"Pour la première fois depuis 2000, aucune réduction de l’intensité de carbone (qui reflète le mix énergétique, l’efficacité énergétique, ainsi que l’équilibre entre industrie et services) n’a été constatée pour les pays du G20, et cela malgré une modeste reprise économique mondiale" a annoncé mardi PwC dans sa nouvelle étude consacrée au « Low Carbon Economy Index ».
Ces résultats inversent ainsi la tendance à la baisse, lente mais progressive, de l’intensité des émissions de carbone observée depuis 2000.
En effet, au cours de la crise économique de 2008-2009, plusieurs pays ont vu leurs émissions de carbone chuter plus rapidement que le PIB, en raison d’une baisse de la production. Cette tendance s’est inversée en 2010, lorsque la croissance du PIB mondial de 5,1 % a été dépassée par celle des émissions, qui s’élève à 5,8 %. L’augmentation de l’intensité de carbone de 0,6 % est une première depuis plusieurs années.
Plusieurs facteurs ont contribué à l’augmentation de l’intensité de carbone l’année dernière : la croissance rapide des économies émergentes à forte intensité de carbone en 2010 (Chine, Brésil, Corée) ; les hivers plus froids en début et fin d’année ; la baisse des prix du charbon par rapport au gaz ; et le recul du déploiement des énergies renouvelables.
Ces résultats remettent en cause la vraisemblance d’une décarbonisation mondiale assez rapide qui permettrait de limiter le réchauffement planétaire à 2 degrés Celsius. Au niveau mondial, l’intensité de carbone doit être à présent réduite de 4,8 % par an, soit deux fois plus qu’en 2000, pour atteindre cet objectif. L’étude de PwC avertit qu’à moins que la corrélation entre croissance économique et hausse des émissions ne soit rompue, la réalisation de cet objectif semble peu probable
Selon Thierry Raes, associé Stratégie et Développement Durable au sein de PwC :
« Les résultats sont des plus frappants. Notre étude aboutit clairement à la conclusion que si nous comparons les prévisions de cycles de croissance pour les pays développés et en voie de développement avec le niveau de réduction des émissions de carbone requis pour respecter le scénario de 2 degrés, nous avons atteint la limite du possible en termes de réduction d’émissions de carbone. »
« Les économies du G20 qui s’acheminaient trop lentement sur la bonne voie vont désormais dans la mauvaise direction. Ce n’est que dans quelques rares cas que les pays ont réussi à réduire leurs émissions de carbone de 4,8 % en une décennie. »
Selon Olivier Muller, directeur Energie et Climat au sein de PwC:
« La reprise économique, lorsqu’elle a eu lieu, a été très polluante. Même lorsque les pays membres de l’OCDE ont enregistré une certaine croissance au cours de la crise financière mondiale, celle-ci était associée à une trop forte intensité de carbone et n’a pas accru leur productivité carbone. »
La France prévoit de diviser par quatre ses émissions de CO2 d’ici 2050. A l’horizon 2020, les engagements pris lors du Grenelle de l’environnement permettront, d’après le Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, de réduire de près de 23 % nos émissions par rapport à celles de 1990. Pour atteindre cet objectif, tous les secteurs de l’économie sont concernés.
Selon Benjamin Cros, directeur PwC, expert en Energies Renouvelables :
« Pour atteindre les taux de productivité carbone nécessaires, il faudrait révolutionner la façon dont le monde produit et utilise l’énergie. En outre, dans le contexte actuel de crise financière mondiale, nous devons transformer les financements pour réaliser la transition à l’échelle et à la vitesse requises. »
« Le compromis coût/carbone peut être évité. En particulier dans les pays en voie de développement qui ne disposent pas d’une infrastructure de réseau existante, les énergies renouvelables peuvent être compétitives avec les combustibles fossiles. »
« Les consommateurs contestent déjà la hausse des dépenses de carburant et d’électricité, et ne sont sans doute pas prêts à payer plus pour atteindre les objectifs en matière de changement climatique. Or, le report des mesures nécessaires pour briser le lien entre les émissions élevées de carbone et la croissance économique implique que les réductions qui seront requises à l’avenir seront plus importantes, plus coûteuses, et auront des répercussions négatives plus significatives sur les consommateurs. »
A propos de l’étude Low Carbon Economy index
► L’intensité de carbone est l’unité de mesure privilégiée pour analyser les avancées des pays en faveur d’une économie à faibles émissions de carbone, dans la mesure où elle tient compte des prévisions de croissance économique, et elle peut générer des objectifs comparables.
► L’intensité de carbone d’une économie correspond aux émissions par unité de PIB et est impactée par le mix énergétique, l’efficacité énergétique et la proportion des secteurs industriels par rapport aux secteurs des services dans un pays.
► Taux historiques de décarbonisation : aucun pays ne présente un taux de décarbonisation approchant les 4,8 % désormais requis. Hormis la Chine dans les années 90, aucun des pays du G20 n’a atteint les 4,8 % de réduction depuis 1980. Six pays ont réduit leur intensité de carbone de plus de 3 % au cours de certaines décennies (la Chine, l’Allemagne, le Royaume-Uni, la France, la Russie, le Japon) et ils y sont parvenus seulement dans des circonstances exceptionnelles. La France a atteint un taux de décarbonisation de 4,2 % dans les années 80 en augmentant la part du nucléaire dans le mix énergétique de 7 % à 33 %. La Royaume-Uni a atteint un taux de décarbonisation de 3,0 % dans les années 90 en raison de l’engouement croissant en faveur de la production d’électricité au gaz qui a remplacé la production d’électricité au charbon.
