Alors qu’un article paru le 21 mars dernier dans "le Parisien" soulève à nouveau la question de l’effet éventuel des champs électromagnétiques sur la santé, RTE fait un mise au point sur sa responsabilité et l’état des connaissances actuelles.
RTE rappelle en premier lieu qu’en tant qu’entreprise de service public, il a le devoir d’informer régulièrement et en toute transparence le public, les professions de santé et son personnel sur les effets des champs électromagnétiques de très basse fréquence sur la santé. En 2007, précise-t-il, une rubrique dédiée a été mise en ligne en première page de son site Web.
"La position des instances sanitaires internationales est clairement établie sur les CEM liés aux très basses fréquences."
Pour RTE, "toutes les instances sanitaires internationales, en particulier l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), convergent sur la même position : en l’état des connaissances actuelles, les expositions environnementales courantes aux CEM de très basse fréquence ne présentent pas de risque pour la santé."
RTE souligne qu’en France, l’AFSSET (Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail) et le Conseil Supérieur d’Hygiène Publique confirment cette position.
"Ceci est le résultat de près de 30 ans de recherches", ajoute le gestionnaire de réseau. "Plusieurs centaines d’études épidémiologiques, de très nombreuses études expérimentales et plus de 80 expertises multidisciplinaires internationales ne montrent pas de lien de cause à effet entre l’exposition aux CEM de très basse fréquence et la santé, que ce soit lors d’une exposition à domicile ou au travail."
"Les données d’observation sont nombreuses et cumulées sur une longue période ; les scientifiques disposent donc du recul suffisant pour avancer des conclusions."
Le gestionnaire se défend ensuite de tout manquement au principe de précaution : adoptant une "approche de précaution responsable", RTE affirme appliquer "toutes les recommandations internationales (notamment celles de l’Union Européenne) qui fixent des valeurs limites pour les champs électromagnétiques garantissant un haut niveau de sécurité sanitaire."
Par ailleurs, il affirme "respect[er] strictement la réglementation européenne et française, y compris pour les habitations surplombées par des lignes (en général, construites postérieurement à la réalisation de la ligne)."
Il ajoute que "le plafond d’exposition réglementaire aux CEM résultant des lignes à très haute tension est de l’ordre de grandeur du niveau ambiant dans un domicile (câblage et éclairage intérieurs des habitations, appareils domestiques, rasoirs électriques, …)."
RTE apporte son soutien à la recherche biomédicale dans le domaine des champs électromagnétiques à très basse fréquence, en coordination avec les organismes internationaux. Un soutien qui, assure-t-il, n’entrave pas "l’indépendance des chercheurs" et implique "la publication des résultats obtenus".
RTE soutient également un programme de recherche épidémiologique engagé par l’INSERM en 2007 pour 3 ans. Un soutien "mené en toute indépendance."
Concernant les accusations lancées sur la base d’une étude du CRIIREM, le gestionnaire de réseau admet que "Des biais statistiques peuvent en effet expliquer des corrélations" entre la proximité des lignes et certains cas de leucémie infantile. "Mais leurs auteurs eux-mêmes sont très prudents, voire dubitatifs, quant à l’interprétation qu’il convient de faire de ces observations", nuance-t-il.
"Aucune étude à ce jour n‘a permis d’identifier un mécanisme biologique liant ces cas de leucémie à l’exposition aux champs électromagnétiques, même un million de fois plus intenses que ceux émis par les lignes électriques."
Pour conclure cette mise au point, RTE rappelle que le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) a classé, en 2001, différents produits en quatre catégories :
1ère catégorie, les cancérogènes démontrés, avec une centaine de substances dont l’amiante, le tabac ou l’arsenic ;
en 2ème catégorie, 70 substances cancérogènes probables, dont les UV, les fumées d’échappements des moteurs diesels, … ;
les Champs électro-magnétiques (CEM) se répartissent entre la troisième catégorie (cancérigène possible), qui inclut 250 substances dont le café… et la quatrième (pas de données suffisantes pour conclure).
