A la tête de l’équipe EPR, Areva, le géant français du nucléaire a remis son offre commerciale pour la construction d’une nouvelle centrale à Pyhäjoki, en Ostrobotnie du Nord, en Finlande.
Désormais complète, cette offre commerciale, fait suite à la remise de l’offre technique – actuellement en cours d’évaluation par Fennovoima – en janvier dernier. Le périmètre de l’offre comprend l’ingénierie, l’approvisionnement et la construction de l’ensemble de la centrale nucléaire – y compris le réacteur et la turbine.
Aussi, le fournisseur de la centrale sera sélectionné courant 2012-2013, alors que le calendrier du projet sera lui défini "au cours de négociations ultérieures" selon Areva.
Areva sera en charge de l’îlot nucléaire. Il a réuni une équipe composée de partenaires français et allemands d’envergure internationale, et ayant déjà travaillé avec Areva sur des projets EPR, tant pour l’îlot de la turbine que pour les travaux de génie civil.
« Le projet de Fennovoima bénéficiera de l’expérience que l’équipe EPR™ a déjà acquise grâce aux quatre réacteurs EPR actuellement en construction en Finlande, en France et en Chine. Il est évident qu’avoir un réacteur EPR déjà certifié et en cours de construction en Finlande est un avantage concurrentiel important » a déclaré Peter Wappler, Directeur de l’offre d’Areva pour le projet de Fennovoima.
D’après l’industriel français, "cette étape est un signe clair que les projets de nouvelles constructions progressent dans le monde entier, y compris en Europe où Areva est impliqué dans divers projets et appels d’offres, comme au Royaume-Uni, en République Tchèque, en Pologne et en Finlande."
Fennovoima est une société d’énergie nucléaire finlandaise fondée en 2007 et co-détenue par Voimaosakeyhtiö SF et E. ON Kärnkraft Finlande qui a 34%. Voimaosakeyhtiö SF est elle-même détenue par 69 sociétés finlandaises régionales et locales impliquées dans le domaine de l’énergie, ainsi que des entreprises du commerce et de l’industrie. Au total, Fennovoima regroupe 70 actionnaires. Elle a sélectionné Areva en 2008 dans le design du réacteur EPR comme l’un des deux candidats à la construction de la nouvelle centrale nucléaire.
Apres les deboires du premier EPR et celui de Flamanville, on nous remet ca ? Il est hors de question que le contribuable paie des surcouts supplementaires via la Coface, c’est un scandale !
Votre remarque me rqppelle que je ne crois pas avoir lu dans la presse ou sur Enerzine une analyse de la prise en charge des surcouts des EPR de Finlande et de Flamanville. A priori, j’imagine que le client achete a un prix relativement fixe (sauf s’il change son cahier des charges en cours de route) et que les surcouts sont pris en charge par les vendeurs, c’est a dire Areva et ses partenaires (Bouygues). Alors certes l’Etat est actionnaire d’Areva (pas de Bouygues), mais je ne crois pas que ces surcouts ont obligé l’actionnaire public à augmenter le capital d’Areva aux frais du contribuable. J’imagine au contraire que ces surcouts sont capitalises par Areva au titre du developpement d’un nouveau produit,et qu’il seront amortis sur la vente des futurs EPR. Donc je ne crois pas que ces surcouts coutent quelque chose au contribuable, comme pour les surcouts de l’A380, par exemple. Enfin je crois que le role de la Coface est d’assurer les exportateurs francais en cas de defaut de leurs clients etrangers (donc si la Finlande faisait defaut, par exemple, ce qui n’est pas le cas).
« Apres les deboires du premier EPR et celui de Flamanville, on nous remet ca ? » Zut alors, la réalité ne correspond pas avec les délires des anti-nucléaires ! Quelle surprise…
Vous avez bien lu. Ne pas oublier que l’EPR est le fruit d’une association franco-allemande. Est-ce un moyen pour l’Allemagne de rester dans la course au cas où ??
