Sites nucléaires : “d’autres très mauvaises surprises”

Le réseau "Sortir du nucléaire" augure dans un communiqué publié hier, de "nombreuses autres mauvaises surprises" à venir sur le site de Cadarache (Bouches-du-Rhône).

L’association qui fédère 841 associations indique que "le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) de Cadarache (Bouches-du-Rhône) reconnait aujourd’hui une situation tout aussi problématique dans l’installation STAR (Station de Traitement, d’Assainissement et de Reconditionnement)".

En effet, le Commissariat à l’Energie atomique (CEA) a bien confirmé dimanche qu’un dépôt d’uranium enrichi supérieur à la limite autorisée avait été découvert dans une cellule destinée à traiter des combustibles issus de réacteurs nucléaires de l’installation STAR.

Le CEA a attesté une rétention de 10 kg d’uranium enrichi (1,65%) dans la cellule blindée C1, alors que la limite autorisée demeure fixée à 4 kg. Le Commissariat propose de classer cet incident au niveau 1 de l’échelle Ines.

Ce nouveau cas serait similaire à celui de l’Atelier de plutonium (ATPu) découvert sur le site de Cadarache, où le risque d’accident de criticité – une réaction nucléaire spontanée créée par l’accumulation excessive de certaines matières nucléaires – a été avéré par l’ASN (Autorité de Sureté Nucléaire).

Selon le réseau le site de Cadarache contient "de nombreuses autres installations nucléaires dont la plupart sont obsolètes et réservent assurément de très mauvaises surprises. La problématique est assurément la même dans divers autres sites, et en particulier dans les autres sites nucléaires "monstrueux" que sont Marcoule (Gard), Tricastin (Drôme/Vaucluse) et La Hague (Manche)". Et d’ajouter "le CEA, Areva et EDF ont construit en France, depuis 50 ans, d’innombrables installations nucléaires qui sont aujourd’hui dans un grave état de délabrement, qui contiennent des quantités souvent indéfinies de diverses matières nucléaires, et qui font courir le risque de graves accidents nucléaires".

            

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alain843

 français avec son stock de vieilles installations et de déchets mal controlés

Love bill

Il est très simple de changer de fournisseur d’énergie pour favoriser les électricités vertes. C’est comme pour les algues en Bretagne, si on remonte à la source du problème on comprend que la consommation de porc, entraine depuis des dizaines d’années une intense pollution. Après on peut chercher des coupables chez les agriculteurs et les hommes politiques, mais il n’y a qu’une réelle solution : cesser de manger du porc. Pour l’électricité c’est pareil, tant qu’on soutient le nucléaire, on souffrira de toutes sortes de problèmes.

Denlaf

Je considère incompréhensible qu’on soutienne encore le nucléaire. Le pire serait qu’on construise de nouveaux réacteurs qui sont déjà identifiés comme produisant certaines particules, dans les déchets ,qui sont jusqu’à 7 fois plus toxiques ou radioactives que celles provenant des réacteurs actuels. “Alain 843” qui donne également son opinion et que je considère comme une personne renseignée,posée et modérée se souviendra surement de discussions animées et musclées que nous et plusieurs autres avons eues sur ce blog. J’ai toujours prétendu qu’il existait un danger réel associé au fonctionnement et surtout au déchets produits par le réacteur nucléaire. Je peux très bien comprendre qu’en France on tienne à ces installations de production d’énergie électrique (principale source), mais maintenant on a des options. Quand on lit des nouvelles comme celle d’aujourd’hui, au sujet des déchets nucléaires, on ne peut que donner raison à ceux qui s’y opposent.  

alain843

 à l’aphorisme de Talleyrand : “tout ce qui est excessif est insignifiant”.   La position excessive de la France dans le domaine de l’électro-nucléaire (championne du monde) me parait au contraire très signifiante de l’ineptie de certaines de nos “élites”