Voilà un sujet bien compliqué qui peut se prêter à toutes les interprétations et où l’on peut raisonnablement exploiter les peurs collectives, à l’instar de ce que l’on voit avec le téléphone portable. Ca ne dérange personne de voir des enfants avec le téléphone collé à l’oreille pendant des heures et de le garder dans la poche du pantalon pendant la journée, mais il ne faut pas mettre de relais à proximité des écoles (intensité du rayonnement ?). S’agissant des lignes à haute tension, il est bien difficile de dire si cela a un effet quelconque. le mieux étant de ne pas vivre pile dessous. Une piste de réflexion : la thèse de philippe vallée sur les effets possibles des champs basse fréquence sur l’eau (disponible sur le site : ). je ne sais pas ce que l’on peut conclure de cela. Sûrement pas que les lignes haute tension sont cancérigènes. Les REM, c’est comme la radioactivité, ça se détecte très bien et ça se mesure facilement. La difficulté c’est la transposition des résultats de la physique dans le domaine médical. N’oublions pas que nous baignons en permanence dans « l’électrosmog » depuis notre naissance (et même avant !) et que, comme pour la pollution chimique, nous sommes souvent beaucoup plus exposés à l’intérieur de la maison qu’à l’extérieur.
« Peurs collectives », « théorie du complot », voilà le genre de termes utilisés pour noyer le poisson sans rien prouver largement utilisés dans les affaires du tabac, de l’amiante, du nuage de Tchenobyl, du sang contaminé, du chaos climatique et j’en oublie. Il est très clair que téléphoner 1 heure avec le portable collé à l’oreille est nettement plus dangereux que de vivre à 100m d’un émetteur. Cela ne veut pas dire que vivre à 100m d’un émetteur est sans danger. Surtout lors du temps de sommeil censé être réparateur pour les cellules.L’article de RTE est exactement le discours officiel utilisé à toutes ces occasions : dormez braves gens, on s’occupe de tout et on veille sur votre santé. Le problème est que l’on s’est aperçu avec le recul qu’on nous avait menti. L’AFFSET s’est elle-même disqualifiée avec les démissions de son directeur technique et de son président qui ont reconnu que ses expertises étaient non conformes aux critères d’études scientifiques. L’OMS reprend les niveaux de l’ICNIRP, organisme privé.L’appel de Fribourg signé par des médecins ayant constaté des conséquences sanitaires réelles est resté sans suites. faut-il de plus ?
Je confirme, c’est un sujet compliqué. Nous sommes en permanence dans « l’électrosmog » ce brouillard invisible qui nous suit toute notre vie. De même nous baignons dans un certain niveau de radioactivité naturelle et artificielle. Que faut-il en déduire ? Y-aurait-il des REM plus nocifs que d’autres (à cause du niveau, de la fréquence, de la forme de l’onde…) ? Quand vous passez une IRM, vous êtes dans l’aimant ! on ne peut pas faire mieux, c’est autre chose qu’une ligne tension. Lire à ce propos le communiqué de l’académie de médecine de 2006 (« Champs électromagnétiques et IRM recommandations à propos de la directive 2004/40/CE du Parlement Européen et du Conseil du 29 avril 2004. »). On y indique qu’en 2005, dans le monde, 90 millions de patients ont bénéficié d’un examen IRM et qu’un milliard d’examens IRM ont été pratiqués depuis 1985. Y-a-t-il des conséquences sanitaires visibles et quantifiables ? si oui faut-il supprimer l’IRM ? Je connais l’effet thermique du rayonnement électromagnétique, pour les autres effets et leur nocivité éventuelle, je laisse les médecins en débattre. De toute façon, la plus grosse exposition au REM pour les français (sauf quelques malchanceux) n’est pas due aux lignes à haute tension, mais à des « gadgets » auxquels il sera bien plus difficile de renoncer. Est-il plus dangereux de dormir à 100 m d’un relais GSM ou de dormir toutes les nuits avec un téléphone portable en veille sur la table de nuit et un câble 230 V 50 Hz dans la cloison derrière la tête de lit ? Sur les 500 000 morts annuels en France combien sont attribuables à ce mode de vie ? A ce niveau, même si on alimente la France avec de l’électricté « verte », il n’y a pas de solutions !
Comme dans tout, il faut faire preuve de bon sens : ne pas dormir avec un tél portable en veille à coté de sa tête, ni un tél d’intérieur DECT, ni un radio-réveil alimenté par le secteur (transfo d’entrée fortement générateur de champ magnétique) et autres précautions. Seulement si on nie le problème au lieu d’informer, qui prendra ces précautions élémentaires ?Il y a un certain nombre de solutions simples et gratuites. Mais s’éloigner d’une ligne THT n’est ni simple, ni gratuit.