@samivel Areva doit payer le surcout de la centrale finlandaise, mais comme Areva n’a plus un euro en poche, cette societe a procédé à une augmentation de capital. Devine qui a souscrit à cette augmentation de capital de plusieurs milliards ? l’etat Francais …. Donc, c’est bien les contribuables Francais qui payent pour une centrale EPR etrangere … On dit merci le lobby niucleaire en sortant au fait
L’état français a déboursé 300 millions d’euros lors de cette augmentation de capital : On est loin des milliards de l’EPR finlandais…
Avera verse des dividendes a l’Etat… 25% du résultat net de 883M€ distribué soit 220M€. L’Etat rentabilise ses 300M€ d’investissement en 1 ans et demi, c’est plus Areva/EDF qui diminument les impots des contribuables… Halalala les anti nucléaires, la finance ce n’est vraiment pas leur truc…
L’état français detient directement 10 % du capital d’Areva, il ne perçoit donc que 10% des dividendes pour l’ensemble de sa participation, le rendement d’Areva se situe aux alentours de 1%, je vous laisse faire le calcul pour ce que cela lui rapporte réelemnt.
D’après Wikipedia les différentes participations dans Areva sont les suivantes : -Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (73,03 %) – État français (10,17 %), – KIA (4,82 %), – CDC (3,32 %), – EDF (2,24 %) Soit 95,18 % d’Areva est détenue par l’Etat ! Jihemnet, vous avez encore perdue une bonne occasion de vous taire !
Seulement 6.5% du capital d’Areva est donc flottant et cote en bourse? Ca parait faible. Par ailleurs, qui est « KIA »?
Un conglomérat Koréen pricipalement connu pour ses voitures. Les conglomérats coréens font tout et n’importe quoi, ils sont peut être dans le nucléaire ? Ou alors KIA est l’acronyme de Kuwait Investment Autority ou un truc de ce genre. Sarkozy nous a habitué a mendier au près des monarchie pétrolières.
Après, le CEA est un EPIC, un statut particulier qui laisse une certaine autonomie financière, le budget des EPIC est par exemple alimenté par les ressources propres de l’organisme. A vérifier mais je ne pense pas que l’Etat reçoive quelque chose des dividendes du CEA, si quelqu’un a une info concrète pour mettre tout le monde d’accord…
Vous pouvez me rappeler quand j’aurais eu de bonne raison de me taire, juste pour mémoire! Pour la bonne raison de me taire cette fois encore, que vous considériez la participation directe ou indirecte de l’état ne change rien, si vous attribuez des dividendes ils sont proportionnels à votre participation. Si le rendement est de 1.5%, mais que l’état emprunte à 3%, c’est bien le contribuable qui payera la différence. Vous voulez me donner des cours dans mon domaine d’activité. Rigolo!
Je noublie rien du tout, il s’agit de participation indirecte, à vous et à vos amis d’être + précis.
Oui et je ne perderai pas mon temps à vous expliquer en quoi une augmentation de capital provoque une dilution, que le seul critère qui compte c’est le rendement, que l’exemple cité n’a aucun sens.
Via S. Huet: En revanche, les activités de développement, en particulier pour le nucléaire civil, sont en majorité financées par les contrats avec les industriels (Areva, EDF). Les dividendes d’Areva, dont le CEA est l’actionnaire majoritaire, servent également à financer le démantèlement et la gestion des déchets des activités nucléaires anciennes. On a quand même ici des vases communiquant, ce que l’Etat ne dépense pas pour financer le CEA, il le perd en dividende d’Areva. @jihemnet Je noublie rien du tout Un peu quand même… Comme la durée de l’emprunt, l’évolution de la valorisation du capital. Avec votre raisonnement, personne n’achèterai d’actions (à mon souvenir dividende en moyenne de 2%). Qui se finance moins cher que l’Etat ?
