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Le coût d’intégration de l’énergie des vagues en question dans le Pacifique

par La rédaction
15 janvier 2015
en Energie, Hydro

Une nouvelle étude suggère que le développement à grande échelle des systèmes de récupération de l’énergie des vagues dans le Pacifique devrait être relativement stable, fiable et capable de s’intégrer au réseau électrique à moindre coût par rapport à d’autres formes d’énergie alternatives comme l’éolien.

Les résultats publiés dans la revue ‘Renewable Energy’, ne font que confirmer ce que les scientifiques pensaient déjà. L’énergie des vagues pose moins de problèmes d’intermittence que certaines sources d’énergie et en équilibrant la production de l’énergie des vagues sur une zone géographique plus vaste, la variabilité peut encore être réduit.

L’intermittence des sources d’énergies alternatives est un facteur qui freine leur utilisation – Si l’énergie du vent ou du soleil diminue et varie considérablement, une autre production d’énergie doit compenser ce manque. Au final, le coût global du système d’approvisionnement énergétique s’en trouve plus élevé.

"Chaque fois qu’une nouvelle forme d’énergie s’ajoute, le défi consiste à l’intégrer au système, avec les autres sources", a déclaré Ted Brekken, professeur agrégé et spécialiste des énergies renouvelables à l’Université de l’Oregon State (USA).

"En produisant l’énergie des vagues sur différents sites, éventuellement avec diverses technologies, et en tirant parti de la cohérence comparative de l’énergie ondulatoire elle-même, il apparaît que l’intégration de l’énergie des vagues devrait être plus aisée que celle de l’énergie éolienne" a t-il précisé. "La réserve d’énergie, ou la production de secours, nécessaire à l’intégration de ce type de technologie devrait s’avérer minime."

Cette estimation du coût serait de 10% ou moins des dépenses actuelles pour l’intégration de l’énergie éolienne. L’intégration de l’énergie, n’est cependant, qu’une composante du coût total de l’électricité produite. L’énergie des vagues, encore au stade du balbutiement, n’est pas en mesure de concurrencer l’éolien offshore sur une base globale.

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L’énergie des vagues n’est pas actuellement en phase de commercialisation dans le Pacifique Nord-Ouest. Toutefois, les experts affirment que son potentiel futur demeure importante, alors que les coûts devraient baisser, les technologies s’améliorer et les dispositifs se diversifier davantage. L’étude a examiné l’ajout hypothétique de 500 mégawatts de capacité de production dans cette région d’ici 2025, ce qui serait comparable à environ 5 grands parcs éoliens.

Un autre atout dont dispose l’énergie des vagues reste la prédiction de la production à court terme avec un degré de précision élevée sur une échelle de temps allant de quelques minutes à quelques heures, et cela même selon les saisons.

L’étude conclut que l’énergie des vagues dans la région Pacifique devrait stimuler la croissance économique, aider à la diversification énergétique, réduire les émissions de gaz à effet de serre et réduire les pertes de transmission d’énergie électrique.

Tags: énergiepacifiquequebecvague
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Commentaires 10

  1. Stephsea says:
    il y a 10 ans

    Et pourquoi la france ne profite t’elle pas de sa façade Altlantique très bien bien pourvue en en énergie Houlomotrice ?

    Répondre
  2. Tech says:
    il y a 10 ans

    le titre est mal choisi car il sous entend l’inverse de ce qui est dit dans l’article quand on dit « en question » en général c’est négatif alors que l’article serait plutôt en faveur. mais ne parler que de ce qui apparaitrait comme une évidence, les vagues seraient plus prédictives, je peux vous asssurer qu »en tant que plongeur dans différents océans la houle est très variable et justement liée la plupart du temps au vent! et le stockage doit y être adjoint et être pensé pour réguler les irrégularités! et du matériel dans l’eau de mer c’est de la corrosion et des accrétions à gérer cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas utiliser l’énergie des vagues, mais seulement que comme TOUTES les énergies elles ont des avantages et des inconvénients

    Répondre
  3. Pastilleverte says:
    il y a 10 ans

    Mix, mix, mix, à doser au mieux des ressources locales et des technologies les plus « rentables » en terme de rappport encombrement/fiabilité/rendement/coût.