Encore une fois, je ne nie pas le problème. Je dis simplement qu’il n’existe aucune preuve de la dangerosité du REM des lignes haute tension. On peut aussi affirmer qu’il n’existe aucune preuve montre l’inverse ! Si j’ai cité la thèse de Philippe vallée, c’est précisément parce que ses travaux pourraient peut être indiquer une piste. En effet, s’il existe un lien établi entre un champ électromagnétique et l’eau, cela ouvre à la voie à des études intéressantes car les cellules humaines sont largement constituées d’eau. A ma connaissance, aujourd’hui personne ne connaît les effets exacts des faibles doses de REM (au delà de l’effet thermique). Des études ont été menées pour le téléphone portable et son incidence sur un cancer des glandes salivaires est peut être à prendre en compte. Personnellement, j’évite de conserver le portable longtemps au contact du corps (quand c’est possible !). Même quand on ne nie pas le phénomène, il est bien difficile d’informer sur une nocivité que l’on ne connaît pas : quel est le message à faire passer ?
En fait, on en connais beaucoup plus que ce qui est dit. Le problème vient de ce que les organismes officiels refusent de reconnaitre les expériences qu’ils n’ont pas faites et qu’ils ne refont jamais les expériences positives de la façon qui a apporté des conclusions qui leur déplait. On connait maintenant l’impact des basses fréquences sur l’ouverture de la barrière hématoencéphalique qui laisse pénétrer de protéines dans le cerveau = similaire à Kreuzfeld-Jakob, Alzheimer. On connait l’impact sur la baisse de production de mélatonine qui engendre mauvais sommeil, stress puis complications. Et bien d’autres. Personne ne conteste les résultats de ces recherches, ils sont simplement ignorés et la version officielle dit « en l’état des connaissances actuelles, on ne sait pas ». Depuis + de 10 ans. Pour l’amiante, on n’a pas su pendant 30 ans, alors que d’autres pays savaient. Et on nous ressert le même potage avec les OGM.
S’il est prouvé que le 50 Hz est nocif (à quel niveau ?) : on fait quoi ? On supprime les fils électriques ? Car il n’y a pas que les lignes à 400 000 V, ni même 63 000 ou 20 000 V, il y a tout le réseau de distribution domestique à 230/400V souvent très très proche. En ce moment, j’ai le pied sur le câble d’alim de l’ordi ! En matière de REM, le niveau est important, certes, mais la distance l’est tout autant.
curieusement aucun scientifique, aucun « expert », aucun politique (c’est pourtant évident » ne sait dire: je ne sais pas…….. Par ailleurs les études à long terme viennent seulement de débuter, il ne peut y avoir de résultats exploitables… Enfin les globules rouges comportent du fer (matériau éminemment ferromagnétique et pour cause)
Tout cela est bel et bien vrai , mais ….il se consomme 8 milliards de cigarettes industrielles par JOUR sur cette belle planete , + combien de joints , de cigares , de cigarettes roulees mains , de TONNES de tabac pour les pipes + combien de MILLIONS de M3 d’alcool(s) divers consommes par an + …. et combien de morts ( jeunes selon nos criteres ) de paludisme , de la tuberculose , du tetanos , des dysenteries , diverses , de la dengue ,du SIDA , + combien de morts sur TOUTES les routes du monde ( presque ttes. dues a l’imbecilite humaine sous ttes. ses formes ), + combien de morts ds. les mines de charbon , de cuivre , d’or , de pierres precieuses , de diamants …. + , + , + …. Ne ns. plaignons pas trop , en France ou + generalement ds. le monde » blanc » ( Tchernobyl compris ! et c’est pourtant le + grave accident du nucleaire CIVIL europeen ! ) , notre confort et nos styles de vie(s) ns. assurent statistiquement 75 a 85 belles et bonnes annees d’existence(s) terrestre(s) plutot correcte(s) Et l’electricite pour tous y est pour beaucoup , malgre qq. inconvenients potentiels ( electrocutions incluses , qui sont les + nombreuses a ce jour ! )
Sans vouloir casser le moral à quiconque, je vous communique ce lien : On y trouve une curieuse « étude » qui ferait le lien entre « Alzheimer et Irrégularité de Ligne Électrique Secondaire (ILES). Si cela s’avérait fondé, notre vie deviendrait bien compliquée ! D’autant qu’à la fin, on cite un article sur le rayonnement des lampes à basses consommation (qui contiennent du mercure). La vie des écologistes va devenir infernale, si elle ne l’est pas déjà. car le retour à la bougie n’est pas exempt de pollution. Sinon consultez aussi le document de RTE « Les champs électromagnétiques de très basse fréquence ». C’est peut être orienté mais au moins, ça permet de vivre !