bmd

L’Allemagne produit 26 % de son électricité avec des centrales nucléaires et 43% avec des centrales à charbon. Ni les centrales nucléaires, ni leurs déchets n’y ont jamais tué personne, accidents de travail mis à part. Tandis que les centrales à charbon y tuent environ 10 000 personnes par an à cause de leurs fumées toxiques émises à proximité des villes, fumées qui contiennent d’ailleurs bien plus d’éléments radioactifs que n’en émettent les centrales nucléaires à puissance égale, ainsi que du mercure. Les déchets des centrales à charbon se comptent en centaines de milliers de tonnes chaque année et sont entassés sans précautions derrière des barrages instables sous forme de boues contenant des éléments toxiques tels que l’arsenic, le cadmium, le mercure, le sélénium, qui diffusent en permanence dans la nappe phréatique. Si nous avions le même mix électrique que les Allemands, nous aurions comme eux à peu près 10 000 morts par an, que nous épargnent nos centrales nucléaires. Pourquoi SDN et ceux qui le soutiennent veulent-ils nous faire sortir du nucléaire, et donc nous mener au charbon, comme c’est le cas des pays Européens qui ont fait l’impasse sur le nucléaire, à l’exception des quelques pays qui ont d’énormes ressources hydroélectriques, comme la Norvège? Par ignorance de ces faits, ou bien parce que leur idéologie est d’une telle pureté qu’elle leur permet de faire abstraction des milliers de morts qu’entraîneraient dans notre pays sa mise en pratique? Non SDN n’a pas le nez propre et c’est sans doute pour çà que leur porte- parole est toujours représenté avec un mouchoir sur le nez. SDN, si sensible aux ” mauvaises surprises ” de Cadarache, c’est-à-dire en fait de très petites erreurs de comptabilité, cumulées sur des dizaines d’années, sur des poudres très denses donc de très faible volume, et très dispersées donc sans danger d’accident de criticité, est par contre complètement indifférent à l’uranium et ses descendants répandus actuellement dans la nature via les fumées des centrales à charbon, mais aussi via l’épandage des phosphates par les agriculteurs. Or il s’agit là de quantités autrement plus importantes: Les phosphates contiennent de l’uranium, en moyenne 100 grammes par tonne, soit 10 tonnes épandus CHAQUE ANNEE dans les champs français. Une partie en est dispersée sous forme de poussières lors des labours, et peuvent se retrouver dans les poumons des agriculteurs et des passants. Mais ils ont aussi la propriété de capter l’uranium contenu dans les sols profonds. Or les quantités d’uranium que peuvent contenir ces sols sont importantes, de l’ordre de la centaine de kilogs à l’hectare. A l’abri de l’oxygène de l’air, cet uranium est insoluble. Mais il est solubilisé par les phosphates, transporté alors par les eaux, et se retrouve dans les rivières, les lacs et les milieux humides. Et il s’agit cette fois de centaines de tonnes qui sont ainsi mobilisées CHAQUE ANNEE, ce qui rend bien vain le retentissement médiatique apporté aux ” mauvaises surprises” dénoncées par SDN. A cause de cela, les cartes de la radioactivité naturelle en France reflètent maintenant essentiellement celle des phosphates épandus par l’agriculture, et c’est pourquoi des cartes détaillées de cette radioactivité n’ont guère de sens. A ce niveau de radioactivité, le danger est insignifiant (sauf pour ceux qui croient à la théorie de l’extrapolation linéaire aux faibles doses, mais ceux-là feraient bien de ne plus sortir de chez eux, et même de s’enfermer dans une chambre de plomb!Et encore, ils n’y seraint pas à l’abri de leur radioactivité!), mais cette comparaison permet de voir combien est vain le retentissement médiatique donné aux rejets de la Socatri, et combien est feinte l’indignation de SDN (à moins qu’ils ignorent tout de ces questions?).

Perrin-h

Parmi toutes les o.n.g de la triste et très malhonnête mouvance antinucléaire qui enfume les naifs et les idiots depuis un bon demi-siècle: S.D.N est la plus délirante de ces o.n.g antinucléaire .Son représentant Stéphane Lhomme(qui ressemble un peu à Bezancenot mais qui est beaucoup plus bête que Bezancenot)est une incarnation de l’homme disqualifié et discrédité pour toujours.Toute info ayant pour source SDN ne mérite que le mépris le plus profond .

Dan1

Denlaf nous ressort l’antienne sur les déchets de l’EPR 7 fois plus dangereux que pour les autres réacteurs. Il nous parle aussi des dangers des déchets produits par les réacteurs… soit. Serait-il capable de nous faire la même dissertation sur ceci (c’est un copié-collé) : Regardons donc l’impact sanitaire d’autres filières : … ;id=216501 Pourriez vous m’indiquer quel est précisément l’impact sanitaire d’une centrale électrique qui rejette chaque année autour d’elle dans l’atmosphère et sans aucune précaution :   – 440 kg d’arsenic,   – 40 kg de cadmium,   – 610 kg de mercure,   – 420 kg de plomb,   – 793 tonnes de particules.

Perrin-h

..l’affaire(cet été) de ce vapocraqueur de Carling qui a fait – hélas – des victimes bien réelles et dont une “brève” est parue ici même et n’a donné lieu qu’à… zéro commentaires !!! Le 15-07-2009 :Total nous apprend que huit victimes sont à déplorer dont deux sont décédées.   A quand le réseau: SORTIR DE LA CHIMIE ????

alain843

oublié les bureaux de tabac, les vendeurs de voitures,les pêcheurs,les joueurs de boule,les…(je vous laisse le soin de compléter la liste de TOUTES les causes pouvant amener un être humain à mourir) ET VIVENT LES ENR

Ampere .j.m

VIVENT LES ENR ET LE NUCLEAIRE,qui vont très bien ensemble !Longue vie à leur union harmonieuse et infinie !

Denlaf

Pour Pamina. L’hydroélectrique ne représente aucun danger. Des accidents se produiront toujours. Rien à faire… Cependant il faut être en mesure d’évaluer sérieusement et en toute lucidité le degré de dangerosité associé à chaque entreprise ou à chaque activité. On ne va quand même pas comparer les risques associés à l’hydroélectricité vs ceux associés au nucléaire (Russie et U.S.A.).Il n’y a pas une comparaison qui tienne. Tant qu’à y être, pourquoi ne pas comparer ce risque à celui associé aux accidents de la route? Poser la question c’est y répondre.

michel123

il est clair que le nucléaire n’est pas sans danger , que ce n’est pas une énergie renouvelable et que si c’est une solution provisoire pour la france  n’est pas une solution pour le monde entier en raison des risque de prolifération nucléaire. Il ne faut cependant pas oublier que le plus gros risque qui menace actuellement la planète et sans doute dans quelques dizaines d’années seulement c’est la crise climatique sans précédent qui menace d’engloutir notre civilisation , cette crise que l’on pensait limiter à 3 ou 4 degrés risque en fait de devenir totalement hors contrôle en raison d’un dégazage possible des enormes réserves de méthane congelées du fond des oceans qui pourraient être déstabilisées par des modifications modèrées de la température de l’ocean. l’urgence absolue c’est d’arrêter l’extraction et l’utilisation du charbon gaz et pétrole et non d’interrompre la production d’énergie décarbonnée. Lorsque l’énorme effort de production d’énergies renouvelables aura réellement produit ses effets, peut être sera t il temps de voir si l’on peut lui substituer une énergie totalement dépourvue de risques industriels . Pour l’instant ces productions sont marginales et sont intermittentes ce qui necessitera un énorme investissement complémentaire  en structures d’accumulation d’énergie :station de pompage returbinage pour l’éolien , gros réservoirs de sels fondus pour l’énergie solaire thermoelectrique ou nucléaire. Tout cela demandera des décennies de mise en place et supprimer une forme d’énergie qui a fait ses preuves me semble pour l’instant tout à fait prématuré compte tenu de l’urgence climatique qui menace .