    Répondre
  4. P h says:
    il y a 10 ans

    la mer – nouvelle source d’énergie renouvelable par les vagues ,permetten d’atteindre des résultat scientifique n’ayant jamais été créé dans le monde. Voir vidéo sur YOUTUBE – cataenergie

    Répondre
  5. Surfeur says:
    il y a 10 ans

    @Stephsea : Les premiers projets existent bien dans certains labo que ce soit à Nantes, Brest ou en Normandie. Le prochain salon des EMR (Energies marines renouvelables) aura lieu à Nantes en mai et sera un grand rassemblement autour de ces technologies qui vont arriver et proposer diverses solutions. Consultez également les docs sur certaines technologies existantes (Pelamis, WaveRoller, Point Absorber…) Les idées sont là et demandent un peu de patience

    Répondre
  6. plouc73 says:
    il y a 10 ans

    Les expériences houlomotrices restent, à l’heure actuelle des expériences. les projets les plus avancés comme PELAMIS (gros boudins flotteurs) n’ont pas débouché, depuis 2004, sur des réalisations durables.Le seul essai grandeur nature fait au large du Portugal durant l’hiver 2008/ 2009 s’est terminé par la remise dans un hangar des boudins fortement endommagés durant l’hiver. Il est vrai que l’Atlantique ça rigole pas; mais pour que ces systèmes fonctionnent, il faut une forte houle, mais qui est fatigante pour les structures. D’autre part, pour des raisons professionnelles j’ai été amené à calculer la productibilité des systèmes PELAMIS ; elle paraît inférieure à 12 % si on tient compte de la limitation à 8 m des hauteurs de vagues et des occurences engendrées par la fréquence de la houle. Ce système semble rencontrer de telles difficultés que l’énergéticien allemand EON a mis fin à un contrat de 3 ans de recherche avec un communiqué qu’il faut savoir lire entre les lignes. Le plus intéressant dans ce communiqué est le constat de l’irrégularité de la production en cas de forte houle ci joint l’un des liens qui permet de vérifier mes propos Quant au système CETO (bouées sphériques actionnant des bielles dans un mouvement alternatif vertical) EDF EN en avait installé un à la Réunion. Le cyclone Bejisa a tout détruit le 3 janvier 2014. Les courants et non la houle seraient peut-être moins usants puisqu’on positionne la turbine entre 2 eaux. Mais cela reste aléatoire et la productibilité sans doute assez faible. Ce qui semble le plus prometteur c’est non de produire de l’électricité mais de jouer sur les différences de température entre eaux de surface et eaux profondes pour obtenir des calories ou des frigories utilisables avec une pompe à chaleur, et dans ce cas le bilan global est bien meilleur.

