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« Vol Vert » : premier vol transatlantique optimisé

par La rédaction
9 avril 2010
en Mobilité

Le mardi 6 avril, Air France a effectué le premier vol transatlantique optimisé de bout en bout pour réduire les émissions gazeuses et sonores.

Ce vol entre Paris – Charles de Gaulle (départ 11 h 15) et Miami (arrivée 14 h 45, locales), appelé "vol vert" a été réalisé avec un Boeing 747-400ER par la compagnie aérienne Air France.

Au cours de ce vol d’une durée de 9 heures et 30 minutes, des procédures ont été mises en œuvre pour améliorer l’efficacité énergétique de l’avion. Ces procédures optimales, appliquées à chaque phase de vol et coordonnées entre tous les participants du projet, ont permis de réduire, à chaque étape du voyage, la consommation du carburant et donc les émissions de gaz carbonique, depuis le roulage à Paris – Charles de Gaulle jusqu’à l’arrivée au point de stationnement à Miami.

Au total, les procédures optimisées ont permis de réduire de 6 à 9 tonnes les émissions de CO2, et d’économiser entre 2 et 3 tonnes de carburant.

Parmi ces procédures, on peut citer :

  • la diminution des temps de roulage au sol, en coordination avec Aéroports de Paris à Paris – Charles de Gaulle et avec la FAA à l’aéroport de Miami ;
  • la montée continue, en coordination avec la direction des Services de la Navigation aérienne (DSNA, service de la navigation aérienne de la DGAC) ;
  • en croisière, le choix continu de l’altitude et de la vitesse optimales pour réduire la consommation de carburant, en coordination avec les centres de contrôle aérien traversés : français (DSNA), britannique (NATS), portugais (NAV Portugal) et américain (FAA)
  • la descente continue, en coordination avec le contrôle aérien américain (FAA).

Pendant les phases de départ et d’arrivée, les procédures adaptées permettront également de réduire les émissions sonores jusqu’à 7 décibels (une réduction de 3 décibels équivaut à une baisse de moitié du niveau sonore).

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Quand ces optimisations seront applicables sur tous les vols long-courriers d’Air France de et vers le continent Américain, les émissions de CO2 seront réduites de 135 000 tonnes par an, avec 43 000 tonnes de carburant économisées.

Ce premier vol vert transatlantique, optimisé de bout en bout, a été réalisé dans le cadre du programme AIRE (Atlantic Interoperability Initiative to Reduce Emissions), initiative commune entre la Commission européenne et la FAA, gérée par SESAR-JU du côté européen.

Tags: air-franceprocedures optimiseessolaire photovoltaiquevol transatlantiquevol vert
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Commentaires 10

  1. Matbom says:
    il y a 15 ans

    Quelqu’un aurait une idée de la réduction relative? 5 % ?

    Répondre
  2. [ylt] says:
    il y a 15 ans

    Ils osent appeler cela un vol « vert » ! Médiatiser et encourager ce genre d’initiatives, oui. Ce genre de procédure devrait même être obligatoire.. Appeler cela un vol « vert », non. On est très loin d’un vol écologique. Lors de la livraison de l’A380 AirFrance, AF avait annoncé que cela permettrait une économie d’environ 15% de carburant () par rapport aux avions effectuant actuellement la ligne Paris-New York…Même s’il n’y a pas de petites économies, il faut relativiser… @Matborn densité moyenne du carburant: 0.8 () capacité moyenne carburant: 204340 litres () soit environ 163,5 tonnes au max donc entre 1.2 et 1.8 % d’économie… dans l’hypothèse où on fait un plein complet sur un vol transatlantique A+

    Répondre
  3. Antoine says:
    il y a 15 ans

    suivant les infos recoltés sur la consommation sur 5000 d’un tel avion. et c’est juste une économie ‘comportementale’ 10% economisé, c’est combien en moins sur le cout du billet ? Et surtout, avec de telles optimisations, il y a moyen d’aller encore plus loin dans els économies et reduction de GES.

    Répondre
  4. Pastilleverte says:
    il y a 15 ans

    de 2 à 3 %, si toutes les optimisations sont coordonnées. C’est à la fois peu et beaucoup, et multiplié par des centaines de milliers de vols par an (mais ça ne pourra pas s’appliquer à tous les vols) ça fait pas mal de tonnes de kéro et donc 3,15 fois plus de tonnes de CO2. Bien noter la réduction de bruit autour des aéroports qui est considérablement plus élevée (- 7 db, c’est énorme)

    Répondre
  5. Pastilleverte says:
    il y a 15 ans

    10% (à 12%) ce serait sur des vols moyen courrier (sur l’Europe), si tous les contrôles européens voulaient bien se « donner la main » 1 T de kéro brulée = 3,15 T de CO2 émises

    Répondre
  6. marcob12 says:
    il y a 15 ans

    Il n’y a pas plus de « vol vert » que de cigarettes « bonnes pour la santé ». L’avion est le seul moyen de transport permettant d’aligner plus de 10 000 km de voyage en une journée. Que la consommation effective (par siège effectivement occupée) soit de 3 litres aux 100 km au lieu de 7 ou 8 pour une automobile n’empêche pas que ce moyen de transport banalise les émissions massives par personne en rendant possible des voyages impossibles autrement. Diminuer ces émissions d’un pouillième ne change rien à l’affaire. En une journée on peut émettre autant qu’avec sa voiture en 6 mois et le but du transport aérien est que cette prouesse soit accessible à tout le monde. On n’est pas dans le caca.

