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Feu vert pour le méga parc éolien au large du Royaume Uni

par La rédaction
9 juillet 2014
en Energie, Eolien

Vattenfall et Scottish Power ont obtenu le feu vert du gouvernement britannique pour débuter la construction du parc éolien ‘East Anglia One’ situé au large de la côte Est de l’Angleterre.

Ce projet comprendra 240 turbines pour une capacité installée de 1.200 MW, soit presque le double en puissance du plus grand champ d’éoliennes au monde, le London Array avec ses 630 MW. L’énergie renouvelable ainsi produite pourrait alimenter en électricité 820.000 foyers britanniques.

"East Anglia One est très certainement le plus important parc éolien d’Europe, et nous nous réjouissons d’avoir obtenu le support du gouvernement britannique pour le projet" a déclaré Piers Guy, directeur de Vattenfal au Royaume-Uni au Vattenfal ne compte pas s’arrêter là et projette de construire deux autres parcs éoliens dans la même zone, avec comme objectif la production de 7.200 MW, soit assez d’électricité pour 5 millions de foyers britanniques.

On estime à 170 le nombre d’ingénieurs et de techniciens requis pour maintenir les opérations dans les premières étapes du développement du projet, et ce pour les 20 prochaines années.

L’énergie produite par les 240 turbines serait collectée par trois stations de captage avant d’être acheminée par deux stations de conversion offshore qui transforment l’électricité afin qu’elle puisse être transportée dans quatre câbles sous-marins, chacun d’une longueur de 73 km, jusqu’au rivage.

L’électricité est à nouveau transformée sur la terre ferme avant d’être connectée au secteur.

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Feu vert pour le méga parc éolien au large du Royaume Uni

"La validation du projet est déjà un grand succès ainsi qu’un grand pas en avant vers la décision d’investissement. Notre équipe a passé plus de trois ans à établir le projet en détail, à consulter les élus et les parties concernées dans la région de l’Est-Anglie" a expliqué Keith Anderson, PDG de la compagne Scottish Power Renewables.

Tags: abou dhabieast anglia oneparc eolienroyaume-uni
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Commentaires 22

  1. Je_sais_pas says:
    il y a 11 ans

    Bonjour, Est ce que a ce stade (très amont) de la construction de ce champ d’éoliene, quelqu’un sait la marque voir le modèle de machine qui vont être installées sur ce champs. merci

    Répondre
  2. Temb says:
    il y a 11 ans

    Le Royaume-Uni prend la décision d’avoir l’électricité la plus chère d’Europe, mais d’être davantage indépendant énergétiquement et d’avoir de l’emploi local plutôt que dans des mines de charbon ailleurs. Entre leurs EPR et leur éolien off shore, leur facture va exploser, mais ça rendra d’autant plus rentable efficacité énergitque, économies d’énergies et isolation. Et donc renforcer leur indépendance énergétique, leurs emplois locaux, etc… Bref, c’est un pari qui se tient.

    Répondre
  3. Pastilleverte says:
    il y a 11 ans

    que Nexans soit le fournisseur des quelques kilomètres de cables nécessaires au transport vers la terre ferme ! Les EPR seront heureusement là pour pallier l’intermittence !

    Répondre
  4. Temb says:
    il y a 11 ans

    Mais qui palliera à l’intermittence des EPR? Car autant un parc éolien n’est pas intermittent, mais variable est prévisible, autant un EPR peut se déconnecter du réseau sans prévenir (une éolienne aussi mais c’est 5-8MW sur 500). Pour un EPR c’est 1650MW effacés d’un coup, d’ailleurs son développement a obligé RTE à revoir ses règles de sécurité du réseau, desormais dimensionnées pour pallier à l’intermittence d’un gros réacteur EPR.