    Répondre
  7. Stephsea says:
    il y a 10 ans

    @Surfeur, ma question ne porte pas sur la technologie disponible (j’en connait un rayon là-dessus), mais sur l’absence quasi totale de financement et d’initiatives crédibles sur le plan économique ou politique. Les vagues restent une source d’énergie extrêmement exotique, soufrant d’une sous culture délétère, avec ces effets : les projets « médiatisés » sont peu variés et très peu nombreux, portés par des majors qui ont une idée très étroite (!!!) de ces sujets, avec un niveau d’expertise disparate, une gestion de projet calamiteuse, voire cahotique, des conflits d’intérêt, et finalement une méthode inefficace. La « biodiversité » est donc très réduite, ce qui ralenti mécaniquement l’évolution darwinienne de la technologie de prélévement d’énergie dans la houle. La vapeur en son temps a subli les même déboires… En un mot, nous sommes au point mort sur ce sujet « houleux », alors que les vagues innondent littéralement d’énergie toutes les cotes de l’Europe de l’Ouest. La baisse du cout du baril d’or noir ne va pas aider, à moins que les compagnies pétrolières ne se mettent finalement à investir massivement ailleurs que dans les énergies carbonnées, et avec un large spectre de projets et surtout une vraie approche scientifique et ouverte et non seulement une approche technologique. @plouc73, Pelamis et CETO sont des systèmes voués à la poubelle. Ils l’étaient génétiquement. Ceux qui connaissent la mer le savaient, donc on peut en déduire plein de choses sur les porteurs de ces projets, d’une part… Mais de leur courte vie, nous pouvons tirer une foule d’enseignements, au lieu de déclarer – par pur orgueil, par dépit ou par ignorance – que la mer détruira tous les sytèmes houlomoteurs. Si les vagues détruisaient tout, il n’y aurait plus beaucoup de cargos sur les mers… Personne n’a dit que ce serait facile. Déduire des échecs (dues à des systèmes et des hommes inaptes) que la houle est inexploitable est extrêmement réducteur (pour rester poli). C’est ignorer que les technologies les plus interessantes sont aussi les plus difficiles à mettre au point. Pour aboutir sur l’énergie de la houle, il faut multiplier les expériences, au lieux de se satisfaire d’un constat de « bar du commerce » du type « ça ne marchera jamais ». Les investissements déjà consentis sont insufisants, et doivent être entendus comme un début, un sacrifice necessaire, et non comme un échec. Le problème principal vient du fait que pour vendre un système ou une idée ou une technologie, il faut prétendre avoir atteint la paroxisme de l’efficacité, le bout du bout de ce qui marche à 100%, la solution universelle, la formule finale qui transforme le plomb en or. Il faut donc mentir, se mentir à soit même, convaincre les promoteurs et financiers (les séduire!) et les pousser à se mentir et à mentir à tout le monde par ricochet, à la presse, et à toute la population, avec la complicité et la complaisance gluante des jounalistes et autres relais d’opinion tous aussi serviles et cupides les uns que les autres. On ment jusqu’à la noyade, jusqu’à la faillite, et même après, et là tout s’écroule comme un chateau de carte, la confiance avec. Et chacun y va de sa petite colère personnelle, de son petit couplet revenchard, de ses regrets contre ces « méchants vendeurs de vent », ces escrocs. Chacun se trouve une cause extérieure à sa propre faillite, quelqu’un à accuser, et pendant ce temps le train s’arrête! Plus personne ne bouge. Vous verrez d’ailleurs qu’il nous arrivera la même faillite et les même réactions avec le nucléaire industriel tel qu’il se fabrique actuellement, sous la houlette de très très très gros intérêts industriels et politiques. En conclusion, si il y a de l’énergie dans la houle, nous iront la chercher. C’est une loi de l’évolution. Et de l’énergie, il y en a, alors allons y dès maintenant, au lieux de se vautrer dans les constats amers. Le chemin est long. Sur le prix de l’énergie pour finir. Oui les ENR sont difficiles à prélever, et c’est normal. L’énergie est chère, très chère, tout simplement. C’est une réalité. Cette énergie carbonnée que nous consommons actuellement comme des gloutons a mis plusieurs centaines de millions d’années à se constituée, ce qui est un prix faramineux, et le déversement de carbonne dans l’atmosphère se paiera un jour ou l’autre. Donc l’énergie est chère, et nous ne savons pas exactement à quel prix d’ailleurs. En humains raisonnables, conscients des générations qui nous suivent, nous devrions accepter ce cout et le payer comptant (c’est le principe des énergies renouvelables dont le cout est à 70-90% payé avant la production sous forme d’infrastructures) au lieux de s’ouvrir une ligne de dettes infinies (+ intérêts), ce que nous faisons avec les énergies non renouvelables jusqu’à l’asphixie.

    Répondre
  8. plouc73 says:
    il y a 10 ans

    @ M. Stephsea Je constate d’abord que sur le plan technique, vous ne remettez pas en cause ce que j’ai écrit. D’autre part, et vous le dites vous mêmes, les systèmes PELAMIS et CETO étaient, selon vous, morts-nés. Donc il est peut-être réducteur de constater des échecs mais ils existent et si être honnête c’est être (selon votre omniscience) un minus habens intellectuel, alors j’assume. Ceci posé, la houle est plus un problème qu’un avantage. D’abord je suis voileux (RM 1 200 construit aux chantiers de Périgny pour votre gouverne) et ce n’est donc pas par ignorance des réalités marines que je doute fort de la faisabilité de systèmes houlomoteurs à l’échelle industrielle. J’en veux pour preuve que les roues à aube ont été abandonnées pour la propulsion des steamers car précisément la houle rendait cette propulsion délicate. (Je laisse de côté le Mississipi et le Lac Léman où les problèmes de forte houle se posent rarement) Et c’est l’hélice immergée qui les a remplacées. C’est d’ailleurs pourquoi je pense que les hydroliennes à faible profondeur et dans des raz de forts courants sont sans doute plus durables et plus facilement constructibles. Pour le reste, votre mélange de philosophie et de prédictions économiques dépasse largement mon modeste entendement. Et puis je suis déçu : Je n’arrive pas à établir le lien pertinent, direct et concrètement réalisable entre les avantages de la houle et la (les) solution(s) technique(s) que vous proposez ??!! pour dompter cette houle si prometteuse selon vous. Mais parmi les intervenants sur ce forum peut-être y-at-il des spécialistes pour nous dire quel système peut tenir dans des creux de 14 m comme à la Réunion en cas de cyclônes (les panneaux PV résistent bien aux vents à l’origine de ces creux).

