquences est purement psychologique, « dû à l’ignorance! ». Vous vous étonnez donc du fait qu’il n’y ait pas eu, dans votre salle remplie de salariés d’EDF et d’Areva, de gros débat sur cette question. Pour ma part, ça ne m’étonne pas du tout: Face à l’EVIDENCE du caractère CATASTROPHIQUE d’un tel évènement, je comprends pour ma part tout à fait que ceux qui porteraient (au moins en partie) la responsabilité d’une telle catastrophe préfèrent ne pas trop s’attarder sur le sujet/ penser à autre chose/ plutôt débattre sur l’accident « acceptable », le niveau 5… les niveaux 6 ou 7 étant de toutes façons parfaitement INACCEPTABLES.

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  20. Jpm2 says:
    il y a 12 ans

    Pour ceux que ça intéresse, rappelons cet article, (Le risque d’accident nucléaire: une approche territoriale, écrit par Ambroise Pascal, ingénieur des ponts). On y lit, par exemple, qu’il y a plus d’un million de personnes dans un rayon de 30 kilomètres autour de Fessenheim, et près de 5 millions si on étend le rayon à 80 kilomètres. Egalement sur ce sujet, cet article, bien documenté. Je viens d’y apprendre que La centrale nucléaire de Shoreham à Long Island, non loin de New York, a été fermée dans les années 1980 avant même de commencer à produire de l’électricité parce que les autorités locales avaient refusé de valider le plan d’évacuation. Ca, c’est bien quelque chose qui n’aurait jamais pu arriver en France!! 🙁

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  21. Jpm2 says:
    il y a 12 ans

    Devoirdereserve, comme vous êtes resté sur votre faim concernant un potentiel accident majeur, thème peu (ou pas?) abordé dans la conférence à laquelle vous avez participé, je vous propose de prolonger le débat sur Enerzine. Je vous propose une seule question: En cas d’accident majeur (INES 6 ou 7) à Fessenheim, vous envisagez d’évacuer combien de personnes? zéro, aussi?

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  22. Bachoubouzouc says:
    il y a 12 ans

    Vous faites mine de croire que les évacuations de population sont le propre des accidents nucléaires, alors qu’on retrouve cette problématique à différentes échelles dans pratiquement toutes les catastrophes industrielles et naturelles. C’est un classique de la sécurité civile ! Et par ailleurs, évacuer massivement des populations n’a semble-t-il pas été le problème majeur à Fukushima. C’est plutôt le processus décisionnel qui va avec qui a peut être peché là-bas. Et quant aux quantités de population à déplacer en cas d’accident, c’est impossible à dire dans l’absolu : Cela dépend des quantités et des natures de matières rejettés (nucléaires ou industrielles classiques), et de la direction du vent.

    Répondre
  23. Dan1 says:
    il y a 12 ans

    Pour Jpm2. Auriez-vous les études d’évacuation des centrales nucléaires allemandes de : – Brokdorf, – Emsland, – Grohnde, – Grafenrheinfeld, – Isar, – Philippsburg – Neckarwestheim, – Gundremmingen. Combien de personnes à évacuer pour les neufs réacteurs encore en service en Allemagne ? Et par la même occasion, si vous trouvez les études pour les centrales suisses de : – Benau, – Leibstadt, – gösgen, – Mühleberg.

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  24. Devoirdereserve says:
    il y a 12 ans

    Bonsoir, Pour un fil de discussion qui était calme depuis 8 jours… je ne m’attendais pas à une telle flambée ! Evidemment, Jpm2, mon message ne s’adressait pas à vous, et vous l’avez bien compris… Vous déformez de manière éhontée, et c’est de bonne guerre. Je ne vous répondrais donc pas point à point… Je comprends que vous n’ayez aucune envie d’entendre le fond de mon propos. Que je résume de façon encore plus brutale : dans l’éventualité d’un accident grave, mais aux rejets très limités, où il y aurait besoin d’évacuer moins de 10000 personnes, temporairement, sans qu’il y ait de victimes radiologiques, les discours alarmistes coûteraient à la collectivité 87 G€. Ces 87 G€ ne sont pas que du pognon : il y a des victimes derrière. Les cris d’orfraie seraient responsables (cf. articles précédents sur Fukushima) de suicides d’agriculteurs, d’avortements etc. Alors même qu’il n’y aurait pas de victimes d’irradiation ou de contamination… Alors qu’il n’y aurait pas de victime physiques, et pas de contamination de la chaine alimentaire, la désinformation pénaliserait le tourisme et l’agriculture partout en France, y compris à l’autre bout du pays. C’est ce que traduit le chiffrage… Au bout, il y a bien des victimes… économiques. Je comprends que vous n’ayez pas envie d’entendre. Quant à mon commentaire sur la composition de l’assemblée, vous m’avez très très mal compris (je me suis très mal exprimé ?), relisez : SDN c’est Sortir du Nucléaire. Oui, oui : SDN et EDF dans la même pièce, pour écouter l’IRSN, c’est possible. Et il ne m’a pas semblé que M. Alberganthi soit spécialement pro-nucléaire (mais peut-être qu’il cache bien son jeu !). En résumé, je pense que la plupart de nos concitoyens préfèreraient savoir et comprendre, plutôt que croire et être manipulés. La vigilance d’associations environnementales est nécessaire ; mais il faut aussi qu’elle soit constructive et honnête. Or, c’est possible.

    Répondre

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