alain843

à lire “pour tous”

marcarmand

Ce qui fait la différence entre les risques du nucléaire et ceux des autres formes de production d’énergie, c’est que pour le nucléaire, on prend des risques pour nos descendants pendant 300.000 ans, alors que pour les autres formes d’énergie, on ne prend les risques que pour le présent

alain843

par rapport aux autres risques liés aux autres activités , c’est vraiment ce qu’il y a de plus difficile à comprendre pour un pro-nucléaire… la notion du temps,la nature du risque… enfin,laissons les vivre ou mieux : enfermons les tous à Cadarache

Asta

C’est toujours compliqué de parler des risques, parce que cela donne lieu à des comportements peu rationnels. Prenons par exemple les moyens de transport : un usager lambda a plus de risque de mourir en voiture  qu’en avion, sur un même nombre de kilomètres parcourus.Mais généralement cet usager aura une peur irrationnelle du moyen de transport aérien par rapport à la voiture. Ramené au nombre de kilomètres parcourus, il y a plus de tués sur la route qu’en accident aérien. Mais un crash aérien, c’est bien souvent synonyme de la mort de la totalité des passagers et de l’équipage en une seule fois, une couverture médiatique énorme, d’où un impact psychologique plus marqué. Un risque plus faible donc, mais plus “concentré” si je puis m’exprimer ainsi. On peut effectuer un parallèle avec les risques du nucléaire ou du charbon. Ramené au service produit (nombre de TWh à comparer aux kilomètres parcourus), si on regarde les risques d’exploitation, en caricaturant un peu, on compare un risque concentré (accident nucléaire type Chernobyl, probabilité très faible mais impact important) à un risque plus diffus (rejets de centrale à Charbon : impact sur les populations alentours). Ces deux risques sont très différents. Comment les comparer ? Le plus évident, et le plus rationnel, et de se ramener au nombre de morts (assez sinistre ce sujet) à service rendu équivalent. Mais c’est sans compter sur l’impact psychologique de chacun des risques engendrés. Il est difficile de “quantifier” ces risques de manière raisonnable. Pour reprendre un post précédent, la notion de temps est prise en compte : il suffit d’intégrer ton risque par année sur la durée que tu regardes. Pour les déchets nucléaires, il y a un risque très faible de mortalité, mais intégré sur une longue durée, donc au final un risque, à évaluer (je n’écris pas ce post pour quantifier ce risue, je ne suis pas compétent pour ça, mais pour pointer les problèmes liés à la gestin de risques et leur assumation). La nature du risque, hors impact psychologique, peut être prise en compte, par un système “comptable”. Tout ça pour dire que, au delà des opinions pro/anti, si on veut parler de risque, ces notions sont à prendre en compte. J’aimerais bien d’ailleurs voir une étude comparée sur ce sujet pour la production d’électricité par exemple.

alain843

la réponse est contenue dans mes posts,prends le temps de lire ou re-lire avant de re-poser la même question…si tu ne comprends pas, désolé pour toi. et pour mon lieu de vie ,je n’ai pas choisi entre la peste et le choléra

Dan1

Ne nous leurrons pas, vis à vis du nucléaire, il ne s’agit d’un débat rationnel mais d’un combat. Afin d’éviter de revenir à un débat argumenté et comparatif, il faut soigneusement éviter toute comparaison et il faut éviter de répondre à un certain nombre de question : Par exemple, il faut éviter de répondre à la question que j’ai posé :     Dissertation sur les déchets Denlaf nous ressort l’antienne sur les déchets de l’EPR 7 fois plus dangereux que pour les autres réacteurs. Il nous parle aussi des dangers des déchets produits par les réacteurs… soit. Serait-il capable de nous faire la même dissertation sur ceci (c’est un copié-collé) : Regardons donc l’impact sanitaire d’autres filières : … ;id=216501 Pourriez vous m’indiquer quel est précisément l’impact sanitaire d’une centrale électrique qui rejette chaque année autour d’elle dans l’atmosphère et sans aucune précaution :   – 440 kg d’arsenic,   – 40 kg de cadmium,   – 610 kg de mercure,   – 420 kg de plomb,   – 793 tonnes de particules. De même, il faut éviter de considérer que la radioactivité est présente ailleurs et sans contrôle dans des proportions parfois énormes. Il ne faut considérer que la radioactivité “nucléaire”. le Becquerel nucléaire étant plus nocif que Becquerel normal avec cause du coefficient de pondération médiatique.   Si on veut commencer à comparer rationnellement les filières, on peut s’inspirer des études ayant analysé les externalités, par exemple l’étude Externe :    Voir aussi : L’ennui, c’est que dès que l’on applique une démarche un tant soit peu rationnelle, le résultat ne vire pas au désavantage du nucléaire, ce qui vous en conviendrez est proprement inadmissible ! 