    Répondre
  9. Sicetaitsimple says:
    il y a 10 ans

    Oui, mais c’est pas si simple! D’ailleurs, j’écrivais le 5/01/2010 à propos de Pelamis: « La video est superbe! Mais il y a-t-il un ingénieur pour penser que ce truc peut rester plus de trois ans à s’agiter comme ça dans la mer sans se retrouver dans ce délai échoué comme une baleine perdue sur la plage qu’on voit au fond? Je prends le pari…. » PS: la vidéo de l’article ne fonctionne plus.

    Répondre
  10. Stephsea says:
    il y a 10 ans

    Etonné d’une part du fait qu’il y a des réactions contre mon post mais surtout de leur teneur défensive voire carrément agressive. Je vois qu’on préfère défendre sa petite personne, quand on se croit visé ou remis en cause, plutôt que de parler du fond. Et la méthode est alors très simple, toujours la même : personnaliser le débat et le ramener à sa petite personne, à des « toi », à des « moi » et à des « toi même », et autres fadaises. C’est hors sujet. les aventures de tel ou tel en RM fabriqué jenesaisoù (en fait je le sais très bien mais c’est totalement hors sujet…) n’ont rien à faire ici, en tout cas pas en réponse à ma « prose philosophique ». Je n’ai d’ailleurs pas à justifier mon style et ma manière de m’exprimer. Elle est critiquée ici parceque un ou deux égos sensibles ont été éraflés. Ce n’était évidement pas mon but. Et comment faire si la moindre remise en cause les rend hostiles, et étanches à toute réflexion sur le fond? Je les invite simplement à me relire sans s’impliquer personnellement. Et à ne répondre que sur le fond, si possible. Le fond… Les énergies fossiles posent plusieurs énormes problèmes, qui couteront infiniment plus cher que toutes les oliennes, pv et autres sytèmes technologiques, compliqués, fragiles et intermitents (toutes ces jouets de technologues maniaques dont les laboratoires et industries vivent, ces tarés qui usent et abusent des subventions et donc de nos impôts et taxes, les salauds!!!). Tous ces défauts nous paraitrons bientôt comme très petits et faciles à surmonter quand notre littoral et notre agriculture vont changer radicalement, quand notre environnement tempéré et relativement calme – donc riche et très productif – va ressembler à une sorte de Sahel tempétueux. Les scientifiques sérieux s’accordent là-dessus. La pente de réchauffement est alarmante, et la spirale pourrait s’embaler. Je pense par exemple au permafrost qui fond et qui va emettre du méthane, vingt fois plus « réchauffant » que le CO2. Les scientifiques qui rajoutent une petite couche de pensée, de politique, de sens collectif et de culture par dessus ce constat font des projections alarmantes sur l’état d’un monde réchauffé de deux à quatre degrés en quelques dizaines d’années. La grande extinction est un des élements de cette projection. La plus simple et la plus spectaculaire des projections à envisager à notre niveau (cela commence déjà) est l’immigration climatique, déjà en forte croissance, qui peut devenir massive et brutale. Par ailleurs, ne peut on dire que les chaos politiques qui grandissent déjà à l’Est de l’Afrique sont des effets indirects à la fois du dérèglement climatique et de la mondialisation des ressources en terre arables? La pression augmente partout pour plusieurs raisons. L’abus des énergies carbonnée en est à la fois une cause (parmi d’autres…) et un symptôme. Nous sommes déjà dans une forme d’emballement, de compétition farouche et mortelle. Presque toutes les guerres et conflits actuels tournent autours des ressources en pétrole. Demain ce sera l’eau douce et la terre cultivable, voire simplement la terre émmergée. Le réchauffement sera un des éléments qui portera au paroxisme cette compétition mondiale. Que ceux qui acceptent ce débat se concentrent un peu sur l’essentiel, au lieu de me lancer à la figure mon style « philosophique » comme une insulte, comme une difformité. Etre philosophe est devenue une tare… Cette remarque est d’autant plus inquiétante