    Répondre
  7. Pastilleverte says:
    il y a 15 ans

    vous avez bien raison ! par mesure (ou principe ?) de précaution je propose pour limiter les émissions, enfin je veux dire pour suaver la Planète, et donc au niveau mondial 1/ d’arrêter de produire de l’électricité (environ 20% des émissions anthropiques de CO2) 2/ d’interdire toute déforestation et changement d’usage des sols (environ 17% des émissions A) 3/ d’interdire les 2 et 4 roues à moteur (environ 15% des émissions A) 4/ d’interdire tous les engrais et toute forme d’élevage d’animaux d’un poids supérieur à 5 K (environ 13% des émissions équivalent CO2 5/ d’interdire toutes les déchartges auvages (CH4) 6/ d’interdire toute forme de chauffage et de climatisation qui ne serait pas « naturelle » (!!!) 7 /de supprimer le transport maritime (environ 5% des émissions A) enfin last but not least, d’interdire le transport aérien, le salopiaud éméttant presque 2% des émissions équivalents CO2 dans le monde

    Répondre
  8. marcob12 says:
    il y a 15 ans

    D’une, j’ai un pseudo. Tenez-vous y sous peine de parler dans le désert. De deux : on peut toujours éviter de dire des bêtises en réfléchissant un peu avant d’écrire. Une fraction infime de la population humaine prend l’avion pour un vol annuel. Vu notre nombre on peut en théorie multiplier par 50 le nombre de billets vendus annuellement et donc par un facteur supérieur à 20 les émissions de l’aviation (pas électrifiable demain). Les services rendus par l’aviation sont-ils aussi basiques que ceux rendus par la production électrique ou agricole ? Je perçois votre ironie dans l’expression « sauver la planète » mais vous devriez savoir que la question n’est pas de savoir si la planète se réchauffe ou si notre espèce à un effet sur le climat, mais seulement de quantifier précisément celui-ci ainsi que la sensibilité du climat au forçage additionnel dont nous sommes la cause. La plupart des voix discordantes concernant l’analyse du GIEC ne nient pas qu’un doublement ou plus de nos émissions poserait problème. L’essor de l’aviation pourrait largement y contribuer. Pour mémoire l’absence de taxes sur le carburant aérien équivaut à une subvention majeure et une taxe carbone au prorata des kms parcourus (comme pour l’automobile) n’est pas à l’ordre du jour. Qu’on taxe le passager comme l’automobiliste et effectivement le transport aérien ne sera plus un problème potentiel…

    Répondre
  9. Pastilleverte says:
    il y a 15 ans

    désolé pour le pseudo, coquille dûe à mauvaise vision sur écran Le coup de l’aviation qui potentiellement, multiplié par = 20 fois plus, comme vous dites = « en théorie »… Les Data Center ont une croissance quasi exponentielle, ne représentant pour le moment « que » 5 à 6% des Teq CO2, et en théorie ils pourraient représenter, malgré des efforts d’efficacité énergétique, 10, 15, 20 % des teq CO (rayez la mention inutile) Bref attention à l’effet « bilan carbone » qui finit par ajouter plusieurs fois les mêmes chiffres d’émissions teq CO2 (j’imagine bien aviation 20%, maririme 10%, data center 20%, agriculture 25% déforestation 20% industrie 30% autres transports 35%, déchets 10% etc, le tout « en théorie » et « si ils continuent à croitre encore », ce qui est mal barré pour l’aviation qui est retourné au niveau d’il y a 3 ans). On peut ne plus voyager au loin sauf en bateau, mais bonjour l’efficacité énergétique de ce mode de transport pour les passagers (contrairement au frêt où le maritime est imbattable), ou ne plus voyager du tout et se contenter de visio trucs et machins, mais voir alors la goinfrerie des Data centers, lesquels épuisent la Planéte en dévorant de l’électricité à gogo etc, etc… et en plus, au moins 50 pays « du Sud » ne vivent que grâce au tourisme, avec le moins mauvais accès par la voie des airs. Rien n’est simple mon bon monsieur !

    Répondre
  10. marcob12 says:
    il y a 15 ans

    Le transport aérien est quasiment condamné aux hydrocarbures (l’alternative étant les agrocarburants) et donc est forcément émetteur de C02. Par ailleurs comme le dit Jancovici le forçage radiatif dû aux avions est le triple de leurs émissions de CO2 (je ne vais pas refaire les calculs). Vos Datacenters sont émetteurs via leurs sources d’électricité et comme beaucoup sont aux USA qui brûlent des Mt de charbon… Que demain ils  relancent  le nucléaire ou développent  fortement les renouvelables (ou les deux) et la charge carbone de vos Datacenters plongera. Le coeur du problème est que si on veut verdir le transport aérien il faut taxer le kérosène comme l’essence automobile. On divisera par cent les passagers et très fortement ses émissions. Le reste est bidouillage à la marge. Peu importe, le « peak-oil » se chargera de verdir le transport aérien puisqu’il semble si difficile de comprendre qu’on ne peut impunément dévorer des torrents d’énergie par personne sans aller vers des ennuis à grande échelle. L’aviation c’est ça. Vos 50 pays devraient songer à diversifier leurs économies will it or not.

    Répondre

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