    Répondre
  5. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    Vous n’avez pas dû écouter l’intervention de Pierre Bornard de RTE : Je redonne le lien vers la vidéo (c’est à partir de la 35ième minute) : Il explique bien les différents aléas et le nucléaire n’a pas l’air de lui poser trop de problème. En revanche, il a bien identifié les autres causes de chutes rapides de la production dont l’éolien.

    Répondre
  6. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    A Temb « Car autant un parc éolien n’est pas intermittent » Vous irez expliquer cela à RTE. Et encore une fois, le déni de réalité ne change pas la réalité. En revanche, cela peut entamer la crédibilité. Une chose est d’être ou pas intermittent, une autre est de savoir si le réseau est capable d’absorber cette intermittence.

    Répondre
  7. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    Faute d’arguments, Temb semble vouloir adopter la technique du troll au sujet de l’intermittence…

    Répondre
  8. Temb says:
    il y a 11 ans

    Ce que je raconte doit vous faire sourire, et c’est normal, mais les mots variable et prévisible me semblent plus adaptés. Comment doit-on caractériser une énergie qui peut effacer 1650MW d’un coup du réseau sans que cela ne puisse être prévu? Je ne parle bien sur pas des arrêts programmés. Et une énergie qui peut perdre quelques dizaines de MW d’un coup? Mais qui peut aussi perdre jusqu’à 1000MW en 1-2H, de manière prévisible à 10/15% près par contre. Mais je vais vous faire plaisir, dans la réalité le monde est plus simple avec du bon gros nucléaire qui produit en base, du fossile et de l’hydraulique pour les variations de conso et quelques ENR de bobos pour faire joli, mais à la marge car il ne faut pas pousser. Imaginer un monde compliqué ou il faut gérer des poussées de productions fortes, des périodes de faible production, des variations permanentes des capacités de production c’est pénible, complexe, bref, un truc d’ingénieur. Alors que les histoires de sécurité de bouilloires génantes, de déchets nucléaires à traiter, de coûts croissants à gérer ça c’est facile, et c’est aussi du travail d’ingénieur. Le monde de l’énergie est divisé en deux catégories : les ingénieurs et les ingénieurs.

    Répondre
  9. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    « Comment doit-on caractériser une énergie qui peut effacer 1650MW d’un coup du réseau sans que cela ne puisse être prévu? Je ne parle bien sur pas des arrêts programmés. » On appelle ça une énergie normale. Ca arrive à toutes les tranches de déclencher, qu’elles soient nucléaires, charbon, gaz ou autres. C’est pour ça qu’on prévoit des marges. Et on peut facilement prévoir de la marge pour un ou deux déclenchements, même de tranches 1600MW. Bref, les mots ont un sens, le nucléaire n’est pas « intermittent ». « Et une énergie qui peut perdre quelques dizaines de MW d’un coup? Mais qui peut aussi perdre jusqu’à 1000MW en 1-2H, de manière prévisible à 10/15% près par contre. » Votre baratin ne change rien au problème : Le PV et l’éolien ne sont pas pilotables. On ne peut donc pas adapter l’offre à la demande avec ces énergies. Avec ces énergies, on subit. Raison pour laquelle ce ne sont que des énergies d’appoint. « Imaginer un monde compliqué ou il faut gérer des poussées de productions fortes, des périodes de faible production, des variations permanentes des capacités de production c’est pénible, complexe, bref, un truc d’ingénieur. » C’est bien beau de rêver. Mais à un moment donné, il faut voir ce qui est réalisable, et ce qui ne sera jamais qu’une utopie.

    Répondre
  10. Temb says:
    il y a 11 ans

    Bon ok je laisse tomber mon idée, et on va arrêter d’essayer de bosser sur un modèle 100% ENR c’est trop compliqué, gérer des déchets nucléaire et des problématiuqes de sécurité de bouilloire géante c’est quand même beaucoup plus à la portée de n’importe qui.