Nous baignons dans un catastrophisme délirant, qui repose sur du sable, et engendre un delirium carbonum… 1° Le CO2 n’est pas un polluant : c’est un gaz émissif, tout comme la vapeur d’eau ou le méthane. 2° Le rôle pivot du CO2 sur T est toujours une hypothèse arbitraire non prouvée, réfutée par diverses publications de physiciens éminents 3° Depuis 13 ans, T est constante, quoique le taux de CO2 troposphérique ait continué à croître – et aucun média, aucun politique n’en parle…Cette information est toujours présentée sous une forme manipulatoire pour faire croire que T augmente toujours (exemple: « depuis 1999, les températures annuelles moyennes sont plus élevées que toutes celles depuis 150 ans »). 4° D’autres données d’observation montrent le peu de crédibilité des modèles numériques du GIEC Donc, le dogme du Réchauffement Climatique Anthropique, dont on nous rebat les oreilles avec une propagande éhontée, est sans doute l’un des plus grands scandales planétaires de notre époque…Et il est a à la source du délire collectif sur le carbone (ou plus précisément le CO2)
Alors que nous sommes à l’aube du fameux PIC OIL tant attendu, tout s’emballe, les projets Verts fusent de toutes parts ! – Des projets pharaoniques de centrales Solaires Photovoltaïques toutes plus grandes les unes que les autres… tous les jours sur EnerZine vous en voyez une nouvelle pousser ici et là… – Des Champs d’Eloiennes OnShore et OffShore voient le jour partout dans le monde, des industriels se mettent à ouvrir des usines de fabrication de ces monstres du dieu Eole en bords de mers… – Des Voitures, des Bus, des Trains à hydrogène/PAC qui sortent comme par magie des cartons… – Des voitures rechgargeables sur le réseau en location dans certains parcs privés sous licence dans les grandes villes… Si ça ce n’est pas une agitation post-Pic-Oil moi je me fais curé ! Questions : – De qui de l’oeuf ou de la poule a vécu le premier ? – De qui du réchauffement climatique ou de l’agitation industrielle a commencé le premier ? Pour moi ce pseudo « réchauffement climatique » est un outil politique bienveillant qui a été mis au point pour faire basculer l’humanité dans une prise de conscience de la petitesse de notre planète… une planète aux dimensions figées, des ressources finies… Ce réchauffement, à qui fait-il encore peur de nos jour ? N’est-il pas devenu le prétexte généralisé à tous les gros projets d’industriels devenus « Verts » pour l’occasion ? On aura bientôt oublié, comme à chauque fois, pourquoi on fait la guerre ;o))
Je ne l’aurais pas mieux dit ! Merci de ces mots. Alexandre
Les conspirationnistes sont de sortie aujourd’hui… Distribution gratuite d’assertions extravagantes pour l’occasion !
Faux! Mensonge! délire paranoiaque! le changement climatique anthropique fait la quasi unanimité des scientifiques spécialistes de la question, pour une publication contre (hélas celle dont on parle), il y en a 100 pour! La démonstration du réchauffement global peut être faite sur une (grosse) feuille Excel par des étudiants de 3eme cycle en physico-chimie (pour la répartition géographique, c’est pas la même…). Les données climatiques moyennées sont quasiment toujours au dessus du scenarion le plus pessimiste du GIEC, qui est resté trop mesuré. Messieurs les sceptiques, vous êtes des imbéciles ou des irresponsables.
Comme vous n’avez aucun argument sérieux, vous lancez des incantations magiques et des insultes. Ce n’est pas avec des gri-gris que vous changerez quoi que ce soit à toutes les données d’observation qui réfutent les modèles du GIEC, et que vous effacerez les publications GIECquement incorrectes. Je précise que la quantité de publications importe peu : seule la qualité et la valeur ajoutée ont de la valeur. Si un jour (rêvons un peu) le GIEC prouve le rôle pivot du CO2 sur T (qui n’est actuellement qu’une hypothèse arbitraire (encore que …)) je reverrai ma position. Quant à votre démonstration bidon sur Excel, je ne pense pas qu’elle soit Excellente. Au fait : je n’ai aucun financement des ces gentils pétroliers que vous semblez adorer. Prenez-en bonne note.
jipebe29, je suis un scientifique, qui défend les (vrais) valeurs scientifiques, et c’est un comble de se faire accuser « d’incantations magiques et de grisgris » quand on parle de faits scientifiques. Soyons clair, la science ne prouve rien, et le GIEC n’a jamais rien prouvé. La démarche scientifique consiste à exposer l’explication la plus probable par rapport aux données scientifiques du moment. Ainsi le GIEC, dans son dernier rapport (qui commence à dater mais que je vous invite à lire quand même) indique que la probabilité d’existence du changement climatique anthropique est supérieure à 95%, c’est tout, mais suffisant pour s’alarmer, bien au delà du principe de précaution. Par ailleurs, les publications dont je parle sont à comité de lecture, c’est à dire jugées et filtrées par des experts. Qui êtes vous pour juger, au delà de ces comités de lecture, si une publication est de qualité ou pas? la science n’a définitivement rien à voir avec une opinion politique ou religieuse, sauf à regresser de quelques siècles.