Je commencerai par un commentaire du Dr en médecine Yvan L. Beale de l’université d’Auckland qui dit : » Une protection adéquate de la santé demande une volonté de reconnaître les risques potentiels aussitôt que possible et non une détermination à les nier aussi longtemps que possible ». Les données d’analyse que je cite proviennent de l’institut KATALYSE demeurant à Cologne qui est une institution indépendante regroupant des scientifiques de différent horizon. Cet institut fut fondé en 1990 et s’occupe depuis des différents problèmes liés à l’environnement et à la défense de l’individu. Une analyse approfondie sur les questions du « smog » électrique voir électromagnétique est largement traitée (le livre s’appelle KATALYSE e.V Elektrosmog, Gesundheit, Grenzwerte, Verbraucherschutz (4e édition) No ISBN 3-7880-7586-4. Voilà ce que révèle l’analyse : PaysAuteursAnnéeEntitéPathologieCharge en mTesla à 150m de la ligneFacteur à risqueGBMyers u.a.1985EnfantsCancer0,1 mT1.3SuèdeTomenius1986Jeunes gensCancerTumeur cérébralLeucémie0,3 mT0,3 mT 0,3 mT2.03.7 1.0USASavitz u.a.1988EnfantsLeucémie0,25 mT3.3USASeverson u.a1988AdultesLeucémie0,2 mT1.5 Charge en mTesla à 50m de la ligneFacteur à risque SuèdeFeychting Ahlbom1992EnfantsLeucémie0,2 mT0,3 mT2.73.8SuèdeFeychting Ahlbom1992AdultesLeucémieTumeur cérébral0,2 mT0,2 mT1.0 Le tableau révèle que la moyenne du facteur à risque, chez les enfants dans un champ électromagnétique de 0,25 mT augmente de 50%. Ce qui est à retenir c’est que le risque de leucémie infantile pour les enfants demeurant à proximité d’une THT est certain et même qu’il augmente si la charge électromagnétique augmente, ainsi le tableau révèle un facteur à risque de 2,7 avec une charge de 0,2mT et un risque de 3,8 avec une charge de 0,3mT. Ainsi nous pouvons constater une relation avec la charge électromagnétique. L’institut Feychting Ahlbom calcule le rapport suivant : Les enfants qui sont exposés à moins de 50 mètres d’une ligne de THT sont exposés à un risque de 2.9 pour développer une leucémie ! Je laisse à chaque lecteur interpréter à son âme et conscience s’il veut exposer son enfant voir petit enfant à ce risque. Personnellement je crains le peu d’amateurs du côté de ceux qui prônent l’innocence des THT qu’ils veulent imposer à autrui.
Je commencerai par un commentaire du Dr en médecine Yvan L. Beale de l’université d’Auckland qui dit : » Une protection adéquate de la santé demande une volonté de reconnaître les risques potentiels aussitôt que possible et non une détermination à les nier aussi longtemps que possible ». Les données d’analyse que je cite proviennent de l’institut KATALYSE demeurant à Cologne qui est une institution indépendante regroupant des scientifiques de différent horizon. Cet institut fut fondé en 1990 et s’occupe depuis des différents problèmes liés à l’environnement et à la défense de l’individu. Une analyse approfondie sur les questions du « smog » électrique voir électromagnétique est largement traitée (le livre s’appelle KATALYSE e.V Elektrosmog, Gesundheit, Grenzwerte, Verbraucherschutz (4e édition) No ISBN 3-7880-7586-4. Voilà ce que révèle l’analyse : PaysAuteursAnnéeEntitéPathologieCharge en mTesla à 150m de la ligneFacteur à risqueGBMyers u.a.1985EnfantsCancer0,1 mT1.3SuèdeTomenius1986Jeunes gensCancerTumeur cérébralLeucémie0,3 mT0,3 mT 0,3 mT2.03.7 1.0USASavitz u.a.1988EnfantsLeucémie0,25 mT3.3USASeverson u.a1988AdultesLeucémie0,2 mT1.5 Charge en mTesla à 50m de la ligneFacteur à risque SuèdeFeychting Ahlbom1992EnfantsLeucémie0,2 mT0,3 mT2.73.8SuèdeFeychting Ahlbom1992AdultesLeucémieTumeur cérébral0,2 mT0,2 mT1.0 Le tableau révèle que la moyenne du facteur à risque, chez les enfants dans un champ électromagnétique de 0,25 mT augmente de 50%. Ce qui est à retenir c’est que le risque de leucémie infantile pour les enfants demeurant à proximité d’une THT est certain et même qu’il augmente si la charge électromagnétique augmente, ainsi le tableau révèle un facteur à risque de 2,7 avec une charge de 0,2mT et un risque de 3,8 avec une charge de 0,3mT. Ainsi nous pouvons constater une relation avec la charge électromagnétique. L’institut Feychting Ahlbom calcule le rapport suivant : Les enfants qui sont exposés à moins de 50 mètres d’une ligne de THT sont exposés à un risque de 2.9 pour développer une leucémie ! Je laisse à chaque lecteur interpréter à son âme et conscience s’il veut exposer son enfant voir petit enfant à ce risque. Personnellement je crains le peu d’amateurs du côté de ceux qui prônent l’innocence des THT qu’ils veulent imposer à autrui.