    Répondre
  11. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    « Discutez avec n’importe quel trader il vous dira qu’avant la météo en Allemagne les deux principaux évènements qui affolent les salles de marché ce sont les vagues de froid en France et les grèves dans les centrales nucléaires française » Comme d’habitude, vous mentez : « les grèves dans les centrales nucléaires française (parce que les syndicats peuvent faire baisser les productions sans prévenir…) » 1) Comme s’il n’y avait que les centrales nucléaires qui faisaient grève. Le dernier message S dont je me souviens, c’était du à des grèves dans le thermique. 2) Encore une fois vous mentez : Les syndicats ne peuvent pas « baisser la production sans prévenir » puisqu’il y a préavis de grève. De plus, syndicats et direction se mettent au préalable d’accord sur les tranches qui sont manoeuvrantes. Enfin, personne n’a le droit de baisser la charge une fois le message S apparu, grêve ou pas grêve. « Quant aux énergies renouvelables elles se gêrent au niveau d’un territoire : une centrale combinée associant éolien, solaire et cogénération biomasse est capable de suivre la consommation. » Ah ouais ? Et ça coûte combien, ça ? Ca manoeuvre à quelle vitesse ? Dans quelle plage ? Je vous pose ces questions parce que vous parlez d’un truc qui aujourd’hui n’existe pas, les producteurs ENR préfèrant écouler leur production directement auprès d’EDF sans se poser de questions. « Une centrale nucléaire est totalement incapable de faire ça : elle ne peut faire que de la base, une centrale gaz pareil : elle coute trop cher. » Et pourtant, rien qu’aujourd’hui, le nucléaire est passé de 40GW à 4h à 50GW à 9h, pour suivre la courbe de consommation. Comme d’habitude, vous mentez.

    Répondre
  12. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    « on va arrêter d’essayer de bosser sur un modèle 100% ENR c’est trop compliqué » On attend toujours que vous nous présentiez un modèle techniquement réaliste sur des bases économiques raisonnables.

    Répondre
  13. O.rage says:
    il y a 11 ans

    Peut être parce que vos ENR brassent 10 à 100 fois plus de minerais non renouvelables, donc de déchets, pas tous non-radioactifs d’ailleurs… Belle hypocrisie, ces « énergies nouvelles » pas du tout renouvelables en fait. Vous roulez pour le lobby minier ?

    Répondre
  14. Temb says:
    il y a 11 ans

    Un grand merci pour vos éclairages qui me font l’effet d’une révélation! Back to Nuclear Energy! Comment ai-je pu être aussi aveugle et borné tout ce temps? Vous m’avez apporté la lumière! Il y a les problèmes impossibles à résoudre pour un ingénieur français et les problèmes faciles à résoudre, suffit de bien les distinguer : s’il y a nucléaire dans la phrase, le français sait, s’il y a renouvelable le français ne doit pas perdre son temps, c’est au-dela de ses capacités, infaisable, bon pour des cinglés d’allemands, de chinois, de japonnais etc… mais nous savons mieux que quiconque ce qui est faisable. J’abandonne et retourne donc à une activité normale avec mes amis ingénieurs retraités de framatome qui ont donné leur vie entière pour notre bonheur.

    Répondre
  15. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    « Il y a les problèmes impossibles à résoudre pour un ingénieur français et les problèmes faciles à résoudre, suffit de bien les distinguer » Et vous, vous êtes quoi ? Un ingénieur français oui ou non ? Plutôt que de nous reprocher de ne pas avoir assez d’imagination, vous pouvez vous aussi vous sortir les doigts, et inventer je ne sais quelle solution miracle. Mais lol : Avec les écolos, c’est toujours de la faute des autres ! Alors en attendant que vous sauviez le monde : Désolé mais on va rester sur un modèle qui a fait ses preuves.