La fonte des glaces aux pôles et au groenland, c’est une invention ? La montée des températures moyennes mondiales, une invention ? La montée des océans mais aussi (surtout) l’acidification des océans, une invention aussi ??? Vous qui contestez les thèses du réchauffement climatiquies, vous n’argumentez pas plus que gaga32… Alors épatez nous puisque nous sommes ignorants !
à part la pitié, vos propos ne m’inspirent pas grand chose… C’est vraiment faire preuve d’ignorance et de mauvaise foix que d’écrire des énormités comme les votres. Quand bien même la thèse du CC ne serait définitivement pas avérée (???), pouvez-vous nous expliquer vous qui savez tout, la durabilité d’un monde basé l’exploitation irraisonnée de réserves d’énergies fossiles qui passent leur temps à se promener entre les continents? Pouvez-vous nous expliquer, la durabilité d’un monde où 20% de l’humanité absorbe 80% des ressources naturelles? Pouvez-vous nous expliquer comment enrayer la disparition rapide des terres arables rendues possibles par l’utilisation massive d’énergie (fossile) à des fins d’urbanisation et de mobilité effrénée? Même notre alimentation, du moins celle des pays dits « riches », est devenue gravement dépendante du pétrole et des énergies fossiles. Les gugusses comme vous ont rarement la vision globale des problématiques auxquelles nous devrions nous atteler collectivement. C’est tellement plus facile de nier l’évidence et d’aller à l’encontre de la pensée dominante pour tenter de réussir à faire parler de soi. c’est pathétique de devoir se « battre » contre des gens comme vous.
visiblement les pseudo scientifiques autoproclamés sont de sortie même allègre qui ne connait rien à la climatologie (il est chimiste) a admit que le réchauffement était en route. L’andouille qui a sorti que la température de ces 1o dernières année était à un niveau normal soit a besoin de lunettes soit ne sait pas lire une courbe thermique. S’il se réfère a des organismes sèrieux comme la nasa il verra que les températures moyennes amorties sur 10 ans pour éliminer les variations solaires et les effets el nino et la nina , on prend la moyenne sur 10 ans en faisant glisser d’une année chaque année) On tombe alors sur une courbe parfaitement linéaire qui augmente actuellement à la vitesse de 0,1° par décade et ce surtout depuis les année 70 (moins vite dans les années 1860 – 0,1 ces dernières décades et bientôt 0,15 puique le taux de co2 s’apprète à passer le cap des 400 ppm (pour un maximum de 260 ppm jamais dépassé depuis 2 millions d’années) . Les andouille autoproclamés qui donnent des chiffres fantaisistes sortis de sites internets bidons tenus par des autodidactes sans connaissance ni autocritique valable sont toujours prés à raconter leur salades pour éviter de changer quoi que ce soit à leur mode de vie irresponsable.
Ceux qui évoquent un « délirium carbonum » (indianagrenoble te Jipebe 29) ne sont-ils pas dans un plus classique et plus vieux délire paranoïaque ? S’il est vrai qu’il y a certains (une petite minorité) scientifiques qui contestent la responsabilité humaine dans le réchauffement climatique global constaté depuis 150 ans qu’il y a des mesures systématiques des températures dans la plupart des pays cela n’enlève rien à deux réalités : 1) les arguments ou exposés de ces « climato-sceptiques » ne sont pas davantage « définitifs et incontestables » que ceux de la grande majorité de leurs collègues et notamment ceux du GIEC 2) comme l’ont dit gp et michel 123, même s’il était avéré que l’activité humaine n’est pas la vraie cause du réchauffement global nous avons tout à gagner à moins dépendre des énergies fossiles, et à développer les moyens de capter les « énergies naturelles renouvelables » que sont le vent, le soleil, et la force des vagues/des marées (tout pays dispose d’au moins 1 de ces 3 ressources potentielle en bonne quantité) Alors oui, les champs d’éoliennes ou les centrales solaires peuvent contribuer à engraisser des multinationales avides de profit. Oui les panneaux solaires et les batteries des voitures électriques (ou des éoliennes) devront être recyclées pour ne pas polluer en fin de vie. Et alors ? les moyens de production basés sur le pétrole, le charbon ou le nucléaire ne générent-ils pas aussi des déchets toxiques ? Personne n’a sérieusement dit que la transition vers les énergies renouvelables allait forcément s’accompagner d’un passage à une société plus juste, une réduction de la pauvreté et des problèmes d’exploitation abusive des êtres. Ces problèmes là ne pourront pas être résolus en ayant recours à d’autres sources d’énergies que le pétrole, le charbon ou le nucléaire mais seulement avec une évolution des mentalités et du droit … Il ne faut pas tout confondre : la transition vers une économie nettement moins dépendante des énergies fossiles apportera une baisse de la pollution atmosphérique et de la dépendance de certains états envers d’autres, et contribuera peut-être à réduire l’ampleur du récahuffement global. Ce sera déjà pas mal et il ne faut pas en attendre plus !
