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Station d’épuration : 1ère unité membranaire de production de biométhane

par La rédaction
9 septembre 2014
en Gaz, Non Renouvelable

La Communauté de Communes du Pays Rochois (CCPR) en Haute-Savoie a lancé sur sa station d’épuration Arvéa, une période de démonstration de la première unité membranaire de production de biométhane à partir du biogaz généré par la digestion des boues.

Cette période de démonstration doit durer jusqu’au premier trimestre 2015.

Avant d’être valorisé en biométhane, le biogaz doit subir un processus d’épuration pour atteindre les standards du gaz naturel du réseau de GrDF. Pour ce faire, les composants du biogaz autres que le méthane doivent être séparés de celui-ci. Après un pré-traitement, le biogaz est épuré par une technologie membranaire.

Grâce à ce procédé, le biométhane produit devient potentiellement injectable dans le réseau de gaz naturel de GrDF. Energie renouvelable produite localement et bénéficiant d’un bilan carbone neutre, le biométhane carburant présente par ailleurs l’avantage de n’émettre aucune particule fine.

La station d’épuration construite, exploitée par Degrémont et mise en service le 12 juillet 2010, a la capacité de traiter les eaux usées de 90.000 équivalent-habitants. Elle dispose
d’un procédé de gestion des boues.

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Degrémont et Prodéval ont mis en commun leur savoir-faire technologique. D’un côté Degrémont fournit ses compétences dans la valorisation du biogaz issu des usines de traitement des eaux usées, et de l’autre Prodéval avec son procédé Valopur permet la production de biométhane à partir du biogaz généré sur la station d’épuration.

"Le biométhane a trois avantages principaux : c’est une énergie décarbonée qui participe à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Elle contribue à l’indépendance énergétique des territoires et permet de créer de l’emploi localement. Elle n’émet enfin aucune particule fine. Elle constitue donc une solution d’avenir pour les communes" a expliqué Pierre Coursan, Chef de Marché Biogaz au sein de Degrémont.

A noter pour conclure, que cette première sera accompagnée d’un essai de véhicule roulant au biométhane produit par la station d’épuration.

Tags: autopartagebiométhanestation epuration
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Commentaires 13

  1. Tech says:
    il y a 11 ans

    démonstration par l’exemple, oui le bio méthane peut être utilisé localement à la place du carburant pétrolier importé et améliore ainsi l’indépendance énergétique du territoire.

    Répondre
  2. Pastilleverte says:
    il y a 11 ans

    malgré les « éléments de langage » traditionnels aux com° de toute société lavant plus vert que vert : c’est une énergie décarbonée Ben voyons, CH4, mais où qu’il est le carbone ??? Elle constitue donc une solution d’avenir C’est bien, le mot « avenir » a bien été énoncé, c’est beau comme une Ségolènitude !

    Répondre
  3. Tech says:
    il y a 11 ans

    ceux qui ne veulent pas voir ! ce méthane au lieu de se retrouver dans l’atmosphère délivrera sa part d’énergie cette utilisation est considérée comme réduisant de moitié les émissions de GES et c’est pourquoi elle est classée dans les décarbonnées, dans le sens moins carbonnées, sinon toutes les énergies sont carbonnées au moins par la fabrication des équipements, (béton,métal,…) pourquoi tant de haine ;o)

    Répondre
  4. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    j’imagine qu’il n’y avait pas de possibilité d’injection sur un réseau de gaz? Parce que malgré tout, c’est quand même ce qui parait le plus simple dans le cas du biométhane.