    Répondre
  16. Lionel-fr says:
    il y a 11 ans

    Temb, je rends grâce à votre tenacité. La maldonne de cette discussion est la même que la précédente ou la prochaine : le conflit de deux systèmes que tout oppose (pas seulement la techno mais aussi économie) mais qui ne pourront jamais s’exclure mutuellement. Il n’y a pas d’argument magique. La perception du risque et de la qualité sont des notions subjectives que l’économie de marché permet de faire cohabiter. Sachez que 75 80% de français ne sont pas ouvertement antinukes mais hostiles à divers degrés au nucléaire. Pourtant ni cette majorité, ni les trésors d’argumentations – au nombre desquels on déplore quelques éxégérations ou aberrations – n’y changeront vraiment grand chose. Il est un fait que passer de 70-80% nuke aujourd’hui à 50% est déjà un objectif ambitieux qui ne se fera pas sans sacrifices. Quant à exclure le nuke en france dans un avenir prévisible, sans porter de jugement de valeur , je dirais juste que cela ne se fera pas. S’il fallait un argument, je dirais que le pays ne dispose pas des 100GW d’alternative crédible, l’économie d’énergie « à la japonaise » n’est pas motivée par un cataclysme comparable à mars 2011 et qu’il n’est dans l’intéret de personne de détruire un système vieillissant mais qui pourvoit encore au besoin jusqu’à ce qu’on le remplace par mieux. Je pense qu’il est urgent de passer le message des EnR puisque celle-ci vont pulvériser toutes les autres productions dans moins d’une génération, en même temps, la lenteur de cette révolution est à la fois pénible et malgré tout souhaitable : qui veut d’une catastrophe de type fukushima pour clouer le bec des nucléocrates ? Maintenant que l’ex président est plus ou moins politiquement enterré, il serait sans doute temps de réfléchir à une communication moins déterministe face à un problème dont l’ampleur nous dépasse tous, EDF compris, même si leur discours ne le laisse pas paraitre. L’objectif de 50% n’est pas parfait mais ce qui est excitant , c’est qu’il va vraiment se produire et qu’en conséquence, le monde des EnR’s plus ou moins libérales va se déployer à une échelle qu’actuellement personne n’arrive vraiment à concevoir Et pour cause : les transports amorcent leur migration vers l’electricité, l’hydrogène s’installe lentement en californie (ou la presse lui est plutôt favorable malgré Tesla) en allemagne et au japon. Ce à quoi il faut ajouter l’effort colossal de la chine dans le PV et les supercapacités, le top 5 des économies mondiales est donc en train de commencer sa mue.. à coté de ça, le modèle français (10e PIB mondial) semble assez anecdotique La gravité des mots ne peut pas accélérer le temps hélas, donc , M Sarkozy n’étant plus vraiment d’actualité en France et ses remplaçants n’étant pas aussi butés, il faut sans doute recentrer notre hostilité envers le nuke vers des scenarii plus réalistes vivre et laisser vivre

    Répondre
  17. Nicias says:
    il y a 11 ans

    Je note qu’il manque l’éolien en mer. Le choix des « fondations » à St Brieux a été fait : Ce sera du métal et la relance de notre industrie métallurgique comme au 19ème siècle : ../UserFiles/Image/breve17502b.jpg Il faudra bien importer le minerai du brésil ou ailleurs, à moins qu’on importe le métal de Chine comme pour le reste.