Celle là ma semble triviale : « Il parait qu’à chamonix , on repeint le mont blanc tous les ans pour ne pas perdre de touristes » Bonnes blagues mises à part, le réchauffement existe et une partie au moins est due aux GES. Le « plateau » dans la courbe des T° est sans doute dû au souffre des centrales à charbon chinoises ainsi qu’à l’activité volcanique. Une seule éruption volcanique majeure pourrait bien nous plonger dans une période glacière de plusieurs siècles mais on ne parle pas d’évènement cataclysmiques ici – même s’ils sont assez courants à l’échelle du temps géologique. Le premier problème des combustibles fossiles , c’est qu’il n’y a plus de pétrole.. cette vérité là a de quoi déranger puisque sans pétrole, les magasins ne seront plus approvisionnés et qu’il n’y aura plus rien à manger ! Tout cela forme un maelstrom de catastrophes que les gens aiment ressasser pour donner du sens à leur prose , reste que ces assertions sont vraies. Ce qui mérite un débat, c’est plutôt la méthode à employer pour solutionner simultanément : 1. Le réchauffement climatique 2. la déplétion pétrolière 3. Le risque nucléaire 4. La déplétion alimentaire (ou surpopulation) 5. L’immersion inéluctable des pays non-émergeants 6. Le risque géopolitique (guerres) 7. La dégradation de l’environnement au point de transformer la terre en désert inhabité Nul n’est tenu de solutionner tout ces problèmes mais il faut éviter que la solution à l’un d’eux en aggrave un autre… La solution au problème 1. consiste forcément à émettre du carbonne pour pouvoir en émettre moins ensuite. Les solution du genre « on arrète tout » multiplie le problème no 5. par l’infini (à peu près)
Bon, j’ignorais que les stéphanois avaient gaga pour surnom. Mille excuses, mais votre prose agressive m’avait agacé… Kenavo
Je ne conteste pas que T est montée de 0,7°C depuis 1850, après la fin du Petit Age Glaciaire, et de manière non linéaire, jamais en phase avec une franche augmentation du taux de CO2, sauf sur la période 1980-1998, ce qui est trop court pour en déduire une relation de causalité CO2—> T. Il est curieux par ailleurs de constater que la pente d’augmentation de T entre 1910 et 1940 est identique à celle de 1980-1998, malgré une faible montée du taux de CO2. Rien que ce fait mesuré devrait faire remettre en question par le GIEC ses modèles numériques. Si vous regardez les courbes UAH et RSS (mesures satellitaires), vous verrez que T est stable depuis 1999, donc depuis 13 ans. On ne peut bien sûr rien en déduire sur l’évolution future, mais on peut en déduire que les modèles sont en contradiction avec les données d’observation. En science, quand les mesures contredisent les modèles, alors il faut revoir les modèles en conséquence, d’autant que notre connaissance des mécanismes cllmatiques est encore bien faible, contrairement à ce que clame le GIEC. Ce qui m’agace, c’est que le GIEC, les médias, les politiques et les écologistes radicaux considèrent que « la science a parlé » et que les projections sont fiables à près de 100%. Pourquoi ? Parce que le GIEC est un mélange de science et de politique : le résumé pour les décideurs est négocié entre les dirigeants du GIEC et les représentants des gouvernements ; les doutes et les interrogations en sont éliminés, puis il est présenté en grande pompe. Ensuite, le rapport scientifique est tenu de se mettre en conformité avec ce résumé, et il est publié avec quelques mois de retard. C’est la première fois qu’une telle procédure, qui viole les règles de la science, est utilisée. La science est faite de doutes, de remises en question, d’échanges d’idées, et non pas de certitudes, de refus du dialogue, et d’attaques ad hominem sur tout misérable qui oserait émettre des doutes argumentés. Il est impossible que 100% des publications « Giecquement correctes » soient toutes parfaites, et que 100% de publications « GIECquement incorrectes soient nulles à 100%. Si tel était le cas, les lois de distribution statistiques seraient violées, et le grand Gauss se retournerait dans sa tombe…. Je déplore les commentaires agressifs et négatifs des carbocentristes de tout poil, ainsi que leur attitude méprisante, avatar du comportement inacceptable du Président du GIEC, Rajendra Pachauri. Quant au délire paranoïaque auquel fait allusion Bruno, il s’applique à l’évidence au delirium carbonum… Lisez donc ce petit document du climatologue Marcel Leroux, fin observateur et père d’un modèle très intéressant : le modèle AMP (anticyclones mobiles polaires) Il est amusant que ce modèle ait été validé (mais non explicitement, car trop dérangeant) par la campagne de mesures FASTEX de Météo France dans l’Atlantique Nord.