que mon post par nature est peu ou pas construit sur le plan littéraire, et donc surtout axé sur des messages simples. Mais il est interdit d’avoir à la fois des compétences techniques et un message. Soit on pense et on s’exprime, soit on sait et on fait des choses. Il est interdit d’avoir les deux casquettes. Et cette opposition entre faire et penser arrange bien une certaine « aristocratie », et quelques politiques qui de nos divisions et de notre bêtise tirent un grand profit, celui d’être réelu (de justesse mais réélu, ou très copain de celui qui les remplace), celui de continuer « comme avant » en pire. Et si on se déclare dépassé, incompétent, par simple humilité ou par dépit ou par vengeance contre ce qui nous dépasse ou par bêtise, on n’est pourtant pas obligé de se transformer en obstacle, en poids mort, en opposant de principe, en victime du système. Quand on est dépassé, on écoute – ou pas – et on se tait, on fait le dos rond. Sur le fond encore… Non, toutes les propositions technologiques ne se valent pas, ni les équipes, ni les projets, ni les méthodes, ni les intérêts qui les portent. Si nos argument sont construits et dénués d’intérêt trop personnels, nous avons le droit et même le devoir d’être c ritique. Cela commence donc d’abords par un devoir de savoir, un devoir de culture, une curiosité aiguisée et permanente, transversale, un devoir de s’informer, de croiser les données, de faire ses propres expériences aussi, de penser par soi-même sans honte et avec humillité, donc avec une certaine fierté mais aussi avec une remise en cause systématique. Le devoir est de comprendre, de re-comprendre, puis de penser et re-penser. C’est ce qui m’amène à dire abruptement, et grâce au recul et grâce à mon expérience étendue du domaine maritime, que Pelamis et CETO étaient des sytèmes voués à la mort, et probablement des aventures necessaires en même temps. C’est le dure loi de l’évolution qui s’applique aussi au technologies. Nous pouvons dire de même, avec une quasi certitude que certaines éoliennes flottantes seront extrêmement décevantes. Je n’irai pas plus loin sur un plan technique (qui n’intéresse que les spécialistes), si ce n’est pour dire l’essentiel que j’ai déjà écrit la dernière fois : Là où il y a une vraie densité d’énergie renouvelable, il faut aller la chercher de force, même si c’est très cher et même si le procédé technique n’est pas évident aujourd’hui (Nous et d’autres porteurs avons quand même quelques idées assez précises…). Il y aura donc des machines houlomotrices, c’est certain (sauf extinction de l’humanité technologique). Qu’attend t’on pour les faire en France, donc pour en financer massivement la R&D ici et maintenant? Qu’attend on??? Le père Noël, le messie, un signe du ciel, un coup de pied au cul? DCNS et Pelamis se sont plantés, et alors? Nous ne referont pas les mêmes erreurs. Nous en feront d’autres, mais ils les faire vite, maintenant. Les quelques centaines de millions que cela coute à l’échelle de l’Europe sont une miette par rapport au bénéfice attendue. Mais il est vrai que ce bénéfice n’est ni assez rapide ni assez certain pour les politicards malades du pouvoir, les actionnaires cupides et les journaleux mous du citron… Alors ce n’est pas la technologie ou les porteurs de projet qu’il faut mettre en accusation mais bien notre organisation civile, notre organigramme politique, notre tolérance face à ces multinationales qui ne servent que des intérêts partciuliers à très court terme (très habilement d’ailleurs). Voilà où se rejoignent science, technologie, progrès, politique et « philosophie » ou « pensée du réel ». Vous n’aimez pas, n’en dégoutez pas les autres. Nous avons le droit (le devoir!) d’avoir une pensée critique et autonome si elle construite et scientifique (par opposition à l’opinion ou à la croyance qui sont des pensées subjectives dont l’objectif n’est pas le progrès mais le pouvoir).

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