| La ville de Mulhouse propose depuis le 15 septembre à ses habitants, un service de location de vélos en libre-service, au nom de Vélocité.
Deux cents vélos en libre-service dans vingt stations disséminées en centre-ville, c’est le nouveau service proposé par la Ville et géré par la société JCDecaux. Ce service est particulièrement adapté aux déplacements d’appoint ou de courte durée. Il est en effet possible de prendre un vélo pour se rendre d’une station à une autre, et ce, en évitant les lourdeurs des contrats à remplir comme lors d’une location classique. Les vélos peuvent être retirés par les usagers 7 jours sur 7, de 6h à minuit, et déposés en station 24h sur 24. Les deux principales stations, situées place de la Gare et place de la Réunion, proposent une vingtaine de vélos. Dix-huit stations de plus petite taille proposent en moyenne neuf vélos. Les vélos, de type vélo de ville, sont identifiables grâce à une signalétique spécifique. Chaque vélo est équipé d’un système électronique embarqué qui permet un suivi de l’état du vélo (frein et lumières…). En cas de système défectueux, le vélo reste bloqué à la station. Dès sa mise en service, les feux arrière et avant s’allument en permanence. Les vitesses sont faciles à passer, même à l’arrêt. La location est sécurisée par un système de carte à puce. Pour utiliser un vélo, il est nécessaire de souscrire un abonnement : 1,5 € pour une semaine ou 15 € pour l’année. La première demi-heure d’utilisation est gratuite. Au-delà, le tarif est de 1 € l’heure (maximum 5 € par jour), débité automatiquement du compte bancaire quand le vélo est ramené à une station. Vélocité mode d’emploi :
Renseignements : www.velocite.mulhouse.fr, |
La ville de Mulhouse lance son vélo en libre service
Mais la publicité à outrance qui vante des produits tjs moins cher car les usines sont délocalisées dans des pays où les droits de l’Homme sont absents et où l’on continue de produire avec des produits toxiques détruisant nuisant à la biodiversité tout en favorisant le changement climatique par la production d’énergie basée sur le charbon ou la destruction des forêts primaires etc. En fait les vélos de JC Decaux restent de la vielle économie qui utilisent l’étiquette développement durable comme un outils marketing mais font tous le contraire !