Il existe de nombreux citoyens de bonne foi, de culture scientifique, qui n’ont aucun financement des affreux pétroliers, qui ont travaillé la question, qui se sont documenté auprès des sources les plus crédibles, et qui se sont fait leur propre opinion, qui est la suivante : 1) Les modèles du GIEC sont trop imparfaits, trop limités, voire inexacts, pour être crédible quant à leurs projections 2050-2100. 2) On ne connaît pas suffisamment les mécanismes climatiques pour crier haro sur le CO2 et en déduire diverses mesures : taxes, réglementations contraignantes, bourses carbone, sources de nombreuses malversations, dépenses publiques pharaoniques pour des prunes (surtout en ces périodes de tourmentes financières), …. Le seul point important pour l’humanité, c’est l’énergie, et nous devons y consacrer de nombreux efforts de recherche/développement, outre les appoints du renouvelable (qui a le défaut d’être intermittent). Gaspiller des sous au bénéfice de la lutte contre le réchauffement climatique anthropique, permettez-moi de le dire : c’est idiot, d’autant que T est stable depuis 13 ans (et attendons de voir les évolutions, qui sont lentes – wait and see). Le projet ITER, s’il aboutit, pourrait nous donner une source inépuisable d’énergie bien propre, mais pas avant la fin du siècle au niveau des réalisations industrielles. Il se peut également que l’on puisse identifier l’énergie noire et l’utiliser pour produire de l’énergie, mais, comme cette énergie noire est très mystérieuse, ce n’est qu’une supposition optimiste de ma part. Peut-être que les gaz de schistes, si nous disposons dans le futur de moyens d’extraction sécurisés et contrôlés, pourraient assurer une jonction satisfaisante. Kenavo
L’andouille de service (merci pour ces aimables fleurs) persiste et signe. Voyez les courbes UAH et RSS sur : Si vous savez lire une courbe, vous pourrez en déduire, sans artifice mathématique ayant pour but de cacher la réalité, que T est constante depuis 1999 (j’ai mis 1998 en année de début, car elle fut la plus chaude avec un fort El Nino).
Si en 2020 T est restée constante ou a diminué, alors Jouzel nous dit que le GIEC reconnaîtra s’être trompé. Attendonc 2020, et ne faisons pas confiance à des modèles trop imparfaits: on ne sait pas modéliser les divers types de nuages en 3D, les turbulences non linéaires associées, la vapeur d’eau et le cycle de l’eau, les grands courants océaniques, les échanges dynamiques d’air et d’énergie, les divers types d’aérosols (certains ont une action refroidissante, d’autres une action réchauffante), la pluviométrie, le relief, la cryosphère, les rayons cosmiques en l’ennuagement… Enfin, le concept de forçage radiatif, inventé par le GIEC, viole la seconde loi de la thermodynamique. En conséquence, toutes les prévisions des modèles numériques du GIEC n’ont aucune crédibilité. Sachons reconnaître avec humilité que le climat est encore une vaste « terra incognita », et qu’il est vain de fantasmer sur des prévisions apocalyptiques qui restent de domaine de la chimère….
Pour au moins cinq raisons. La première est le remplacement du pétrole par du charbon dans toutes les utilisations autres que le transport, voir la croissance mondiale de consommation du charbon, La deuxième est qu’il n’y a aucun effort sérieux fait sur les process de captage et stockage du CO2, il n’existe à ce jour aucune réalisation industrielle, La troisième est que les pays émergents, ont de plus en plus recours aux combustibles carbonés pour soutenir leur croissance, La quatrième est que les EnR, même en progression relative rapide, ne représentent que peu d’énergie en valeur absolue, la cinquième est que nombre de pays développés capables de faire de l’électronucléaire y renoncent suite à la poussée des antinucléaires. La conséquence est claire, les émissions de CO2 croient très vite et les désordres climatiques vont empirer. Enfin, il me semble que ceux qui crient au mensonge, ou au délirium carbonum, feraient bien d’analyser ce qui se passe sur les glaciers du Groenland.
La crise de 2009 s’est traduite par une forte crise dans les pays a bas niveau d’intensité énergétique et un ralentissement moins marqué dans les pays à haut niveau d’intensité énergétique (comme la Chine). Mécaniquement, il est normal de voir l’intensité carbone mondiale remonter, c’est un problème de pondération ! Pour le reste, je conseille de lire de rapport du GIEC, de compter le nombre d’occurence de « très probable » et « bas niveau de compréhension scientifique ». Chacun se fera une opinion…
Sauve qui peut! Les négationnistes sont de retour.
Je suis encore une fois étonné que ne soit pas évoqué les économies qui selon moi, nous laisse encore une très large marge de manoeuvre… Malheureusement il ne faut pas se voiler la face, ceux qui nous vendent l’énergie, derrière les belle phrases « l’énergie est notre avenir, économisons la » ne veulent pas que nous consommions moins. Et pourtant, regardez le gaspillage autour de vous, les gigawatts qu’on balance par la fenêtre… Si nous avions une réelle politique d’économie d’énergie, je pense que les résultats seraient spectaculaires…
Des imbéciles et des irresponsables, comme ceux qui essayent de placer le nucléaire à chaque occasion. Ou qui jubilent quand la balance commerciale de l’Allemagne subit un mois difficile mais restent muets quand elle retrouve le chemin des éxcédents. Le dérèglement climatique auraient des conséquences tellement dramatiques et irréversibles que personne ne peut accepter un tel risque.