alain843

tu le trouves plus mesuré ou plus informatif ?   Uranium sous-estimé à Cadarache : « un défaut de conception » Le 26 octobre 2009 par Ana Lutzky Le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) a annoncé ce dimanche qu’un dépôt d’uranium enrichi supérieur à la limite autorisée avait été retrouvé sur son site de Cadarache. Le début d’une série ? Après le plutonium, l’uranium ? Rebelote : le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) a annoncé ce dimanche qu’un dépôt d’uranium enrichi supérieur à la limite autorisée avait été retrouvé sur son site de Cadarache (Bouches-du-Rhône). L’incident a été signalé jeudi à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Le CEA a proposé de classer cet incident au niveau 1 sur une échelle spécifique qui en compte sept (Ines). En fait, le bilan de rétention, qui a permis de mesurer l’écart, a été précisément lancé après l’affaire du plutonium à Cadarache révélée mi-octobre. Un dépôt beaucoup plus élevé que les estimations (39 kg au lieu de 8 kg) avait en effet été constaté lors du démantèlement de boîtes à gants. Cette fois-ci, il s’agit d’uranium enrichi (enrichissement inférieur à 1,65%), et d’une cellule destinée à traiter des combustibles issus de réacteurs nucléaires de la première génération, arrêtés en 1994. De quoi ont l’air ces cellules ? Il s’agit d’une cellule blindée dans du béton d’1,20 mètre d’épaisseur, décrit Henri Maubert, ancien chef du service de protection contre les rayonnements de Cadarache, actuellement chargé de la communication. « Elle est beaucoup plus grande qu’une boîte à gant : il s’agit de véritables pièces de plusieurs mètres sur plusieurs mètres. On peut voir ce qui s’y passe à travers un « verre-plomb » épais également », poursuit-il.  «Cette cellule a servi entre 1994 et 2006 à conditionner une vingtaine de tonnes de combustibles usés issus de la filière UNGG (Uranium Naturel Graphite Gaz) pour leur permettre d’entrer dans une filière de gestion des déchets nucléaires», indique le communiqué du CEA.  « L’installation STAR (station de traitement, d’assainissement et de reconditionnement) traite des combustibles après qu’ils aient été irradiés en réacteur », précise Henri Maubert. « Les barres sont très radioactives, beaucoup plus qu’avant d’être entrées dans le réacteur, mais elles sont bien isolées » souligne-t-il.  Les combustibles arrivent. On les coupe, on les tronçonne, puis on les remet dans d’autres boîtes, vulgarise Henri Maubert. Une activité qui produit de la limaille, des débris. Sous le plan de travail, des dépôts tombent « comme dans un atelier mécanique », explique l’ancien chef du service de protection contre les rayonnements de Cadarache. La limite, fixée par l’exploitant dans un rapport de sûreté et approuvée par l’ASN, est de 4 kg. Reste que malgré les nettoyages périodiques, des recoins restent inaccesibles, où la limaille s’accumule. « Au moment où l’on a nettoyé la cellule, on a retrouvé plus de limaille que prévu », aquiesce tout simplement Henri Maubert. Le CEA a dès lors constaté une rétention de 10 kg dans la cellule blindée C1 de l’installation STAR. Soit un écart de 6 kg avec la limite autorisée fixée à 4 kg. La situation est-elle comparable avec l’affaire du plutonium ? Contrairement à l’ATPu, l’installation n’est pas du tout en démantèlement : « elle est en état, et a été rénovée », précise Henri Maubert. Le CEA a d’ailleurs engagé 8 milliards d’euros de travaux d’assainissement sur deux ans. Ici, il s’agissait de changer les équipements internes de la cellule. La cellule de STAR, après ré-équipement, « servira à traiter et reconditonner des combustibles usés issus de réacteurs de recherche et actuellement entreposés sur l’installation PEGASE du CEA », indique-t-il. Le phénomène peut-il se reproduire ? Y a-t-il d’autres installations de ce type , où des dépôts radioactifs  s’accumulent dans des coins inaccessibles ? « Il y en beaucoup », suppose Henri Maubert. « Cela pose la question de faire une réévaluation générale et de faire bénéficier l’ensemble des installations françaises du retour d’expérience » ajoute le responsable à Cadarache, qui présume que l’ASN demandera aux exploitants de faire le point.  Car avec ces deux événements, un problème de conception des installations se fait jour : les endroits inaccessibles dans les cellules ou les boîtes à gant, à éliminer. Ce problème est connu des exploitants et les nouvelles installations l’ont pris en compte. Les cellules rénovées de STAR intègrent par exemple ces éléments : une peau en INOX a recouvert le béton pour permettre un nettoyage plus facile, les coins sont désormais arrondis, les orifices sont évités, et des bavettes sont en place le cas échéant. Reste à savoir si la France risque de découvrir des dépôts sous-estimés ailleurs, dans d’autres installations, dans le futur. Pour Stéphane Lhomme, porte-parole de l’association Sortir du nucléaire, « on peut s’attendre à d’autres mauvaises surprises ». « Il est possible qu’à l’occasion de démantèlements cela se reproduise. Dire le contraire serait peu crédible », reconnaît Henri Maubert, qui rappelle que la matière étant confinée, et les quantités très inférieures au seuil de sûreté, l’environnement n’est pas menacé. Comme pour l’affaire du plutonium, « cette matière est irradiante mais elle est confinée », martèle Henri Maubert. Si le dysfonctionnement mérite de lui voir accorder toute l’attention des autorités et de l’exploitant, la matière dangereuse ne s’est pas envolée dans la nature. L’incident , assure le CEA, n’a entraîné à « aucun moment » de risques pour « le personnel, la population avoisinante, ou l’environnement ». L’affaire précédente du plutonium a néanmoins suffisamment été prise au sérieux par les pouvoirs publics pour que les députés demandent  la création d’une commission d’enquête parlementaire, et que Le parquet d’Aix-en-Provence ouvre une enquête préliminaire. Quelle transparence ? Lors de l’incident au plutonium, l’exploitant avait mis trois à prévenir l’ASN, provoquant la colère de cette dernière. L’Autorité, qui avait vivement dénoncé la sous-estimation de dépôts de plutonium, a ainsi reproché au CEA d’avoir attendu le 6 octobre pour signaler officiellement cet écart connu depuis juin. « Cette fois-ci, nous avons été beaucoup plus rapides », souligne Henri Maubert au sujet de l’uranium enrichi. « Nous l’avons déclaré au plus vite, et annoncé au public un dimanche », conclut-il…

alain843

transparence dans ce domaine reservé , si cela est est possible en France

marcarmand

On ne peut pas comparer les risques du nucléaire avec ceux des centrales même à charbon. Les déchets des centrales à charbon sont de nature chimique. On doit pouvoir les piéger à la source. Les déchets du nucléaire gardent inexorablement leur nocivité sur 300.000 ans; pour les neutraliser, il faudrait plus d’énergie que l’énergie électrique produite. Pour moi, l’alternative au nucléaire n’est pas le charbon, mais les énergies renouvelables, même si elles sont actuellement plus chères. Les renouvelables posent des défis technologiques bien aussi intéressants que le nucléaire, et sans risques pour nos descendants