    Répondre
  5. Stephsea says:
    il y a 11 ans

    Je me disais que les stations d’épuration comme tout site ou s’opère une action bactérienne de digestion (ou presque) doivent elle aussi liberer dans l’atmorsphère des masses de gaz à bas de carbonne, des gaz à effet de serre, des gaz combustibles peut être. Je me disais : mais pourquoi diable ne met t’on pas une enceinte de captage de ces gaz pour les traiter et, oh comble de bonheur, les utiliser, et ainsi de suite? Et voilà que d’autres y ont pensé aussi, et l’ont fait! Voilà qui me fait plaisir (ca me flatte d’avoir eu une « bonne » idée) mais surtout me rassure sur cette capacité d’adaptation et d’optimisation des ressources qui nous est si chère, à nous, sapiens sapiens. L’étape d’après, c’est un sac au cul des vaches, un système de captage dans nos bonnes vieilles fosses sceptiques, le compostage industriel en enceinte fermée, le captage dans les cimetières, dans les caves à vin, etc etc. Tout n’arrivera pas en même temps… 😉 Il va falloir triturer sérieusement nos déchets pour en tirer la substantifique moelle! Ne faisons pas la grimace, c’est de l’or noir.

    Répondre
  6. vd69 says:
    il y a 11 ans

    Je salue le progrès technologique mais je reste attentif aux objectifs technologiques de ces progrès. Le biogaz issu de la méthanisation comprend de multiples impuretés dont du CO2 des composés soufrés ou encore des composés de silice rendant ce biogaz très corrosif. Ces impuretés n’ont que peu d’influence quand ce biogaz est valorisé en chaudière, une simple adaptation de la régulation d’air suffit généralement . Cette valorisation est considérée comme ringarde, elle ne donne pas droit aux subventions prélevées sur nos impots, elle ne donne pas accès aux média. Il est donc considéré comme impératif de purifier ce biogaz en biométhane moyennant ces technologies innovantes …. mais couteuses. Rechercher une chaudière alimentée au gaz naturel bien clean et pouvant valoriser ce biogaz, ne valorise en rien l’image et ne permet ps d’accéder au fruit de nos impots. On ne la recherche pas et donc on ne la trouve pas. Faisons donc attention à ne pas mettre en application la doctrine Shadock : « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? « 

    Répondre
  7. seb says:
    il y a 11 ans

    La question n’est pas de bruler le gaz dans une chaudière (ni même dans une cogénération), dans ces cas là comme vous le dites il n’y a pas de problème, mais de l’injecter sur le réseau de gaz, et là les exigences sont différentes. Le principal problème des méthaniseurs agricoles c’est qu’il ne sont pas souvent situés près de sites gros consommateurs de chaleur… Donc plutôt que de continuer à faire tourner des cogénérations avec un rendement faible (30% à 40%) et à inventer des besoin de chaleur pour bénéficier d’un tarif attractif(séchage, etc…), il me semble plus intelligent d’injecter le méthane sur le réseau où il sera vraiment utile. Ce qui est nouveau ici c’est le procédé d’épuration du biogaz par voie membranaire, le lavage du gaz existe deja depuis longtemps (lavage aux amines entre autres…). Pour ce qui est du coût pour le contribuable, je ne crois pas qu’il soit plus élevé dans le cas de l’injection que dans les autres types de valorisations… Et je pense qu’il doit être mis en regard du déficit extérieur lié à nos importations de gaz !

    Répondre
  8. vd69 says:
    il y a 11 ans

    Dans le cas de La Roche sur Foron, je suis certain qu’il existe au moins trois chaudières dans un rayon de 5 km, qui brulent plus de gaz naturel bien propre que la production excédentaire de la station d’épuration en biogaz brut. Pour les grosses stations, il existe de gros moteurs diésel dual utilisés depuis une soixantaine d’années, les eaux de refroidissement sont utilisées pour chauffer les digeseurs, on ne parlait pas à l’époque de cogénération mais le rendement était déjà très correct. Une station comme Achères est à peine exportatrice nette de courant. Quant aux financement publics , ce type de traitement aurait-il quelques chances si le gaz était injecté dans le réseau au prix du marché? Je ne sais d’où proviennent les fonds permettant d’abonder le tarif, je ne vois que deux hypothèses, fonds publics (nos impots) ou surtaxe sur nos factures de gaz comme c’est le cas pour EDF. Faire simple rapporte moins que le compliqué.