Même si la majorité s’était trompée, on aurait appris à se passer des énergies fossiles, dans la foulée à réduire à néant les sources d’énergies potentiellement dangereuses et néfaste pour notre environnement, il faudra de toute façon apprendre à s’en passer. Pris conscience des dangers d’un développement industriel tout azimut, d’une agriculture intensive et totalement déraisonnée. Nous aurions juste gagné un peu de temps sur un échéancier inéluctable.
Une personne qui évoque la climatologie en prenant comme référence une période de 13 ans n’est tout simplement pas crédible… En ce qui concerne le GIEC une chose est sûre, ce sont peut être des mauvais comme vous dîtes mais il faut au moins reconnaitre que les pires scénarii des premiers rapports sont largement dépassés…
Pas tant que ça, je lis beaucoup beaucoup de choses intéressantes sur ce forum!
Aux négationnistes du réchauffement Si les rappports du GIEC vous emmerdent par leur exhaustivité et leur prose scientifique, bref par leur volume et leur poids, prenez plutôt un verre de vin ! Et profitez en pour regarder son degré d’alcool sur la bouteille. Vous pourrez constater qu’il y en a de plus en plus qui titrent 12,5 à 13,5 °, voire 14° et plus pour certains … c’est là une illustration du réchauffement des plus communes … accessible à chacun … sur sa table … Et qu’importe le vin, qu’il soit français, californien, chilien, d’Australie ou d’Afrique du Sud. C’est qu’avec le réchauffement, plus de chaleur et plus de soleil pendant la période de murissement des grains … donc plus de sucre … qui est à transformer ensuite, lors de la vinification, en alcool pour ne pas dénaturer le gout du vin … Lien illustratif : A la votre ! Et vous souhaitant que le réchauffement que vous procurera la divine boisson et les dérèglements induits (qu’ils soient de motricité, de perception, d’élocution, de pensées, ou encore de libido) ne s’emballent pas trop … sauf si c’est pour une plus grande prise de conscience du réchauffement climatique !
jipebe29, alias Jean Pierre Bardinet, sévit comme une intense pluie bretonne chaque fois que paraît sur le net un article sur le climat et, bien sûr, plus particulièrement à la veille du sommet sur les changements climatiques à Durban en Afrique du Sud à partir du 29 novembre. On peut aisément vérifier, tellement il se répand sur le net lui et ses sbires, que sa démarche n’a strictement rien de scientifique comme il le prétend mais consiste juste à reprendre des démonstrations partielles, tronquées, détournées, déformées, à partir de sources trop souvent contestables, ce qui se traduit tout simplement par monter des villages Potemkine sur du sable pour tenter de brouiller les esprits et s’apparente pleinement au lobbying et non à la science ou à la recherche de la vérité. Il est intéressant de constater que les arguments qu’il reprend sont les mêmes que ceux de sites de lobbying derrière qui se cachent ceux qui ne veulent pas se priver d’émettre des Ges et de pouvoir continuer tranquillement à polluer pour des raisons notamment économiques comme entre autres le Cato, le Heartland, le Molinari Institute etc outre Atlantique et qui ont leurs relais en France comme Turgot, Objectif Liberté etc. Sa principale source est le site pensée unique qui comme son nom l’indique n’est pas d’une objectivité à toutes épreuves et fait de la vulgarisation souvent contestable avec des erreurs. De plus très bizarrement sans possibilité de répondre ou de s’exprimer sur le site alors que l’on se lasse de lire Jean Pierre Bardinet et ses sbires partout et leurs arguties orientées, inobjectives, partielles et non approfondies. Les arguments des anticylones mobiles polaires et des agglutinations anticycloniques ou encore les oscillations oceniaques décennales comme les travaux de Svensmark sont très intéressants mais ont aussi leurs limites, des aspects contestables et contestés, des incertitudes et des points inexacts reconnus, y compris par les scientifiques en pointe sur ces sujets mais çà, tout comme les dernières avancées sur ces différents sujets, Jean Pierre Bardinet se garde bien de les mentionner ou de mettre à jour cette sauce de textes et de pseudo-arguties scientifiques qu’il nous ressert à chaque article sur le climat. Jean Pierre Bardinet serait bien inspiré de moins s’étendre inutilement sur le web car tous ceux qui s’intéressent au sujet connaissent sa prose et les limites souvent étriquées de ses raisonnements mais d’être plus approfondi et objectif, il n’en serait que plus crédible et on finirait peut-être par le lire plus sérieusement plutôt que d’en sourire, qui sait. Les réponses à Jean Pierre Bardinet, il y en a déjà quelques unes ici pour faire très simple :
Votre propos est inacceptable : le terme de négationniste a une signification très particulière, et je ne vous permets pas de faire l’amalgame avec ceux qui ont d’autres avis que les vôtres. Vous êtes un pignouf, monsieur, et un rustre. Quand vous saurez argumenter au lieu de jeter des insultes, et quand vous vous serez excusé, alors vous retrouverez un peu de civilité et de dignité. Car pour le moment, vous êtes dans la fange….