    Répondre
  18. Lionel-fr says:
    il y a 11 ans

    Messieurs les pronukes, votre speech orienté matières premières sensibles fait peine à voir. L’acier immensément abondant peu cher et en voie d’abandon dans nombre d’appplications qui lui préfèrent des plastiques/fibres ne va pas changer la donne mondiale de fer comparativement à l’industrie des autos, camions, trains, paquebots et autres péniches. Le magnifique graphique 3D d’O.rage nous informe d’une apparente gabegie d’aluminium, cuivre, nickel, zinc et une larme de molybdène (pour mettre en bouche) Les deux premiers sont les matières premières les plus recyclables qui soient, peut être l’aluminium de vos tetra briks finira-t-il en panneau solaire bien plus facile à recycler qu’en emballage alimentaire ou en cage de faraday electronique de loisir d’ou sa faible valeur et son imbrication étroite avec de nombreux autres matériaux rendent sa récupération couteuse et aléatoire. Les applications volumineuses et plutôt massives comme le sont les EnR coutent tellement moins cher à recycler qu’un emballage de surgelé ou un lecteur mp3.. En outre, l’aluminium est abondant sur terre, recyclable à l’infini tout comme le cuivre … Quant à dire que ces matériaux engendrent des déchets radioactifs, c’est vraiment prodigieux de mercantillisme, de clientélisme, de nihilisme intellectuel poussés au paroxisme (provisoirement à court de mot en « isme ») M’enfin , vous seriez sympas de transmettre à vos syndicats que cet argument est carrément nul, j’ai toute confiance en leur créativité pour trouver plus imaginatif

    Répondre
  19. De passage says:
    il y a 11 ans

    Oser écrire qu’un EPR est plus intermittent qu’un parc éolien est la preuve la plus claire du parti pris systématique des pro-EnR face à la réalité: Déni permanent de bons ens. Continuez ainsi, vous découragez efficacement beaucoup de personnes initialement pro-EnR… Merci encore!

    Répondre
  20. Temb says:
    il y a 11 ans

    Il n’est pas plus intermittent, mais son imprévisibilité sur une aussi grande puissance presente un fort risque pour la stabilité du réseau. L’éolien présente aussi un risque, mais prévisible (et pas forcement gérable pour autant si on a une aprt énorme d’éolien sur le réseau). Le pire risque pour le réseau français, c’est RTE qui le dit, c’est la perte simultannée de plusieurs réacteurs nucléaires. La perte simultannée de plusieurs éoliennes, c’est mignon 🙂 Par contre suivant les normes de tensions données, et en cas de grosse tempête, on peut avoir la perte simultannée de centaines d’éoliennes et là ça craint. Sauf qu’on sait le prévoir 48h à l’avance, et de plus en plus précisement en dessous de 48H.

    Répondre
  21. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    « L’éolien présente aussi un risque, mais prévisible » Pouvez vous argumenter cette affirmation, alors que pour ce matin à 3h, la prévision à J-1 présentait un écart de 20% par rapport à la production constatée (579MW au lieu de 484MW produit) ? Et que pour la même heure, la reprévision journalière présentait un écart de 30% par rapport à la production constatée (622MW au lieu de 484MW) ? « Le pire risque pour le réseau français, c’est RTE qui le dit, c’est la perte simultannée de plusieurs réacteurs nucléaires. » Ah bon ? Vous pouvez donner le lien d’un document où ils l’affirment ? On vit quand même avec ce risque depuis un demi-siècle… « La perte simultannée de plusieurs éoliennes, c’est mignon 🙂 » A l’heure où je vous parle (~16h), la production éolienne est de l’ordre de 300MW, pour un parc installé de 8GW. On a donc « perdu » simultanément 96% du parc éolien national, soit de l’ordre de 2500 éoliennes de 3MW. Et aujourd’hui est un jour qui n’a rien d’extraordinaire.

    Répondre
  22. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    Et je rappelle que Pierre Bornard de RTE dit que la perte brutale d’un réacteur nucléaire de type EPR ne pose pas de problème au système électrique français et européen : Il dit aussi que c’est l’éolien qui cause actuellement les plus grosses variations à la baisse sur le réseau (de l’ordre de – 6 000 MW en cas de fort coup de vent). Le déni de réalité ne change pas la réalité… il contribue juste à décrédibilisé ceux qui en font un usage immodéré. La question n’est donc pas de savoir si l’éolien est intermittent (a fortiori le photovoltaïque), mais comment un réseau très costaud peu absorber cette intermittence et jusqu’à quel niveau de puissance. Enfin la question essentielle est de savoir quel niveau de service est apporté par ces EnR et quels sont les coûts systémiques à prévoir en cas de forte intégration au mix.

    Répondre

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