    Répondre
  9. Bruno lalouette says:
    il y a 11 ans

    Qui fait sauter les immeubles et qui devrait être remplacé par du solaire thermique/photovoltaïque ! Très bon biogaz carburant sans microparticules qui peut remplacer le diesel, 1 kg de gaz = 1/3 de km en plus qu’un litre de diesel ! Chauffage solaire thermique pour augmenter le rendement des digesteurs ! Le fait de produire des carburants locaux, c’est supprimer le transport des carburants actuels, d’ou, économie d’énergie. La reflexion vaut pour la chaleur et l’électricité. Au fait pour les déchets de la sylviculture, énerzine a publié un article sur du méthanol 25 fois moins cher à produire …

    Répondre
  10. seb says:
    il y a 11 ans

    Trois chaudières à moins de 5km, c’est bien, mais je ne suis pas sûr que creuser une tranchée sur cette distance coute moins cher qu’un système d’épuration du Biogaz… Et êtes vous certain qu’elles fonctionnent toute l’année et sont en mesure de consommer l’intégralité de la production même en été… Pour ce qui est du chauffage du digesteur, si on souhaite bénéficier du tarif d’achat il doit être réalisé grâce au gaz produit… La différence c’est que maintenant on isole les cuves des digesteurs ! Sinon effectivement les surcouts liés au tarifs d’achat (comme le manque à gagner lié aux tarifs sociaux) sont financés sur les factures via la CSPG, le pendant de la CSPE pour le gaz.

    Répondre
  11. vd69 says:
    il y a 11 ans

    Les brasseries Heineken de Mons et Kronenbourg d’Obernai consomment l’une et l’autre de grands quantités de gaz naturel; l’une et l’autre ont une station de traitement anaérobie produisant du biogaz. Kronenbourg injecte ce biogaz brut directement en chaudière où il remplace une dizaine de % de la consomation de gaz nat, et cela marche très bien depuis une dizaine d’années. Heineken se vante de faire du « Développement durable » en injectant du biométhane dans le réseau. En fait, il profite de tarifs soit-disant écologiques rentabilisant largement le cout du traitement . Tout en ne brulant en chaudière que gaz naturel bien propre. Et qui c’est qui enrichit Heineken? … Le pauvre particulier qui paye la CSPG. Pour certains, constructeurs, exploitants, politiques, faire compliqué rapporte plus que le bon sens,

    Répondre
  12. seb says:
    il y a 11 ans

    Je serais plutôt d’accord avec vous sur votre exemple… A mon avis la raison pour laquelle Kronenbourg à choisi la valorisation directe est qu’ils ne pouvaient pas opter pour l’injection car les tarifs n’existaient pas encore … Maintenant si ce tarif à permis à Heineken de passer à l’acte pour mieux traiter ses déchets en les valorisant énergétiquement c’est mieux que rien… Il faut tout de même se rendre compte que c’est un cas très particulier, où on a un besoin de chaleur important sur place (pourquoi, d’ailleurs, n’ont ils pas opté pour une valorisation en cogénération qui leur aurait permis de bénéficier à la fois d’un tarif d’achat intéressant pour l’électricité et de chaleur à très faible coût ?). Pour en revenir aux gaz contenus dans le biogaz et de sa compatibilité avec les moteurs je vous invite à lire cette étude détaillant les méthodes de traitement avant la valorisation en cogénération et qui montre que le biogaz sans traitement est au dessus de seuils tolérés par les fabricants de moteurs pour le H2S (pages 21 à 24) :

    Répondre
  13. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    C’est tout le problème des tarifs d’achat « en totalité », qui peuvent conduire à des décisions complètement désoptimisées techniquement mais très bien optimisées financièrement (voire dans certains cas frauduleuses) sur le dos de la collectivité. Dans ce genre de cas ( production valorisable en totalité sur place si j’ai bien compris), il vaut à mon avis bien mieux une subvention à l’investissement, des prêts à taux séro, des incitations fiscales, l’un ou l’autre d’un montant adapté au projet,.. qu’un tarif d’achat génerique.

    Répondre

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