J’ai quasiment lu l’intégralité de l’AR4 et suis en concéquence devenu sceptique. « Et profitez en pour regarder son degré d’alcool sur la bouteille. Vous pourrez constater qu’il y en a de plus en plus qui titrent 12,5 à 13,5 °, voire 14° et plus pour certains … c’est là une illustration du réchauffement des plus communes … accessible à chacun … sur sa table … » C’est le soleil (ou l’ajout de sucre plus probablement) qui fait monter le taux d’alcool dans le vin. Etes vous un partisan du réchauffement climatique par le soleil ? Et les bière à 8° dans les supermarché, c’est le CO2 aussi ?
Je vous mets le même commentaire que pour pierrotb001, car vous ne valez pas mieux. Votre propos est inacceptable : le terme de négationniste a une signification très particulière, et je ne vous permets pas de faire l’amalgame avec ceux qui ont d’autres avis que les vôtres. Vous êtes un pignouf, monsieur, et un rustre. Quand vous saurez argumenter au lieu de jeter des insultes, et quand vous vous serez excusé, alors vous retrouverez un peu de civilité et de dignité. Car pour le moment, vous êtes dans la fange….
Quand les médias feront correctement leur travail, avec objectivité et sans dogmatisme primaire, comme cela est le cas actuellement, il ne me sera plus nécessaire de mettre mon grain de sel sur le Net. Par exemple, il y a quelques mois, une obscure ONG argentine a sorti une prédiction de +2,4°C en 2020, par rapport à 2011. C’était évidemment idiot (même le GIEC a réagi), mais que firent nos médias? Ils ont tous, avec un bel ensemble (ha, les braves gens !…), publié cette information sans cune analyse, aucune critique, aucune réserve. Nombre d’internautes, et pas seulement votre honorable serviteur, ont réagi avec bon sens et virulence, mais quasiment aucun média ne s’est excusé pas la suite. Les exemples de cet acabi sont hélas légion. Aucun média n’a jamais évoqué la théorie de Svensmark, ni son test dans le projet CLOUD. J’appelle cela du lyssenkisme, et, au 21ème siécle, c’est hallucinant. Vous êtes dans cette mouvance carbocentriste rétrograde, arrogante, méprisante, agressive, et ce n’est pas à votre honneur. Le site Pensée Unique est intéressant en ce sens qu’il est le seul à parler de publications « GIECquement incorrectes », au demeurant fort intéressantes. Vous ne pouvez supporter cela, d’où vos attaques infondées et votre haine viscérale à l’encontre de Jacques Duran. Vous avez une confiance aveugle dans le GIEC et dans ses modèles numériques, au demeurant tellement imparfaits, voire erronés. Vous refusez de prendre en compte les données d’observation qui vous dérangent, faisant par là même preuve de dogmatisme primaire. Vous refusez de prendre en compte les publications « GIECquement incorrectes », même si elles sont fort pertinentes. Et, plus le temps passe (time, of course), plus T est stable, voire diminue, moins le GIEC est crédible. Si, par aventure, T diminuait dans les prochaines années, si tous les indicateurs passaient au vert, alors le GIEC perdrait le peu de crédibilité qui lui reste. Je vous plains d’être aussi intégriste pour d’obscures raisons, qui n’ont sans doute rien à voir avec la Science. Kenavo
Vous êtes scientifique: fort bien, j’ai pris bonne note. Veuillez rpondre aux questions suivantes, avec objectivité Etes-vous OK avec mon point 1? Etes-vous OK avec mon point 2, sur le fait que le rôle pivot du CO2 est toujours une hypothèse? Etes-vous OK avec mon point 3, dont les sources sont les mesures satellitaires UAH et RSS? Etes-vous OK avec mon point 4, dont les sources sont les mesures de températures des sondes océaniques ARGO, les mesures de flux IR quittant la Terre, les mesures d’évolution des niveaux marins? Si vous n’êtes pas OK sur un ou plusieurs points, j’attends des arguments sérieux de votre part. Nous pourrions évoquer l’expérience de Wood et l’application incorrecte de la loi de Stefen-Boltzman par le GIEC, si vous voulez aller plus loin… Kenavo (et… ALLEZ LES VERTS .. de St Etienne, bien sûr)
Préambule, merci Nicias, ça résume bien une position « scientifique ». je vous conseille à tous de lire les excellents articles de Jacques Duran, un scientifique, un vrai, sur son site pensee unique. Après libre à chacun d’adhérer à la religion qu’il préfère : La Sainte Eglise Réchauffiste de L’incommensurable Giecerie ou La Caballe Satanique Négationniste Allègre (qui , au paassge est un de nos plus grands scientifiques « vivants »), et c’est pas parce qu’il est (Géo) chimiste qu’il n’y connaît rien au climat. Qu’il soit une grande gueule et souvent insupportable à entendre ou à voir, c’est peut être vrai, mais n’a rien à voir dans le débat scientifique. Ou alors il faut définitivement faire taire la plupart des grands pontes de Greenpeace et WWF, par exemple, souvent très charismatiques, mais pas toujours rigoureux dans leur « science » Enfin, je vous recommande un excellent film propagande fiction catastrophe, d’un grand climatologuae, Al Gore, le film s’appelle ;: « Une vérité inconvéniente ». PS : et je suis POUR la réduction des consommations d’énergie (carbonées ou pas) et d’eau.