Drxh

 Les déchets des centrales à charbon seraient seulement de nature chimique?(dixit marcarmand (l’ignorant)).  C’est oublier  que les cendres des centrales à charbon contiennent plein d’Uranium et de thorium libérée en pleine nature ,en beaucoup plus grande quantité que tous ce que peut laisser éventuellement fuir toute l’industrie nucléaire française.marcarmand est un ignorant de ce fait très grave sur le charbon.

marcarmand

A ma connaissance, l’Uranium et le Thorium, s’ils sont contenus dans le charbon des centrales, sont à l’état naturel, donc de faible activité, ce qui n’est pas le cas des quelques centaines de milliers de tonnes de déchets ‘HAVL’ rejetées par l’industrie nucléaire.

alain843

Areva continue ses exportations de déchets radioactifs vers la Russie Greenpeace – 26/10/2009 18:25:00 Alors qu’un navire affrété par Areva a quitté vendredi Le Havre pour St-Petersbourg, Greenpeace demande au gouvernement français un moratoire sur les exportations de matières nucléaires. Ce moratoire serait décrété jusqu’à ce qu’aboutissent les enquêtes en cours (notamment celle ouverte par le parquet d’Aix-en-Provence suite à la découverte de dizaines de kilos de plutonium sur le site de Cadarache). Grenpeace demande également à EDF, à Areva et au CEA (Commissariat à l’Energie Atomique) de faire preuve de plus de transparence. Ces trois organismes doivent publier avec précision les informations sur les flux de toutes les matières nucléaires : où elles se trouvent, en quelles quantités, sous quelles formes, quelles sont les destinations de ces matières, etc. ? Le départ de ce navire en direction de la Russie illustre une fois de plus le bien-fondé de nos revendications. Nous ne connaissons que partiellement le contenu de ce cargo et ne savons pas ce qu’il deviendra une fois arrivé à destination. Comme d’habitude, les réponses manquent. Au lendemain des scandales concernant le stockage de déchets nucléaires en Russie et la découverte de kilos de plutonium « perdus » à Cadarache, il est intolérable que les industriels du nucléaire, EDF et Areva, continuent en tout impunité ce trafic. Il est inacceptable que ces entreprises et le gouvernement français agissent toujours dans la plus grand opacité quand il s’agit de nucléaire. Avec nous, demandez plus de transparence et un débat sur le nucléaire qui n’a jamais eu lieu au grand jour.   Ecrivez au ministre de l’Environnement, Jean-Louis Borloo, pour lui demander que le gouvernement décrète un moratoire sur les exportations de matière nucléaires jusqu’à ce que les enquêtes en cours aboutissent et que nous en sachions plus sur le circuit de ces déchets.   Dans le cas contraire, Greenpeace mettra tout en oeuvre pour empêcher la poursuite de ces exportations de déchets nucléaires.

alain843

L’enquête publique s’ouvre sous tension Sept associations de défense de l’environnement lancent une campagne de pétition pour dénoncer l’enquête publique sur le démantèlement de la centrale de Brennilis. Elles réclament un «vrai débat public». letelegramme.com/infoslocales/finist Enquête publique, nucléaire! Voilà deux mots rapprochés qui peuvent s’avérer explosifs. On se souvient de Plogoff 1980. L’enquête sur le démantèlement de la centrale nucléaire de Brennilis, qui débute aujourd’hui pour un mois, va-t-elle susciter autant de passions? Il était question ici de «retour à l’herbe» pour rappeler une formule qui a fait florès. Sept associations de défense de l’environnement, et pas des moindres (*), sont pourtant parties au combat. Elles ont lancé, hier, une pétition contre le démantèlement. Le dialogue de sourds est assuré car l’enquête publique ne porte pas sur la pertinence ou non du démantèlement mais sur ses modalités. Les sept associations environnementales ont, pour l’occasion, resserré les rangs. On se souvient qu’elles faisaient toute partie de la Commission locale d’information (CLI) mais que quatre d’entre elles refusent d’y siéger depuis quelques semaines. «Nous y sommes restés mais nous partageons à 100% les positions des autres associations», précise Pascal Jannin (CLCV). Il faudra en effet mobiliser large. Toujours aucune solution pour les déchets «La question du démantèlement des centrales nucléaires dépasse Brennilis, souligne Chantal Cuisnier. Quatorze chantiers sont prévus et il n’y a toujours aucune solution pour les déchets. Le démantèlement impliquera des transports de déchets dangereux dans toute la France, précise XavierGrémillet. Il n’y a pas de garantie sur le stockage des déchets les plus dangereux. Le coût sera exorbitant. Il n’y a pas non plus de réponses sur les coûts pour la collectivité. Nous n’avons pas, nous-mêmes, de solution, ajoute-t-il, mais nous voulons que les questions soient posées publiquement». Enquête trop précoce Estimant que l’enquête publique arrive trop tôt, les associations refusent de se contenter d’une réunion organisée précipitamment à Loquéffret (le 15 octobre). Les associations estiment que le public ne peut saisir si rapidement l’enjeu d’un dossier technique de 1.900 pages. «Tout est fait dans la précipitation, ajoute Roger Abiven. Quand on voit le temps qu’il a fallu pour que les dégâts de l’amiante soient reconnus, on peut s’interroger sur la prise en compte des contaminations». Les militants associatifs se rassurent en constatant que leur discours commence à être entendu par certains élus, mais s’inquiètent des arguments à court terme (emploi, commerce) dans un Centre-Bretagne déjà fragilisé, face à un problème de longue durée. L’enquête publique s’achèvera le 27novembre. La CLI aura ensuite quinze jours pour donner son avis. D’ici là, les associations ne sont pas prêtes à baisser la garde, sans vouloir dévoiler toute leur stratégie. * Agir pour l’environnement et le développement durable, Bretagne Vivante, CLCV, Eau et Rivières, Groupe Mammologique de Bretagne, Sortir du Nucléaire Cornouaille et Vivre dans les monts d’Arrée.