En passant sur le site du CEA, j’ai vu qu’ils avaient publié un chiffrage de la sortie du nucléaire. Il ne me semble pas qu’on en ai parlé ici. Leur site pour ceux qui chercherai l’étude complète:
Ils sont fous et/ou profondement stupide chez EDF et les exploitants finlandais et chinois pour investir des milliards d’euros dans des projets avec une exploitation prévue sur 60 ans alors qu’il est certain que le photovoltaique sera beaucoup plus économique dans 10 ans! A moins que… @ jihemnet Probablement aveuglé par votre condescendance et malgré le métier de financier que vous maitrisez à la perfection, vous avez oublié que l’investissement en actions peut se rémunérer de deux façons différentes: – le dividende (moins risqué mais l’argent sort de l’entreprise) – la plus value (ou moins value) réalisée par la différence de montant lors de l’acquisition et de la cession du titre (plus risqué mais l’argent sort de l’entreprise et ne peut donc y être réinvesti -> potentiellement moins rémunérateur sur le moyen terme) Mais je ne vous apprends rien, ceci n’est plus ni moins qu’une base de la finance de marché.
« Pourquoi comparer le rendement de la participation de l’Etat dans Areva avec les emprunts réalisés par l’Etat pour financer son déficit ? » C’est une optique de coût d’opportunité. L’Etat peut garder Areva et payer des intérêts sur sa dette ou vendre Areva et rembourser une partie de sa dette. C’est bien pour l’Atmea. Je note que l’ASN demande que ce soit l’opérateur qui demande l’homologation et a priori on a pas l’intention d’en construire en France. C’est donc soit une opération de promotion, soit une demande des futurs clients étrangers pour qui l’ASN est la référence en matière de sureté.
« Halalala les anti nucléaires, la finance ce n’est vraiment pas leur truc… » C’est vrai je suis condescendant face à cette affirmation, étant donné que tout le reste du post est aussi faux. Mais la rémunération du risque à un taux moyen de 8 à 10 %, demandez aux actionnaires individuels d’EDF ou d’Areva récemment introduit, à quel point le rêve se transforme en cauchemar. EDF subi une décôte de près de 80% par rapport à son court d’introduction, et pour Areva je crois que ça atteint 30% en moins de 2 ans. 95% des investisseurs individuels perdent de l’argent à court terme sur les marchés financiers, c’est pour cette raison que le rendement est considéré comme référence.
La durée de l’emprunt correspond à la durée de l’investissement, notion d’emploi et de ressource, obligation long terme = taux élevé. Dans un secteur concurrentiel, privé, semi-public le fait de bénéficier d’un financement à taux préférentiel s’apparente à du dumping. Rouget, le post auquel je répondais faisait état d’une augmentation de capital de 300 millions, soit moins de 0.5% du capital, soit – de 0.5% du total des dividendes, vous voulez remonter à la préhistoire du nucléaire?
La durée de l’emprunt correspond à la durée de l’investissement L’Etat emprunte à 50ans, on va pas vendre Areva dans 10 ans, fallait pas faire le modéré ! Le raisonnement théorique est bon mais dans la pratique je doute que l’Etat fonctionne comme cela. Sarkozy prend une décision, et l’intendance suit sans se poser de question sur la nature de la dépense. L’AFT en a rien à cirer d’Areva lorsqu’elle doit décider ce qu’elle emprunte à court/moyen/long terme. Donc perso, objectivement j’aurai prix le taux moyen auquel emprunte l’Etat. la maturité moyenne étant de 7 ans je crois, on doit être autour de 2/2,5%. Sur le fond, je rejoins Rouget, c’est pas un investissement purement financier même si vous avez raison de pointer du doigt cet aspect.
Faudrait peut être un jour que vous abandonniez cette manie de laisser des dettes aux générations futures… Je propose que Areva coupe dans ses autres dépenses pour abonder ce fond puisque c’est très important de le faire maintenant. Nos enfants seront certe moins savants, mais qu’importe, il faut réduire la dette.