Partisan de la science … et évident que les caractéristiques de l’orbite de la terre autour du soleil et que les variations de l’activité solaire participent à la variabilité naturelle du climat … parmi d’autres facteurs naturels, El Nino etc… et facteurs qui ont tous des cycles temporels de max et de min bien différents, bref … des facteurs asynchrones … par nature justement. Avec le facteur anthropique (gaz à effet de serre) en croissance plutôt régulière tout aussi clair que c’est alors durant les périodes où l’effet max (en hausse de température) des facteurs naturels se cumulent le plus … qu’on bat des record de température du climat planétaire … Faut donc certainement pas s’attendre à ce quon batte des records de températures planétaire chaque année comme semble-t-il que ce soit attendu comme preuve du réchauffement par certains !!! Et pour en revenir aux raisins et à leurs sucres … Avec le réchauffement climatique le cycle végétatif des vignes prend de l’avance et donc la période où se créent, grâce au soleil, les sucres (la véraison et la maturation) prend aussi de l’avance. Ainsi cette période se situe davantage en été … saison durant laquelle il y a plus de soleil qu’en automne … Non ?
Ce que vous dites est exact, ceteris paribus, votre vin sera plus alcoolisé. Mais il reste au final un problème d’attribution insolvable en l’état, même si vous avez « un haut degré de compréhension scientifique » des mécanismes physiques et biologiques, au final le % d’alcool dans votre vin dépend aussi des préférences des consommateurs que vous ne connaissez pas. Bref je suis sceptique, je ne sais pas si le soleil et la chaleur expliquent que les vins soient plus alcoolisés. Ceci dit, c’est pas comme pour le CO2, on peut expérimenter et on connait mieux le marketing que les effets indirects du soleil, les courants marins, les mécanismes de formation des nuages, les aérosols etc …
Y a 20-25 ans un des vins les plus alcoolisés sur le marché était le sidi brahim qu’on buvait avec le couscous. Il titrait 13,5° … le marketing nord-africain aurait-il alors été tellement précurseur !? … Peu crédible ! En fait le marketing « vin plus alcoolisée » de chez nous est postérieur au réchauffement climatique … et participe à l’adaptation à celui-ci … à défaut de pouvoir lutter contre ! Et à chacun son marketing … mais à remarquer toutefois, en en soustrayant le greenwashing opportuniste, que le « marketing » écolo, bio, équitable, ethique, solidaire et responsable est de plus en plus dynamique.
Sur le réchauffement, il est évident qu’on a vu tellement d’amalgames qu’on a perdu pieds. Entre les gouvernements qui l’utilisent pour réduire leur dépendance énergétique et les milliers de sensibilités différentes. Ici la voiture electrique est dite plus emissive et comparée à une voiture au charbon PUISQUE l’electricité est carbonnée, les bilans carbone copyrightés par notre JMJ national dont la seule vocation est de culpabiliser sans offrir la moindre perspective.. Et tous les gourous qui affirment haut et fort qu’aucune technologie ne parviedra à inverser la tendance arguant de la désormais célèbre démonstration de JMJ (encore lui) qui montre que les voitures ont divisé par deux leurs émissions paendant que le parc auto doublait en volume pour un résultat nul.. Avez vous eu votre compte de désespoir ? voulez vous jouer à vous faire mal ? si le co2 menace la planète , l’ambiance est bien plus irrespirable et le résultat de toutes ces horreurs n’est pas au rendez vous. Les pourfendeurs se défendent arguant de leurs propres efforts mais qu’est ce que ça change puisque l’initiative individuelle est aux antipodes de ce qu’il faut faire. Diogène n’est pas la solution à notre problème et la technologie jouera un rôle proportionnel à celui qu’elle joue dans notre quotidien. Mais la culpabilité, la souffrance et l’invective ont sûrement terminé leur besogne et le résultat est bien maigre. Premier constat : 100% n’est absolument pas égal à 100 fois 1%, ce n’est pas qu’une affaire d’arithmétique , c’est aussi un constat abrupt issu de l’observation Tant qu’on roule au pétrole, on ne fera pas beaucoup mieux que maintenant, mais dés que le lithium , H2 ou pourquoi pas le cheval de trait (qui roule au gazon) connaitront une croissance supérieure à celle des moteurs essence, ça arrivera tard, d’un coup et ne sera pas réversible , un peu comme le téléphone mobile ou les écrans plats, on en parle , on en parle , et un jour c’est partout et on n’en parle même plus… Pour le carbone, c’est un peu long, ca tarde à venir car l’automobile et le BTP sont les deux marchés les plus lourds qui existent, mais si les trends sont bons et que l’inovation n’est pas bloquée (un regard lourd à nos amis pronukes) , ça viendra ! Ensuite il faudra peut être aller chercher le carbone dans l’atmosphère. On sait le faire mais à une échelle ridicule … Enfin transformer ce carbone atmosphérique en carburant stockable pour l’hiver, on sait le faire aussi , mais ….. ce sera très long mais on ne peut pas dire qu’on ne fait rien On ne peut pas dire qu’en donnant 15 coup de fouet au 4×4 driver , les choses iront plus vite. Cela ne changera rien