Dan1

Je cite marcarmand : “On ne peut pas comparer les risques du nucléaire avec ceux des centrales même à charbon. Les déchets des centrales à charbon sont de nature chimique. On doit pouvoir les piéger à la source. Les déchets du nucléaire gardent inexorablement leur nocivité sur 300.000 ans”; et ben si on peut et on peut même le faire pour la radioactivité relachée sans contrôle par les centrales à charbon. On l’a déjà fait sur Enerzine en parlant de l’étude ORNL et de Sparton. Donc quand on dit : “on ne peut pas comparer” : c’est qu’on ne veut pas le faire, nuance.   

bmd

L’étude des dangers sanitaires comparés des différentes sources d’énergie a été faite sous l’égide de la Commission Européenne. Il s’agit du projet Externe, qui conclut sans ambiguité qu’en fonctionnement normal, le nucléaire est l’énergie de masse de très loin la moins dangereuse de toutes. Une autre source de renseignement vient du journal médical britannique The Lancet, réputé par sa rigueur. Voir l’article accessible par google Anil Markandya, Paul Wilkinson, 2007: Electricity generation and health. Lancet 2007; 370:979-90. Ses conclusions sont  à peu de choses près les mêmes. En ce qui concerne les ENR, certaines sont en fait plutôt dangereuses , comme l’hydroélectricité, qui a tué beaucoup de monde avec les ruptures de barrage. On parle de 75 000 morts ou plus lors d’une rupture de barrage  survenue en Chine, de 30 000 pour une autre survenue en Inde. Récemment, mais tout le monde l’a déjà oublié, un accident dans une centrale sur l’Iénisséi en Russie a fait 70 morts identifiés, mais peut-être bien plus. L’éolien et le solaire paraissent absolument sûrs, mais ils ne peuvent fonctionner seuls sur un réseau, à cause de leur intermittence, et il faut donc envisager la mortalité due au mix-électrique dont ils font partie. S’ils sont associés à de l’hydroélectricité, pas de problèmes sauf accidents ( voir ci-dessus). S’ils sont associés à du gaz, ils ne font que diminuer un peu la mortalité associée au gaz par kWh produit. Quant aux effets psychologiques dont vous parlez, çà se manipule, il existe même des bouquins où on vous explique comment, et c’est bien ce qui se passe avec le nucléaire. Exemple, sur le communiqué de Stéphane Lhomme tant vanté par Alain 843, il y a à peu près un mensonge à chaque ligne. Qu’Alain 843 ne s’en rende pas compte montre à quel point l’action psychologique peut égarer les meilleurs esprits.  Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que peu de gens aient réfléchi au fait que le nucléaire en France, non seulement ne tue personne, mais économise les 10 000 morts par an que leur mix-électrique à base de combustibles fossiles coûte aux Allemands. Marcamand, associer la durée de vie des déchets à leur dangerosité est un non-sens.Au contraire s’ils durent longtemps, c’est qu’ils sont peu actifs. Voilà encore un beau montage médiatique. D’autre part la totalité des déchets considérés comme dangereux qui seront produits jusqu’à la fin du siècle tiendraient avec leurs emballages dans un cube de 70 mètres de côté. Expliquez-moi comment leur stockage en alvéoles dans une roche argileuse située à 500 mètres de profondeur, qui tiendra certes plus de place, mais pas tellement, peut menacer les habitants du lieu, et a fortiori les autres Français?

Kerguelen

dont parle alain843 sont de cette stupide mouvance politique antinucléaire qui cherche artificielement à bloquer le démentelement de la centrale de Brennilis,pour pouvoir dire :”On ne pourra pas démenteler le parc français puisqu’on peut pas démenteler Brennilis”.C’est minable,artificiel et infiniment méprisable.Brennilis est l’exemple même de la sinistre petite magouille interminable du réseau SDN et ses vassaux ‘associatifs’ pour rendre artificielement indémontable ce qui reste de la centrale,alors que cela pourrait être fait très bien.La seule chose que prouve l’affaire “Brennilis”,c’est que ce gouvernement est très mollasson,car ça fait des mois qu’il aurait du envoyer plein de cars de CRS pour dégager tous ces idiots d’antinucs,s’ils font de l’ entrave aux travaux de démentellement;Muter le ou les magistrats idiots qui se soumettent à ces escrocs de SDN et consort et mettre un vrai magistat avec une vraie autorité pour faire respecter le démentellement de Brennilis(et non pas un magistrat dévoyé et tout aquis aux idées de SDN).Mettre en cabane cet escroc et idiot de stéphane lhomme et ses complices,voir les expulser du pays ou les exiler pour 20 ans aux iles Kergelen(dans l’océan indien).Chasser greenpeace de France tout en leur mettant une Amende titanesque dont ils ne se remettront pas.Y en a marre de tous ces escrocs antinucs,ils sont pire que les déchets radioactifs,pire que tchernobyl et que les bombes atomiques.Assez !