Je viens de lire mon texte que je vous ai fait parvenir or le caractère spécial micro Tesla risque d’être interprété avec milli Tesla. Je vous demande de bien le préciser. Le caractère spécial micro a été remplacé par « mT » micro Tesla à ne pas confondre avec milli Tesla
Les ministères de la santé et de l’écologie ont récemment demandé à l’Afsset un rapport sur les rayonnements non ionisants, concernant notamment le Wi-Fi et l’utilisation des téléphones portables par les enfants. Il devrait être rendu à la fin de 2008.En attendant, des précautions simples sont largement recommandées : utiliser un kit mains libres avec son téléphone mobile et ne pas placer son ordinateur portable contre soi mais plutôt sur une table. Enfin, un consensus existe pour inciter à ne pas laisser les enfants utiliser les téléphones mobiles. Les résultats pour la proximité aux lignes THT (voir ci dessus) sont sans appel. IL NE FAUT PAS LAISSER DES ENFANTS VIVRE A PROXIMITE DE LIGNE THT. C’est du bon sens.Les ondes de radiofréquence ont une fréquence comprise entre 30 kilohertz et 300 gigahertz (GHz). Radio FM : de 88 à 108 mégahertz (MHz).Télévision : 47 à 830 MHz.Téléphone mobile GSM : 890 à 960 MHz.Mobiles de 3e génération UMTS : 1 900 à 2 100 MHz. Wi-Fi : 2 400 MHz.Radars et télévision par satellite : 3 à 30 GHz.
Le tout c’est surtout de connaître les sources de rayonnement électromagnétique, et « l’ambiance » où l’on baigne… il faut faire le point de toutes les sources externes et internes d’un logement.En interne tout les signaux des matériels électriques, et électroniques sont amplifiés ou réduits par la structure même de la construction du bâtiment. Par exemple avec une cage de faraday (typiquement les murs en béton armé) on réduitprincipalement les ondes de basse fréquence pour les hautes fréquences le métal « plein » est plus efficace, mais tous les appareils intérieurs vont adapter leur émission pour capter une antenne GSM, Wifi…En externes les antennes GSM, TV, Radio sont très différentes… le GSM est composé d’une multitude de sources avec des puissances d’émission qu »on désignera comme moyennes, alors que les antennes TV et Radio peuvent être classées comme fortes, les radars comme très puissances. A choisir , être soumis au spectre du GSM ou de la TV Radio à même distance de la source il vaut mieux être face à une antenne GSM, les puissances en jeu étant bien moins importantes.A ces sources « individuelles » il faut ajouter leurs effets « collectifs », pour vulgariser leur « puissance cumulée » car l’addition des sources augmente leur « efficacité »Bref si on fait le point sur l’ensemble des sources il y a de quoi devenir fou.. Alors comment réduire les rayonnements. Déjà cela passe pour beaucoups d’appareils électrodomestiques à ce qu’ils soient reliés à la terre… ainsi que leur carosserie ne soit pas altérée, que l’installation électrique de l’habitation comprenne une prise de terre, pourquoi pas ne pas utiliser des câbles de type U1000R2V avec blindage métallique avec une extrémité reliée à la prise de terre du bâtiment, supprimer les sources « marginales » telles que radio réveils…, utiliser des antennes extérieures pour GSM ( à éteindre tout de même le soir) ne pas utiliser de Wifi pour l' »internet box » mais un câble Ethernet si possible blindé, banir le téléphone sans fils, bon pour les fanas NF C15900 pour une petite « intro » CEM…Donc maintenant que la maison est « traitée »… au travail, alors là c’est bien pire… ASI (« onduelur ») de forte puissance, informatiques, hub, machines « numériques », variateurs de puissance… Pour traiter « l’autre moitiée de notre vie » il faut attendre que la directive européenne concernant les mesures du rayonnement électromagnétique auquel sont soumis les salariés soit transcrite en droit français (date limite: 2008) et là on va rigoler, par ce que les sources de rayonnements sont multiples…Aller courrage… ah !!! il ne faut pas oublier ces cochons qui dans les années 80 étaient « déssimés » sous les lignes HT…