Si vous suggérez que Sarkozy est un piètre gestionnaire, je confirme, il n’y a pas que dans ce registre qu’il me semble inapte, je n’avais jamais vu un Chef d’état réformer ses propres réformes. Commentaire sans considération politicienne.
lire « le CEA » et non Areva dans mon post de 12h12
En fait, plus que des questions financières, ce que je retiens c’est surtout le choix déjà assumé de l’EPR par la Finlande. En revanche, l’article parle d’une concurrence, mais sans la nommer. Je pense qu’il s’agit de l’AP1000 américano-nippon…. Mais les américains, comme nous d’ailleurs, auront du mal à vendre des réacteurs tant qu’ils n’auront pas été construits, chargés et mis en fonctions sur LEURS TERRITOIRES RESPECTIFS. Pour l’instant, la balle est au centre à peu près sur chaque continents. Mais d’autres concurrents pourraient entrer dans la course : la Corée du Sud, la Russie, et même le Japon ! Notez que l’article parle bien de participation allemande dans l’industrie nucléaire même si le conglomérat siemens s’en retire progressivement. Les candidats de 2012, pas encore tous déclarés d’ailleurs, même si le nain sera certainement candidat, ne nous parlent quasiment pas de l’énergie en pleine vague de froid et de hausse de la facture énergétique du pays due a la baisse de l’€ qui dope nos exportations depuis décembre… Et pourtant, ils devront gérer une croissance faible (récession ?) a cause de la fin de l’abondance énergétique…Les propositions de blocage du prix de l’énergie par FH a gauche n’y changeront rien pour une majorité, mais la dette, elle, grimpera massivement, et d’abord en région ou est perçue la TIPP. Le choix du prochain président devra être franc et planifié, ou bien nous sortons, ou nous allons encore plus loin en remplaçant nos REP par des EPR. FH nous dit vouloir ramener a 50% le nucléaire dans le mix électrique, ce n’est pas un choix. Cette réduction ne ferait que prolonger l’indécision de notre pays sur le nucléaire. Or nous devons impérativement décider si oui ou non nous allons continuer dans cette voie, sinon cette indécision se paiera très cher plus tard par des investissements hasardeux et construction anarchiques vite fait mal fait. C’est ce que je retiens en premier lieu du dernier rapport de la cour des comptes. En second lieu, c’est le prix qui sera plus élevé, chez nous comme partout chez nos voisins, mais sera tout de même encore en dessous des prix de nos voisins, et ceci pour des raisons différentes. Le nucléaire c’est cher, mais il semble que les pays les plus constructeurs d’éoliennes et de solaire Pv font de même que nous ces derniers temps l’Espagne vient de réduire les subventions au solaire, le royaume uni a l’éolien et au solaire), et même en Allemagne, des voix commencent a se faire entendre sur le Pb du prix de l’électricité et du coup des subventions payées par les contribuables pour financer « la transition énergétique vertueuse » a coup de silicium chinois et de moulins a vents danois ou américains sur fond de faillite des fabricants locaux européens. Le Pb des déchets ne doit pas être sous estimés et il faut impérativement construire quelques machines permettant a la fois de réduire la radiotoxicité des actinides, de produire de l’électricité et d’améliorer le cycle du combustible uranium car nous ne pouvons pas laisser des déchets a durée de vie aussi longue a nos enfants, et en même temps résoudre le Pb de l’approvisionnement en énergie, au moins temporairement (au moins jusqu’a la maitrise de la fusion et des techniques de stockage, si tant est qu’elles soient possible). D’autres modèles de réacteurs sont conçus pour produire de l’hydrogène, dits réacteurs pétroliers (comme a Fukushima mais avec une température contrôlée et dans un réacteur contrôlé aussi). Seul pb avec l’hydrogène: le stockage très difficile a cause des propriétés de l’élément lui même … Avec le nucléaire, il faut choisir, continuer ou sortir, mais ne certainement pas réduire a 50% comme le dit hollande ! Le prochain président devra ABSOLUMENT décider, c’est impératif a une planification des conditions économiques qui suivront dans un contexte de crise et de récession. La Finlande a semble t-il fait son choix.