Dan1

On parle allègrement de la durée de vie des déchets nucléaire (on oubliant de dire que plus ça dure longtemps et moindre est l’activité). Mais dès que l’on veut comparer, il n’y a plus personne (courage fuyons). Donc je pose une autre question : combien de temps dure la toxicité des déchets ci-dessous ?        – 440 kg d’arsenic,   – 40 kg de cadmium,   – 610 kg de mercure,   – 420 kg de plomb,   – 793 tonnes de particules. Et acessoirement combien de temps dure dans la nature l’uranium et le thorium rejetés dans la nature (et pas à 500 mètres sous terre) par les centrales à charbon et lignite ??

bmd

A Cadarache, s’agit-il de plutonium ou d’oxyde de plutonium?

bmd

Je suggère quant à moi que Green Peace demande d’abord un moratoire sur les épandages continuels d’uranium et de thorium, d’arsenic, de mercure et autres saloperies dans les poumons des Allemands qui vivent près des centrales à charbon, au lieu de faire croire à la dangerosité d’uranium appauvri, de plus contenus dans des récipients étanches, que l’on qualifie de déchet. Sur le charbon, c’est maintenant le black-out chez Geen Peace, après pourtant tout un rapport intitulé ” true cost of Coal”, où cette association avait commencé à reconnaître les faits. Le charbon, 500 000 morts PAR AN dans le monde, alors que le nucléaire c’est peanuts, çà vous préoccupe, ou bien n’en avez vous rien à faire?

Sortir-de-sdn

“Qu’Alain 843 ne s’en rende pas compte montre à quel point l’action psychologique peut égarer les meilleurs esprits…”. Non: Alain 843 n’est pas un “meilleurs esprit” mais un militant de la cause de  Stéphane Lhomme et son réseau d’escrocs pseudo-intellectuels’SDN’,fabricant de psychose collective  et de diabolisation imbécile de l’électronucléaire.Alain843 combat le nucléaire avec la pire mauvaise foi de la pire forme militante de la sinistre mouvance antinucléaire.Les infos qu’il diffuse à propos du nucléaire sont en conséquence de son militantisme jusqu’à absurde le plus incurable.A843 est tout le contraire de l’info valable(il a un grand nombre de collabos sur ce site tel chelya,renewable,marcarmand et beaucoup d’autres issus tout droit des gens de greenpeace et sdn,l’ignominieuse militance anti-N qui ne vit que pour combattre le nucléaire).Et ces gens passent leur vie à parcourir le plus de forum possible pour faire le plus de désinformation et diabolisation qu’ils peuvent, contre le nucléaire.Leur avis(et leurs infos) n’est qu’un combat artificiel bidon ,il ne vaut pas un clou.A rejeter !

Jean-luc

Bonjour, Voici le manifeste de trois rouennais qui se sont engagés en juin dernier dans une démarche citoyenne visant à contrer la politique du tout nucléaire d’EDF , ou le commerce des matières radioactives d’AREVA.Nous avons adhéré à Enercoop et incitons tous les citoyens qui le veuelent ou le peuvent à le faire. POur celà , ils peuvent nous faire part de leur démarche . Le blog explique comment procéder. JL

Jean-lou31

les ‘jean luc’ et leurs organisations viennent recruter sur le forum enerzine des” engagements pour le militantisme antinucléaire” ;voilà comment la mouvance antinucléaire se sert d’énerzine:Pour faire du recrutement primaire.Je n’ose pas imaginer qu’il y ait de la complicité de la part d’énerzine ,ce serait trop moche.Mais comment éviter de se poser la question ?

Hansoersted

Ceux qui, ici même, relaient complaisamment ces informations alarmistes(alain843 et ses petits potes)font exprès de le faire car ils sont des militants anti-nucléaires fanatiques,sans scrupules ni vergogne,prêts au pires désinformations.Pas étonnant de leurs parts .

Jeanmarcjean

oui,c’est étrange de voir que: Dés que l’on remarque nominativement que Alain843 fait une monstrueuse désinformatuon sur ce site,dés qu’on dit que c’est un antinucléaire fanatique . Les” posts” disparaissent très vite ,comme par enchantement (faites l’expérience vous-même).A se demander s’il est modérateur abusif du forum ou très ami avec le modérateur en question;ça craint vraiment coté objectivité de la modération.

enerZ

Ce qui est étrange c’est de voir vos commentaires jugés trop nombreux, virulents et surtout sans intérêt. Par ailleurs, merci de vous identifier sous le même pseudonyme, car cela nuit à votre crédibilité… comme par exemples : Perrin-h Jeanmarcjean Ferdoux   Drxh Ampère .j.m Le modérateur

Khantor

Il faudrait pas que les antinucléaires continuent de se moquer du monde avec l’affaire ” Brennilis”. C’est eux qui multiplient les démarches exprès pour bloquer le démentellement de manière artificielle et qui ont enfumé les petits magistrat locaux et incompétents sur le plan nucléaire.Lesquels se sont honteusement couchés face au terrorisme intellectuel de ces petits fascistes de la bande à s.d.n. Le but de ces blocages inacceptables est de prétendre que si on peut pas démanteler  Brennilis ,Alors on ne pourra encore moins démanteller le parc  nucléaire Français et qu’il faut donc sortir du nucléaire. C’est une procédure d’entrave très malhonnete et irrecevable.Une scandaleuse manip des réseaux antinucléaires qui sont pret à tout pour tenter d’asphixier l’électronucléaire français .C’est au gouvernement de faire son travail contre ces délinquants qui se moquent de tout les français et à qui on laisse faire n’importe quoi.L’action d’entrave de s.d.n. à  Brennilis est inacceptble et inexcusable.Les antinucléaires qui prennent “Brennilis” comme exemple pour dire qu’on ne peut réussir à bien démonter une centrale se moquent du monde et on ne doit plus les laisser faire .Que la vrai justice et le gouvernement fassent leur travail sans rechigner contre ces fachos particulièrement antidémocratiques à qui on laisse toujours faire n’importe quoi,impunément de peur sans doute de déplaire à la classe médiatique qui se complet dans l’antinucléarisme béat.Qu’on les livre à la justice et qu’on les juge pour entrave,abus de crédulité,désinformation,tentative de propagation de psychose collective et qu’on puisse enfin démonter tranquillement ce qui reste de cette centrale de  Brennilis .