« Avec le nucléaire, il faut choisir, continuer ou sortir, mais ne certainement pas réduire a 50% comme le dit hollande ! » Ah bon ? Parce que « 75%, c’est trop », cela ne vous suffit pas comme argument ? Et « Faut pas mettre les oeufs dans le même panier » alors ?! Moi, j’aime la politique d’aujourd’hui : Autrefois, de « grands » hommes avaient une vision stratégique, se basaient sur des études prospectives et sur des démonstrateurs technologiques pour faire des choix dimensionnants dont on retire encore les bénéfices un demi-siècle après (!). Aujourd’hui, loin de ces arguments falacieux et de ces calculs de X-Mines oiseux, des politiciens tels François HOLLANDE ou Angela MERKEL prennent des décisions à 1000 milliards d’euros sur la base de dictons populaires et d’images à la télé. Moi je dis c’est nettement mieux.
Au fait, la Finlande c’est à mon souvenir, 4millions d’habitants. Construire 2 EPR chez eux, c’est comme si on construisait 30 EPR en France, soit 48 GW minimum de capacité. C’est pas un peu beaucoup ?
La finlande compte presque 5,4 millions d’habitant et produit plus de 80 TWh d’électricité soit 15 000 kWh par habitant (presque deux fois plus que la France mais nettement moins que la Norvège). Oui, mais il y a l’industrie du papier !
pas d’enrichissement par contre d’après ce que je sais A priori, c’est réservé à ceux qui ont la bombinette (sauf l’Iran…).
Post de UK 25% du résultat net de 883M€ distribué soit 220M€. L’Etat rentabilise ses 300M€ d’investissement en 1 ans et demi, c’est plus Areva/EDF qui diminument les impots des contribuables… Halalala les anti nucléaires, la finance ce n’est vraiment pas leur truc… Vous devriez arrêter l’alcool et surtout de vous prendre pour le centre du monde. Ma discussion ne découle que du premier post auquel je répond, qui fait état d’une augmentation de capital de 300 millions et d’un dividende 220 millions. Concentrez vous sur ce que vous savez faire de mieux, les affirmations erronées, dès qu’il vous faut suivre une conversation ou émettre une opinion personnelle vous êtes perdu!
Je suis tout à fait d’accord avec vous. Dans mon mode troll je ne faisais qu’ironiser sur la position assez débile d’Hollande (même si cette position lui est sans doute plus dictée par ses contraintes électorales que par ses convictions personnelles).
« Pour ma part, je considère qu’il faudrait remplacer les plus vieux réacteurs prochainement » Par contre, quand on dit « fermer les plus vieux réacteurs », il faut regarder dans le détail ce que l’on fait. En effet, il y aura toujours un plus vieux réacteur. Ce n’est pas pour autant qu’il ne sera pas sûr. Il faut en faire l’expertise technique, puis financière, pour ce décider et c’est le boulot d’EDF et de l’ASN. A ce titre, dire « il faut fermer Fessenheim parce que c’est la plus vieille centrale » est complètement débile.
« Je pense qu’il serait moins couteux de les vider et de les laisser « vieillir a vide » sous surveillance le temps que l’activité radio-toxique soit réduite a des doses permettant de les détruire. » C’est en effet le cas. C’est d’ailleurs pour cela qu’EDF a choisi cette stratégie de déconstruction : elle démonte les parties non nucléaires immédiatement, les parties nucléaires autres que le coeur peu après, et attends plusieurs décénies pour le coeur et le bâtiment réacteur.
« Les politiques sont tous des électoralistes » ben oui, mais ils ont peut être compris qu’avant de gouverner il faut d’abord être élu. L’alternative étant le putsch !
Pour remplacer massivement les 2G par des EPR, il faut d’abord faire de la place. Il n’existe pas 58 emplacements disponibles dans les 19 centrales actuelles. Construire d’autres centrales est plus difficile. A moins que à plogoff !
il y a un pays dont personne ne parle jamais sur ce site et qui poursuit son petit bonhomme de chemin dans le nucléaire sans faire de bruit ni s’attirer les foudres des anti-nucléaires, c’est la Suède….Bizarre non?