Jeanmarcjean

Connaissez vous le CO-COMPUTERAGE ?  C’est comme le CO-VOITURAGE mais avec un seul COMPUTEUR  pardon,ordinateur .Evidement on se dispute un peu la machine,mais ça fait des économies d’abonement .Pas de mystère sur le nombre des pseudos mais juste une pratique que vous connaissez mal…Pour information.Ne soyez donc plus surpris d’une origine IP commune.

enerZ

Cette réponse n’est pas satisfaisante. A moins que vos ami(e)s possèdent tous le même avis sur la question, la même façon d’écrire et un ton identique … ?! Un conseil, inscrivez vous en tant que membre. Autrement, si vous persistez dans ce sens, votre adresse IP sera bannie du forum. Dernier avertissement.  Le modérateur.

christian

Cher EnerZ, Je ne sais pas comment JeanMarcJean a formulé sa requête que vous auriez effacée, mais toutefois je dois admettre que je partage son agacement de voir Alain843 poster des copier-coller… D’ailleurs, on vous a vu à l’occasion réagir vivement et à juste titre à ce genre d’entorse à la nettiquette. Poster des liens oui, volontiers. Poster des copier-coller pour saturer la discussion c’est pénible au point -pour prendre mon cas en exemple- que l’on est dissuadé d’intervenir dans la discussion. Dommage. PS : pour retrouver la source des posts d’Alain843, on colle dans Google. Post de 16h16 Post de 15h44 etc… On finit par ne plus savoir ce qui est son opinion, sa source, sa réflexion ou son absence de réflexion…

Jeanmarcjean

Il est vrai qu’à force de se fréquenter,nos avis finissent par être très voisin et à force de s’engueuler nos tons se ressemblent .Nous bannir tous du forum par notre adresse IP avec un système -Fedora-Appache- ne ferait que nous disperser dans des cybercafés ou vous nous retrouveriez plus furieux qu’avant .Sans oublier les copains qui ont leurs ordinateurs à travers le pays et peuvent poster à notre place en très grand nombre sous la dictée par portable interposés .Il vaudrait mieux éviter d’en arriver là.Tous ce qu’on demande ,c’est de pouvoir souligner les abus inacceptables de cette idéologie antinucléaire qui se moque du monde entier et premier lieu de tousles Français .Et qui infiltre abusivement des sites comme énerzine où on leur permet à eux des tons très agressifs et très virulent sans les exclurent ni leur faire de remontrance.C’est du 2 poids ,2mesures . Ce n’est pas normal,que eux(antinucléaires) aient le droit d’être agressif et virulent sans être exclus et que nous(pronucléaires),on n’ait pas le droit .Et qu’on puisse être exclu.Ce n’est ni juste,ni objectif .Voilà !

enerZ

Je suis d’accord avec vous. De courtes citations restent possibles mais le copié/collé même partiel brouille le débat qui s’instaure. Je demande donc à Alain843 de donner ses propres arguments plutôt que de reprendre des sources de journaux…  Bonne continuation Le modérateur

jeanmarcjean

Merci Christian :Certaines personnes militantes semblent avoir des droits que d’autres n’ont pas ,c’est ça qui nous agacent.Cela fait vraiment bizarre!

enerZ

Dans ce cas tenez vous à fournir des arguments acceptables et arrêter ce ton agressif… et tout rentrera dans l’ordre. Le modérateur

jeanmarcjean

Parfaitement d’accord avec vous,mais il est bon de rappeller que c’est aussi valable (d’arreter le ton agressif)pour tous les antinucléaires qui fréquentent en grand nombre ce site et qui ne semblent pas se gèner beaucoup avec l’agressivité du ton .Merci .   Jeanmarcjean et tous les autres…

alain843

Vous mentez car les sources de mes posts de 15h44 et 16h16 sont indiquées dans ceux-ci . Pour ce qui est de l “agacement” provoqué, vous pouvez aussi imaginer l’effet que cela me fait de constater que les idéologues du tout-nucléaire français ont tous le même avis . Quant à mon opinion si vous ne l’avez pas encore comprise , vous ne me rassurez pas pour le reste ! Bonne journée

alain843

merci d’étre assez aimable de me transmettre via mon e-mail “pour information” les posts que vous avez été obligé de supprimer par les amateurs du co -con pute rage. je suis d’un tempérament assez porté à apprécier les comiques aussi j’aimerai bien me détendre sans être obligé d’écouter à la radio les “grosses têtes merci à vous

alain843

les discussions ou transmission d’infos. et se servent du charbon pour évoquer/ou botter en touche à propos des problèmes de l’électro-nucléaire français ,vous avez remarqué qu’il y a une rubrique “CHARBON” ?

alain843

j’éspère bien que non. merci de me rassurer , c’est bien vous le spécialiste ? mais oui pour une quantité de plutonium correspondant à 5 fois ce qui est nécéssaire  pour fabriquer la bombe larguée sur Hiroshima ou Nagasaki